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Une jeune gothique – Chapitre 1




Depuis quelques mois je trompe ma femme et j?y prend un plaisir fou. Même si je suis bien de ma personne, je n?ai jamais rien fait pour arriver à cette situation, je ne draguais aucune femme et je repoussais les avances de la plupart. Mais cette femme qui à réussi à mettre en question mon amour pour ma femme est en fait l?illustration de mes fantasmes.

J?aimais beaucoup ma femme, et je l?aime toujours, nous nous entendons parfaitement, nous avons des amis communs et les même opinions sur tout les sujets. C?est à mes yeux une femme parfaite et je ne la tromperais pas si elle était un peu moins frigide. Néanmoins je n?ai aucune envie de la quitter et si un jour je doit choisir entre ma maîtresse et ma femme, ce sera ma femme. Mais revenons au sujet de notre histoire.

C?était un mois de Septembre. Je travaille dans une entreprise de reliure industrielle et un de mes partenaires, Alain, est devenu un véritable ami. Je l?avais donc invité à manger lui et sa petite femme un dimanche après-midi.

Ma femme avait préparé un véritable festin. La sonnette retentie et j?alla ouvrir la porte. Je serra la main à Alain puis je fit la bise à sa femme Josiane. Je fut alors stupéfait par ce que je vis. Derrière eux se tenait leur fille que je n?avais encore jamais vu. Alain m?avait dit qu?elle avait dix-neuf ans mais elle paressait en avoir quinze. Elle avait un look gothique malgré qu?elle se soit bien vêtu pour venir chez moi. Elle portait une mini jupe noir avec des collant brillant ainsi que des chaussures aux talons compensés vernis noir. En haut elle était vêtu d?une pull noir moulant qui cachait une poitrine inexistante. Ses cheveux étaient teints en violet foncé, de la même couleur que son rouge à lèvre. Elle avait un piercing dans le nez et un sur l?arcade, sans compter ceux sur les oreilles. Elle se présenta ; Elle s?appelait Adeline. Elle contrastait vraiment avec nous quatre, au style plus classique.

Je les fis s?installer sur le canapé et je me surpris à mater le cul de leur fille, un joli petit cul très étroit, du fait qu?elle soit assez maigre. Je leur offrit un apéritif. Adeline ne parlait pas, elle s?était enfermée dans l?écran de son portable. Elle ne semblait pas très contente d?être ici. De temps à autre, elle jetait des petits regard à son père, l?air furieuse. Finalement nous nous installâmes à table tout en continuant de parler de travail et d?histoire divers. Pendant le repas, bien que j?essayais de focaliser mon attention sur ma femmes et mes deux amis, je ne pouvais m?empêcher de jeter des regards furtifs sur elle. Elle m?excitait beaucoup. Surtout maintenant qu?elle avait les jambes croisés. Lorsque je remonta mon regard au niveau de son visage je vis qu?elle me regardait dans les yeux. Je la quitta immédiatement du regard, un peu honteux.

L?après-midi se passa comme le repas, elle ne parlait pas, tandis que je tenais la conversation avec ses parents. Pourtant je la surpris à me regarder à plusieurs reprises.

Vers les cinq heures, ils s?en allèrent. Adeline me fit la bise avec plus de conviction qu?en arrivant. Elle me laissa même un peu de violet sur la joue. Elle se lécha le doigt et m?essuya comme un gamin. Heureusement personne ne la vit faire, les trois autres étaient dans le hall d?entrée.

Le salon était maintenant vide. J?étais extrêmement excité. Pendant que ma femme débarrassait la table, je l?attrapa par derrière et fit courir mes mains le long de ses jambes. Ma bite me faisait mal, coincée dans mon jean. J?ouvris alors ma braguette et Christelle m?interrompit de suite :

— Non pas ce soir, je me sent ballonner.

— Prend moi en bouche alors !

— Tu sais que je n?aime pas ça.

Je resta stoïque devant elle. Elle m?avait vraiment frustré. Il fallait néanmoins que je mette fin à mon excitation. J?alla donc dans les toilettes et je me branla. Je ne pensais qu?à Adeline, tour à tour à ses jambes fines, ses lèvres violettes et ses petits seins. C?était l?opposé physique de ma femme, plutôt traditionnelle au corps potelé et aux gros seins. Tandis que j?étais encore dans les toilettes, le téléphone sonna. Christelle parla quelques minutes puis elle raccrocha.

— C?était Josiane, elle me prévenait qu?Adeline avait oublié son portable et qu?elle passerait demain matin le prendre.

Mon souhait présent venait de s?exaucer, j?allai la revoir. Je fut d?autant plus content que ma femme m?appris qu?elle ne serait pas là demain matin car elle irait voir sa mère.

La nuit fut courte, j?étais si excité. Son corps de jeunette et son excentricité me fit faire de beaux rêves.

Le lendemain matin ma femme partis. Il fallait que je lui fasse une avance, mais je ne savais comment m?y prendre. Je décida finalement de lui écrire un petit mot pour lui donner un rendez vous dans un bar. Je glissa le mot derrière son portable. Quelqu?un frappa alors à la porte. Je regarda par le juda. C?était Adeline. Elle était beaucoup plus gothique que la dernière fois. Ses yeux étaient peint et elle portait des vêtements déchirés. J?ouvris alors la porte. Elle n?osa pas rentrer de peur de me gêner et elle me demanda son portable. Je lui donna. Elle me remercia. Elle se tourna, j?allai fermé la porte quand elle se retourna et s?approcha de moi. Elle me roula alors un patin mémorable. ? D?accord ? me lança-t-elle. Puis elle s?en alla. Je ferma la porte et me regarda dans la glace. Ma bouche était violette, elle m?avait littéralement ventousée. J?étais assez fière de moi, malgré mes trente sept ans, je pouvais toujours attirer les femmes, et même les jeunes. J?alla dans la salle de bain me nettoyer et surtout me branler.

Le jour du rendez-vous arriva bien vite. Je ne pensais qu?à cela depuis le début de semaine. Je lui avais donné rendez vous dans un bar, loin de chez nous deux, pendant la pause midi. Je m?installa à une table alors qu?elle n?était toujours pas là. Puis elle rentra dans le bar, faisant se retourner les quelques hommes qui mangeaient. Elle avait toujours une minijupe, style écolière et tout le restes en noir. Elle s?approcha de moi l?air souriant. Je me leva pour lui faire la bise mais elle passa ses mains autour de mon coup, se mit sur la pointe des pieds et m?embrassa. Les gens me regardaient d?un air bizarre mais moi je jouissais de la situation. Je lui demanda de s?asseoir.

— Je doit t?avouer que tu ne me laisses pas indifférent, tu m?excite beaucoup même, j?aime beaucoup ton style, tu es vraiment jolie comme tu es.

— Arrête avec tes compliments, dit plutôt que baiser une jeunette au corps d?ado ça t?excite, tu te lasse de ta femme ? me demanda-t-elle d?un air sur.

— Euh … sur le plan sexuel … oui…

— Oups ! Ma fourchette tu peux la ramasser.

Je me baissa donc naïvement. Lorsque ma tête fut arriver sous la table je pus alors apercevoir son entrejambe. Elle écarta au maximum ses cuisses laissant apparaître, à travers son collant, sa chatte. Je me releva. Je bandais sec. Elle sourie.

— On fait ça maintenant où plus tard ?

Sous l?effet de l?excitation je la pris par le bras. Je me leva et sortis du bar. Je la fit rentrer dans la voiture puis je démarra.

— On va chez moi, ma femme est au travail. J?dirais à mon patron que j?étais pris par une affaire urgente. Et toi tu vas faire comment ?

— Moi, je vais rarement en cours, alors une fois de plus une fois de moins.

Sur ces mots elle approcha son visage du mien et m?embrassa. Elle appuya sa main sur mon sexe. J?appuya sur l?accélérateur pour arriver au plus vite chez moi. Je gara la voiture, puis nous primes l?ascenseur. Tout les deux excités nous nous embrassions à plein bouche. J?ouvris la porte avec hâte et la dirigea vers ma chambre.

— Non je préfère ton salon

Je la laissa dans le salon et couru dans ma chambre prendre des vieux préservatifs qui traînaient. Je retourna dans le salon. Elle m?y attendais, elle avait déjà ôté ses chaussures.

— Non pas de préservatif, on a moins de sensation. Tu n?as pas de maladie ?

— Non

— Bah ça tombe bien moi aussi.

Elle s?approcha alors de moi et ouvris ma braguette. Elle en sortis ma verge violette impatiente de subir ses traitements.

— Oulala, elle est vraiment jolie, je sens que tu vas me faire du bien.

Elle se mit à genoux et embrassa le bout de mon gland. Ma bite était secouée par des spasmes nerveux. Puis d?un seul coup elle enfourna mon sexe dans sa bouche. Malgré ses dix-neuf ans, elle suçait comme une experte, je ne devais pas être le premier. Je me cru au paradis, sa pipe était royale, d?autant plus que je sentis qu?elle portait un piercing à la langue. Je lui demanda alors d?arrêter, me sentant venir trop rapidement. Elle n?ôta pas mon sexe de sa bouche. Elle continua d?aspirer. J?eu alors comme reflex d?appuyer sur sa tête et j?éjacula au fond de son gosier. Elle sortis enfin mon engin et laissa couler les dernières rasades sur son visage. En un coup de langue elle se lava et avala ma semence.

— J?ai bien aimé quand tu m?a traité avec violence, continue…

Elle se releva et enleva son haut. Elle ne portait pas de soutient gorge, elle avait une trop petite poitrine, mais ma gaule revint lorsque j?aperçus que ses deux tétons étaient aussi percés. Elle ôta alors sa jupe et son collant sous lequel elle ne portait rien. Elle se retrouva nue devant moi. Elle était complètement imberbe, la chatte rasée tout comme les aisselles. Sa peau était blanche, mais un joli tatouage faisait place au niveau de l?aine. Elle était très fine et on voyait ses cotes. J?enleva mes affaires et m?approcha d?elle. Elle se jeta alors sur moi, me sauta dessus et s?agrippa à moi. Elle m?embrassait furieusement et je sentais le goût de mon sperme dans sa bouche. Je la saisis par les fesses et la souleva. Je pris d?une main ma queue et la présenta à l?entrée de son trou. Je l?introduisit d?un coup et elle poussa un cri. Pourtant elle n?était pas vierge. Toujours agrippée à moi, elle bougea sur ma bite, la pénétrant à la vitesse qu?elle souhaitait. Je m?approcha alors du canapé, toujours en elle et je la déposa. Je me mis en missionnaire sur elle. Je recouvrait entièrement son corps par le mien, elle devait être deux fois plus petite que moi. Je pus voir alors que sa chatte était complètement défoncée par les quelques coups que je lui avais donnée. Pourtant elle encaissait comme une chienne, poussant des hurlement de plaisir, me traitant de tout les noms. Ma bite ne parvenait pas à rentrer entièrement dans sa chatte et je butais contre son utérus. A chaque coup de butoir elle gueulait et m?arrachait le dos avec ses ongles. C?était très violent, plus violent que ça ne l?avait jamais été avec Christelle. De temps à autre je suçais ses anneaux sur les tétons. Elle me caressait alors les cheveux tandis que je continuais à la bourrer. Elle eu plusieurs orgasmes successifs, me les faisant remarquer à chaque fois en m?agrippant douloureusement le dos. Puis d?un coup d?un seul, un fantasme surgit dans ma tête. J?allai lui faire ce que ma salope de femme m?avait toujours refusée. Je retira mon sexe de sa vulve éclatée. Elle me regarda suante.

— Qu?est ce que tu fais, tu n?as pas fini !

— Attends quelques minutes.

Je souleva alors son bassin et le mis au niveau de ma bouche. Son sourire revint. Je lécha tout d?abord sa chatte et son clito. Elle ne pouvait plus m?agripper, mais elle donnait de grands coup dans mon canapé. Puis j?écarta bien ses fesses et j?y introduisis ma langue. Je lécha vigoureusement, aucun poil n?était présent. Puis j?approcha un de mes doigts et je l?introduisit. Elle poussa un petit cri.

— Oh oui le cul ! On me l?a jamais fait …

Motivé par ses demandes et ses cris, j?introduisit un deuxième doigt tout en continuant d?humidifier son trou. Je lima quelques instant son anus avec mes doigts, puis quand il me parut bien dilaté, je cracha une dernière fois dedans et présenta mon gland à l?entrée. Elle saisit à nouveau mon dos. Puis d?un seul coup j?introduisit mon gland, puis tout le reste de ma verge qui sembla aspirée. Elle gueula d?un cri percent manquant de m?éclater un tympans. Elle souffrait et semblait adorer ça. Ma bite paraissait disproportionnée dans ses petites fesses large de quelques dizaines de centimètre. Elle ne fut pas la seul à souffrir car au même moment elle incrusta ses ongles dans mon dos. J?entama alors de limer, alors que son anus n?était pas encore dilaté correctement. Je l?empalais, je la bourrais, c?est bien là le mot juste, je la remplissais de mon membre. A chaque coup de bassin elle bougeait telle une poupée de chiffon. J?avais presque peur qu?elle se brise entre mes bras tellement elle paraissait frêle. Pourtant elle encaissait les chocs. Au bout de quelques minutes de limage, je ne pus plus me retenir. Je déversa un bon litron de sperme au fond de son cul. Je retira ma verge au plus vite et essuya mon gland qui continuait de suinter sur ses tétons. Elle en profita pour embrasser ma verge. Je l?embrassa à mon tour. J?écarta une dernière fois ses jambes observant ses deux trous, qui ressemblait alors plus à des gouffres. Je m?assis sur un fauteuil la contemplant.

— Merci Adeline, tu m?as fait jouir comme ma femme n?avait jamais réussi.

— C?est à moi de te dire merci. Tu es un véritable pervers. Je sais pas en combien de temps je vais m?en remettre. Mon cul me fait affreusement mal…

— … désolé…

— Ne le soit pas ! J?ai adoré, ta bite est si grosse pour mon petit cul étroit. Mmmh c?était délicieux.

— On va prendre une douche ?

— Quel heure est-t-il ?

— 16h30 pourquoi ?

— Vite il faut que je te laisse mes parents vont rentrer, et j?ai pas envie qu?il croient que j?ai sécher pour aller me balader.

Sur ce, elle enfila ses collants rapidement, et je pus voir que mon sperme coulait à travers ces derniers. Elle mis sa jupe, son haut puis ses chaussures. Elle sortis un tube de rouge à lèvres de son sac et s?enduisit les lèvres de violet. Elle s?approcha de moi, me caressa mon sexe tout ramollie et m?embrassa fougueusement, essuyant ainsi le surplus de violet qu?elle avait mis.

— Je te laisse mon numéro, si ça te dit d?éclater une petite jeunette comme moi, laisse moi un texto, et je rappliquerais aussi tôt !

Je l?embrassa encore une dernière fois et je l?accompagna vers la sortie. Je claqua la porte. Je me dirigea vers la salle de bain. J?étais à la fois heureux de ce que j?avais fait et pourtant remplis de remord. Ces remords furent oubliés quand je regarda mon dos dans la glace. Il était griffonné à souhait, certaines griffures étaient même saignantes. La réputation sulfureuse des Gothiques était confirmée. Je pris un peu d?alcool et me nettoya en repensant à ce que je venais de faire. Et je n?avais qu?une chose à l?esprit, recommencer…

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