Aujourd’hui samedi, je suis seule et décide après un repas frugal d’aller flâner dans les rues de Bordeaux, dans le quartier Sainte Catherine.

J’ai une idée qui me trotte dans la tête depuis cette nuit, je voudrais essayer de retrouver la femme du café. Donc nonchalamment je me dirige vers ce bar-tabac restaurant de la place Gambetta, lieu de ma rencontre d’hier.

Arrivée à l’établissement, pas de tête connue à la terrasse. J’entre jeter un coup d’il et subitement Bingo ! Elle est là ! Seule cette fois dans un coin retiré de la salle attablée devant une pâtisserie et un coca. Je passe près d’elle et lui adresse un timide bonjour auquel elle répond simplement par un léger sourire. Je m’installe à une table en face d’elle mais assez proche. Elle est vraiment très jolie dans une tenue assez légère vu la température extérieure. Toujours en minijupe très au-dessus du genou et son corsage dilaté par une poitrine qu’on devine généreuse. Je me commande une pêche Melba chantilly qui m’est servie par une charmante serveuse, tenue stricte noire mais très sexy. Mes yeux vont des jambes de la serveuse à celles de ma voisine décidément, je suis bien attiré par les femmes.

Ma voisine se rend compte de mon regard déshabilleur et me fixe avec insistance comme elle l’avait fait lors de notre première rencontre.

Après avoir terminé sa pâtisserie, elle se lève pour aller acheter un magazine dans la partie tabac-journaux du café.

J’en profite pour aller déposer subrepticement ma carte de visite sur sa table.

A son retour, surprise de trouver ma petite carte, elle me lance un regard inquisiteur. Elle a bien compris que cela venait de moi. Elle fouille dans son sac à main pour en extraire son téléphone, probablement pour enregistrer ce nouveau contact. L’opération dure quelques instants où je la vois tapoter et subitement, c’est mon téléphone qui vibre. Un nouveau SMS :

« Bonjour Maryse. Que puis-faire pour vous ? Mon prénom est Annie. Vous semblez très attirée par mes jambes »

Je réponds sans la regarder :

« Bonjour Annie. C’est vrai que votre façon de les présenter me semble provocatrice et cela m’excite mais je suis également attirée par votre poitrine. Si vous pouviez déboutonner un peu plus votre corsage, je me délecterais »

A ma grande surprise, après avoir jeté un regard furtif alentour, Annie s’exécute et laisse apparaitre deux splendides seins. Elle n’a pas de soutien-gorge ! Je sens la pression monter et mon entrejambe devient spontanément humide.

Nouveau SMS d’Annie :

« A toi maintenant, remonte ta jupe et écarte les cuisses que je vois le haut de tes bas et ta culotte »

Notre petit jeu continue ainsi par SMS interposés.

Moi : « Je porte rarement une culotte, je trouve cela très excitant, lorsque j’en mets une, c’est pour contenir le minigode télécommandé que j’ai toujours dans mon sac »

Annie : « Tu m’excites, je sens que je mouille »

Moi : « Touche-toi et fais-toi jouir, tu me diras si c’est bon »

Annie : « Peux-tu me passer ton gode et garder la télécommande ? »

Après avoir récupéré l’objet dans mon sac, je me lève pour le déposer sur sa table sans faire attention que je suis toute troussée jusqu’en haut de mes cuisses. Heureusement ce coin retiré de l’établissement est très discret et je pense que personne n’a rien vu.

Je regagne ma place et reprends notre conversation SMS

Moi « Mets le dans ta chatte, je vais te faire jouir à distance »

Annie « OK j suis impatiente ma culotte est trempe »

J’embraye le système de vibrations et je constate les effets immédiats. Annie se contorsionne sur sa chaise, porte une main sur un de ses seins qu’elle pétrit littéralement et l’orgasme ne tarde pas à l’envahir ce qui lui fait pousser de petits cris étouffés.

Le calme revenu, c’est elle qui me ramène le gode que je m’empresse de sucer abondamment pour avoir le vrai gout de sa chatte.

Nouveau SMS d’Annie :

« C’était merveilleux, il faudra que nous nous revoyions, j’ai vraiment envie de toi. Maintenant, je dois partir, j’ai un rendez-vous avec ma gynéco dans une demi-heure.

Tchao ! On s’appelle. Bise »

Je la regarde donc partir en la fixant avec envie. Je suis tout excitée mais je n’ai pas eu mon compte. Je suis condamnée à rentrer à la maison pour m’amuser toute seule.

J’appelle la serveuse pour payer ma consommation et ne peux m’empêcher de regarder avec insistance, ses jambes gainées de noir et ce corsage blanc presque transparent laissant deviner des mamelons non dissimulés par un soutien-gorge

Au moment de me rendre la monnaie elle s’approche de mon oreille et me murmure : « Vous vous êtes bien amusée petite salope ? »

Je la regarde en rougissant :

« Mais… qu’est-ce qui vous permet ce langage ? Vous ne manquez pas de toupet, voulez-vous bien rester à votre place »

« J’ai suivi tout votre manège. Je suis certaine que vous êtes très excitée rien qu’à voir votre regard sur mes jambes et ma poitrine. Si vous avez envie d’en voir plus, j’ai ma pause dans un quart d’heure. Vous pouvez venir me retrouver dans notre local derrière la porte marquée « Privé ». Voulez-vous un café en attendant ? »

« Bien volontiers »

Ma réponse est l’aveu que je me rendrai bien au rendez-vous.

Au bout d’une vingtaine de minutes pendant lesquelles j’ai fait défiler dans ma tête une foule de fantasmes tous aussi pervers les uns que les autres qui m’ont mise dans un état d’excitation extrême, je me dirige vers la porte « Privé ».

Sans frapper, j’entre. La pièce est vide. Seul un grand chien noir est couché par terre et semble dormir. Ma présence le réveille, il se lève et vient fouiller sous ma jupe avec son museau. Apparaît alors la serveuse dans une tenue déshabillée gothique bas noirs, porte jarretelles soutien-gorge noir ouvert sur les tétons majestueusement dressés, gants noirs, perruque rouge, maquillage blanc, cuissardes à hauts talons, tatouages sur tout le haut du corps, cravache à la main le tout agrémenté d’un imposant gode ceinture posé sur une impressionnante touffe de poils noirs.

Elle s’adresse au chien :

« Laisse Rex, couché, elle n’est pas pour toi. »

Rex revient docilement à son emplacement de repos.

« Si vous êtes venue mademoiselle, c’est pour vous faire baiser mais ici c’est moi qui commande et vous allez être mon esclave. »

La situation ne me déplait pas, j’ai vraiment envie de tenter l’expérience.

« Dorénavant, vous m’appellerez « Maitresse » et si vous avez des envies, vous demanderez poliment »

« Oui Maitresse »

« C’est bien ! Je vois que vous avez compris. Enlevez votre corsage que je vois vos seins et caressez-vous mais gardez votre jupe, c’est plus excitant d’aller fouiller dessous. Montez sur la table et écartez les jambes ».

La tension monte, mon cur bat la chamade et je sens que mon entrejambe s’humidifie abondamment.

Une fois sur la table, j’ai une vue plongeante sur la poitrine généreuse de ma Maitresse, elle m’excite au plus haut point.

Maitresse s’approche de moi, me lèche les bas jusqu’à ma jupe et en la relevant, vient plaque sa bouche sur ma chatte.

« Tu mouilles ma petite salope continue à te caresser les seins pendant que je vais me délecter de ton jus »

Sa langue pénètre mon con et aspire mon clito. Après deux ou trois succions, un premier orgasme m’envahit. Elle s’en rend compte et m’introduit deux doigts puis trois puis la main entière dans la chatte.

« Continue de jouir, vas-y c’est bon de te voir en transe. Descend, je vais te baiser tu vas venir t’empaler sur ma queue »

Elle se couche sur le dos et je m’assois sur cette énorme bite qui pénètre aisément et entièrement tant je suis lubrifiée. Le contact de son abondante toison sur la mienne, le mélange de nos poils a un effet particulièrement excitant.

« Vas-y, remue-toi, je vois tes seins qui se balancent, continue je vais jouir moi aussi. Ahhh ! »

A force de va et viens je repars dans un nouvel orgasme qui me fait crier de plaisir et me renverse à côté d’elle.

« Maitresse, s’il vous plait, j’aimerais me faire enculer »

« Pas aujourd’hui petite salope, il faut qu’on arrête, je dois reprendre mon service reviens me voir un autre jour, peut-être avec ta copine si tu veux, je vous ferai découvrir d’autres sensations. »

Frustrée mais tout de même satisfaite de la proposition, je me rhabille et nous nous quittons avec un léger baiser sur la bouche.

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