Bonjour,
je m’appelle Cécile, je vis à Paimpol, j’ai 32 ans. Un joli corps, un petit peu ronde, et je m’aime comme ça!
Hier soir, après avoir mangé avec des copines, je passai devant l’immeuble de Max, un ex. Un homme de 54 ans, joli et gentil garçon, avec lequel je suis sortie pendant deux mois, il y a de ça 5 ans maintenant.
Doux, tendre et vigoureux, il m’avait bien plu. Mais notre conception du couple était trop différente. Nous nous sommes quittés bons amis, nous revoyant quelques fois.
Là, ça faisait 3 ans que ne nous étions perdus de vue et je n’avais plus son numéro. Je décidai de monter à l’improviste.
Il m’ouvrit, je vis dans ses yeux qu’il était content de me voir, et avec son beau sourire, m’invita à entrer. Il avait changé les meubles de place, mais je me sentis tout de suite à l’aise, comme chez moi.
Une bouffée de bons souvenir remonta de ma mémoire.
Max buvait un whisky et m’en offrit un. Excellent!
La première gorgée me monta à la tête, surtout que j’avais déjà un peu bu en mangeant.
Nous avons discuté de tout et de rien pendant un grand moment. J’étais vraiment bien en sa compagnie.
Parlant de mes activités professionnelles, (je suis violoncelliste) je me souvins tout à coup que j’attendais un e-mail de confirmation pour un concert. Je lui demandai si je pouvais consulter ma boîte, et tout naturellement, il accepta.
Je m’installe devant son grand écran, je touche la souris et là! Gros plan sur une fille se faisant fister les deux orifices.
Mon ami devient rouge foncé et balbutie des excuses en se précipitant sur le clavier.
Je retiens sa main.
— "Laisse, ça m’excite!"
Silence… regards
— "Ok, mais il faut voir le début de la scène pour vraiment apprécier"
Il revient en arrière et lance le film.
J’avais quelques fois pensé au fist, j’avais vu des petites scènes, mais là, voir cette femme se faire introduire deux mains, voir ses deux trou se faire ouvrir en même temps, j’en ai frissonné.
Max s’en est bien sûr aperçu.
— "Tu as déjà essayé? "
— "Non, jamais. Ça doit faire trop mal!"
— " Si tu en as vraiment envie, ça ne fait pas mal! Ou plutôt, la douleur devient plaisir."
— " Tu as changé, toi!"
— " C’est sûr ! Après notre aventure, tu te doutes bien que j’ai fait de nouvelles rencontres. Entre autres, une femme vraiment maso, avec qui je suis resté presque une année. Elle m’a quitté car je ne la frappais pas assez fort et que je ne voulais pas jouer avec des aiguilles. Mais j’ai conservé du matériel. Si ça te tente…" Il rit et alla nous resservir.
Je restai silencieuse. Toute sortes de pensées se bousculaient dans ma tête. Et surtout, je sentais une chaleur monter en moi, et mon sexe qui se liquéfiait.
Après un moment de réflexion, pendant lequel je me traitais, entre autres, de chienne lubrique, et en même temps me disant qu’une si bonne occasion ne se représenterait pas de sitôt.
Il s’était rassis et galamment, essaya de relancer la conversation sur la musique que nous avions un peu plus tôt. Je l’interrompis:
— "A toi, je fais entièrement confiance! Ce soir, je veux réaliser un vieux fantasme que j’ai toujours eu peur de révéler à mes autres partenaires.
J’ai envie que tu m’attaches et que tu me fasses tout ce qui te passe par la tête.
Je veux être complètement soumise, et sans défense.
Mais si je te le demande, promets moi que tu arrête tout de suite!"
— "Je te le promets. Mon but c’est que tu aies du plaisir, c’est ça qui déclenche le mien!"
— "Je me souviens…"
Alors il me propose de passer à la salle de bain et de me mettre à l’aise.
Je reviens en slip après avoir fait une petite toilette.
Max à étendu une toile cirée sur son lit.
Il me complimente:
-" Tu es encore plus belle qu’avant, toi"
Il a allumé un joint, ça sent bon. Ça me rappelle des souvenirs, ça aussi.
— "Passe le moi" Je tire une latte… C’est bon!
Max me fait:
— "Tu es d’accord pour que je nous filme? ça restera strictement entre nous. Je te donne une copie et je te jure que je ne le montre à personne, ni sur le net…"
Une nouvelle fois, je lui accordai ma confiance. C’est vrai qu’il avait toujours respecté scrupuleusement ses promesses.
Il me fit me coucher tout au bord du lit, un gros oreiller sous la tête, me remonta les genoux en les écartant, me passa les coudes sous les mollets et me fit prendre mes pieds par l’extérieur. Vous suivez?
Maintenant, il fait passer la base de mes doigts entre mes orteils, bien au fond et m’entoure le pied et la main de quelques tours de bande adhésive. La description est laborieuse, mais l’effet est là!
En deux tours de ruban, je suis immobilisée, offerte et sans défense.
Un énorme frisson m’a parcouru du haut en bas et retour.
Max à ri.
-" Je pensais bien que ça te plairait, cette manière rapide te t’attacher."
Toujours aussi efficace, ce garçon!
Il s’allongea sur moi et vint me rouler un énorme patin, tour à tour léger, effleurant à peine mon corps, puis pesant de tout son poids, à la limite de m’étouffer. Puis il descendit, jouant avec mes seins et descendit encore, me léchant à travers mon slip. Il m’a pelotée comme ça pendant un moment. C’était très bon.
Puis, en se redressant, il dit:
-"Passons aux choses sérieuses!"
Et il sortit un énorme couteau de chasse!
J’ai failli m’évanouir!
Je me suis vu mourir sous les coups d’un serial killer!
C’est vrai, je l’avais retrouvé inchangé, en apparence. Toujours aussi charmeur et prévenant, mais qui sait ce qui peut se passer dans la vie des gens en 3 ans.
Il avait un air mauvais tout à coup. Il fit glisser la lame sur mon corps, tournant autour de mes seins, me piquant plusieurs fois le ventre, puis dans le nombril, les cuisses, les fesses, remontant vers mes seins pour les piquer aussi. Il a passé sa lame sur mon cou, l’a redescendue jusqu’au sexe. Il glissa la lame dans mon slip.
J’étais tétanisée par la peur.
Soudain, d’un mouvement vif, il coupa mon slip et planta violemment la lame dans le bois du lit, à un centimètre de ma chatte. J’eus un orgasme terrifiant. Je fus agitée de soubresauts, me faisant cogner mon clitoris contre la lame fichée entre mes jambes.
Max me laissa comme ça.
Après m’être ressaisie, j’examinai ma situation. Aucune trace sur mon ventre ni sur mes seins, à part quelques rougeurs, bien sûr. Le couteau planté dans le lit dans le bon sens, le dos large et lisse de la lame vers moi; Il n’est pas devenu fou, il contrôle la situation.
Je n’allais peut-être pas mourir ce soir.
Le bord du lit était trempé, le couteau dégoulinait.
Il revint avec deux spéculums, un "petit" et un gros.
— "Je viens de les stériliser. Tu as envie de continuer?"
Je fus surprise une nouvelle fois. Mon dernier souvenir de spéculum était très désagréable; une infirmière revêche autant que moustachue me l’avait introduit glacé et à sec, lors d’un contrôle après un avortement.
Mais, ce soir, je ne sais pas vraiment pourquoi, j’en ai envie, même si je dois souffrir. En fait, je me rends compte que j’ai envie de souffrir.
Je ferme les yeux et lui dit:
— "Fais ce qui te plaît, je suis prête."
A suivre..