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La bourgeoise et le puceau. – Chapitre 6




Cela fait déjà trois jours que j’ai bien sucé Florian, au milieu de la nuit, en lui faisant croire que j’étais à moitié endormie et que c’était François mon mari que je pensais être avec moi. Chaque matin, je veille à lui laisser apercevoir le haut de mes jambes lorsque nous prenons notre petit-déjeuner et il y a toujours au moins un de mes petits strings qui traîne dans la salle de bain que nous partageons.

En ce samedi matin, comme il y a deux semaines, je lui demande s’il souhaite de nouveau m’accompagner à la salle de sport. Il me répond que oui car il n’a pas eu le temps d’aller courir cette semaine après sa journée de travail. Nous voici donc tous les deux suant dans la salle de sport parmi une vingtaine d’autres personnes. Lui fait plutôt de la musculation dans un coin tandis que je fais du cardio-training à l’autre bout. Au bout d’une bonne heure, voilà Florian qui vient me rejoindre et qui me dit :

— Hélène, je crois que je vais aller faire un peu de hammam pour me détendre un peu. La dernière fois, cela m’a fait énormément de bien.

— Pars devant, lui dis-je, je te rejoins dans une petite dizaine de minutes.

Puis je continue quelques exercices de manière à lui laisser penser qu’il n’occupe pas trop mes pensées.

Lorsque j’entre à mon tour dans le hammam, il est seul et s’est allongé sur le dos sur l’un des bancs carrelés et a les yeux fermés. Je m’installe près de lui, du côté de sa tête puis, au bout de deux ou trois minutes, je me penche vers lui et lui glisse à l’oreille :

— C’est dangereux ce que tu fais !!! Une inconnue pourrait te surprendre ainsi et profiter de l’occasion.

Sans ouvrir les yeux, il me répond

— Je ne pense pas que ce soit le style de l’établissement. Nous ne sommes pas au hammam de Pigalle devant lequel nous sommes passés l’autre jour.

Je lui rétorque :

— Oui, tu as certainement raison. Toutefois, reste ainsi les yeux bien fermés, qui sait…

Puis je me lève, me dirige vers la porte, l’ouvre mais la referme sans sortir de la pièce. Puis, au bout de deux minutes sans bouger, j’ouvre la porte et la referme comme si quelqu’un venait d’entrer dans le hammam. Je vais m’asseoir du même côté que précédemment, mais cette fois-ci aux pieds de Florian toujours étendu les yeux fermés.

Je patiente quelques instants puis allonge le bras en direction du sexe de Florian et pose ma main dessus. Mon neveu tressaille un peu mais reste dans la même position. Mes doigts se referment sur sa tige et je commence lentement quelques mouvements de va-et-vient en regardant bien la porte d’accès de manière à m’arrêter si on entre. La queue de mon neveu grossit lentement dans ma main et il accompagne mes mouvements de poignet par quelques mouvements du bas-ventre. Je porte mes doigts à ma bouche et les humecte bien de salive puis, du bout de mes doigts bien humides, je décalotte son gland et commence à caresser son champignon turgescent. Il doit apprécier les caresses que je lui prodigue car son sexe est maintenant bien bandé et atteint de belles proportions. J’accélère le mouvement et je vois soudain son bas-ventre s’immobiliser et se crisper. Sans faire de bruit, oubliant le risque d’être surprise en fâcheuse posture, je me penche rapidement vers son sexe et prends son gland en bouche. Il était temps car le voilà qui décharge de longs jets de semence bien chaude. Je n’en perds pas une goutte et savoure du palais le précieux liquide avant de l’avaler. Florian a toujours les paupières closes, je l’embrasse sur la bouche pour lui donner le goût de son foutre. Lorsque je sors du hammam, il a toujours les yeux fermés.

Dix minutes plus tard, nous sommes dehors et rentrons à pied jusqu’à l’appartement sans qu’il me parle de son aventure dans le hammam. Tandis que je range dans la cuisine les quelques courses faites en chemin, Florian rejoint le salon où son oncle est en train de travailler devant l’ordinateur. Lorsque je les retrouve dans cette pièce, je demande à François s’il peut me mettre un peu de crème hydratante sur le dos car ma peau est un peu sèche. Sans lever la tête de son écran, il me répond

— Je suis désolé chérie mais je dois impérativement boucler ce travail avant midi et l’envoyer par mail. Florian, tu veux bien rendre service à ta tante ?

Et voilà le neveu qui me suit dans notre chambre où, une fois arrivée, je prends un tube de crème sur ma coiffeuse et lui tends. Ensuite, en lui tournant le dos, je retire mon haut de survêtement et mon soutien-gorge puis m’allonge sur le ventre sur le dessus-de-lit en disant à Florian :

— Tu en mets une bonne couche s’il te plaît car cela fait un moment que François ne s’en est pas chargé. J’ai l’impression d’être toute desséchée !

Sans le voir puisque j’ai le visage enfoui dans le creux de mes bras croisés devant moi, je devine le grand sourire de Florian lorsqu’il me répond :

— C’est dangereux ce que vous faites !!! Un inconnu pourrait vous surprendre ainsi et profiter de l’occasion.

Puis ses mains se posent sur mes épaules et il me masse avec application en me répandant la crème.

Une fois mes épaules bien hydratées, ses mains descendent plus bas, s’aventurent parfois sur les côtés jusqu’à effleurer mes seins, descendent le long de mon dos jusqu’au creux de mes reins. Puis le voici qui descend et retire mon pantalon de survêtement. Je suis maintenant en string, toujours étendue sur le ventre. Ses mains reprennent leur ouvrage en se concentrant sur les fesses puis glissent sur l’arrière de mes cuisses et de mes genoux. Il s’applique vraiment et j’apprécie le massage. Puis ce sont mes mollets et enfin mes pieds qui sont l’objet de toute son attention. C’est un vrai régal ! Ses mains remontent maintenant à l’intérieur de mes jambes, me forçant à les entrouvrir un peu plus. Ses mains me malaxent les fesses et, à chaque mouvement, il descend un peu plus bas entre mes cuisses en accentuant la pression de ses doigts. Je suis maintenant allongée les jambes écartées et j’imagine qu’il a une vue imprenable sur ma chatte dont les grandes lèvres sont bien ouvertes par la fine dentelle rose de mon string. Je mouille de plus en plus, je suis excitée par la situation ; il doit s’en rendre compte aux ondulations de mon bas-ventre.

Soudain, je devine qu’il s’allonge sur le lit entre mes jambes et sa langue vient jouer dans le creux de mon dos. Doucement, elle descend, parcourt mon sillon fessier et se concentre sur mon sexe. Il commence à me mordiller la chatte, puis me donne de petits coups de langue et poursuit le jeu jusqu’à ce que je relève bien la croupe de manière à lui faciliter l’ouvrage. Quel bonheur de sentir cette langue juvénile, cette bouche gourmande, ce jeune puceau me dévorer la chatte. Même si c’est son premier cunnilingus, il se débrouille très bien ? Puis, tout en continuant à me butiner, l’un de ses doigts s’empare de mon clito et l’excite avec délicatesse. De l’autre main, il me caresse les seins et me pince doucement les tétons qui durcissent sous son action. Je sens la vague de plaisir qui arrive, déferle en moi et me submerge. Sous la langue et les doigts de mon jeune neveu, je jouis comme une vraie petite salope et je trouve cela délicieusement bon. Je m’écroule sur le lit et sombre vite dans un demi-sommeil. Florian s’éclipse sans rien me dire.

Après m’être changée et avant de rejoindre François et Florian pour le déjeuner dans la cuisine, je me rends furtivement dans la chambre du jeune homme. Je sors le petit string rose de ma poche et le glisse sous son oreiller. Ainsi, ce soir, il pourra s’endormir avec ce trophée et pourquoi pas bien se masturber en s’enivrant du parfum de ma jouissance…

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