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Le déclic – Chapitre 1




Harry Lawmson était un agent très spécial de la C.I.A.

Pourquoi «très spécial» ? Parce que, tout simplement, il menait à bien toutes les missions difficiles, voire impossibles, que les autres préalablement avaient «ratées».

Et pourquoi «était» ? Tout bonnement parce qu’il a décidé de prendre sa retraite et de soulager sa conscience en relatant quelques-unes de ses aventures professionnelles. Prenez par exemple «l’affaire Chastity ». Lady Chastity était une jeune femme possédant un corps des plus excitants dont elle jouait avec une habilité machiavélique, décomplexée et sereine. Ses longs cheveux noirs encadraient un visage qui pouvait se faire dange ou de démon selon les cadres de son existence. Pourtant ceux qui étaient déjà tombé entre ses griffes savaient quelle n’avait rien de lange et tout du démon. Son job était des plus simple : elle volait ou elle faisait voler des brevets et les revendait aux plus offrant, fussent-ils des terroristes. Elle navait pas trente ans quelle avait déjà une longue histoire professionnelle et surtout un nombre incalculable de morts sur la conscience. En plus de tout cela, comme si cela ne suffisait pas, c’était une déesse de l’amour. Harry lavait appris à ses dépens : alors qu’elle débutait, il avait réussi à la localiser. Elle était déjà dangereuse et Harry navait pas réussi à échapper à ses filets. Il était totalement à sa merci, lié les mains dans le dos, allongé au sol. Elle lui avait dit :

« Harry, tu me plais beaucoup ! Alors, je vais te faire un cadeau. »

Elle lui avait fait alors un striptease des plus excitants en ôtant sa robe puis avait voulu constater si elle lui faisait de l’effet. Evidemment qu’elle lui en faisait. Il faut dire que sa poitrine et surtout son beau derrière rose en imposaient ! Constatant ses bonnes dispositions, elle avait sorti son sexe à l’air et s’était tout simplement empalée dessus, sen servant comme dun simple godemiché. Quand elle eut pris son pied, sans aucune pitié, elle s’est rhabillée et est partie. Les collègues qui avaient délivré Harry avaient bien rit en voyant son matériel, frustré et à l’air, tout rabougri quand ils étaient venu à son secours ! Depuis, Harry n’avait plus qu’un but : la retrouver et lui faire payer cette humiliation. Et puis un jour, 3 ou 4 ans après cette histoire, il reçu un tuyau «de première» : Chastity avait été repérée dans un château isolée, située près d’une route rectiligne qui servait certainement de piste d’atterrissage et de décollage au petit avion privé qui servait à ses déplacements. Près du château il y avait un grand champ mais, immédiatement à l’arrière, une forêt splendide s’étendait sur plusieurs hectares. De l’autre côté de la route, une falaise verticale dissuadait les importuns de toute approche.

Harry nhésita pas bien longtemps et décida d’aller la surprendre pour découvrir son petit manège.

Néanmoins, il fallait auparavant qu’il prépare et ce minutieusement son intervention. Q, le spécialiste des matériels de toute sorte de son agence nétait pas à une invention près et Harry avait sa petite idée sur ce dont il aurait besoin. Il demanda à Q s’il ne possédait pas en magasin pas une sorte d’appareil, qui permettrait d’exciter plus ou moins les gens et les inciter à faire l’amour, tout ceci à distance. Q acquiesça et dit que son appareil, qui était en fait une sorte d’émetteur d’ondes à une fréquence particulière, n’avait jamais été testé sur le terrain et qu’il ne pouvait en répondre totalement. Il lassura néanmoins qu’il fonctionnait à la perfection et, sous le sceau du secret absolu, il lui confia en avoir fait usage sur sa secrétaire qui ne s’était jamais refusée à lui, bien au contraire. L’objet avait un double rôle, puisqu’il était aussi un puissant émetteur-récepteur. Enfin, il avait la forme d’une montre, indécelable donc ! Q expliqua longuement le fonctionnement de l’appareil à Harry, qui partit peu après.

Après un long trajet en voiture – fort heureusement, Q lui avait confié un puissant pick-up banalisé Harry arriva à proximité du château de Chastity. Ainsi qu’il l’avait prévu, il entra dans la forêt pour arriver derrière la maison sans problème. Après avoir garé son véhicule en retrait, bien à labri de la vue et surtout des gardes qui semblaient en masse, il partit en direction du château sans oublier l’appareil qu’il glissa à son poignet comme il leût fait de nimporte quelle montre à bracelet.

Sur le chemin du château, Harry croisa trois voitures dans lune desquelles il reconnu, Pablo Lascar, cet homme daffaire colombien, connu aussi pour être un trafiquant de drogue international. Les preuves manquant on navait jamais pu lui en faire procès et il circulait librement, le sourire éclatant, dans quelques pays de son désir. Que venait faire Pablo Lascar ici ? Quel était son lien avec Chastity ?

Deux femmes armées gardaient larrière de la propriété par où arrivait Harry, tandis que plusieurs hommes étaient en poste à lavant. Harry ne put résister à lenvie de tester les effets de sa montre une première fois. Leffet fut immédiat, les deux femmes commencèrent à se ploter les seins, comme animée dune rage épidermique incandescente. Harry les laissa se mettre nues et comme elles arrivaient à la lisière de la jouissance il les ficela et les bâillonna, les seins toujours en cloche. Harry navait mis que la puissance à moitié

Une fenêtre du château doù sortaient des voix ouvrait sur la forêt. Il sapprocha et bientôt la voix sorti de lombre pour se donner le visage de Chastity, toujours aussi belle, même plus encore et vêtue de cuir. Même habillée elle était des plus bandante.

— Que vais-je bien pouvoir faire de toi ? Tu ne mest plus utile à rien.

Elle parlait à quelqu’un quHarry ne voyait pas et dont il ne percevait que la voix qui lui semblait connue. Il se déplaça pour voir la personne dont la voix lui paraissait chevrotante et là une surprise lattendait de pied ferme.

Harry reconnu Zoée, la femme du sous-directeur. Cela faisait longtemps quil ne lavait plus vue. Cétait une métisse aux cheveux noirs bouclés et aux formes amples mais agréables. Elle était nue, attaché par les mains dans une position qui nétait pas sans donner des souvenirs à Harry. Harry ne put sempêcher de soliloquer : «Tiens, tiens ! Alors ces deux petites salopes complote et s’envoient en l’air toutes les deux !» Mais au ton employé par Chastity, il comprit très vie que Zoée nétait pas là de son plein gré. Et plus encore quand elle parla du mari de Zoée quelle tenait « par les couilles » et qui lui était redevable dinformation sous peine de voir sa chère épouse passer de vie à trépas.

Comme pour confirmer ce qu’il pensait, Chastity sapprocha de Zoée lui envoyant une main exploratrice de son sexe tandis que de lautre elle la menaçait dun révolver.

Harry comprenait maintenant pourquoi il avait été si facile à Chastity de se cacher : elle devait être au courant de tous les mouvements de l’agence à son propos !

Chastity lécha alors le bout de son révolver comme pour attiser la peur de Zoée ; ça lexcitait : ses seins pointaient durs et semblait prête à jaillir du carcan de cuir qui vainement les maintenaient enfermé. Zoée semblait apeurée, on le serait à moins ! « Pitié » cria-t-elle.

Harry avait pensé pouvoir agir seul mais Chastity avait étendu son ombre et son pouvoir machiavélique jusquà posséder une petite armée de malfrat à sa solde. Il lui fallait signaler sa position et faire venir urgemment les hélicoptères de la brigade, trop darmes gardaient le château. Lingénue criminelle avait bien grandit. Cest à ce moment que Zoée aperçu Harry derrière la fenêtre. Ce dernier lui fit signe de gagner du temps en montrant sa montre.

— Ca te dirait de faire un petit tour en avion avec moi ! lança à ce moment Chastity de lironie dans la voix

Zoée comprit que Chastity avait en projet de la balancer de lavion en plein vol et cette expectative lui déplaisait pour le moins fortement ; sil est aisé dapprendre à nager il nen est pas de même pour le vol. Pendant ce temps Harry ne résistait pas à lenvie dessayer une nouvelle fois les effets de sa montre magique quil dirigea sur Chastity qui en réponse se baissa instantanément pour caresser les jambes et le corps nu et offert de sa prisonnière.

— Tu sais que tu mexcites, cest dingue

Chastity sortit ses seins lourd de désir de leur gangue de cuir et les lécha un à un, doucement, méticuleusement. Elle se débarrassa ensuite de tous ses attributs jusquà se retrouver nue.

— Cest fou ce que jai envie de toi tout dun coup

Elle se caressa les fesses et le reste de son corps avec son revolver.

Un grondement se fit soudainement entendre en provenance du ciel.

La perverse jeune femme se retourna alors et, tout en la menaçant de son revolver elle demanda à Zoée de lui mirer une dernière fois les seins qui étaient tendus comme deux grosses cloches à fromage. La jeune femme avait compris très vite quelle avait été repérée et, sans plus de panique, elle tira sur sa proie avant de fuir ; à lextérieur des coups de feu jaillirent auquel répondirent le feu nourrit de ses hommes.

Harry entra dun bon en criant « on ne bouge plus », mais Zoée était seule dans la pièce liée se balançant au bout de sa corde. « La salope tente de se sauver avec son avion, il faut larrêter » sexclama-t-elle la voix sur le point de séteindre. Et en effet la jeune femme avait réussi à atteindre son avion en catimini

Chastity parla à voix haute : « Vous ne maurez jamais toute nue »

Elle s’ installa dans le cessna toute nue et mit le moteur en marche.

Harry se dit que cette femme avait suffisamment fait de mal. La beauté nexcusait pas tout et surtout pas le sang versé. Il pensa à lengin que Q qui lui avait donné. Comme Q lui l’avait expliqué, il rendit le plus étroit possible le petit faisceau qui sortait de l’appareil, il mit la puissance au maximum et le concentra sur lavion qui pointait maintenant dans les airs. Le résultat fut immédiat. Chastity eu l’air très étonnée des sensations lui venant « Non quest-ce qui se passe jai envie de baiser !!! » puis elle se mit à se triturer la peau, totalement nue aux commandes de son appareil, et se caressa sauvagement les seins. Un reste de raison lui commanda de se jeter de nouveau sur les commandes mais le mal était fait : impossible pour elle de résister à l’excitation qui s’emparait de tout son être. Ses seins pointaient droits. Elle perlait de sueur et transpirait de luxure et de peur. Tantôt elle se jetait sur ses seins qu’elle pinçait puis sur son sexe, qui en devenait baveux tellement elle avait envie, tantôt elle se ruait sur les commandes pour essayer de retrouver le contrôle de lavion. Finalement, après que le petit appareil ait décrit dans le ciel un trajet désordonné et chaotique, il saccrocha à la cime dun arbre qui le rejeta violement vers le sol en direction du pick-up abandonné là par Harry. En quelques secondes le visage de la jeune femme passa de la jouissance à la surprise et la peur et elle poussa un hurlement dimpuissance face à un destin quelle sétait tracé elle-même : AAAAHH ! Lappareil se jeta violement et dun seul geste sur le pick-up et embrassa la voiture avant de sévaporer dans une explosion fatale et dantesque. Harry assista à tout au loin et il ressenti plus de satisfaction que de pitié : pour tout dire il bandait. Lexplosion de lappareil signala la fin des échanges de coup de feu. En labsence de leur patronne les hommes avaient opté pour la capitulation. Harry commença à libérer Zoée dont le corps meurtri appelait à la vie et commandait une ambulance. Le médecin lui assura quelle allait sen sortir.

Rassuré, Harry demanda expressément de pourvoir accompagner les deux gardiennes, dont beaucoup sétaient étonnés de la nudité, vers leur lieu de détention. Quand le fourgon parti, aux dires de certains, de curieux jappement sen échappèrent

FIN

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