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Marielle oh Marielle – Chapitre 1




C’est une jeune femme de trente-cinq ans, avec des cheveux mi-longs ondulés et de couleur acajou. Elle mesure un mètre soixante-douze pour cinquante-six kilos, elle a un visage d’ange. Ma Marielle chérie est une fille au tempérament très joyeux et bon enfant aimant le sexe et tout ce qui s’y rapporte, toujours prête pour un plan cul, toujours prête lorsqu’il s’agit d’essayer de nouvelles positions et lorsqu’il s’agit de nouvelles expériences. Ma princesse est très joueuse et demande qu’on lui prête beaucoup d’attention lorsqu’on lui fait l’amour. L’autre jour, en rentrant du travail, alors qu’elle est en train de faire la vaisselle à l’évier, ma Marielle est en chemisier blanc avec une mini-jupe de collégienne à carreaux car elle sait que j’adore la voir dans cette tenue. Il arrive qu’elle la mette rien que pour me faire plaisir car elle sait qu’en général, cela me donne des envies de la prendre et cela ne rate jamais. En dessous de sa petite jupette, elle porte un string de couleur rouge avec des dentelles.

En la voyant ainsi de derrière, mon sang ne fait qu’un tour et j’ai une envie subite de la posséder, de la rendre mienne et de lui faire l’amour. Je me rapproche tout doucement, de façon à la surprendre en douceur. Ma Marielle me connaît et sait que je viens toujours par surprise lorsque je veux lui faire comprendre mes intentions de lui faire l’amour. Nous sommes généralement sur la même longueur d’onde et aimons tous les deux le sexe et nous le pratiquons dès que nous le pouvons, et cela sans retenue et sans restrictions, selon nos envies du moment. Comme je l’ai dit plus haut, je me rapproche d’elle et lui pose quelques bisous sur la nuque, là où je sais qu’elle frissonne à ces moments-là. En même temps, mes mains viennent se poser sur ses seins et englobent ses belles formes. Ma chérie a de petits seins comme je les adore : ils ne sont pas très grands mais bien fermes et ils pointent déjà à l’horizon sous la pression de mes mains. Ses tétons sont gros et de couleur rouge foncé avec de grandes auréoles de couleur marron autour.

Marielle ne porte généralement pas de soutien-gorge car elle n’en a pas besoin. Sa jeune et belle poitrine tient toute seule. Du fait que ses seins ne sont pas gros et lourds, ils sont plutôt petits et tiennent dans le creux de mes mains. J’ai donc mes mains sur sa divine et merveilleuse poitrine et je commence à lui pétrir son balcon puis, avec le pouce et l’index de chaque main et à travers son chemisier, je fais tournoyer ses tétons. Je les pince légèrement car je sais que ma douce et belle Marielle aime cela. Mon amante sait ce que j’aime chez elle et elle fait tout pour me satisfaire et ne rechigne en rien pour ce que je lui demande. Pour cela, je l’en remercie. Il lui arrive souvent de provoquer des situations dans le seul but d’être sautée et elle y arrive très bien. Après quelques minutes de pétrissage de ses beaux seins, ma main droite lâche son téton et descend doucement le long de son ventre bien plat et va chercher, sous sa jupette, son mont de Vénus. En sentant ma main descendre, ma belle écarte ses cuisses de façon à faciliter tout mouvement de ma main.

Elle sait ce qui va suivre car elle est très friande. Je glisse mes doigts sous l’élastique du petit tissu qui cache une vulve soignée et bien rasée. Ma chérie a, à cet endroit, un organe très doux et très sensible. Ma main entière est maintenant sous ce bout de tissu et frotte sa vulve, de haut en bas puis, doucement, avec un doigt, je lui écarte ses grandes lèvres et je viens lui irriter son clitoris. De temps en temps, je lui enfonce un doigt de plus en plus loin entre ses lèvres vaginales. Ma Marielle raffole de ce genre de caresses. Elle mouille rapidement et abondamment sur mes doigts, tout en gémissant de plaisir, tel un chat qui ronronne lorsqu’on le caresse. Ma douce chérie ne bouge pas et se laisse faire de la sorte, savourant au maximum ces instants de bonheur à tous deux. Une fois que je sens Marielle bien chaude et envieuse, prête pour la suite, je la retourne et l’embrasse goulûment tout en lui roulant une pelle. Pendant ce temps, mes mains descendent sur son popotin bien musclé et lui aussi très ferme.

Je glisse encore une fois mes mains sous sa petite jupe et je rentre sous le tissu pour malaxer son petit cul bien rond. En même temps, un doigt vient s’insérer entre sa fente cul-aire pour venir titiller son anus. Marielle n’en peut plus de ces préliminaires. Elle me demande de passer à l’acte et de la prendre. Elle veut me sentir en elle. Elle ne se doute pas encore que je n’en ai pas encore fini avec elle et qu’il va falloir qu’elle patiente encore un peu avant de satisfaire sa demande. Étant à la cuisine et ayant une table à ma disposition, elle va bien me servir pour la suite. Toujours collé à ses lèvres, j’empoigne sa taille, la soulève et nous rejoignons la table. Là, je l’assois sur celle-ci tout en continuant de l’embrasser. J’ouvre les boutons de son chemisier et je la couche délicatement sur la table, laissant pendre ses fines jambes. Ensuite, j’écarte les pans de son vêtement. Une fois le chemisier bien ouvert, je descends plus bas et je lui retire le fin et petit tissu qui lui sert à cacher son adorable chatte si douce et si bien entretenue rien que pour moi.

Le string enfin ôté, je remonte vers sa magnifique poitrine et je viens lui sucer un téton. Avec la main droite, je lui prends l’autre téton entre mes doigts et je le pince, le tourne de façon à l’exciter encore plus. Le téton que j’ai en bouche est tantôt aspiré tantôt sucé ou encore mordillé, ce qui rend ma belle Marielle encore plus impatiente. Au bout d’un moment, ma main droite s’égare et descend vers son mont de Vénus. Avec la paume de ma main, je viens frotter sa vulve sur toute sa longueur, laissant le majeur se perdre sur la rondelle du cul. Je sens que mon trésor de femme est tout trempé de mouille suite aux caresses que je lui ai prodiguées. Je récupère un peu de sa mouille pour venir enduire son anus avec. Mon amante n’y tenant plus me demande une nouvelle fois de lui donner enfin l’objet de ses désirs. Je lui réponds que je n’en ai pas encore fini et qu’il faut qu’elle soit encore un peu patiente. Ma bouche lâche son téton et descend tout doucement le long de son ventre pour s’attarder un peu sur son nombril.

Cela la fait frémir et, finalement, ma bouche continue son chemin pour venir entre ses jambes et se poser sur son organe géniteur si sensible. Marielle a des jambes effilées et bien proportionnées. Elle a vraiment ce qu’il faut là où il faut. Il n’y a rien à jeter ou à changer. Ma langue vient maintenant remplacer ma main et je me mets à lui lécher la vulve sur toute sa surface, m’attardant au niveau de son clitoris. Tandis que je malmène son organe, mon majeur imprégné de son jus d’amour se fraye un passage dans son trou du cul et commence à faire des va-et-vient. Ma belle sachant qu’elle n’aurait pas encore gain de cause se met à se caresser elle-même ses seins tout en continuant à gémir et à me stimuler pour que je continue de la faire jouir. Par moments, sa main droite vient se poser sur ma tête et pousse celle-ci légèrement de façon à ce que ma langue aille plus loin entre ses lèvres vaginales. Au bout d’un moment, n’y tenant plus moi-même, je me relève et je présente mon sexe sur sa vulve.

Avant de la pénétrer, je récupère avec ma verge de son jus d’amour et je fais des allers-retours entre le bas de ses lèvres et son clitoris sans trop la pénétrer, m’attardant sur celui-ci par moments ou en le tapotant avec ma bite. Puis vient enfin le moment tant attendu de la pénétration. Sa caverne étant bien chaude et si bien lubrifiée par sa mouille, je n’ai aucun mal à m’y introduire. Je la pénètre, centimètre après centimètre, sans brusquer mon avance, faisant vraiment durer cet instant et faisant encore durer son supplice de me sentir entièrement en elle. En tout cas, mon adorable et belle Marielle aime que je fasse durer son plaisir. Elle aime surtout être bien chaude et mouillée avant d’être prise et de sentir ma verge en elle. Maintenant que je suis au fond de sa grotte, je laisse passer quelques instants avant de continuer. Comme ça, sa chatte a le temps de s’adapter à ma bite. Puis je commence par de lents va-et-vient et j’accélère mon mouvement au fur et à mesure que je lui lime sa chatte.

Ma Marielle est aux anges. Ça se voit à ses grands yeux vert émeraude qu’elle ferme de temps en temps pour mieux apprécier cet instant de bonheur. De temps en temps, elle mouille ses lèvres avec sa langue, me signifiant qu’elle est heureuse de ce que je lui fais subir. Je lui ramone ainsi sa chatte un certain temps jusqu’à ne plus pouvoir me retenir. Entre temps, je sens comme ma douce a des spasmes et des orgasmes. Son jus d’amour suinte et tombe à terre. N’en pouvant vraiment plus, je lâche mon sperme. Elle le ressent et me bloque en elle en m’enserrant avec ses jambes autour de ma taille pour que ma semence vienne buter contre son utérus. Ma bien-aimée, une fois la jouissance passée, me remercie pour ces instants de bonheur que je viens de lui faire vivre et, pour me montrer sa gratitude, Marielle se relève de la table, se dégage, et vient se positionner devant moi. Elle se met à genoux, prend mon sexe en main et commence à pomper mon pieu. Elle me taille une pipe magistrale, si bien que ma verge ne tarde pas à reprendre de la vigueur.

Une fois mon sexe bien dressé et bien dur, je relève ma belle et je lui demande de se retourner. Cette fois-ci, c’est sa petite rondelle qui va avoir droit à mon trois-pièces. Je prends un peu du mélange de cyprine et de sperme d’entre ses cuisses et j’enduis mon chibre et son trou de cul afin de faciliter l’intromission de ma bite dans celui-ci. Je présente mon sexe à l’entrée et je pousse. Je m’enfonce d’un coup, arrachant un petit cri de surprise à ma dulcinée. Je reste un instant bien au fond, laissant à l’orifice le temps de s’adapter, puis je commence mes allers-retours. En même temps que je lui laboure son arrière-train, mes mains viennent sur le devant pour lui masser et lui pétrir ses beaux seins. Ne restant pas inactive, Marielle descend sa main droite vers sa vulve et se caresse son clitoris afin de se donner encore plus de plaisir et de sensations. Au bout de quelques minutes de ce ramonage intensif et ne pouvant plus me retenir, je lâche ma sauce au fond de son cul. Nous restons ainsi enchevêtrés l’un dans l’autre pendant quelques minutes et nous apprécions ce qui vient de se réaliser.

Une fois l’affaire terminée, nous prenons une douche ensemble et chacun retourne à une activité.

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Maintenant, je suis navré de vous décevoir : après ce récit juteux et si enivrant, je dois vous dire que, malheureusement pour moi, je n’ai pas encore trouvé cette perle très rare qui soit prête à satisfaire mes fantasmes et surtout qui soit aussi belle, douce et docile que je l’ai décrite. Marielle et cette histoire sont, je le répète malheureusement, le fruit de mon imagination ainsi qu’un fantasme à réaliser. Avis aux amatrices. J’espère que mon histoire vous aura bien fait bander pour les mecs et, pour vous les filles, j’espère que vous aurez bien mouillé vos petites culottes.

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