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Ma saison au Cap d'Agde. – Chapitre 1




Ma saison au Cap d’Agde.

Lorsqu’en fin d’année à l’école hôtelière, on m’a proposé un contrat de deux mois en juillet et en août au bord de la Méditerranée, je n’ai pas réfléchi très longtemps avant de donner mon accord…

Deux mois de barmaid dans un bar restaurant à Agde… c’était bon à prendre même si les vacanciers ne sont généralement pas très généreux sur les pourboires : jaurais la mer et le soleil en prime… et le gîte et le couvert le midi et le soir…

Après un trajet en TGV depuis Paris, je débarque en milieu d’après-midi du TER à Agde. Quand je donne au chauffeur du taxi l’adresse où je dois me rendre, celui-ci me regarde d’un air coquin en me disant que j’allais bien m’amuser, qu’une belle « poulette » comme moi n’aurait que l’embarras du choix…

Après un trajet rapide, nous arrivons devant un bel hôtel qui porte le nom curieux d’ « HÔTEL D’EVE »… Je suis tombée en plein dans la partie naturiste d’Agde dont j’ai souvent entendu parler sous le nom du « CAP ». L’essentiel est d’avoir du travail pendant deux mois… les naturistes, ce sont les estivants…

Lorsque je me présente, je suis reçue par le couple de patrons de l’hôtel qui m’indique les horaires de travail et de liberté. Ils me disent aussi de ne pas m’offusquer de la tenue de certains clients et que sans me mettre au diapason, je devrais porter des vêtements sexy que la patronne me remet dès que nous sommes arrivées dans la chambre qui serait la mienne pendant ces deux mois…

Pour s’assurer que les vêtements m’iraient bien, la patronne reste dans la chambre pour voir ce que cela donnait… Il y a deux micro jupes noires en stretch qui, lorsque je baisserais, laisseraient voir mes fesses, un short tout aussi mini dont la coupe mettait en valeur mes petites fesses bien rondes et ma cambrure naturelle. Du côté des soutiens-gorge, je n’étais pas en reste… ils étaient aussi mini que les jupes… Heureusement, je n’avais pas beaucoup de poitrine et mes seins remplissaient à peine les bonnets !

Catherine, la patronne, me dit qu’elle me procurerait des soutifs à ma taille, mais que pour le premier jour, je devrais me contenter de ceux-là ! Puis elle me laissa en me disant de retrouver tout le staff à 18 heures dans la salle du resto. J’étais la dernière à arriver.

Nous sommes une dizaine, presque autant de filles que de garçons à nous retrouver autour d’une table en compagnie des patrons pour un repas rapide… Le service du soir commence vers 19 h 30 et ne se prolonge guère au-delà de 22 heures comme me l’indique ma voisine de table qui est aussi peu vêtue que ce que la patronne m’a donné… Par contre, son soutif est bien rempli et ses seins ont tendance à vouloir s’évader des bonnets !

Le lendemain matin, je suis de service pour le petit-déjeuner en salle… mais il y a relativement peu de monde, car Anna, ma collègue m’indique que la grande majorité des clients de l’hôtel préfèrent le service dans les chambres qu’elle assume cette semaine. Et en riant, elle me dit :

Tu verras, dans des chambres où tu t’attends à trouver un couple, des fois, tu trouveras un troisième partenaire, homme ou femme, et même parfois un autre couple… Cela signifie que pour eux, la nuit a été assez agitée !

BOF… C’est les vacances… et je suppose que le fait d’être dans le village naturiste, les gens ont tendance à se mélanger… Je ne suis pas une adepte du TOUT NU, mais je ne suis plus naïve à ce point ! Je connaissais la réputation coquine du Cap… Ce n’est pas pour rien qu’un endroit a été surnommé la BAIE DES COCHONS ???

Si… Tu as raison… Si tu es intéressée, on profitera de la pause d’après-midi pour y aller faire un tour ! Quant à être nue, tu verras… tu t’y feras vite…

OK… mais pour l’instant, on doit préparer les tables pour midi !

La première semaine se passe calmement… je profite de la plage assez proche pendant mes heures de pause de l’après-midi… et j’ose ôter mon soutien-gorge…

La seconde semaine, le changement s’opère… je tiens le bar l’après-midi de 15 heures à 22 heures avec Guido, un barman expérimenté qui prépare des cocktails aux couleurs changeantes dont les clients raffolent. Dès que les derniers dîneurs ou clients quittent la salle, nous rangeons le plus possible et nous garnissons les réfrigérateurs pour le lendemain.

Dès le début de la semaine, Guido commence à me faire une cour assidue… mais je ne veux pas céder trop facilement… Je ne suis pas farouche… mais après, cela aurait été la porte ouverte à d’autres débordements que l’ambiance coquine de l’hôtel favorisait. Mais ce n’est pas avec lui que je me suis dévergondée…

Le vendredi matin, c’est le dernier jour de mon service de petits-déjeuners avec Anna avant le changement de service.

La dernière chambre qui a demandé à être servie a bien précisé, en plus d’un copieux plateau, que, même par manque de réponse de la part des occupants, nous devions entrer pour déposer le plateau.

Quelle n’a pas été ma surprise en entrant dans cette chambre (en fait une suite donnant sur une terrasse avec jacuzzi)… Il y a avait trois hommes et deux femmes, aussi nus les uns que les autres… Les filles étaient en 69 sur le tapis et un des hommes baisait la fille qui était au-dessus… et les deux autres regardaient ou filmaient les ébats du trio… Ils n’avaient visiblement pas eu assez de la nuit pour assouvir leurs envies…

Celui qui tenait la caméra s’est tourné vers moi sans arrêter de filmer… Il a dit :

Bienvenue à ce joli brin de fille… Je suis sûr qu’elle va se joindre à nous…

Oh… NON… j’ai mon service à finir !

Tsss… On sait que nous sommes les derniers à demander le petit-déjeuner… il est 10 heures et le service est terminé !

Celui que se contentait de regarder s’est approché de moi, a pris le plateau qui était bien chargé et l’a déposé sur la table basse.

Mais c’est la petite nouvelle… Montre-nous ce que tu caches sous tes vêtements… Qui dit naturiste, dit aussi nudiste ! Il faut te mettre au diapason.

Oh non… je n’oserai jamais… je ne vous connais pas…

Eh bien… c’est l’occasion de faire connaissance. La blonde, c’est Vanessa, la petite rousse qui est dessus, c’est Jenny et celui qui la baise, c’est Kurt, le mari de Vanessa ! Moi, c’est Anthony et celui qui filme, c’est Hervé ! Toi… c’est Cathy… on a entendu Guido t’appeler ainsi !

Je ne savais plus où me mettre d’autant qu’Anthony était passé derrière moi et venait de défaire les cordons de mon soutif qui est tombé à mes pieds. Quand je me suis baissée pour le ramasser, j’ai compris mon erreur… Anthony s’est encore approché et j’ai senti son sexe bandé chercher un passage entre mes cuisses révélées au vu de tous par ma micro jupe remontée sur mes reins.

Oh… les jolies fesses bien bombées… et cet entrejambe bien chaud !

Que faire ? Crier ? Appeler à l’aide ? Les chambres sont tellement bien isolées qu’aucun bruit ne filtrerait ! Mais le spectacle du trio m’excite… je me suis mise à envier la petite rousse qui se pâmait d’être bien baisée par Kurt qui, lorsqu’il sortait de la chatte de Jenny, montrait fièrement sa bite… et quelle bite : au moins 25 centimètres et un diamètre en rapport !

J’étais perdue… ma chatte suintait doucement, j’avais chaud… et envie de baiser ! Presque un mois de sevrage, ça faisait beaucoup pour une fille chaude comme moi ! Si bien que lorsqu’Anthony a baissé ma jupe, je n’ai rien dit… Je ne portais plus qu’un mini-string dont la ficelle était coincée entre mes fesses… et mes chaussures à petits talons !

Hé les mecs… Cathy doit être en manque… Il faut voir comment elle mouille ! Anna avait raison quand elle nous a dit qu’elle devait être chaude cette petite Parisienne !

Mais comment savez-vous que je suis parisienne ?

C’est Anna qui nous l’a dit… Elle a eu droit à sa séance lundi et je suis sûr qu’elle est prête à recommencer… Elle a des nibards qui sont confortables et je peux te dire que la cravate de notaire dont elle m’a gratifiée restera un beau souvenir de vacances !

Ainsi Anna s’était livrée aux jeux lubriques de ces coquins… Elle était restée discrète !

Anthony a continué :

Nous étions deux hommes pour une femme, il nous fallait absolument une seconde nana pour faire notre partie à quatre… et je peux te dire qu’Anna était moins farouche que toi…

Hervé a repris aussitôt :

Dès qu’elle a posé le plateau, sans que personne ne lui dise quoi que ce soit, elle a ôté son soutif, sa jupe et son string en nous disant qu’elle était à notre disposition, qu’elle ferait volontiers la quatrième ! Et on en a bien profité… n’est-ce pas Antony ? !

Oh si… en plus de ses nibards de compet’, c’est une sacrée suceuse… On avait déjà démonté notre partenaire plus d’une fois au cours de la nuit et nous étions un peu en panne ! Elle nous a branlés et pompés si bien que rapidement, nous avons été de nouveau prêts à monter à l’assaut des deux femmes présentes dans la chambre.

Bon… assez parlé ! Montre-nous ce que tu sais faire en attendant que Kurt ait fini de baiser Jenny.

Que voulez-vous ? Vous me semblez déjà bien en forme…

Suce-nous d’abord… on verra ensuite…

Hervé pose sa caméra et présente son sexe devant ma bouche… Il n’est pas très gros, mais d’une longueur assez remarquable.

Humm… appétissant ! Je ne me fais pas prier pour m’agenouiller devant lui et l’emboucher. Je commence à jouer avec ce membre déjà bien dressé… Je ne fais pas de soucis… je suis sûre qu’il sera satisfait… Parmi les garçons, j’ai la réputation d’une bonne suceuse… D’ailleurs, pendant plus d’un an, avant de perdre mon pucelage, j’ai sucé quasiment tous les mecs de ma classe de terminale du lycée hôtelier !

Une fois le membre bien humecté de salive, je le fais coulisser entre mes lèvres en appliquant une succion jusqu’à ce que le gland se retrouve sur le point de sortir. Là, je joue avec la pointe de ma langue sur le méat puis j’enfourne à nouveau le sexe d’Hervé que je vois faire un signe d’approbation en direction d’Anthony et de Kurt. En même temps que je fais la fellation à Hervé, je caresse ses bourses en faisant rouler les testicules l’un contre l’autre… Je sais que cela est imparable et très excitant pour le mec !

Pendant ce temps là, Anthony s’est emparé d’un appareil photo et nous mitraille littéralement… le flash crépite sans arrêt… et au moment où Hervé déverse son foutre sur ma poitrine, c’est une véritable rafale d’éclairs… Ils vont avoir de beaux souvenirs… La « petite Parisienne » est une bonne pipeuse !

Vanessa et Jenny s’approchent de moi et vont cueillir quelques gouttes de sperme du bout de leurs doigts et qu’elles sucent avec une sorte de délectation.

Kurt s’approche de moi… son sexe est encore bandé alors qu’il vient d’inonder la chatte de Jenny… Il me prend la main et me relève pour m’enlacer… Je me retrouve entre les bras de ce colosse blond qui me prend les lèvres, enfonçant sa langue dans ma bouche. Mes pieds ne touchent plus le sol et quand Kurt fait mine de vouloir me reposer, je sens que son sexe cherche à entrer dans le mien… Naturellement, je noue mes jambes autour de ses reins et je commence à monter et descendre sur son chibre… Il me remplit bien… je mouille de plus en plus… je frotte mon pubis contre le sien, cherchant un plaisir que je sens monter dans mon ventre.

Vanessa s’approche de nous et injecte dans mon sphincter une copieuse rasade de gel et dit à Anthony que je suis prête !

Vas-y… Depuis le début de la semaine, tu nous bassines avec le cul de la serveuse… Là, il est à ta disposition… Je ne pense pas qu’elle refusera une double pénétration !

Anthony s’approche et aussitôt, je sens son sexe ouvrir ma raie et chercher la porte de derrière… que son sexe trouve facilement… Il entre et rapidement, il coordonne ses mouvements avec ceux de Kurt qui supporte mon poids comme si j’étais un fétu de paille !

Waouh… c’est ma première double debout ! La bite de Kurt me ramone la chatte qu’il ouvre en puissance pendant qu’Anthony cherche à suivre les mouvements que Kurt m’impose… J’ai l’impression de planer entre ses bras et heureusement, j’ai noué mes jambes autour de ses reins…

Je passe par tout un tas de sensations pendant que cet accouplement dure… Anthony a pris mes petits seins à pleine main et il fait rouler les tétons entre ses doigts… et pendant ce temps, les autres sont autour de nous et contemplent notre trio en faisant des commentaires salaces…

Je sens que je vais jouir… Lequel va déclencher mon orgasme ?

Dès qu’il sent que les muscles intimes de ma chatte se contractent, Kurt m’éperonne sèchement et au moment où je jouis, je sens les spasmes de sa bite qui se vident en moi ! Et Anthony se vide à son tour au fond de la capote !

Vanessa, Jenny et Hervé applaudissent à notre performance et me félicitent… Je me demande bien pourquoi, car je me suis laissé faire (du moins en apparence…).

Malheureusement, les bonnes choses ont une fin, car je dois aider Anna à préparer les tables pour le déjeuner… Je me rhabille et quitte la chambre en leur disant que s’ils avaient besoin de quelque chose, j’étais à leur disposition…

Hélas, ils étaient à la fin de leur séjour…

Lorsque j’ai retrouvé Anna à l’office, je l’ai chambrée un peu en lui disant qu’elle m’avait fait tomber dans un beau traquenard… En riant, elle a répondu :

Depuis le temps que tu jeûnais, il fallait que je fasse quelque chose pour toi ! ça t’a déplu ?

Oh NON… je te raconterai cela sur la plage cet après-midi… nous avons du boulot avant que les patrons arrivent !

Une fois le service du déjeuner terminé et la salle rangée, Anna et moi nous sommes allées sur la plage et cherchées un endroit discret… Nous voulions être tranquilles pour nous raconter les péripéties de nos rencontres coquines. Cette évocation nous a bien chauffées et lorsqu’Anna s’est penchée vers moi en disant :

Les mecs… c’est bien beau… ils nous font jouir, mais une femme, c’est si doux… et aussi intense !

Nos lèvres se sont unies et nos mains sont parties vers nos poitrines et nos sexes qui ont été nus rapidement…

C’était ma première fois avec une femme… et pendant le mois et demi qui restait, Anna a achevé de faire mon éducation homosexuelle… mais cela ne nous empêchait pas de batifoler avec certains clients… Nous avons même fait une partie à quatre dans un creux discret des dunes avec deux clients de l’hôtel qui nous avaient repérées… Leurs nanas avaient-ils dit, étaient parties se faire sauter ailleurs !

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