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Le secret de Charlotte – Chapitre 5




Cela fait plusieurs mois que je suis avec George, mon nouveau mec. J’espère que cette fois, c’est le bon ! À vingt-cinq ans, j’ai envie de me caser, et peut-être même fonder une famille.

Il connaît tous mes amis, mais moi, je ne connais pas encore tous les siens. Il y a ce couple qui nous a déjà invités plusieurs fois à faire une sortie. Je ne sais pas pourquoi, il a toujours refusé, prétextant que je n’étais pas « prête » pour ça. Qu’est-ce que ça veut dire « pas prête » ? Il se moque de moi ou quoi ?

Après avoir lourdement insisté, il a fini par accepter une de leurs nombreuses invitations. Nous allons dîner chez eux ce soir, j’avoue être assez impatiente, je me suis faite toute belle pour l’occasion. Mon homme a l’air nerveux, plus nerveux encore que le jour où il m’a présentée à ses parents. C’est bon chéri, ce ne sont que tes amis, détends-toi. Je me demande bien ce qu’il me cache. Je ne sais pas grand-chose d’eux. Juste que ce sont des collègues à lui, qu’ils ont tous les deux vingt-sept ans, et qu’ils sont ensemble depuis l’université.

Mélissa, ma chérie, il faut que tu saches… me prévient-il dans la voiture. Mes amis… ils sont un peu… spéciaux.

Spéciaux comment ?

Hééé, c’est assez difficile à expliquer… Essaie juste de garder l’esprit ouvert, OK ? Et surtout, n’oublie pas que quoiqu’il arrive, je ne suis pas comme eux.

Il commence vraiment à m’inquiéter…

Nous arrivons devant leur maison. C’est l’hiver, il fait déjà noir. Nous sonnons, un homme nous ouvre. Mince, brun, je devine qui il est :

Bonjour, me salue-t-il avec une poignée de main. Vous devez être Mélissa. J’ai beaucoup entendu parler de vous. Je suis Alex.

Enchantée Alex. J’aurais aimé pouvoir dire la même chose, mais George est toujours très discret à votre sujet.

Ce dernier se passe la main sur la figure, définitivement gêné, c’était un peu mon but.

Cela ne m’étonne pas, il a honte de nous, plaisante Alex. Ne t’en fais pas vieux, cela va bien se passer.

Je lui offre une bouteille de vin que j’ai achetée pour l’occasion, il me remercie et nous fait entrer. Poli, il s’occupe de nos manteaux avant de nous emmener dans le salon. La conversation entre les hommes démarre. Je les interromps au bout d’une minute pour demander :

Charlotte n’est pas là ?

J’ai hâte de la rencontrer.

Si si, elle va arriver avec nos verres et des apéritifs, me répond notre hôte.

Effectivement, peu après, j’ai un hoquet de surprise lorsque je la vois débarquer avec un plateau de coupe de champagne. Qu’est-ce qui se passe ? Je suis dans une maison de fous ou quoi ? Je commence à comprendre ce que voulait dire mon chéri : elle est à moitié à poil. Elle porte une tenue de soubrette coquine, avec la poitrine dénudée et une minijupe qui ne cache rien. C’est une fille mince, avec la peau sur les os, petite, avec de longs cheveux noirs. Sa poitrine est minuscule, avec des tétons percés. Elle ne nous sourit pas, elle ne nous dit pas bonjour, c’est à peine si elle ose nous regarder dans les yeux.

Ah ! La voilà ! s’exclame son homme. Charlotte sera notre servante pour la soirée, j’espère que cela ne vous dérange pas.

Non, non, répond George.

Il ne sait plus où se mettre lui non plus, je rougis.

Sans dire un mot, elle nous donne chacun un verre puis s’en va. En se retournant, je constate que sa jupe n’existe pas derrière, non seulement nous pouvons tous voir ses fesses, mais en plus elle ne porte aucun sous-vêtement, elle a carrément la fouffe à l’air ! Mais qu’est-ce que c’est que ce couple ?

George tourne brièvement son regard vers moi pour voir comment je vais. J’esquisse un sourire une seconde pour lui dire que ça va. En réalité, je n’en sais rien.

Les garçons reprennent leur discussion. Alex se comporte tout à fait normalement comme si rien de bizarre venait de se passer. Charlotte revient un instant pour nous apporter des apéritifs avant de s’éclipser à nouveau. Je ne comprends pas, c’est sa copine ou son esclave ?

Le temps passe et je n’ose toujours pas ouvrir la bouche :

Vous allez bien, Mélissa ? s’inquiète Alex.

Oui oui, fais-je pour essayer de le rassurer.

Mais il n’est pas dupe, il voit bien que je suis embarrassée.

Il essaie de me faire parler un peu, de me faire me détendre. Le choc passé, je me ressaisis et vais un peu mieux. Oui bon, ils sont un peu bizarres, mais ce n’est pas grave, hein, j’ai vu pire durant mes années étudiantes.

Je m’attendais à ce que Charlotte vienne se joindre à nous tôt ou tard, mais je ne la vois que lorsqu’elle vient nous apporter ou nous retirer des plateaux. Même lorsque nous passons à table, elle reste debout à côté de nous comme une serveuse dans une soirée mondaine. Je ne sais pas si elle est juste à fond dans son rôle ou si elle est juste tout le temps comme ça, mais je trouve ça un brin flippant.

J’espère que vous appréciez le repas, Charlotte a passé toute la journée aux fourneaux, nous dit Alex.

C’est délicieux, fais-je sincère, mais Charlotte ne mange pas avec nous ?

Non, non, ne vous en faites pas. Elle mangera après.

Il a dit ça d’une façon comme si elle n’était rien.

Alors qu’il ne devait s’agir que d’un petit dîner entre couples, je me dis qu’ils ont quand même mis les petits plats dans les grands. Nous avons eu droit à une entrée et la cuisine est digne d’un grand restaurant. Aussi étrange que cela paraisse, je commence à m’habituer à la situation. La présence de cette fille à moitié nue ne me dérange presque plus. Je repense à ce que m’avait dit George à son sujet : elle tient un haut poste dans sa boîte, c’est un peu le patron de son patron. Je n’imaginais pas quelqu’un d’aussi bien placé si servile dans la vie privée.

Nous arrivons au dessert, je suis repue, mais je me force un peu. Soudain, Alex passe ses mains sous la table et j’entends un bruit de braguette :

Charlotte, viens ici pour me donner mon second dessert.

Sans aucune hésitation, je la vois passer sous la table. J’ai les yeux grands ouverts de surprise. Il est vraiment en train de se passer ce que je crois qu’il est en train de se passer là ? Je jette un coup d’il furtif sous la nappe. Non, non, je ne rêve pas, elle est bien en train de lui faire une pipe. Là, comme ça, devant nous, sans gêne. Je ne sais pas lequel des deux me choque le plus. Lui de lui ordonner ça comme ça alors qu’il y a des invités, où elle qui le fasse sans broncher.

Je me tourne vers mon chéri à la recherche d’un peu d’aide. Il me fait une mine désolée, genre pour me dire « Je t’avais prévenue ». Oui, mais quand même, je ne m’attendais pas à ça. Je ne sais pas comment réagir, moi qui pensais que cette soirée ne pouvait pas être plus bizarre…

Hmmm, c’est vraiment un délice, s’exclame Alex.

Quelque chose me dit qu’il ne parle pas de la dame blanche qu’il vient de mettre dans sa bouche, mais plutôt de celle qui le prend dans la sienne.

Tu en veux un peu, George ? lui demande-t-il.

Je t’en prie, je suis avec ma copine là !

Que dois-je comprendre ? Qu’avant de sortir avec moi… elle lui a déjà fait des gâteries ? Je le sens terriblement embarrassé, il ose à peine me regarder. C’est drôle, c’est peut-être la chose qui me perturbe le moins depuis le début de la soirée. Il a le droit de faire ce qu’il veut quand il est célibataire. Moi-même, j’ai déjà couché avec deux garçons en même temps.

Notre hôte n’a aucun malaise à nous montrer le plaisir qu’il prend grâce à la caresse buccale de sa copine. Il gémit, j’entends des bruits de succion. Je devine qu’il la presse contre son sexe avec la main qu’il passe en dessous de la table. « Garder l’esprit ouvert », m’avait demandé George. Je comprends maintenant ce qu’il voulait dire. Il a de la chance que je sois en effet une fille ouverte, d’autres se seraient sans doute déjà barrées en hurlant depuis longtemps. J’ai eu moi-même des années un peu folles durant mes études, je serais un peu mal placée pour juger. Je ne suis pas vraiment scandalisée, je suis juste… un peu choquée, surprise, c’est tout.

Ça ira, chérie, merci, fait tout à coup Alex.

Je n’ai pas l’impression qu’il ait éjaculé, je pensais qu’il irait jusqu’au bout. Charlotte sort de dessous la table et se redresse avant de disparaître dans la cuisine l’air de rien. Je souris, je commence à trouver ça amusant. Notre hôte nous invite à prendre un digestif dans le salon, nous l’y suivons. Mon chéri refuse le verre, car il va devoir nous reconduire à la maison. Nous nous remettons à discuter, je suis un peu plus active cette fois. Je lui pose des questions sur la nature de sa relation avec sa copine. Il m’explique gentiment que Charlotte est une soumise, et qu’ils jouent à ce genre de petit jeu depuis qu’ils se connaissent.

Maître, j’ai faim, entendons-nous soudain.

C’est la première fois que j’entends Charlotte parler de toute la soirée. Elle est arrivée dans la pièce avec une assiette pleine dans les mains.

Ah, désolé, s’excuse Alex. Je vais devoir m’occuper de ça. J’ai des devoirs envers elle après tout.

Il défait sa braguette et en sort son sexe déjà tendu. Charlotte pose son repas sur la table basse et s’agenouille devant lui pour le sucer. Je ne comprends pas ce qui se passe :

Allez, ma chérie, l’encourage-t-il. Si tu veux ton assaisonnement spécial pour manger, tu vas devoir le mériter.

Il se tourne vers nous pour nous expliquer :

Charlotte raffole du sperme, il lui en faut tout le temps dans sa nourriture. Elle a été gentille toute la soirée, elle mérite bien cette récompense, je ne suis pas un salaud non plus. George, si tu veux contribuer, n’hésite pas, tu as juste à te branler dans son assiette.

Non, merci, ça ira, répondit-il, déstabilisé.

Tu es sûr ? Écoutez, je ne vais pas vous mentir, quoiqu’il arrive, je vais la baiser. Vous pouvez regarder, partir, ou mieux, participer. Vous faites ce que vous voulez, je ne vous jugerais pas, mais moi, vous l’avez compris, je ne me gênerais pas pour vous.

À chaque fois que je crois que les choses ne peuvent pas plus dégénérer, ce mec me fait savoir combien j’ai tort. C’est dingue ce qui se passe ! Ils vont vraiment baiser devant nous ? Comme ça ? Sans gêne ? George ne sait plus où se mettre. Je ne pense pas que ce soit vraiment par rapport à ce qu’ils font ce sont ses amis, il doit être habitué , mais plus par rapport à moi. Je lui prends la main pour le rassurer. Ça va, je vais bien. À vrai dire, je suis plutôt curieuse.

Je regarde cette fille faire une pipe à son mec. Elle a beau être une soumise, je vois bien qu’elle aime ce qu’elle fait, elle est dévouée à la tâche. Une envie commence à naître dans mon bas-ventre, c’est difficile de rester insensible face à ce genre de scène.

Alex se relève et force Charlotte à se mettre à genoux sur le canapé, le torse pressé contre le dossier. Il l’enfile d’un trait et se met à la baiser en la tenant par les hanches. Ils gémissent de plaisir. Je glisse inconsciemment une main vers l’entrejambe de mon homme. Il est dur sous son pantalon. Je suis moi-même en train de mouiller. Nous cherchons tous les deux à cacher notre excitation et notre envie de nous masturber ; cependant, comme notre hôte nous l’a dit, il y a bien mieux à faire. Je ne sais pas ce qui m’arrive, je ne sais pas si c’est dû à l’alcool ou autre, mais la folie de ma jeunesse refait soudain surface. Je me laisse aller. Soyons fou, nous ne vivons qu’une fois. J’ouvre la braguette de Gorge et me penche pour le prendre dans ma bouche. Je le pompe avec avidité comme il aime tant. Moi aussi, j’aime sucer. Il est surpris, mais il se laisse faire. Alex hoche de la tête en guise d’acquiescement en nous regardant. Nous allons baiser, tous les quatre.

Je ne pensais pas que cette soirée tournerait ainsi.

Mon amoureux me caresse les cheveux et m’encourage. J’ai passé des doigts sur ma chatte pour jouer avec mon clitoris, cela fait couler ma mouille. Je suis en feu, j’ai envie. Devant ces gens, je n’ai pas clairement besoin de me cacher. Je le lubrifie avec ma salive. Lorsqu’il est prêt, je grimpe sur lui pour m’empaler sur sa queue. Ça y est, nous avons rejoint Alex et Charlotte. Je l’embrasse, j’aime sentir mon homme en moi. Il m’enlève le haut pour admirer mes seins. Ah ça c’est sûr, moi, j’ai une vraie paire de nibards. Il me pelote et me suce les tétons, j’adore. Je me sens bien, femme, chaude, et amoureuse. J’avais bien raison d’insister pour rencontrer ses amis, je les aime déjà.

Mélissa… je t’aime, gémit George.

Moi aussi.

Charlotte se fait maintenant prendre à quatre pattes sur le divan. Mieux que ça, elle se fait enculer, cela ne me surprend même pas. George n’en peut plus d’être passif, je me mets dans la même position juste face à elle pour qu’il puisse me pilonner. Je la regarde dans les yeux, nous ressemblons à deux chiennes qui se font sauter par leurs hommes. Je la trouve belle, dans un moment d’égarement, je l’embrasse, j’ai toujours eu des tendances un peu bi. À ma grande surprise, elle me rend mon baiser.

Dis donc, mon pote, faut pas que tu la laisses partir, celle-là, commente Alex.

Mais je n’en ai pas l’intention !

Mon homme me fait l’amour comme un sauvage, il me défonce la chatte comme s’il n’avait pas tiré son coup depuis des mois. Son gros braquemart me rend folle. Il se retire pour pointer son dard vers mon petit trou de derrière. Je le laisse faire, j’adore ça. Il me sodomise brutalement tant il est excité à fond, je prends un plaisir monstrueux.

Charlotte gueule comme une forcenée, elle va finir par réveiller les voisins. On dirait qu’elle enchaîne les orgasmes. Moi qui pensais être une belle petite salope, me voilà détrônée. Elle se met à chevaucher son « maître » de dos, pour nous montrer son pieu s’enfoncer dans son anus, je l’imite pour qu’elle puisse admirer le spectacle. George remue du bassin pour me rejoindre, nous nous emboîtons mutuellement. Je me mets à crier moi aussi lorsque j’ai mon premier orgasme. Quel pied ! Je suis au paradis ! J’ai l’impression d’avoir cinq ans de moins. Je ne pensais pas qu’une fois adulte, j’aurais la chance de revivre des aventures comme celle-ci.

Nos hommes nous baisent, nous démontent ; nous copulons comme des animaux. J’adore ces moments où mon esprit est totalement ailleurs et où j’abandonne toute raison. J’ai perdu toute trace d’humanité, j’ai juste besoin de me faire pénétrer par ce mandrin de chair, et ce à n’importe quel prix. Alex est brutal avec sa copine. Il lui tire les cheveux, lui donne des fessées, il la gifle même parfois. Il la traite de tous les noms, de pute, de sac à foutre. Si George et moi faisons l’amour, lui il se sert d’elle comme d’un objet sexuel, son garage à bite. Cela me choquerait si je ne voyais pas combien Charlotte prenait son pied. Plus il la maltraite, plus elle en redemande. À ce niveau-là, elle doit avoir un grain.

Je perds la notion du temps, nous baisons dans toutes les positions. Au bout d’un moment, Alex n’en peut plus et gueule qu’il va jouir. Je m’attendais à ce qu’il éclate au fond d’elle, quand il se retire de son cul. Je me rappelle soudain quel était son but au départ. Avec ce qui s’est passé, je ne le croyais pas sérieux, mais si : il se branle devant l’assiette de Charlotte et se fait gicler dessus, il décharge son sperme dans la nourriture.

Madame est servie, fait-il une fois complètement vidé.

Il s’apprête à prendre l’assiette pour la donner à sa chérie, quand je lui demande d’attendre.

Chéri, viens, on va lui en donner encore un peu.

Tu es sérieuse, là ? me fait George.

Mais oui, viens !

Le timing est parfait. Je venais de jouir et je n’étais pas vraiment sûre d’être prête pour un autre round. Mon homme se relève et je viens derrière lui pour le masturber. Il n’en peut plus, il est à deux doigts d’éjaculer. Charlotte, à genoux, place son repas devant sa bite en attente de son « assaisonnement spécial. » Elle a la tête d’une gamine qui s’apprête à recevoir ses bonbons d’Halloween.

Allez, mon chéri, la pauvresse a faim, tu dois l’aider, fais-je sous un ton de vicieuse.

Tu es sûre que c’est ce que tu veux ?

Mais oui, allez, je ne suis pas jalouse.

D’accord alors, mais c’est pour toi que je jouis.

Je sais.

Je l’astique encore un moment à deux mains, jusqu’à ce qu’il grogne brutalement. Un flot de sperme s’échappe de son méat et éclate au visage de Charlotte ; cela n’a pas l’air de la déranger. D’autres jets atterrissent à bonne destination, le jus de mon homme se mêle à celui d’Alex. Charlotte a l’air de baver rien qu’en admirant le spectacle. Lorsqu’il en a terminé, elle passe un doigt sur sa joue pour goûter sa semence. Elle semble se régaler. J’espère bien, je trouverais le contraire insultant !

Je me relève, George est essoufflé. Je l’embrasse en lui disant que je l’aime, il me dit que lui aussi. Avec tout cela, le plat est froid, Charlotte s’en va le réchauffer aux micro-ondes tandis que nous nous réinstallons dans les fauteuils. Nous sommes repus de plaisir, toujours nus. Je suis collée contre mon amoureux, il me serre dans ses bras. La chérie d’Alex revient peu après, elle s’assied pour manger sur la table basse. Elle est incroyable, c’est la première fois que je vois ça, elle déguste un repas à base de sperme. Moi, OK, j’avale, mais ça, je ne pourrais pas. Je lui demande comment c’est, elle me répond que c’est délicieux. Pendant que nos hommes discutent, j’en profite pour la rejoindre afin de parler un peu avec elle. Je lui pose des questions sur sa relation avec son « maître », elle m’explique qu’elle est heureuse comme ça. Je trouve ça bizarre, mais je ne juge pas. Du moins, j’essaie. Elle est mignonne, on dirait une gamine, je sens qu’on va bien s’entendre.

Plus tard, George et moi rentrons chez nous. Dans la voiture, il me demande inquiet si j’ai passé une bonne soirée, je le rassure. Oui, ils sont spéciaux, oui, j’ai été choquée au début, mais non, cela ne me pose pas de problème. Je suis contente d’avoir insisté pour les rencontrer, et j’ai hâte que nous prévoyions une autre sortie tous ensemble.

***

Nos invités viennent de nous quitter, il est temps pour nous d’aller nous coucher. Il est tard, nous ferons le rangement et la vaisselle demain. Nous avons un rituel avant de nous mettre au lit : Charlotte ne peut pas dormir sans être attachée. Heureusement, je suis devenu un maître du cordage. J’enroule de la corde pour lui presser les seins puis je lui lie les bras et les poignets dans le dos que je relie aux chevilles. Même si elle le voulait, elle ne pourrait pas se relever pour aller pisser. J’éteins la lumière pour nous endormir. J’adore la façon qu’elle a de se tortiller pour venir se blottir contre moi. Je la prends dans mes bras et lui fais un câlin. Je l’aime à en mourir.

Le matin à mon réveil, je la découvre en train de me faire une pipe. J’imagine le temps qu’il lui a fallu pour se mettre dans cette position. Voir sa petite femme, incapable de se servir de ses membres, en train de vous pomper tellement elle est en manque est un spectacle qui a de quoi vous mettre de bonne humeur. Elle me gobe comme elle peut sans pouvoir utiliser ses mains. Elle me lèche lorsque mon sexe s’échappe de sa bouche. Elle a l’air désespérée, comme une prisonnière qui n’a pas mangé depuis trois jours cherchant à engloutir son repas dans une gamelle.

Maître… j’ai envie, ronronne-t-elle.

J’adore ça, sauf qu’en tant que son dominant, je m’interdis de trop le lui montrer.

Comment oses-tu me réveiller ?! Je faisais un merveilleux rêve.

Je suis désolée maître, mais j’avais tellement envie…

Je vais devoir te punir pour ton insolence.

Oui, maître, punissez-moi…

Je lui libère les jambes et la plaque ventre contre le matelas :

Je vais t’enculer, salope ! fais-je, mon sexe en main.

Oui ! Oui !

Je m’enfonce dans son anus et la pilonne violemment. Elle crie. Elle peut se le permettre, nous avons insonorisé la pièce juste pour cette raison. Je la tire par ses liens et par les cheveux. Elle est totalement impuissante, elle ne peut ni se débattre ni m’échapper. Elle est ma chose, mon esclave. Et c’est exactement ça qui la fait jouir aussi vite.

On… ne… réveille… pas… son… maître… même… avec… une… pipe… fais-je en la démontant.

Aaaah ! Désolée maître ! Désolée ! pleure-t-elle de bonheur.

Bien sûr, elle ne l’est pas.

Je ne la traite plus comme un être humain, mais comme un sac à foutre. Je me laisse aller à mes instincts les plus bestiaux juste pour me faire du bien. Je ne me soucie aucunement de son plaisir, de toute façon, elle enchaîne les orgasmes. Je ne me savais pas capable d’être aussi salaud avant de la connaître ; bordel, qu’est-ce que c’est bon ! C’est sa faute, elle m’excite tellement. Je l’use jusqu’à ce que je me fasse éjaculer dans son cul. Je me vide à l’en faire déborder de sperme. Repu, je l’abandonne dans cet état pour aller prendre ma douche sans scrupule. Elle ne dit rien, elle est toujours attachée, secouée par tant de jouissance. Je ne la libère qu’avant de prendre notre petit-déjeuner. Après cela, nous reprenons une vie normale. Enfin, autant que la nôtre puisse l’être, et ce jusqu’à ce que l’envie de baiser nous reprenne…

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