Alors que je dormais, je suis réveillé par un bruit dans le couloir. J’ouvre ma porte et sors ma tête dans le couloir. J’aperçois Carla, Marla et Édouard. Ce sont les jumelles suédoises qui faisaient tant de bruits. De toute évidence elles sont ivres mortes. Édouard lui a l’air plutôt sobre.
— Bon voilà votre chambre les filles..
À peine Édouard eut-il le temps de finir sa phrase que Carla se met à crier à ma vue.
— Regarde Marla, Raphaël nous matte !!
— Il est tout nu ??, demande Marla, interloquée
Je me rappelle que je suis en caleçon pour dormir. J’ai un mouvement de recul.
— Reviens Raphaël on va pas te manger !, me lance Carla
— Regard on est comme toi !, dit Marla en serrant les deux bretelles de sa robe laissant sortir ses seins des deux côtés
Elle a des petits seins bien ronds. Ses tétons sont d’un rose très pâle, quasiment de la même couleur que sa peau. Comme elle est la copie conforme de sa sur, j’imagine qu’il en est de même pour Carla.
Édouard les interrompt, souriant.
— J’ai trouvé quelqu’un pour m’occuper d’elle à ma place on dirait ! Allez passez une bonne soirée, amusez-vous bien !
Abasourdi par la situation, j’interpelle Édouard
— Mais ce sont tes filleules !
Il me répond malicieusement.
— Ne t’en fais pas, je profiterais de cet avantage une prochaine fois !
— Mais elles sont complètement bourrées..
Les jumelles me coupent
— Ça ne veut pas dire que l’on est pas conscientes de ce qu’on fait
— Et de ce qu’on veut…, complète Marla
Alors qu’Édouard disparaît, les jumelles se précipitent vers moi et m’entrainent dans ma chambre.
Les filles me poussent sur le lit et retirent chacune leur robe. Elles ne portent rien en dessous. Complètement épilées, j’admire la vue qu’elles m’offrent. Voyant l’ effet qu’elles produisent, elles commencent à se caresser l’une l’autre la poitrine et à s’embrasser. Très efficacement elles finissent de faire grossir le relief sur mon caleçon.
— C’est dingue comment l’idée de baiser des jumelles rend fou les mecs, dit Carla en se baissant vers mon entrejambe
— Retire lui son caleçon, que l’on puisse se faire une idée d’à quel point on va pouvoir s’amuser, rajoute Marla en posant ses mains sur les fesses de sa sur.
Je ne parle pas. Carla retire doucement mon caleçon et laisse apparaître mon érection. Les jumelles se regardent l’une et l’autre en se mordillant les lèvres.
Marla s’approche à son tour. Leurs visages sont de chaque côté de mon sexe. Marla le prend et le présente à la bouche de sa jumelle. Elle l’enfoure d’un coup et commence à me sucer. Un frisson de plaisir parcourt mon corps. Carla se redresse et laisse sa sur prendre la relève.
— J’espère que tu n’es pas précoce, me dit-elle en souriant
— Il n’est pas très entreprenant, répond Marla, la mine renfrognée
— Laisse-le profiter va!, rétorque sa sur
Sur ces paroles, elles commencent à me lécher le gland en même temps. Je décide donc de balader mes mains sur leurs corps. Avec ma main droite je caresse la cambrure de Marla, et de la main gauche je prends en main les seins de sa sur. Je sens ses tétons qui se durcissent. Marla rapproche ses fesses du haut de mon corps. Ma main dans son dos descend vers sa croupe que je malaxe en attendant d’y avoir encore plus accès plus tard. Je descends mes doigts vers son entrejambe. Je sens qu’il ruisselle. J’approche de l’entrée. J’enfonce doucement mon index qui rentre tout seul.
— Tu peux m’en mettre un deuxième voire un troisième, tu ne risques pas de me faire de mal, plaisante Marla
— Dans ce cas si je ne risque pas de te faire de mal.., dis-je en me redressant
Sans même qu’elle ait le temps de réaliser mon plan, j’approche ma bite de sa vulve qui m’est offerte en levrette. Je l’aggripe par les hanches et la pénétre, ce qui lui arrache un cri de surprise.
— Tu l’as cherché, à faire la maligne !!, rigole Carla
Elle se met derrière moi et me masse le torse pendant que je prends sa sur.
— Ne reste pas là à rien faire !, lui dit sa sur
Elle vient se mettre en 69 avec sa sur alors que je continue mes va et viens. Je sens sa main se poser sur mes couilles. Je ralentis mes allers retours. Les deux surs commencent à se lécher chacune l’entrejambe.
— Prends-lui donc l’autre trou, je m’occupe de celui-ci !
— Marla ça ne te dérange pas ?, je demande
— Roooh tais-toi et baise-moi !, me répond-elle
Je commence donc à pilonner son cul. Marla crie de plaisir alors que ses deux orifices sont pris.
— Je ne sais pas si je tiendrais longtemps à cette allure avant de jouir., lâche-t-elle entre deux râles
— Moi non plus…, dis-je
— Alors laisse-moi en profiter Marla !, dit sa sur en se retirant de sous elle
Elle me pousse sur le dos. Carla enfourche ma bite. Elle s’empale très rapidement. Elle était très excitée aussi. Sa sur vient s’assoir sur mon visage pour que j’achève de la faire jouir. Au bout de quelques minutes, je sens les deux jumelles au plus proche de l’orgasme. J’accélère la cadence et elles explosent sur moi.
Le temps qu’elles reprennent leurs esprits, elles réalisent que je n’ai pas encore fini.
— Il l’a bien mérité !, dit l’une
— On lui doit bien ça après une telle soirée ! Répond l’autre.
Elles se mettent à genoux devant moi à côté du lit. L’une me gobe les couilles pendant que l’autre me taille la pipe la plus profonde qu’elle puisse faire. Je ne vais plus pouvoir me retenir longtemps. Elles reculent leurs têtes et tirent la langue tout en continuant de me masturber.
D’un coup les flots sortent et viennent se répendre sur leurs visages angéliques. Elles rigolent avec un air malicieux. Elles s’embrassent tendrement ce qui m’offre une vue extrêmement satisfaisante de mon fluide qu’elles se partagent.
— Il faudra remettre ça au plus vite !, dit Carla en se relevant
— De toutes façons on est dans la chambre d’à côté…, me chuchote Marla à l’oreille
Elles prennent leurs vêtements et s’en vont comme si de rien n’était. Je vais adorer cette école.