Le réveil à 6 heures fut assez difficile, je me réveillais dans un brouillard et me précipitais pour envoyer mon premier SMS. Nayant pas trop le temps de réfléchir, jenvoyais le premier qui me vint à lesprit :

« 6h00 : Bonjour Maîtresse, Votre esclave se réveil dune nuit trop courte, encore tout rempli de Votre vision et espérant être Votre esclave appliqué.

6h15 : Madame, je vais aller prendre une douche et me rendre tout propre. Je Vous remercie de bien vouloir Vous occuper de moi.

6h30 : Maîtresse je renouvèle mon désir de Vous appartenir et que Vous méduquiez à Votre service. Je Vous remercie de préserver ma vie sociale et professionnelle.

6h45 : Votre esclave est excité Madame et il voudrait bien se soulager. Il a lhabitude de se soulager ainsi tous les matins Madame. Je ne sais si jai le droit, dans le doute je mabstiens et ainsi je suis tout tourné vers Vous.

7h00 : Je Vous remercie Madame de bien vouloir me prendre à Votre service et masservir ainsi à Vous. Je ne suis quun soumis parmi dautre pour Votre service.

7h15 : Madame, je nai à peine le temps de me préparer pour Vous envoyer tous ces messages. Je suis happé par Votre volonté, je crains de ne pas répondre assez bien à Votre attente, pardonnez moi si cest le cas, je dois apprendre.

7h30 : Maîtresse, je Vous écris à genoux, je Vous implore de bien vouloir mépargner et me laisser une liberté qui mest chère. Je saurais Vous remercier de la façon qui Vous plaise. Je ne sais ce que Vous désirez mais je ferais tout ce que Vous voulez Maîtresse.

7h45 : Maîtresse, je réalise que je ne connais que Votre pseudo, pas même Votre prénom. Je nai pas même une photo de Vous, peut être accepterez Vous que jen possède une pour mimprégner de Vous ?

8h00 : Maîtresse, jai oublié de Vous dire quhier mon assistante a vu Votre email. Jai été anéanti, cela fait des années que je travaille avec elle, mais en même temps cest une sensation très forte que de subir cette humiliation, je crois bien avoir eu une érection malgré mon abattement. Je comprends que Vous êtes très sérieuse et que je dois Vous obéir en tout et pour tout.

8h15 : Maîtresse cest difficile de Vous écrire ainsi sans avoir de retour de Votre part. Dormez Vous ? Me lisez Vous ? Je Vous appelle Maîtresse, je pense que cela Vous semble naturel et évident.

8h30 : Je vais bientôt partir, je suis déjà épuisé par ma trop courte nuit et par les émotions, et surtout langoisse que vous me procurez. Je sais que Vous avez accepté de méduquer et de me dresser, mais peut être ne suis pas digne de Vous ? Si Vous souhaitez me laisser je saurais Vous en remercier.

8h45 : Pardonnez moi Maîtresse, mes messages vont dans tous les sens, je le sens bien, je suis déjà perdu, jai envie et je suis terrorisé de Votre contrôle et de Votre chantage.

9h00 : Maîtresse toute puissante, je vais partir à mon travail. Comme Vous me lavez ordonné je Vous envoie un message toutes les heures »

Jétais totalement épuisé, perdu, je ne savais plus quoi penser et dailleurs je narrivais plus à penser quoi que ce soit. Jétais effaré par la vitesse à laquelle javais perdu tout contrôle. Mes deux complices soumises sinterrogeaient sur mon absence, je prétextais un voyage daffaires. Jarrivais au travail plus tard que dhabitude, et dus subir le regard appuyé de mon assistante, à qui je souris un peu gêné. Jallégeais à nouveau ma journée, déportant sur mon équipe de direction de multiples réunions, sans trop savoir à quoi mattendre de la part de cette mystérieuse Femme.

10h00 : Maîtresse, jai allégé ma journée pour que Vous puissiez en disposer si Vous le souhaitez, je ne sais pas ce que Vous attendez de moi.

Je reçu son premier message peu après :

10h12 : Je me réveille mon esclave. Je suis un peu déçue de tes messages, ils manquent vraiment demphase. Fais mieux, tout de suite, montre-moi ta dévotion, donne-moi envie de me caresser sur tes mots. Sinon jenvoie une nouvelle série à Sylvie. Je suis certaine que cette fois-ci elle les gardera.

Je fus instantanément en sueur. Pas tant que la menace curieusement, mais que lidée de Lui avoir déplu. Bien sûr que je navais pas exprimé totalement ma dévotion, jétais déchiré entre des sentiments opposés.

10h32 : Maîtresse toute puissante. Cest tout rempli de Vous que Votre esclave sest réveillé ce matin, léger et heureux davoir la chance et lopportunité de Vous appartenir, de pouvoir être dressé suivant Votre bon plaisir au détriment du mien, dans une vie de service, de contrainte, de souffrance que Vous voudrez imposer à Votre esclave pour Votre plaisir supérieur et sadique qui mérite tous les honneurs. Jai hâte de pouvoir me prosterner à Vos pieds, subir Votre loi et rentrer dans une totale dévotion qui minterdira toute autre pensée que celles que Vous maurez imposées. Je Vous offre mon corps et mon âme pour Votre plaisir et Votre service, je suis né pour Vous satisfaire et Vous combler à chaque instant.

Je ne savais pas si cétait assez, mais je ne savais pas comment faire plus. Jattendais fébrilement, mais rien ne vint. Devais-je faire un mail à 11h00 ? Sans savoir je me remis à taper :

11h00 : Maîtresse toute puissante, cest un honneur que Vous me laissiez Vous appeler ainsi, et je serais heureux de vivre sous Votre loi et de la façon qui Vous plaira. Jespère que mon message précédent à répondu à Votre demande et Vous a donné du plaisir. Votre esclave.

La réponse vint après une attente interminable, pendant laquelle jétais incapable de faire quoi que ce soit. Elle ne répondit pas à mes angoisses, mais en ajouta dautres.

11h42 : Mon esclave, tu vas dans la boutique démonia dès la lecture de ce mail. Tu vas y acheter une cage de chasteté CB6000 pour toi. Tu prendras également des plugs 24/7 en métal, un de taille M et un de taille L. Tu paies impérativement avec ta CB personnelle, pas de liquide, tu demandes à tinscrire sur leurs listes de diffusion. Je pense que tu as pas mal de matériel chez toi pour tes petits jeux médiocres, je lutiliserai en temps voulu.

12h00 : Maîtresse je suis dans le taxi pour aller dans le magasin que Vous mavez indiqué. Je suis fébrile dy aller ainsi, puisque je les connais, mais je ny suis jamais allé quen dominant. Je comprends que Vous souhaitez mimposer une chasteté. Je dois Vous avouer que cela excite Votre esclave mais que celui-ci a une sexualité assez développée car je jouis une à deux fois par jour, souvent dans les toilettes du bureau.

12h03 : Avant que tu ne sortes du magasin, après tes achats, tu attends mes instructions.

12h04 : Bien Maîtresse

12h04 : A quoi rêves tu quand tu te soulages dans les toilettes de ta société ?

12h06 : Cest assez variable Maîtresse. Parfois je pense à ce que je vais faire à ma soumise. Et puis parfois à dautres choses.

12h07 : Je veux ton fantasme qui est le plus fort. Ne me fais pas me répéter, je déteste cela et tu nimagines pas tout ce que je peux te faire subir qui ne va pas te plaire du tout. Alors tu es prévenu, la prochaine fois que tu me contraries tu auras une surprise très désagréable.

12h08 : Bien Maîtresse, pardonnez-moi Maîtresse, tout ceci est très nouveau. Je Vous écris cela de suite Maîtresse. Je vais faire très attention à Vous contenter.

12h09 : Le fantasme le plus fort, celui qui me fait jouir très vite cest quand jimagine que Sylvie rentre dans mon bureau, habillée de cuir, avec une cravache à la main, quelle mordonne de me pencher sur mon bureau, de baisser mon pantalon et quelle me cravache les fesses parce que je ne lui ai pas parlé convenablement et que je suis un sale garnement. En général cela me fait jouir. Mais si ce nest pas assez, je fantasme quensuite, elle me fait ramper jusquà lécher la semelle de ses bottes, en découvrant quelle na pas de culotte sous sa jupe, et quelle se masturbe en écrasant mes couilles Maitresse.

12h10 : Je suis tout honteux de Vous écrire cela Maîtresse. Le taxi arrive, je rentre dans le magasin Maîtresse.

Je neus pas de mal à trouver le rayon des ceintures de chasteté, ni le modèle quElle mavait indiqué. Il y en avait un sacré stock, je ne devais pas être le premier. Je choisis le modèle basique, avant daller chercher les plugs. Je ne savais pas de quoi Elle parlait, et je dus, à ma grande honte, demander à la caisse : les modèles étaient sous vitre, raison pour laquelle je ne les avais pas vus. Une forme curieuse avec un large trou au centre, permettant aux gaz de séchapper mexpliquait le vendeur. Ils étaient faits pour être portés en permanence. Je frissonnais deffroi. Mais je navais pas le choix, et les modèles que ma Maîtresse mavait demandés me semblaient déjà très gros. Ils faisaient un bruit métallique très fort. Je payais avec ma carte, et demanda à être inscrit sur leur liste de diffusion, donnant ainsi mon nom et mon adresse. Il était temps de partir.

12h28 : Maîtresse, conformément à Votre ordre jai effectué les achats et jai pu me procurer tout ce que Vous mavez demandé. Je suis à Vos ordres et à Votre disposition.

12h38 : Bien mon esclave, tu vas demander au vendeur si tu peux mettre la ceinture sur place. Tu vas dans une cabine, tu laisses le rideau ouvert et tu mets la ceinture. Si tu ne sais pas comment faire tu demandes de laide. Choisis bien les anneaux, il faut que tu sois tenu sans être trop serré, sinon tu auras trop mal. Si tu choisis mal, tu seras puni. Une fois cela fait, tu menvoie un sms avec un compte rendu et une photo de ton sexe enfermé.

13h07 : Maîtresse, je Vous prie de trouver ci-dessous la photo du sexe de Votre esclave enfermé dans sa cage. Cela a été un peu compliqué pour moi et le vendeur ma donné gentiment un coup de main pour choisir le bon anneau et le bon réglage. Je sens fortement la ceinture, mais je suis assez à laise ainsi. Jai limpression quelle se voit beaucoup sous mon pantalon, mais le vendeur ma garantit que non. Je prends un taxi pour rentrer au travail Maîtresse.

13h08 : Pas de taxi pour un esclave, tu prends le métro. Pour qui te prends-tu ?

13h08 : Pardon Maîtresse, Vous avez bien sur tout à fait raison, merci de me mettre dans le droit chemin. »

Jétais totalement perdu. Et angoissé par sa menace finalement. Il serait si facile de la décevoir, je risquais à chaque instant une catastrophe. Cela faisait des années que je navais pas pris le métro. Je découvrais que les téléphones passaient dans le métro.

13h10 : quand tu arrives à ton travail, tu mets la clé de ton cadenas dans une enveloppe, fermée, au nom dIsabelle, que tu remets à ta réception, en disant que quelquun viendrait la chercher dans laprès midi. Interdiction bien sur douvrir ton cadenas avant. La désobéissance aussi évidente à un ordre mettrait fin à notre relation et donc à ta carrière et ton image.

13h12 : Bien Maîtresse, oui je le comprends Maîtresse, je vais remettre la clé dès que jarrive à la réception Maîtresse, je Vous le confirme avec un sms Maîtresse terrible.

13h15 : Et tu ne déjeunes pas, tu as du poids à perdre, autant le faire tout de suite. Désormais tu ne manges que ce que je tautorise, quand je te lautorise. Suis-je claire ?

13h18 : Oui Maîtresse, cest très clair

Javais envie de pleurer. Je ne sais pas pourquoi cette dernière règle me terrifiait plus que tout, plus même que cette cage. Elle venait simmiscer dans les détails de ma vie. Je crois que je touchais du doigt que je ne pourrais plus rien faire de libre. Elle me lavait dit, mais je ne lavais pas encore vraiment intégré. Et je me sentais perdu. Cétait si dur sans même La voir ou La toucher. Mais je navais aucun choix. Mu par linstinct de survie jécrivais :

13h28 : Merci Maîtresse de prendre soin ainsi de Votre esclave et de me contrôler. Je suis tout à Vous.

13h30 : Bien sûr que tu es tout à moi, tu nas pas idée à quel point. Lorsque tu rendre au bureau tu te connectes sur le site cage-de-chastete.com et tu te commandes une ceinure sissy à ta taille.

13h32 : Bien Maîtresse. Je Vous confirme dès que je lai commandée et je Vous envoie une copie de lemail de paiement.

13h33 : Cest bien ainsi que je veux que tu agisses, tu comprends vite, continue ainsI. Avant de rentrer au bureau, tu achètes deux carnets, un où tu vas écrire les règles que je tédicte au fur et à mesure, et un pour les ordres ponctuels comme cette commande.

13h35 : Bien Maitresse, je ferais ainsi Maîtresse. Merci de maider avec ces carnets.

14h15 : Maîtresse, me voici à mon bureau, jai acheté deux carnets, et jai commencé à récupérer Vos premiers ordres et règles Maîtresse, et je vais commander la ceinture comme Vous me lavez demandée, sur mesure. Ai-je le droit de Vous poser une question Maîtresse ?

14h22 : Non, un esclave obéit. Point final.

14h25 : Bien Maîtresse, merci pour Votre réponse. Je Vous ai envoyé le paiement de 205 pour la ceinture, jai pris un anneau supplémentaire comme ils le recommandent, ainsi quun ceinture de discipline Maitresse. Jespère que jai bien fait Maîtresse, je ne sais pas si jai droit à cela.

14h47 : Tu as bien fait, tu peux toujours accentuer mon ordre et faire preuve dinitiative quand cest pour me faire plaisir. Si tu te plantes, tu es alors puni.

14h49 : Merci Maîtresse.

Jétais exténué, vidé. Je ne savais pas ce qui mattendais, mais je pressentais bien que je naurais aucun contrôle et quil ny aurait aucune limite.

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