Après une longue nuit de plaisir, l’aube nous trouve tous trois emmêlés dans le grand lit de notre suite junior. Nous sommes encore ensommeillés et, premier à sortir du lit, j’estime que le seul remède à mon état de zombie est une douche. Heureusement, celle-ci offre une option qui imite à merveille une petite pluie fine et, avec le réglage frais adéquat, on en sort quelques minutes plus tard tout ragaillardi. Oh, nous sommes tous en vacances, mais rester vautrés telles des limaces sous Xanax n’est pas notre nature et nous avons encore tant de choses à voir et à faire…
Hier soir nous nous étions d’ailleurs mis d’accord pour une matinée sportive suivie d’un bon moment de shopping.
Les représentantes du doux sexe féminin (enfin doux… j’ai quelques zébrures d’ongles dans le dos qui peuvent attester du contraire !) ayant suivi mon exemple, c’est frais et dispos que nous nous rendons près de la piscine pour le petit-déjeuner fruité du matin. Nous sommes d’excellente humeur et je savoure ces instants, moi qui étais parti en vacances avec juste des lambeaux d’espoir pour un vague changement d’attitude de ma femme. Un monde, une galaxie, un univers séparent l’Aline d’avant avec son peu d’entrain pour tout, sa mauvaise humeur et sa tristesse et celle d’aujourd’hui qui assume totalement une sexualité dynamique et dévolue au plaisir.
Notre amie Elodie aussi a changé. Oubliées ses craintes et un ex affligeant, place aux découvertes
Elodie justement, ne peut masquer son dépit quand le sujet dérive sur les autres îles de l’archipel. Elle en avait déjà parlé mais, sur ma demande, me le reconfirme plus précisément. Oui, son séjour devait durer deux semaines avec une semaine à la Grande-Canarie et dans trois jours un départ pour Teneriffe. Elle nous parle de son futur lieu de séjour, à Puerto de la Cruz ; se sent un peu triste de rester seule mais se console rapidement face aux perspectives d’avenir.
Je leur propose alors de changer un peu nos plans et, rapidement le sport prévu devient plus ludique puisque nous irons faire un minigolf juste à l’entrée du grand centre commercial Yumbo où les envies de shopping auront de quoi être satisfaites. Et puis c’est une manière sympathique de joindre à l’agréable.
Un petit moment plus tard, nous voilà partis. Le trajet à pied n’est pas long et est l’occasion de confidences troublantes…
Dix minutes plus tard, nous voilà transformés en golfeurs. Le terrain de nos futurs exploits s’étend en longueur et domine le centre commercial. Nous oublions rapidement les enseignes qui nous font signe non loin et profitons de l’aménagement paysager à base de cactus du site. Je rate totalement mon premier passage bien trop distrait par les jolies jambes bronzées, les postérieurs moulés par des petits shorts courts et les décolletés assez plongeants de mes concurrentes.
Elles ont pitié de moi et, après le paiement d’une amende à base de langues emmêlées, je repars à zéro (je sais, c’est contre toute l’éthique golfique mais j’ai vraiment une excellente excuse !).
Une bonne heure plus tard, heure agrémentée de quelques crises de rires et d’arrêt bisous et surtout après une lutte acharnée je décroche de haute lutte la médaille de bronze. Pendant qu’Elodie s’absente, je fais part d’une idée à ma femme qui se montre enchantée et me donne carte blanche. Nous attaquons ensuite l’épreuve de force du shopping et, après le cinquième commerce, ma brillante médaille me donne le droit de laisser les deux femmes entre elles pour tenter de réaliser mon propre objectif.
Nous nous retrouvons pour un repas de tapas avec des rires et des anecdotes en apéritif. Elles m’indiquent avoir trouvé tout un tas de choses intéressantes et le logo d’une marque de lingerie bien connue pour ses actions éducatives, apposé sur un sachet, me laisse penser que cela sera effectivement le cas.
Nous revenons à l’hôtel où, après avoir rangé nos affaires et nous être changés ; profitons de la piscine. J’ai avant cela glissé à Aline avoir réussi mon coup et elle m’en a remercié par un baiser enflammé.
Nous nageons et profitons du cadre mais convenons tous les trois que se baigner nus à la plage est bien plus agréable. Nous papotons, savourons, dégustons… Mais nos yeux qui brillent chaque fois que nos regards se croisent montrent que nous pensons tous à ce qui va se passer "après".
Une bonne heure plus tard, on remonte vers nos chambres, désormais certains que les petites abeilles travailleuses sont passées et on se retrouve tous les trois dans notre salon. L’attente (quand on sait le résultat à l’avance…) étant un merveilleux aphrodisiaque, on décide de jouer aux cartes. Vous vous doutez bien que ce n’est pas au rami ou au bridge ! Non, le bon vieux strip-poker du Far West est parfait. Surtout agrémenté de gages. Gages que l’on rédige chacun sur une feuille avant de les jeter dans le chapeau de paille d’Aline ou ils seront tirés au sort par le gagnant.
Bon sang, j’ai déjà à moitié la trique avant de commencer !
On s’installe et les cartes sont distribuées. Pour cette première partie du jeu, c’est plus classique, le perdant enlevant chaque fois un vêtement. Au bout d’une vingtaine de minutes délicieuses, nous sommes quasiment nus tous les trois. J’ai mon boxer, Elodie un tanga qui met ses formes en valeur et ma femme n’a plus que son soutien-gorge ajouré de dentelles et de motifs floraux avec des broderies et… bref c’est sexy et ça en jette ! L’atmosphère s’est alourdie. Le déshabillage lascif, la vision d’un joli buisson brun, de seins aux pointes déjà bien érigées, font que mon boxer est fort tendu sur le devant. Tellement tendu que c’est un soulagement que de perdre (comment cela, j’ai fait exprès ?) et de dévoiler ma… ah oui, "virilité triomphante". Il ne faut plus ensuite que quelques minutes et une belle main (de poker) pour que finalement Aline triomphe ; ce qui lui donne le droit de donner le gage de son choix. Privilège du vainqueur qui va donner le signal pour le début dune seconde partie de jeu plus intéressante.
Elle fait mine de longuement réfléchir puis avec un sourire mutin lâche sa petite bombe
— Embrassez-vous tous les deux
Et, comme on se rapproche, elle précise : – Et je veux voir vos langues s’agiter !
Ma femme est non seulement sexy mais aussi très futée pour ce premier vu.
Nous lui obéissons avec une joie que nous ne pouvons (et ne voulons pas) dissimuler. Aline s’est assise jambes croisées (quelle vision, bon sang quelle vision) sur le grand lit, bien installée pour profiter du spectacle. On se rapproche donc l’un l’autre devant elle et sans que nos corps se touchent histoire d’accroître la tension ; nos lèvres se rejoignent pour un baiser endiablé.
Nos lèvres aspirent la langue de l’autre, nos langues se cherchent, on se mordille, c’est doux, brutal, sensuel, érotique, bandant, tendre, sauvage, suave, bataille d’adjectifs qui provoque encore une élévation de la température de la pièce.
— Stooop ! Temps écoulé.
On reprend notre respiration, un peu haletants, y compris Aline dont les yeux brillants trahissent aussi l’émoi. Ces préparatifs sexys, ces jeux rajoutent à l’ambiance que nous savourons.
On reprend le jeu et, après quelques minutes, Aline bluffe encore magistralement et obtient ainsi le droit de tirer un petit papier…
Me voici donc, disposant de deux minutes pour m’occuper de sucer ses seins. Je souffle doucement sur les tétons déjà assez érigés, dardant la pointe de la langue sur l’un puis sur l’autre, jouant la symétrie des sensations. Puis, je mordille, j’aspire, alternant un peu de sauvagerie et de douceur. Les deux minutes passent rapidement mais leur effet sur nos rythmes cardiaques est important et nos soupirs sont aussi un signal sonore clair.
Je me concentre mieux et, grâce à un brelan de dames tire un gage. Les deux complices me regardent donc, allongées l’une contre l’autre, en train de me masturber pendant deux minutes puisque tel est le sort. Mon sexe étant déjà bien tendu, point d’attente. Je suis face à elles, assis sur les genoux et bien en vue fais aller ma main de bas en haut sur ma verge. Je ne vais pas trop vite afin qu’elles profitent de la vue et surtout vu la vision qu’elles m’offrent, je ne veux pas jouir aussi vite. Mais moi aussi je sais jouer, et après avoir humidifié de salive le bout de mes doigts caresse lentement mon gland en les regardant bien en face.
Heureusement les deux minutes se terminent et il m’a fallu beaucoup de volonté pour ne pas jouir sur elles, qui, vu leurs regards étaient partantes.
Aline, visiblement douée, gagne encore la manche suivante et tire le même gage qu’avant mais rédigé par un autre participant. Elle ne perd pas de temps pour en profiter.
— Elodie, viens me sucer les seins.
Le ton n’attend pas de répliques et Elodie se soumet immédiatement à ce desiderata. Elle utilise sa langue différemment de moi, puisqu’elle lape chaque pointe à une allure rapide pendant un long moment avant de mordiller les tétons puis de finir en suçant fort. Toutes deux ont du mal à ne pas utiliser leurs mains, mais le jeu impose uniquement un contact buccal. Cette restriction apporte du piment à l’action et c’est un régal pour moi. Penchée sur Aline, Elodie s’éclate à déguster les seins de ma femme et mon odorat sent monter leurs excitations à toutes deux.
Mais c’est à mon tour de dire stop, les laissant frustrées et haletantes.
Les cartes sont redistribuées et c’est Elodie qui cette fois nous bat à plates coutures avec un carré de valets. Elle plonge avec joie sa main dans le chapeau et c’est avec un plaisir non dissimulé qu’elle lit le petit billet me demandant de masturber Aline.
Comme je m’y attendais, je sens sa chatte tout humide, l’excitation de l’attente joue à plein. Je la caresse doucement, passant mon index le long de ses lèvres intimes, plongeant deux doigts dans son intimité brûlante, je fais des va-et-vient avec mes doigts et je la sens tressauter de plaisir à chaque fois.
— Ta femme a l’air d’adorer.
— Oh, oui je la sens couler sur mes doigts,
— Salaud, tu vas me faire partir…
— Stoop !
— Aah j’allais jouir tu sais si bien me branler mon chéri
Je m’apprête à goûter mes doigts mais Elodie vient vite vers moi le regard suppliant, aussi je lui enfonce mes deux doigts dans sa bouche afin qu’elle déguste le miel de ma chérie. Elle les aspire avec un regard énamouré, pendant qu’Aline la regarde avec un air très satisfait et un sourire mutin.
Quel pied que cette ambiance !
Cela fait plus d’une heure que nous sommes dans la chambre et notre complicité se renforce toujours plus sans compter ma virilité qui, elle aussi, se renforce toujours plus !
Je ne sais pas si Elodie a "chopé" le coup de main mais elle gagne encore la manche et comme le petit billet indique " le gagnant se fait sucer les seins par les deux autres " elle s’allonge, prête à savourer. Nous revivons une autre scène et elle se déroule quasi de la même façon sauf qu’Aline mordille assez fort les tétons ce qui semble plaire à notre amie au vu des soupirs qu’elle pousse. Bon, je pense que mes léchouilles y sont aussi pour une petite part.
Les deux minutes sont atteintes, un peu dépassées et on cesse quand on la sent au bord de l’abîme. La laissant frustrée… mais trempée…
C’est sans doute ce qui explique sa déroute au tour suivant, qu’Aline remporte d’ailleurs à nouveau haut la main.
Elle lit alors " test du gode ".
Dans le même temps (visiblement elle a prévu le coup la coquine) elle sort de sous l’oreiller un joli vibromasseur, rose et or, d’une quinzaine de centimètres, le lèche un peu en nous regardant d’un air à me faire exploser la braguette (si j’en avais une) et le plonge quasiment d’un coup dans sa chatte luisante.
Je comprends qu’elle a fait quelques achats plus coquins (quelques car je me doute que ce n’est pas juste un sex-toy qu’elle a acquis !) et je la fixe en train de se caresser intimement. Elodie aussi la fixe, entre envie et voyeurisme. Le spectacle est superbe. Alanguie, la fourche de ses jambes largement ouvertes, elle touche son clitoris, effleure ses lèvres, replonge dans sa chaleur et ce toujours en nous fixant langoureusement.
Elle cesse soudain, nous laissant quasiment en train de baver et dit :
— Et encore j’ai pas activé les vibrations ! Puis :
— Elodie viens lécher le gode ma petite salope.
Celle-ci se précipite et enfonce le gode couvert du suc intime dans sa bouche, les yeux clos, elle savoure le plaisir d’Aline qui me tend la main. Nous nous serrons l’un contre l’autre en regardant notre amie qui ouvre finalement les yeux. Des yeux brillants dans un visage bien rouge, enfiévré, des gouttes de sueur coulant sur son front.
— Puisque tu as l’air d’aimer sucer, va un peu sucer mon mec
Les cartes sont un peu abandonnées, le jeu s’est fait plus trivial, plus sensuel.
Elodie s’exécute immédiatement et sa petite langue chaude et humide vient se poser sur ma queue. Elle aspire les gouttes qui perlent sur le méat, signes de ma tension exacerbée, et elle déguste cela comme si c’était du nectar. Elle n’arrive pas à m’avaler aussi profondément que mon Aline mais elle me procure énormément de plaisir. Ce qui m’excite surtout est le regard que nous échangeons avec
Aline. Ce lien qui nous unit est fort et puissant et, comme nous voulons encore aller plus loin, je stoppe la douce fellation.
Elodie lève la tête, la bouche encore ouverte, la langue sortie avec quelques gouttes de salive sur le bout de la langue.
Elle murmure : – Oh c’est si bon, je vous adore
Je l’attire vers moi, lui relève la tête, l’embrasse puis la regarde et lui dit :
— Va t’occuper des petites fesses d’Aline, elle adore.
Elodie se tourne, voit Aline à quatre pattes et dans le même mouvement se colle derrière elle et caresse ses fesses musclées. Aline comme à chaque fois ronronne de plaisir ce qui encourage Elodie qui embrasse les deux globes avant de plonger la langue entre ses fesses. Elle doit bien lécher ma femme car les ronronnements se font plus intenses.
Chaque fois que je pense le spectacle hyper sexy, le tableau suivant le surpasse. Je vis un rêve éveillé et je pense aux vers de Baudelaire " Luxe, calme et volupté". Oh, oui, c’est beau, c’est fort.
De là où je suis je vois l’entrejambe brillant, brûlant d’Elodie qui continue ses coups de langue.
— C’est bon ma chérie ?
— J’adore, elle me chauffe le cul, c’est délicieux.
Elodie répond par quelques grognements indistincts.
Je la redresse, elle a un air hagard, le souffle court, les cheveux emmêlés, les lèvres gonflées…
— On va s’occuper de toi, tu le mérites bien
— J’en peux plus
On l’allonge à nouveau sur le dos et j’attrape le gode qu’Aline m’a tendu pour caresser l’entrecuisse d’Elodie. Elle écarte les cuisses au maximum et je joue avec le gode. Aline entreprend de caresser les seins ronds de notre amie. Elle caresse, touche, léchouille les tétons froncés et tendus puis s’installe tout contre sa proie et joue avec ses bouts de seins. Je lève les yeux et la vois en train de tirer fort sur les bouts de seins. Elle y va fort mais Elodie ne cesse de dire " Encore, oui, c’est bon, putain, j’adore, j’adoooore…
Aline me fait un clin d’il et, après avoir introduit le gode dans sa chatte ruisselante, déclenche les vibrations. Aussitôt, elle s’arcboute et lâche un grand cri : – Ouiiiiii,
Elle n’est plus que plaisir, je fais entrer et sortir le gode, lui titille le clitoris du bout des doigts, Aline continue à tirer, serrer les tétons, y donnant de temps un temps un petit coup de langue pour changer de stimulus.
Ce cocktail de sensations a finalement raison d’Elodie qui jouit dans un grand gémissement.
Nous la laissons se reposer et la contemplons, pantelante, les traits rougis de plaisirs, ivre de jouissance. La tension sexuelle qui est montée toute l’après-midi a décuplé son plaisir.
Elle reprend doucement pied et nous dit :
— C’est monté, monté, j’en pouvais plus, j’étais si excitée… Puis avec un sourire. Comme vous maintenant quoi !
Nous rions de bon cur… Mais quest-ce que je suis tendu !
Je fais un clin d’il à Elodie et d’un commun accord on se jette sur Aline. Embrassades, attaque de sein, caresses partout, doigts inquisiteurs qui rencontrent une chaleur intense et humide ; c’est un festival.
Je m’allonge sur le dos, Aline vient vite s’empaler sur moi et Elodie lui empaume les seins par-derrière pour la caresser, titiller les pointes roses et dures ; puis, sur une consigne de ma part et comme Aline s’est penchée sur moi pour un rouage de pelles débridé elle lui titille l’anus avec le doigt puis, après un regard échangé, s’enhardit à pointer le gode sur le petit anneau plissé avant de l’y introduire doucement.
Aline abandonne ma bouche pour pousser un long cri de plaisir. Avant de lâcher une litanie sans suite de :
— Oui… ouiii… encore… bourre-moi avec ta queue… puutain ce gode… ooooh c’est bon… c’est booon
Je la sens se crisper puis, à son tour, toute la tension sexuelle accumulée explose dans un cri rauque.
Elle s’affale sur moi, totalement en sueur, son souffle court. Elodie aussi s’est affalée contre nous.
Un long moment passe puis enfin, elle se dégage, s’allonge contre moi et dit :
— Je suis incapable de bouger, quel pied ! Tout l’après-midi en une fois c’était génial
— Oh pour nous aussi.
— Mais t’as pas encore joui mon chéri, hein Elodie ?
— Hé oui, Axel, regarde sa queue, il est tendu comme un arc.
Effectivement, j’ai l’impression, non la certitude d’être au maximum d’excitation possible.
Quelques coups de poignet et j’exploserais.
Mais ce n’est pas dans leurs intentions d’utiliser leurs mains car c’est avec leurs bouches, leurs langues qu’elle s’empare de ma queue bandée. Leur duo est diabolique, l’une prend mon gland en bouche et l’autre fait courir sa langue de bas en haut puis elles échangent les rôles. Aspiration, coups de langue, regards de salopes, embrassade au-dessus de ma queue,
— Je vais jouir, je vais jouir
— Gicle mon chéri, gicle…
— On veut ton sperme !.
Mon corps se tend, j’explose dans une bouche chaude et accueillante, j’ai l’impression de jouir, jouir, à chaque jet de foutre, je me tends de tout mon corps, je sens une chaleur différente au bout de ma queue et réussis à baisser le regard.
Aline, la bouche entrouverte, du sperme aux commissures des lèvres, regarde Elodie aspirer les dernières gouttes de sperme. Je me sens vidé et comprends ce qu’elles voulaient dire en parlant de l’excitation de toute l’après-midi en une fois, c’est génial comme sensation.
Elodie se redresse, certaine que je suis vidé et ces deux coquines me regardent, ouvrant leurs bouches pour me montrer qu’elles sont bien remplies de foutre chaud, puis comme dans un film x bien hard, s’embrassent, que dis-je, se dévorent la bouche, échangeant le sperme qu’elles ont recueilli, dans un ballet de langues tendues. Le foutre passe d’une bouche à l’autre ; quelques fils décorent leurs bouches, s’échappent même sur leurs seins. Mais elles ne laissent rien perdre, et les quelques gouttes de semence coulantes sont vite rattrapées avec leurs doigts pour ensuite les faire lécher à l’autre. Ce spectacle hallucinant de perversité dure, dure et je ne contemple cela comme un superbe tableau animé.
To be continued