Avertissement: Ceux qui n’ont pas aimé les premiers épisodes, trop vulgaires à leur goût, feraient bien de passer leur chemin. Cet épisode est pire. Voyez cela comme un exercice de style. Je ne suis pas forcément ce que j’écris. Tout ceci n’est que fiction et délire d’"artiste". La seule chose qui soit vraie, c’est que ma compagne s’appelle réellement Hélène, qu’elle est physiquement telle que je l’ai décrite, et qu’elle est mon fantasme numéro un.
Je dois dire que je m’en doutais, nos « invités » ne veulent pas de glace. Et ma femme non plus. Un quart d’heure plus tard, Hélène se bâfre de bonnes bites bien raides, son dessert préféré. Elle a eu ce sourire lubrique quand Gérard lui a exhibé sa queue, une bonne tige bien raide et gorgée de sang, bien plus grosse et large que la mienne, et qui n’a rien à envier à celle de Mohammed.
Les deux hommes se sont débarrassés de leur pantalon ainsi que de leur caleçon. Ils sont assis dans côté à côte dans leur chaise, sur la terrasse, et ma chienne est postée entre eux deux, à genoux. Je suis derrière les deux mecs, la caméra d’une main avec une superbe vue plongeante, et ma bite dans l’autre. Hélène est aux anges. Je suis excité comme un animal en rut, tandis que je filme sa petite gueule de chienne et ses gros seins. Elle pompe alternativement les deux hommes, gobe leurs couilles comme une vulgaire pute affamée de bite, elle branle leurs tiges maintenant luisantes de salive et de liquide séminal.
Michel apprécie le moment presque silencieux. Gérard ne cesse de lui tripoter les loches tout en la gratifiant des pires d’obscénités. Il a tout de suite compris quel genre de garce Hélène est réellement, comment elle aime être traitée. Il s’en donne à cour joie.
-Suce! Suce moi bien sale pute! C’est çaaaa! Comme çaaaa! T’aime ça sucer de la bite, hein? Putain si j’avais su, je t’aurais baisée depuis longtemps au magasin!
-Ben tu pourras rattraper le temps perdu maintenant, lui réponds-je! Maintenant qu’elle a fait connaissance avec ta queue, elle pourra plus s’en passer, crois moi! N’est-ce pas ma chérie?
-Onhon!
-Eh arrête de sucer un peu, la goulue, et réponds moi! T’auras envie que Gérard te baise?
Une queue dans chaque main, elle regarde vers l’objectif, les joues rouges, les yeux brillants.
-Oui… Gérard pourra me baiser… Tous les jours…Et Michel aussi, c’est quand il veut…
-Super ma salope, fait Gérard… Possible que t’aies une augmentation. Stéphane, mon salaud, t’as dégotté une perle!
-Ouais, je sais… Hein ma chérie, t’es la perle des salopes, non? Parle moi, dis moi tout, dis à la caméra c’que t’es!
-Je suis… Je suis une petite pute… Une salope… Une traînée…
-Nan… T’es une GROSSE pute, une GROSSE salope, une GROSSE traînée, un SAC A FOUTRE! DIS LE!
Totalement déjantée, mon épouse se lâche:
-Ouais, t’as raison mon chéri…Je suis une grosse pute à défoncer!Une grosse salope à baiser! Une grosse traînée à faire tourner… Je mérite que ça, être traitée comme un bon sac à foutre docile!
A cet instant, Gérard attrape ma femme par la tignasse et lui introduit brutalement sa grosse bite dans la bouche. Il se met à baiser sa bouche comme si c’était sa chatte.Je dis à Michel:
-Allez mon cochon, lâche toi! Mets lui aussi ta queue, y’a de la place pour deux la dedans!
Il s’exécute. Je me branle comme un fou tandis que le caméscope ne perd pas une miette de la scène. Avec un peu de difficulté, Hélène accueille les deux chibres dans son orifice buccal. Quelle vision de paradis! Elle a les joues déformées, les yeux écarquillés, elle bave comme une chienne. J’adore. J’adore la voir ainsi. C’est comme ça qu’elle doit être et c’est pour ces moments que j’aime être avec elle. Parce qu’elle est belle, bonne, et encore plus belle et bonne quand elle prend son pied à jouer à la pétasse en manque.
Hélène subit ce traitement pendant encore dix bonnes minutes, pompant, branlant, gobant comme une dératée. Puis Gérard ne peut plus tenir. Il se lève et se branle au dessus de sa tête.
-Putain, je vais tout décharger! Ouais, ouvre la bouche salope.
Trois longs jets de sperme viennent s’écraser sur le visage de ma femme, maculant son front, son nez, et ses cheveux. Puis un quatrième et dernier jet vient inonder son gosier. Vu la quantité, ça doit faire longtemps qu’il ne s’est pas vidé les bourses. Michel suit bientôt, visant ses nibards. L’éjaculation est plus modeste. Il faut dire que ma femme lui a épongé le poireau il y’a deux ou trois heures.
Tout le monde reprend son calme et son souffle, sauf Hélène, qui paraît surexcitée par ce traitement.
-Bien, ma salope, lui dis-je. A nous deux! T’as mérité une bonne punition non? Qu’en penses-tu?
-…
-Alors? Jouer la pute comme tu viens de le faire ça mérite une punition… NON?
-Si… Si…
Je m’adresse aux deux mecs:
-Vous allez voir, je vais vous montrer ce que je fais avec cette suceuse de bites…Qui veut filmer ça? Michel? Tiens!
Je me dirige vers la mallette et l’ouvre. Une vraie boîte de pandore. J’y prends une paire de menottes, un gros plug noir à forme conique et qui se resserre vers le bas, ainsi qu’une poire d’angoisse munie de lanières en cuir. J’attrape fermement ma chienne par sa laisse, et lui passe l’objet destiné à lui obstruer la bouche, serrant les lanières derrière son crâne. Pas un mot n’est prononcé, et ce silence est presque aussi excitant que d’entendre ces flopées d’injures que ma femme affectionne tellement. Michel est concentré sur sa tâche de caméraman. Puis je positionne Hélène le dos tourné aux mâles, à quatre pattes. Je me saisis de ses poignets pour les menotter dans son dos. Ainsi, ma chère et tendre épouse se retrouve le cul bien tendu en arrière, le buste penché en avant et ses grosses mamelles pendant dans le vite, frôlant le sol. Je me saisis du plug, le montre à Michel.
-Regardez bien… Regardez bien ce qu’elle va se prendre dans le fion…
Je m’accroupis à côté d’Hélène. Elle tremble d’excitation, me jette un regard de chiennasse, et tend son derche vers l’arrière. Prendre des gros calibres dans l’anus, ça la rend dingue. Je crache sur son petit trou, étale bien ma salive, recueille sa mouille qui coule entre ses cuisses afin de finir de lubrifier sa figne. Sans douceur j’y plante un doigt. Son cul a déjà pris tant de queues que je n’ai pas besoin de la préparer outre mesure. Je décide d’y aller franco. D’un coup sec je rentre le premier tiers du plug dans son orifice. Hélène pousse un grognement. Puis je finis de lui dilater l’oignon en y mettant le reste de l’engin, qui se retrouve aspiré par son rectum, laissant juste la base dépasser afin de pouvoir le retirer. Cette dernière opération ne l’a pas fait broncher. Elle est magnifique ainsi, docile, soumise, fringuée comme une pute, le visage et les nichons dégoulinants de sperme, et le cul comblé à souhait. Et ce n’est que le début.
-Les mecs, un petit cognac, ça vous dirait?
Ils sont étonnés, mais acceptent. Laissant Hélène dans cette position humiliante, je m’en vais deux minutes pour nous servir trois digestifs. Quand je reviens, je me saisis de la cravache. Puis je glisse une troisième chaise entre mes deux compères et m’y installe. La séance peut commencer. Hélène est à bonne distance pour se faire cravacher le cul.
-A votre santé les amis!
Nous trinquons et mes deux invités se marrent. Je vois que leurs verges commencent à reprendre vie. Tout en buvant une première gorgée de Cognac, je lance un premier coup de badine sur le cul de ma femme. Michel sirote tout en filmant. Quant à Gérard, il lui reste une main de libre pour se pignoler. Je continue à fouetter le cul de ma pétasse, fermement, mais sans trop insister pour l’instant. Elle ne bronche toujours pas, mais sa cyprine commence à dégouliner à nouveau. Hélène a toujours mouillé très vite, et abondamment. Je frotte le bout de la cravache sur sa chatte exposée, écartant bien les grandes lèvres gorgées de sang.
-Regardez moi cette pouf’ comme elle suinte de la cramouille! Et vous savez que ma "chérie" matte nos films quand je suis pas là? Elle se matte en train de se faire tringler comme une traînée, elle branle sa chatte et son cul et laisse de la mouille partout sur le canapé. Pas vrai ma chérie?
Elle émet un vague grognement en hochant la tête. Sans prévenir je mets un coup sec sur sa chatte. Elle tressaute et couine. Je lui mets cinq ou six autres coups, progressivement plus fort et qui ont à chaque fois le même effet. Puis je me remets à m’occuper plus sérieusement de son cul. Cette fois j’insiste un peu plus. En même temps, du pied droit je m’applique à presser sur le plug pour l’enfoncer d’avantage dans son trou du cul. Et pendant ce temps ma salope couine et me tend son arrière train pour bien sentir l’objet.
Je finis mon Cognac d’un trait et pose le verre par terre. Son cul est bien rouge maintenant. Il est temps que je m’occupe de ses seins.
-Retourne-toi. Voilà. Reste à genoux, relève la tête et tends moi tes loches!Voilà.
Je me penche et la débarrasse de la poire d’angoisse.A mes côtés, Michel et Gérard rebandent comme des ânes.
-T’as aimé?
Elle prend une voix timide, chargée de honte mais aussi de luxure.
-Oui…
-T’en veux encore?
-Oui…
-Sur tes seins?
-Oui… Sur mes seins… Où tu veux, en fait…
-Bien…
Elle a gueulé et couiné tandis que je faisais rougir et grossir ses tétines et ses bons gros nichons. Et à chaque coup de cravache je la complimentais à ma façon, suivi par mes deux acolytes, qui n’en revenaient pas.
-Sac à foutre! Salope! Garage à bites! Pouffiasse! Traînée! Suceuse de queues!
Tout cela dure un certain temps, jusqu’à ce que mon envie de lui bourrer la gorge se fasse trop insistante. Je jette la cravache, tire sur la laisse pour obliger Hélène à emboucher ma pine. Ma main libre saisit sa tignasse derrière sa nuque, et j’entreprends de faire coulisser mon chibre dans sa bouche. Je suis en rut, comme rarement, et là je n’ai pas envie qu’elle me suce, mais je veux lui niquer sa gueule de manière bien humiliante. Je manipule sa tête d’avant en arrière, me servant de son gosier pour m’y branler. Hélène crachote, suffoque, mais elle est bien entraînée et en a bouffé de plus grosses. Ma pine et mes couilles sont inondées de sa bave qui dégouline à flots. Une fois de plus j’aimerais me décharger dans sa gorge mais je résiste. Je n’en ai pas fini avec elle. Je relâche ma prise.
-Bon… Si on s’occupait d’elle tous les trois? Ca vous dit les mecs?
-Tu m’étonnes, fait Gérard.
-Carrément, lance Michel en même temps.
Je force ma femme à se relever, et la penche sur le ventre, toujours menottée en travers de la table en tek,laissant juste dépasser son cul d’un côté et sa tête de l’autre.
-Allez vous faire sucer les mecs, pendant que je lui travaille le fion.
Il ne faut pas leur dire deux fois. Michel et Gérard se mettent debout face à elle, Michel ayant toujours le caméscope en main. Ils se font pomper par ma putain, frottent leurs queues partout sur son visage, lui fouettent la tronche de leurs chibres. Soudain, brutalement, je retire le plug du cul d’Hélène. Elle hurle. J’ai une vision paradisiaque de son trou à merde béant. J’en profite pour lui enfiler ma queue directement. Ca rentre comme dans du beurre. Comme un salaud, je me mets à lui bourrer le fion. Je la pistonne à fond, jusqu’aux couilles,lui claquant les miches comme elle aime. La table est secouée de partout et la vaisselle se brise au sol.Mon épouse commence à gueuler:
-Oh oui! Oh oui putain mon chéri! Vas-y baise moi! Bourre moi le cul! Oh c’est si booooonnnn! Oui,OUI, OUI!!! BAISE MOI, ENCULE MOI, JE SUIS UNE SALE PUUUTE, TA PUUUUUUTE!!!!
Michel et Gérard la font rapidement taire en lui baisant le gosier comme des bâtards. Puis je sens un jet de cyprine gicler sur mes cuisses. C’est à ce moment que j’éjacule tout le foutre accumulé dans mes bourses, bien au fond de ses intestins. Quand je me retire, j’admire le trop plein de sperme qui s’échappe de son troufignon béant et rougi.
J’ai ensuite laissé nos invités baiser Hélène pendant une bonne demi-heure, récupérant le caméscope pour immortaliser cette scène jusqu’au bout. Ils l’on tringlée dans tous les sens, par tous les trous et à plusieurs reprises, la faisant hurler de plaisir, comme une chienne.A la fin, je les ai rejoins. On s’est tous finis sur sa gueule de pétasse en manque, la souillant d’un paquet de foutre épais, tandis qu’elle s’en gargarisait.