Ma consultation chez monsieur Coulibadou remonte maintenant à deux semaines et il me reste donc une semaine avant de retourner le voir. Cette période n’a nullement été inactive sur le plan sexuel car ma nouvelle lingerie, achetée en cachette chez monsieur Robert, plaît énormément à mon époux. Il lui est arrivé plusieurs matins de me dire « Chérie, fais-moi plaisir s’il te plaît, mets ta nouvelle parure de lingerie ». J’ai beau lui dire que ce n’est pas vraiment mon style, il me répond toujours que lui adore et qu’il y pense parfois la journée quand il est au bureau. Il ajoute que cela l’excite encore plus en imaginant que des hommes peuvent voir les poils de mon sexe lorsque je suis dans les escalators dans le métro ou les grands magasins. Je lui demande « Cela ne te rend pas jaloux ? » ; « Non, c’est excitant d’avoir une femme convoitée ! » me répond-il. Trois ou quatre soirs, alors que je me déshabillais pour me mettre en chemise de nuit, il s’est collé à moi avant que je retire la parure et m’a fait mettre à genoux sur le prie-Dieu que nous avons près du lit. Bien calé derrière moi, me tenant fermement par les hanches, il m’a prise sans ménagement profitant de la fente de mon string. « Tu n’es qu’une petite bourgeoise salope, tu le caches mais tu aimes la queue » me dit-il. Ce langage cru, que je ne suis pas habituée à entendre semble l’exciter énormément et ses coups de bas-ventre n’en sont que plus forts. « Petite pute, je vais bien t’arroser » ajoute-t-il en se vidant en moi. Bien que ces saillies du soir soient rapides, elles me font le plus grand bien et je découvre ainsi une autre personnalité de mari, pervers, lubrique et peut-être même prêt à me partager avec d’autres hommes.
Mais voilà le jour convenu pour mon rendez-vous chez mon marabout. Comme la fois précédente, je pars en avance afin de passer au magasin de monsieur Robert. Boulevard de Clichy, je me surprends à regarder avec attention toutes ces tenues sexy qui m’avaient tant choquée il y a trois semaines. Lorsque j’arrive au magasin, le gérant est seul et le protocole est le même, il me salue, je lui tends l’enveloppe, il me fait entrer dans la même cabine et me demande de me déshabiller entièrement le temps qu’il aille chercher la lingerie prescrite par monsieur Coulibadou. Lorsqu’il revient, je suis nue en escarpin, assise dans le fauteuil de la cabine. Il se met à genoux à mes pieds, retire une à une mes chaussures et m’enfile un bas noir très léger à chaque jambe avant de remettre mes escarpins. Puis, il me fait me lever et me retourner. Il me passe un large porte-jarretelles qu’il m’attache dans le dos puis fixe les jarretières aux bas. Il me fait asseoir de nouveau face à lui, me fait bien écarter les jambes et pose son visage sur le haut de mes cuisses. Je ne dis rien et me laisse aller alors il accentue la pression de ses mains me forçant à ouvrir grand les jambes. Mon corps s’étend en arrière tandis que mon bas-ventre glisse vers l’avant au contact de sa bouche. Doucement, sa langue butine mon sexe, s’insinue entre mes lèvres et se glisse en moi. Il est vraiment doué car au bout de quelques minutes, une onde de chaleur prend possession de mon corps. Soudain, il se relève et me dit « C’est tout pour cette fois, je dois respecter les consignes de mon ami Coulibadou. Il poursuivra la consultation lorsque vous serez dans son cabinet ». Je règle mes achats, sors sur le trottoir et prends la direction du cabinet de mon marabout. Une nouvelle fois, j’ai l’impression que tous les hommes me regardent comme s’ils voyaient les dessous que je porte et pouvaient respirer le parfum sensuel de ma chatte encore bien trempée et bien ouverte.
Aussitôt arrivée au cabinet, mon marabout me fait entrer et je découvre, avec un peu de stupéfaction, qu’il est accompagné d’un jeune homme également habillé en djellaba. « Bonjour Hélène », me dit-il, « Voici monsieur Sidibé, un jeune assistant qui m’assiste parfois dans mes consultations. Soyez tranquille, comme moi, il est tenu au secret médical et il a toute ma confiance. Il a déjà de nombreux dons pour traiter et guérir certains troubles, notamment sexuels ». Puis s’adressant à son assistant « Tu peux débuter la consultation Ahmed. Bande-lui les yeux et retire-lui sa robe ». Une fois dans le noir, l’assistant passe derrière moi, défait la fermeture éclair de ma robe, la laisse tomber à mes pieds et me fait avancer d’un pas en me tenant par une main. Il me fait rester debout me forçant à ouvrir les jambes et j’imagine le marabout bien calé dans son fauteuil en train de nous regarder. Au déplacement d’air que je ressens devant moi, je comprends qu’Ahmed se met à genoux devant moi et bien vite je sens son souffle chaud sur mon bas-ventre. Puis, ses doigts caressent le haut de mes cuisses, effleurent mes grandes lèvres avec délicatesse avant que quelques doigts se glissent dans mon intimité. Je frissonne et mon ventre commence déjà à durcir tandis que mes tétons se tendent. « Elle sent bon la femelle en chaleur, son sexe est bien moite et sa chatte est déjà bien ouverte » commente-t-il en s’adressant au marabout. « Oui c’est parfait ! J’avais demandé à Robert de la préparer par quelques attouchements tout en lui faisant revêtir sa nouvelle lingerie. Il sait y faire l’animal ! » lui répond monsieur Coulibadou. Puis, s’adressant à moi, il poursuit « Vous voyez Hélène, chaque consultation apporte des progrès sensibles dans votre comportement. Vos réactions sensorielles montrent que vous appréciez cette évolution de votre personnalité. Cela est très prometteur ».
Puis Ahmed me fait mettre à genoux sur mon siège et bientôt je devine deux glands turgescents qui s’approchent de ma bouche et jouent avec lèvres. « Concentrez-vous bien Hélène » énonce mon marabout, « Sans les voir, rien qu’avec votre odorat et votre langue, vous devez reconnaître mon sexe que vous connaissez maintenant bien ». Je me concentre et je respire à pleines narines les effluves masculins qui émanent de ces deux sexes tendus. Leurs parfums sont effectivement un peu différents. Puis, j’ouvre grand la bouche et je gobe le premier sexe qui se présente. Je le déguste comme j’ai vu faire ceux qui dégustent les vins. Je fais rouler le gland dans mon palais, je l’entoure de ma langue, je le tète et j’y décèle un fin goût de noisette. Puis, c’est la seconde queue qui se présente et je procède aux mêmes opérations de reconnaissance. La situation est très excitante et je découvre combien il est si agréable de faire abstraction de tout ce qui est autour soi pour se concentrer exclusivement sur ses impressions. « Maître, votre sexe est le second que j’ai savouré » dis-je avant de poursuivre « Je l’ai reconnu à sa texture et à son goût musqué même si je dois avouer que la belle taille de votre sexe, que je connais maintenant bien en bouche, m’a facilité un peu la tâche. Mais celle de votre assistant est également intéressante ».
Je suis maintenant entraînée vers la table d’auscultation mais, avant que l’on m’y fasse allonger, je devine que l’un des deux hommes s’y installe avant moi après avoir retiré sa djellaba. Lorsque je monte sur la table, deux mains me font comprendre que je dois venir sur le corps déjà installé et bien vite je suis empalée sur la queue que je reconnais être celle de monsieur Coulibadou. Je suis étendue de tout mon long sur lui et ses simples coups de reins suffisent à m’électriser tout le corps. Ma bouche se plaque sur la sienne et je m’abandonne à ses puissants coups de boutoir. Soudain, ses deux mains viennent me caresser fermement les globes des fesses puis les écartent lentement. Je sens alors un visage se coller contre mes fesses et une langue brûlante commence à s’insinuer dans la raie. C’est la première fois, je cherche à bien resserrer les fesses mais les mains fermes de mon marabout m’en empêchent. Les coups de queue dans la chatte me faisant le plus grand bien, je commence à me détendre et la langue de l’assistant en profite pour me fouiller un peu plus loin. Puis, c’est son gland qui remplace sa langue sur ma rosette après qu’il m’a enduit d’un liquide visqueux un peu gras.
Me voilà maintenant empalée sur mon marabout qui a arrêté ses mouvements de bas-ventre mais c’est l’assistant qui donne dorénavant le rythme de la saillie. A chaque fois qu’il cogne au fond de moi, le gland de monsieur Coulibadou fait de même au fond de ma chatte. Au bout d’une vingtaine de minutes d’un tel traitement, je suis aux anges ; cette première sodomie me fait découvrir une jouissance inconnue. Je me laisse aller entre les mains et sous les assauts de ces deux hommes à qui je m’abandonne sans retenue. Tous mes anciens préceptes relatifs aux plaisirs d’une femme et à la sexualité entre époux sont balayés en ces instants d’égarement. Pour moi, je ne trompe pas mon mari, comme je ne l’ai jamais fait depuis notre mariage. Il n’y a nul sentiment entre moi et ces deux hommes. Ce n’est qu’une affaire de plaisir physique, presque d’accouplement bestial ; une parenthèse sensorielle extra temporelle. Puis voilà que l’assistant se retire et, alors qu’il se répand longuement sur mes fesses et mes reins à grands coups de jets crémeux, mon maître délivre dans ma bouche le précieux médicament, mon élixir de jeunesse, mon remède miracle.
Quelques minutes plus tard, me voilà assise sagement dans mon fauteuil face à monsieur Coulibadou bien calé derrière son bureau de bois d’ébène tandis que son assistant se tient droit près de lui. « Comme vous l’avez noté, Hélène, il n’y a que moi qui peux vous prodiguer, quel que soit le mode d’admission, le précieux médicament nécessaire à votre traitement. » m’énonce le marabout, puis, poursuivant « Il en sera de même pour la suite des consultations et cela quels que soient les exercices d’application ou les mises en situation que je vous ferai vivre pour vous faire poursuivre vos progrès. Bien sûr, comme je vous l’ai précisé lors de notre première rencontre, vous pouvez décider à tout instant, sans aucune justification, que la thérapie est terminée et que vous êtes satisfaite des résultats obtenus à ce moment-là ». C’est de manière irréfléchie que je m’entendis lui répondre « Maître, même si vous m’avez déjà grandement aidée et j’en mesure les résultats dans les relations avec mon époux, je considère que vous pouvez encore m’apprendre beaucoup. Je souhaite donc que vous poursuiviez et je vous fais entièrement confiance ». Après m’avoir remis un nouveau flacon de médicament, il me dit « Dans l’immédiat, je ne suis pas en mesure de vous préciser la date exacte de notre consultation. Aussi, si vous n’y voyez pas d’inconvénient, je vous le préciserai par téléphone en vous adressant un SMS au numéro de portable que vous m’avez donné ».
Dans la rue, en repartant vers le métro de la Place de Clichy, je pense que l’attente va être longue et que monsieur Coulibadou a ainsi trouvé là un moyen de me rendre un peu plus dépendante de lui. Alors qu’avant je pouvais compter les jours qui me séparaient de ma consultation et ainsi dompter en partie mon impatience, là j’allais sans cesse épier mon téléphone, vibrer au moindre message et peut-être même devoir trouver seule les solutions permettant d’apaiser ma toujours plus grandissante envie de découvertes sexuelles.