Cet événement est arrivé parmi quelques autres dans mon adolescence. J’étais un garçon plutôt réservé, pas timide mais juste n’ayant pas envie d’exprimer.

Nous étions cinq enfants à la maison et maman avait fort à faire pour s’occuper de nous tous, parfois une de ses amies venait passer la journée pour lui donner un coup de main, que ce soit pour la lessive ou le ménage. Cette dame du début quarantaine s’appelait Aline, elle chantonnait en permanence, c’était une petite boulotte avec toujours des vêtements trop étroits qui la boudinaient.

L’été, quand il faisait chaud, c’était l’époque des grands nettoyages, on ouvrait toutes les portes et fenêtres et le ménage était fait de fond en comble. Pour être à l’aise Aline se changeait, retirant sa jupe et son chemisier, elle enfilait un tablier sur sa combinaison, je l’observais, car elle ne se cachait pas, me prenant toujours sans doute pour un enfant innocent, je l’épiais, attrapant au vol des visions de cuisses grassouillettes gainées de bas attachés par des jarretelles, ou encore des tétons pointant sous le mince tissu. C’est ainsi que j’ai remarqué ses rondeurs, petite poitrine, mais des tétines très développées, un ventre un peu rebondi, des fesses larges et pleines, des cuisses potelées, une peau d’un blanc laiteux.

C’était l’époque de mes 18 ans, j’étais un garçon un peu enveloppé, pas encore vraiment adulte, peu de poils, je me caressais souvent, ayant découvert mon plaisir quelques années auparavant en touchant mon pénis tout dressé, sans que je ne sache pourquoi, mais ça m’avait secoué tout le corps de frissons, j’avais cependant remarqué que du liquide sortait de ma verge, je l’avais goûté et trouvé ça délicieux…

Aline alimentait mes fantasmes, je me voyais lui toucher les seins, lui palper le ventre, je la voyais avancer devant moi, ses grosses fesses balançant au rythme de sa marche…

Ce matin-là, Aline demanda si je pouvais venir l’aider le lendemain chez elle, maman accepta et il fut convenu de la retrouver chez elle dès huit heures.

Elle était mariée avec un homme gentil et aimant, mais souvent en déplacement pour son travail et, elle n’avait jamais eu d’enfant, son affection se reportant sur nous, particulièrement sur moi.

J’arrivai donc à l’heure prévue, j’avais passé mon traditionnel short en tissu sur un caleçon en coton et terminé par un t-shirt, il allait faire chaud dans tous les sens du terme. Dès l’entrée elle me donna deux baisers sonores sur les joues, prenant, comme à son habitude ma tête entre ses mains.

— Viens, je vais te préparer ton petit-déjeuner.

— Oui, merci… tante Aline.

Depuis toujours je l’appelais de cette façon, mes surs aussi d’ailleurs et quand on parlait d’elle c’était toujours "tante Aline".

— Assieds-toi, ton bol est prêt.

Elle se plaça devant moi elle avait déjà revêtu un tablier sans manche, fermé avec des boutons et, tout en étalant le beurre et la confiture sur la tranche de pain, elle se penchait, se mouvait, me laissant voir l’échancrure de son vêtement bailler, je fus surpris de constater que ses petits seins étaient libres dessous, sa peau luisait de transpiration, même à cette heure matinale et quand elle se redressait, j’apercevais nettement les pointes qui dardaient, semblant vouloir percer le tissu…

— Tiens mange, prends des forces, tu en auras besoin, je te verse ton cacao.

Elle se retourna vers la cuisinière où chauffait le lait, j’avais devant moi le spectacle de son derrière engoncé dans une culotte dont je distinguais nettement, à travers le tissu, les contours qui s’enfonçaient dans la chair de ses fesses… de plus, la transpiration faisait coller le tissu contre sa peau au gré de ses mouvements, me subjuguait, je grignotais à peine ma tartine…

— Hé bien tu rêves ? Tu n’aimes pas ?

Elle souriait, je m’empressai alors de terminer, me jetant ensuite sur mon bol pour masquer mon trouble.

Le petit-déjeuner terminé, elle m’expliqua qu’il y avait des vêtements à placer dans des caisses pour les monter ensuite au grenier, tout cela à l’étage et ensuite déplacer une armoire qu’elle voulait dégager de sa chambre vers l’autre chambre pour avoir plus de place…

Nous montons l’escalier, elle devant moi avec cette vision à quelques centimètres de mon visage de sa croupe dodelinant, gauche, droite… j’avais du mal à respirer et me retenais de toucher.

J’ai pu constater qu’elle ne portait pas de bas…

Elle commença à trier les vêtements à emballer, il y avait des jupes, des robes qu’elle disait ne plus savoir enfiler, qu’elle avait grossi et donc elle s’en séparait…

— Dommage, je l’aimais bien celle-ci, mais je ne rentre plus dedans.

— Ce n’est pas sûr, faudrait peut-être l’essayer.

C’était une jolie robe d’été, toute fleurie, sans manche, maintenue avec de fines bretelles.

— Bon, je vais suivre ton conseil.

Elle commença à déboutonner son tablier, me tourna le dos, le fit glisser sur le lit, je vis alors son corps vêtu seulement de sa culotte qui manifestement était aussi un peu étroite, rose en coton, lui comprimant les fesses, parsemées tout comme ses cuisses de traces de cellulite. Elle tenta d’enfiler la robe par le dessous, mais les hanches ne passaient pas, elle avait beau se tortiller en tous sens, rien à faire mais moi j’avais la vision de ses fesses se balançant, se trémoussant que je n’arrivais plus à en détacher mes yeux… Elle riait.

— Tu vois ce n’était pas la peine.

Et devant mes yeux écarquillés :

— Tu rêves encore mon chéri, tu me regardes, petit voyou… allons tourne-toi.

Elle reprit son tablier qu’elle ferma, laissant néanmoins des boutons ouverts, elle disait avoir très chaud.

Nous avions presque fini, il restait une grosse boîte au-dessus de l’armoire, je pris le petit escabeau qu’elle avait eu soin de monter et, une fois sur la plus haute marche, tendis les bras pour l’attraper, ce faisant je vacillai un peu, elle se précipita, les mains en avant, me soutenant par le haut des cuisses, les doigts directement sur la peau nue de la naissance de mes fesses

— Ben dis donc tu as un joli popotin bien rond aussi, on a envie de le manger.

C’était dit en riant, mais moi je ressentais des frissons sur tout le corps et j’eus bien des peines à agripper cette caisse. Je sentais ses doigts qui glissant un peu remontaient plus loin, elle dut alors les resserrer sur ma chair pour me maintenir… ce qui me mit encore plus en émoi.

Je descendis doucement les marches et posai la boîte sur le lit. Nous en fîmes l’inventaire, il y avait surtout des sous-vêtements et cela renforçait mon trouble, elle le remarqua, prenant un soutien-gorge au tissu passablement transparent, elle le plaça devant elle, sur sa poitrine.

— Tu aimes ?

— Oui, beaucoup.

Je balbutiai mes réponses et elle riait, puis dans un geste brusque, elle le plaça devant moi, contre moi.

— Ça te va très bien aussi, enlève ton t-shirt, on va essayer pour rire.

Un moment interloqué, j’ai ôté mon vêtement, elle vint se placer derrière moi et me l’enfila, l’attacha et me fit pivoter pour voir l’effet…

— Mais dis donc, t’as plus de poitrine que moi !

En effet, les bonnets étaient remplis à craquer de mes seins qui débordaient un peu, elle ajusta chaque côté, les caressant au passage et semblant s’apercevoir que j’étais rond avec aussi un petit ventre…

— En plus tu n’as pas de poil, tu es doux…

Elle me caressait à travers le tissu, pinçant délicatement mes tétons, je voyais les siens dressés prêts à crever le tissu du tablier, il régnait une atmosphère lourde, annonçant un orage prochain, nous dégoulinions de transpiration, ses mains moites sur moi m’électrisaient…

— Allez, on va vite terminer, comme ça, on aura droit à la douche et puis il est presque midi, on mangera un morceau juste après.

Aussitôt dit, aussitôt fait, il ne restait qu’à monter les caisses au grenier, elles n’étaient pas lourdes, le triage avait été efficace, elle me laissa.

— Tu peux le faire seul, tu les poses où tu veux, mon mari les rangera à son retour demain.

Elle descendit pendant que je déposais les caisses. Dès que ce fut fait, je m’empressai à mon tour de regagner le rez-de-chaussée, la salle de bain s’y trouvait, je l’entendis chantonner :

— Viens, tu vas prendre une bonne douche et moi aussi.

J’entrai, c’était une pièce agréable avec une grande fenêtre, il n’y avait pas de douche, mais une grande baignoire en fonte alimentée en eau par deux robinets, chaude et froide et un tuyau terminé par une pomme de douche qui était accrochée à la paroi.

— Vas-y, entre là-dedans.

Je restai interloqué.

— Allons, déshabille-toi, tu ne vas pas te laver tout habillé, ne sois pas gêné, c’est comme si j’étais ta maman.

— Maman ne me lave plus.

— Ah bon ben moi si, allez dépêche-toi.

Il ne me restait que mon short et mon caleçon, je fis rapidement glisser les deux dans le même mouvement et enjambai le rebord. Je lui tournai le dos et elle commença à m’arroser avec le pommeau de la douche, puis ayant pris du savon dans le creux de sa main, et me frotta le dos, puis elle descendit sur les fesses, passant sur chaque globe, glissant entre les deux, puis sur les cuisses et, sans plus attendre passa vers l’avant, une main devant, l’autre derrière, massant ma poitrine, mon dos, mes fesses mon ventre puis, finalement mon pubis. Sous ses caresses, mon sexe s’était redressé, elle fit comme si elle ne le voyait pas, elle me fit lever une jambe, je dus prendre appui sur son épaule, elle passait la main sur mes cuisses, remontant sur mes testicules, je constatai alors que son tablier s’était ouvert, me dévoilant ses seins, dont les tétines pointaient comme celles d’un biberon, plus bas, son ventre se poussait en avant… tout à coup, je me raidis autour de son cou, secoué par un orgasme, elle s’en rendit compte et continua sa caresse jusqu’à ce que je me calme…

Puis elle me rinça, l’eau s’écoulait par la bonde, sous l’effet de l’eau et malgré la température, je grelottais un peu… elle me frotta avec une grande serviette, puis me dit de sortir qu’elle allait se laver.

— Va te servir à boire, je n’en ai pas pour longtemps.

A regret, je sortis nu comme un ver, sans m’en rendre compte, je revins pour prendre au moins une serviette, je n’avais pas fermé la porte complètement et je la vis dans l’interstice, totalement nue debout dans la baignoire, l’eau ruisselait sur son corps qu’elle enduisait de savon…, j’ai eu peur qu’elle ne me surprenne, je reculai et finalement allai me servir un grand verre d’eau bien fraîche.

Quelques minutes après elle revient, enveloppée dans une sortie de bain, enrobant ses petits seins et masquant juste son bassin et ses fesses.

— Oh, tu es resté tout nu, tu ne peux pas remettre tes vêtements, je vais t’en trouver, viens avec moi !

Nous sommes remontés, cette fois c’est moi qui marchais devant, elle sortit d’un tiroir un slip de son mari, mais il était beaucoup plus mince que moi et je ne suis pas arrivé à l’enfiler, pas grave, elle prit alors une culotte dans un autre tiroir, c’était un fin tissu, très doux mais cette fois elle flottait autour de mes hanches…

— Attends, j’ai une idée, essaie ça…

Elle avait sorti un genre de paréo qu’elle enroulait autour d’elle quand elle était en tenue de bain, pour masquer ses grosses fesses, me dit-elle…

— Moi je les trouve très belles.

— Tu es gentil, mais ce n’est pas vrai… allez viens là que je te le passe.

A l’aide du cordon qui tenait au vêtement, elle le noua autour de mes hanches, ça frottait sur mon sexe qui se raidit de nouveau, c’était l’époque où un rien le faisait réagir… comme le tissu était très fin, ça se voyait, j’étais gêné.

— Ah, il est toujours en forme celui-là, ne sois pas gêné, c’est normal à ton âge…

Puis me serrant contre elle :

— J’aurais bien aimé avoir un garçon comme toi, gentil, joli, je l’aurais bercé dans mes bras

M’attirant contre elle, je fus contraint de m’asseoir sur ses genoux, elle-même posée sur le lit, elle se balançait doucement en chantonnant… ma tête reposait sur son épaule nue, je voyais un sein qui était sorti de son abri, son téton pointait dans ma direction, je me penchai et instinctivement commençai à téter…

C’est comme si elle avait reçu une décharge, elle me repoussa soudain si fort que dans le mouvement, tout son torse s’était dénudé, je crus qu’elle était fâchée.

— Pardon, excuse-moi, je n’ai pas pensé…

— Non, non, c’est moi, tu sais si j’avais eu un enfant, je l’aurais nourri au sein, je l’aurais pris contre moi, viens, serre-moi…

Je repris ma position l’enserrant de mes bras et ma bouche vint naturellement cueillir son téton que je suçai avec avidité, elle s’allongea sur le lit, me tenant toujours très fort.

— Oui, mon chéri, viens, prends ta maman, bois tout mon lait…

Elle n’en avait pas mais me caressait les cheveux, ma main posée sur son autre sein descendit peu à peu vers son ventre, je la sentais respirer violemment, haleter presque, je palpai sa chair, son ventre orné de petits poils montants de son pubis me paraissait comme un nid très doux, je descendis encore à la limite de son pubis, la serviette qui l’enveloppait s’était totalement ouverte.

Elle me serrait contre elle de plus en plus fort, ses genoux se replièrent un peu, ses cuisses s’ouvrirent, je descendis encore, sa toison cachait complètement mes doigts et puis une humidité commençait à les imprégner, je ne savais pas ce que j’allais découvrir, mais comme elle semblait apprécier, je m’enhardis et soudain mes doigts furent comme englobés entre ses lèvres, elle poussa alors un gémissement plus aigu, ses cuisses se refermèrent sur ma main, elle me prit la tête et couvrit mon visage de baisers, tellement frénétiques qu’elle fut rapidement sur ma bouche, et d’un coup sa langue me pénétra, elle fut secouée d’un long tremblement, me serrant encore plus fort, puis peu à peu son étreinte se relâcha, je restai sans bouger, demandant si je lui avais fait mal… je lui posai la question, elle finit par reprendre ses esprits, réalisant ce que nous avions fait.

— Oh non, tu m’as fait beaucoup de bien, mais nous n’aurions pas dû.

— Pourquoi ?

— Parce que je pourrais être ta maman, parce que tu es tout jeune, parce qu’on ne fait pas ça comme ça, je suis mariée…

— Tu fais ça avec ton mari ?

— Non, plus maintenant, il n’a plus envie de me faire ce genre de plaisir.

— Je peux le faire, moi, si tu veux, c’est la première fois que je caresse une femme… et même une fille.

— Oui, mais toi tu es comme mon fils.

Elle sourit, me donna un gros bisou sur la joue, puis se redressant sur un coude commença à me picorer de petits baisers, le cou, les épaules, la poitrine, elle suça mes petites tétines, je frémissais de plaisir, c’était comme un jeu…

— Tu fais comme faisait maman…

Elle continua sur le ventre, tout en malaxant mes petits seins, puis elle défit la ceinture du pagne, dénudant mon petit sexe tout dressé de nouveau… Elle se mit à quatre pattes, la bouche attirée par mon petit bonbon, elle disait qu’elle allait le manger, ce qu’elle fit, c’était chaud, sa main écarta mes cuisses pendant que ses lèvres me dégustaient, ses doigts glissèrent sous mes testicules, caressant délicatement la peau si sensible dessous, je gémissais de plaisir, un doigt se glissa alors vers ma raie, entrant difficilement entre mes grosses fesses, je levai mon bassin et elle put glisser alors vers mon anus, rien que de le toucher me fit pousser un petit cri de plaisir, elle posa le doigt et doucement le fit entrer.

Elle sentit que j’allai venir et me tins plus fermement, je fus secoué par un sursaut si puissant qu’elle dut s’accrocher à moi pour ne pas me lâcher.

Quand je repris mes esprits, elle me berçait contre sa poitrine en chantonnant… Nous étions tous les deux nus, enlacés…

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