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Une histoire déroutante – Chapitre 1




C’est toujours un plaisir de lire les commentaires de lecteurs anonymes qui ont pris du plaisir à lire une histoire, surtout quand elle est réellement vécue.

Ce lundi-là, je reçois un mail d’un lecteur qui m’explique qu’il a 31 ans, est hétéro marié et n’a jamais eu la moindre envie de sexe entre hommes. Il est seul, en déplacement professionnel et sa curiosité l’a amené à lire l’histoire Le courant passe bien. Il se dit dérouté parce que j’ai failli faire jouir un autre hétéro que celui de l’histoire et il me félicite. En moi-même, je regrette sur le moment de ne pas y être arrivé mais je ressens une certaine fierté malgré tout.

Je dois reconnaître que je suis néanmoins très intrigué par ce message et je décide de lui répondre. Je lui propose d’en découvrir plus sur ce blog et nous échangeons plusieurs messages sur sa découverte. Comme je lui explique, pour moi, il n’y a pas plus saine curiosité que de trouver des moyens de mettre en branle ses hormones sexuelles afin d’en faire profiter son couple ensuite. Il me demande des conseils sur le type d’histoire qui pourrait lui plaire et j’essaie de l’orienter, non sans mal, car comme il me le répète, trois heures avant il n’aurait même pas imaginé pouvoir être excité par un récit de sexe entre hommes.

On peut dire que je ne me gêne pas pour faire quelques allusions érotiques dans nos échanges, ce à quoi il finit par me dire qu’il va se sentir obligé d’aller se masturber dans les toilettes du centre de séminaires où il se trouve. Cette idée m’excite à mon tour et je me décide à le faire fantasmer sur ce qui pourrait se passer le soir-même dans sa chambre d’hôtel où ma bouche gourmande lui ferait découvrir en vrai le plaisir d’une fellation faite par un homme.

Je sens chez lui la pression monter mais il reste, selon ses mots, dérouté par la situation. Nous échangeons ensuite quelques messages moins axés sur le sexe et je finis par découvrir que son séminaire se passe à environ 60 kilomètres de chez moi. J’avoue que là c’est moi qui commence à fantasmer à l’idée de le recontrer le temps d’un soir. On en discute mais je le sens très hésitant à passer un cap de plus sur la même journée. Je ne veux pas le forcer tout en l’encourageant fortement à se laisser aller quand même.

Sa curiosité prend le dessus et il me donne rendez-vous le soir-même à 21h, me donne le nom de son hôtel et son numéro de chambre. J’étais stupéfait d’y être parvenu, croyant moi-même qu’il ne s’agirait que d’échanges virtuels érotiques sans lendemain. Il ne me précisait pas plus amplement ses envies et devait suspendre cette conversation pour se concentrer sur son séminaire.

Tel que je m’y attendais, j’ai reçu un message vers 19h m’annonçant qu’il avait changé d’avis et qu’il valait mieux en rester là. A mon avis, il venait de se branler et l’envie était tombée. Je respectais son choix et lui souhaitais une bonne soirée. Seul chez moi, je pestais malgré tout et ai commencé à chercher un plan cul dans la région, j’avais besoin de relâcher la pression. Comme d’habitude, la majorité sont des branleurs derrière leurs écrans et impossible d’en trouver un motivé à se faire du bien en réel.

Vers 22h30, ne tenant plus, je tente le tout pour le tout, monte dans ma voiture et prends la route vers la ville où loge cet hétéro curieux. Vers 23h, j’arrive sur place, j’explique au gars de la réception que je suis le collègue du client de la chambre n° 168, que j’ai pris du retard et que mon collègue ne répond plus à mes messages, qu’il doit s’être endormi. Je le sens sceptique mais coopérant malgré tout. Il programme une carte magnétique et me donne accès à sa chambre. Je me rends compte sur le moment de la folie dont je fais preuve mais ce mec m’a donné très envie.

Je frappe quand même discrètement à sa porte, écoute s’il y a du bruit et vu le silence total, j’introduis ma carte dans le lecteur. Je rentre sur la pointe des pieds. Le mec est là étendu à poils dans une chambre surchauffée. Je me rends compte que je ne savais absolument pas à quoi il ressemblait mais je ne suis vraiment pas déçu. Sa queue est là ramollie, s’offrant à moi. Ni une ni deux, je m’approche et la gobe, l’inconnu reste jusque-là endormi.

Je sens son membre gonfler et lui semble penser être en train de rêver car son corps bouge quelque peu, avec un rictus de plaisir sur la bouche. Je continue à lécher et sucer son membre de plus en plus gros dans ma bouche. Son membre est totalement au garde à vous quand il se réveille petit à petit et réalise ce qui est en train de se passer, il marmonne alors quelque chose du genre "Mais qu’est ce que…". Je lui réponds "Chuuuut, laisse-toi faire".

Je n’ai pas dû longuement le convaincre et le voilà apprécier la pipe que je suis en train de lui faire, il tiens ma tête qui continue ses va-et-vient soutenus sur son sexe. Apparemment la journée a été très excitante car quelques minutes plus tard, il me gicle tout son jus dans la bouche, j’avale et continue à le pomper. Il se laisse faire sans sourciller. Son membre dégonfle évidemment un peu mais garde une certaine droiture reflet de son envie persistante. Au bout de quelques minutes à tenter de ranimer l’engin, le voilà à nouveau droit comme un I. L’inconnu se met à genoux sur le lit et me demande de me coucher sur le dos et il commence à me baiser la bouche comme il le fait dans ses habitudes. J’en ai mal au palet tellement il est énergique mais j’encaisse, je l’ai bien cherché. L’histoire qui l’a tant excité le matin même doit être restée imprimée dans son esprit puisqu’il prend de l’assurance et m’ordonne ensuite de me mettre à genoux. Il m’enfonce son pieu dans la gorge et me la laisse profondément rentrée, j’en ai du mal à respirer. Il aime ça le bougre, il se retire et redonne un grand coup de bassin pour me la planter à nouveau au fond de ma gorge. Je subis le même sort plusieurs fois jusqu’au dernier coup où son sperme se déverse directement dans ma gorge sans que je n’ai l’impression d’avaler. Il se retire et me dit avec un regard pervers "Tu n’avais pas menti sur tes compétences mon cochon, dès que je repasse par ici, je te fais signe". Je me suis relevé, il m’a donné une claque sur les fesses et je suis parti, complètement dérouté à mon tour.

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