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Miroir déformant – Chapitre 3




Il se retira. Mes jambes se serrèrent instinctivement sur le vide qu’il laissait et mes fesses se levèrent vers lui, espérant retrouver le contact de sa queue sur mon sexe : j’aimais tellement qu’il me remplisse… Il resta allongé sur mon corps, m’immobilisant, sa queue dure et mouillée reposant entre mes fesses. Il se redressa légèrement, commençant à m’embrasser les épaules, par petites touches. J’aimerais glisser une main entre mes cuisses, mais son poids m’en empêche. L’excitation ne retombe pas, d’autant qu’en bas, tout semble changer. Il n’y a plus que son copain qui s’occupe d’elle, les autres se sont visiblement entièrement vidés et se sont assis, les regardant sans grand intérêt. Ses gestes doux la caressent, elle lui fait face, allongée sous lui, l’enserrant de ses bras. Elle gémit à nouveau, ça lui plaît, il lui parle doucement en lui touchant les seins. Je veux qu’on me pénètre moi aussi. Je veux cette douceur.

— S’il te plaît, ne me laisse pas vide…

— C’est vrai ? Tu veux que je te remplisse à nouveau ? (Ses baisers s’accompagnent maintenant de caresses, sa main droite passe sous mon bassin et masse très doucement mon clitoris. Je gémis en silence)

— Oui, remplis-moi…

Il se redresse un peu, bascule sur le côté et avance vers mon visage. Je sens sa queue glisser le long de ma hanche droite, remonter vers mon sein, mon épaule, mon cou, glisser sur mon menton. J’ouvre la bouche.

Il me tourne franchement sur le côté et pose son gland sur mes lèvres. J’attends, tremblante, tandis que la douce conversation en bas continue (c’est bon quand c’est toi et pas eux… je sais que tu aimes qu’ils me le fassent, alors j’aime aussi, j’aime si tu aimes. Mais c’est bon quand c’est toi, quand c’est ton plaisir qui me domine Ils t’ont écartelée… Tu es tellement ouverte, toutes ses queues qui t’ont baisée… tu sens encore ma queue qui te pénètre ? Oui, je te sens bien… est-ce que ma chatte te donne du plaisir ? Ta chatte est bonne, elle est vraiment bonne pour ma queue, elle est bonne à baiser).

Il semble attendre. Je lève les yeux, son regard un peu rieur m’invite à bouger. J’avance mes lèvres autour de son gland. Il le retire.

— Non, non. Non. Nous voulons que tu sois bien protégée, nous voulons une protection minutieuse, sans omettre les détails.

Il rapproche à nouveau sa queue. Je tends ma langue entre mes lèvres. Son sourire m’approuve. Je commence à lécher la base de son sexe. Sous ma langue, la chair palpite. Oh, en moi, tellement envie… (en bas, je ne les vois plus, la tête tournée et le regard focalisé sur un bas-ventre divin, mais je l’entends : elle le réclame, elle veut qu’il l’utilise pour jouir, elle lui déclare sa soumission.) Je me retiens, je continue de le lécher, consciencieusement, sur la base de sa queue entièrement, posant mes lèvres sur lui. Il respire plus fort. Je remonte vers son gland. Je veux l’enfoncer au fond de ma gorge, d’un coup, mais il m’en empêcherait. Je laisse ma langue jouer dessus, étaler le liquide séminal qui s’en échappe ; j’y fais courir mes lèvres pour les lubrifier. Je voudrais tellement le prendre dans ma bouche… Ses mains se posent sur ma tête.

— S’il te plaît…

— Dis-le.

— Protège ma bouche.

— Comment ?

— Remplis-la.

— Je protège ta bouche.

D’un mouvement déterminé, il enfonce alors sa queue en moi. J’imaginais continuer à le lécher et englober lentement son gland, savourer la lente et douce pénétration entre mes lèvres, son goût m’envahissant progressivement, mais il est plus rapide : son sexe est à moitié dans ma bouche, m’étouffant presque tant son intrusion est soudaine. Il se retire et laisse son gland reposer sur mes lèvres. Je le lèche avidement et le suçote délicatement.

— Je te protège. C’est ce que tu veux, n’est-ce pas ?

Je laisse échapper un gémissement par le nez. Oui, c’est ce que je veux, baise ma bouche, ramone mes lèvres, prends-moi comme ça, enfonce-toi en moi, c’est ce que je veux.

— Oui.

Il me pénètre à nouveau ; j’ouvre largement ma bouche pour l’accueillir, il se retire, revient, accélère. Dans les mouvements suivants, il s’enfonce davantage ; la base de sa queue, plus large, m’écartèle les lèvres.

— Est-ce que je te remplis assez pour te rassurer ?

Je gémis et tâche d’accentuer le mouvement de pénétration de ma tête. Oh s’il te plaît s’il te plaît s’il te plaît, prends ma bouche comme tu as pris ma chatte, baise-la fort…

Il me renverse sur le dos, ses hanches dominant mes lèvres, leur infligeant un rythme désormais effréné. J’entends à peine son murmure tandis que le sang bat violemment à mes oreilles et que sa queue produit un délicieux bruit mouillé entre mes lèvres.

— Je te protège, tu vois, je te protège vigoureusement… Tu ne risques rien… Je te protège…

En bas, elle gémit à nouveau. Je voudrais pouvoir gémir aussi, il me remplit trop pour cela. Comment fait-il pour tenir ? Voilà plus d’une demi-heure qu’il se masturbe, me baise, s’enfonce dans ma bouche, mais son érection est toujours dressée et exigeante.

Brusquement, il arrête, me laissant haleter sur le vide, happer de mes lèvres le plaisir enfoui. Ma bouche délaissée bouge doucement sur son membre absent.

— S’il te plaît… (Mes lèvres endolories ne parviennent plus à supplier, mais mon corps exige le plaisir.)

— Il faut achever ta protection. Tu te souviens ? Partout. A moins que tu n’aies changé d’avis. Si tu veux t’en tenir là, très bien.

— Là ? Pas davantage de… protection ?

— Non. Je ne t’oblige à rien.

— Ma bouche. Encore. J’en ai besoin. Par pitié.

— Non. Soit on arrête, soit j’achève ma protection.

En moi, en moi, oh en moi… C’est ce qu’elle gémit en bas. Je me tourne sur le ventre, légèrement accroupie, coudes relevés sous les seins, présentant mes fesses. Je tremble.

— Dis-le.

— Protège-moi.

— Où ?

— Ici (je tends une main vers mes fesses).

— Dis-le.

En bas, les bruits de baise ont cessé. Ils murmurent. Des corps qui bougent. Visiblement, les autres gars sont partis, il ne reste que le couple originel, la baise originelle, le plaisir originel. Elle le réclame (encore !), il manipule un objet au sol. Silence. Puis il crache. Quelques secondes après, elle commence à haleter. Lui aussi. Je me tortille un peu vers le bord pour les voir. Il lui a enfoncé un objet long et large comme une bite dans le cul. Elle en réclame davantage. Il caresse sa queue et cesse de la masturber avec le gode (improvisé ou prévu ?) qui reste toujours planté en elle. Il le positionne vers le bas et appuie sa queue dessus, à l’entrée de son cul.

— Dis-le.

Elle gémit : encule-moi… soumets mon cul à ta queue…

Je halète d’anticipation.

— Protège mon dernier trou.

— Et comment veux-tu que je le protège ?

— Enfonce-toi en moi.

— Redis-le. Entièrement.

— S’il te plaît, enfonce-toi dans mon cul, sodomise-moi, encule-

— Chhhhhhh chhhhh chhhhh, du calme… (ses mains ont saisi mes seins et les caressent doucement) Ne panique pas. Je promets de te protéger entièrement.

Ses mains jouent avec délicatesse avec mes tétons, les roulent, les caressent, reviennent sur mes seins. Il se place dans mon dos. De ma position semi-accroupie, je sens sa queue entre mes cuisses écartées, toujours dure. Mon sexe se mouille d’anticipation. Il se penche en avant, ce qui lui donne un meilleur accès à mes seins. Oh laisse-les, viens me pénétrer plutôt… Mais je n’ose pas réclamer. Il devine aux mouvements de mon corps mon désir d’être emplie de lui, de sa queue et de son sperme quand il jouira.

— Chhh… Tu as pourtant bien compris dans les étapes précédentes… Une protection efficace demande du temps, de la patience. Laisse-moi faire.

Le laisser faire, me laisser faire. Il continue ses caresses, par moments il empoigne mes seins (c’est bon), puis les malaxe (c’est bon), puis me mord délicatement l’épaule (c’est bon), tire doucement mes tétons (bon), presse puissamment mes seins sur mon buste (bon, tellement bon) les écrase, les emprisonne, les relâche, les effleure et murmure:

— Tu as des seins magnifiques, je les aime, ils sont doux et tendres, fermes et ronds, excitants, bandants, éjaculants, j’aime visualiser mes mains sur eux, j’aime imaginer ton visage quand je te caresse, ton corps entier, ton corps est bon… Je pourrais jouir de te caresser, vider mes testicules de tout leur sperme à la seule idée de mes mains sur toi… Mon sperme que tu as fait monter en moi en me laissant te protéger… Tu es douce et je suis dur en te caressant, tu me sens ?

Bon… Oui c’est bon…

— Je te sens… Oh, mais s’il te plaît, en moi, profond…

— Chhhh, ça vient (sa queue se place sur mon anus), doucement (sa main droite poursuit ses caresses, sa bouche m’embrasse les épaules et me lèche, sa main gauche passe dans mon dos, manipule sa queue), tu es vraiment bonne à pénétrer (j’essaie de pousser pour écarter mes fesses, élargir mon anus. Son gland glisse vers le bas, se mouille à l’entrée de mon sexe, repart, revient, ainsi jusqu’à être trempé de moi). Hum oui très bonne, tu vas voir, tu vas aimer que je te protège ainsi.

Mon souffle court indique mon attente. Son gland revient sur moi, se pose… J’espère. Mon corps palpite de désir et réclame la pénétration. Il appuie légèrement. J’attends, tentant de retenir mon bassin qui veut aller à sa rencontre. Sa main droite se déplace sur mon téton, ses doigts le saisissent et l’étirent délicatement. La tension sur mon sein augmente, il tire vraiment. Sa queue ne bouge pas.

— S’il te plaît…

— Tu veux ?

— S’il te plaît…

En bas, il y a longtemps qu’il la pénètre (quelle chance), en ouvrant les yeux je les vois. Je vois le gode dépassant de ses fesses à elle, je le vois lui s’activant dans son cul, la besognant rigoureusement, l’enculant méthodiquement. Elle halète et hanane régulièrement, yeux fermés. Il a glissé une main entre ses cuisses et la masturbe en même temps. Il lui dit qu’il l’encule. Elle lui répond qu’elle aime ça. Il lui dit qu’il va la pilonner. Elle répond : oui. Qu’il va lui éclater le cul. Oui. La défoncer jusqu’à ce qu’il jouisse oui se vide de son foutre en elle oui sa queue la transperçant. Oui. Elle veut, tout.

— S’il te plaît, je veux…

Une douleur me transperce le sein lorsqu’il tire plus fort le téton, je mords mes lèvres et… serrant instinctivement l’anus sous la douleur, je sens qu’il a profité de cet instant pour entrer en moi. Son gland, lubrifié par mon plaisir impatient, me pénètre. Je ne bouge plus.

— Oh c’est bon dans ton cul… encore mieux que ta chatte et ta bouche… Tu vas voir, je vais jouir fort, tu as envie que je jouisse en toi ?

— Oui.

— Dis-le.

— J’ai envie que tu jouisses dans mon cul, que tu me sodomises doucement jusqu’à ce que ta queue m’inonde de plaisir, je veux te sentir comme ça…

Il s’enfonce un peu plus. La moitié de sa queue. Il me dilate, je m’ouvre sous lui. Bon, oui, très bon. Pas assez. Encore. Toute sa queue en moi, par pitié. En se servant dans mon sexe, il lubrifie ce qu’il reste de pénis à enfiler, puis il pousse dans un bref halètement.

Enfile-moi jusqu’au bout, tu m’as dit que j’étais bonne, bonne pour toi, prends-moi pour toi, prends-toi en moi, encule-moi fort.

La force de sa poussée m’écrase, je m’affaisse sur le ventre en gémissant, sa main droite toujours sur mon sein.

— Ma protection est là pour toi… sens-la bien… vas-y sens-là, hein, tu la sens ? Tu la sens ? Vas-y dis-moi que tu la sens !

Sa queue est énorme en moi alors qu’il s’immobilise, ses testicules collés à moi. Il me recouvre entièrement, ses jambes maintiennent les miennes serrées : mon trou devient plus étroit, ressentant plus vivement la sodomie. Ses mains agrippent mes poignets, son torse sur mon dos m’interdit tout mouvement. Il commence à bouger, lentement, se retire à peine pour revenir me pénétrer immédiatement. Ce léger mouvement me fait gémir ; il fait bouger mon corps : mon sexe frotte contre le sol, le plaisir me gagne.

Son corps pèse lourdement sur moi, s’allège, revient : envol et pesanteur, mon corps réclame cette force puissante qui me cloue au sol, gémit lorsqu’elle s’éloigne, gémit lorsqu’elle revient, je supplie qu’il revienne lorsque sa queue glisse hors de moi, je supplie qu’il reste lorsqu’il revient. Envol et pesanteur. Son sexe qui me comble. Ses testicules battant sur mes fesses, oh reste ! Encore ! Reste ! Son gland à l’entrée de mon anus, reviens reviens reviens par pitié reviens me remplir, baise-moi fort…

Il enserre désormais mes épaules de ses bras, me plaque contre lui, me pénètre au plus profond.

— Oh putain, tu es trop bonne, ton cul va me faire jouir, c’est étroit, putain je te baise, tu me suces, je t’encule, putain c’est bon partout en toi, prends ma queue, prends-la dans ton cul (ses mouvements deviennent amples et secs) ah j’adore t’enculer tu la prends bien ma bite dans ton cul serré et tu aimes prends prends prends prends-la bien je te la mets bien !

— Oui au fond, tu me la mets tellement bien, bien au fond, c’est tellement bon ta queue qui m’encule…

En bas, elle crie de plaisir sous la double pénétration du gode et de la bite qui va se vider en elle.

— Encore, encore, encore, encore.

Je ne sais plus qui gémit qui réclame, mon corps veut tout, la soumission d’en bas me gagne et je veux cette queue dominatrice me clouant au sol, je la veux plus profond, sans concession. Il griffe mes épaules, je n’entends plus ce qu’il dit. Mon sexe frotte le sol au rythme de la sodomie, je ne sais plus d’où vient le plaisir, mais tout est dans son poids sur moi, son corps sur le mien, cet envol et cette pesanteur qui me soumettent et m’arrachent maintenant des cris. Malgré son poids sur moi, mes jambes et mes bras battent comme pour agripper l’orgasme, comme s’il était vivant et palpable, enflant dans mon sexe enflammé, bondissant entre mes fesses, gagnant l’humidité de mes lèvres, une bête hurlant par ma bouche une explosion de plaisir ininterrompu ; tout est présent en moi qui m’absente du monde, rattachée à lui par la seule force de la queue qui me transperce.

Il sent son érection durcir encore, étroitement serrée dans ce cul offert, il va venir maintenant. Un dernier coup de queue, violent, et elle explose : il l’écrase de son poids (elle ne bouge plus, ne gémit plus, elle a dû déjà jouir) de son plaisir, il la fouille en gémissant dans un dernier mouvement puissant : trois coups de bassin qui la plaquent au sol violemment et lui arrachent un cri à chaque fois. Il se veut entièrement en elle, la remplir de tout son corps, sa substance, sa queue pulsatile qui laisse fuser son sperme, son éjaculation trop intense qui la remplit et déborde le long de sa queue glisse hors d’elle sur ses fesses et entre ses cuisses, il la possède elle est à lui, elle est lui, il est elle et s’abîme dans ce corps soumis.

Ne bouge pas. Reste en moi. Un peu. Ton poids, ta chaleur, ton liquide qui s’écoule de mes fesses et glisse en haut de mes jambes, ta queue encore dure et épaisse en moi finissant de répandre son sperme en plusieurs longues contractions qui me dilatent doucement, ton souffle qui me caresse. Je te veux sur moi encore. Tu m’as trouvée, tu m’as prise, pénétrée, manipulant mon corps pour nos plaisirs, ne me laisse pas maintenant, reste, reste, reste encore.

Il ne bouge plus. Son souffle reprend peu à peu sa régularité, il embrasse par à-coups ma nuque. Sa main droite, toujours bloquée sous moi, se dégage doucement et caresse mon dos, mes hanches. Sa main gauche cherche mon visage, le tourne vers lui. Il m’embrasse, sa langue joue délicatement sur la mienne avant de lécher mes lèvres puis mon cou. Sa queue dégonfle lentement, je ne peux m’empêcher de serrer un peu les fesses dans l’espoir de la sentir se raffermir. Je viens à peine de jouir, mais j’ai encore (ou déjà ?) envie de le sentir dur en moi. Il rit doucement.

— Tu exagères…

Non, je veux être remplie, encore, même après le plaisir. Il se retire, le sperme qui avait commencé à couler malgré sa queue toujours en moi glisse le long de mes fesses. Je me retourne et me blottis contre lui. Il me serre d’un de ses bras, l’autre descend vers mon sexe qu’il caresse doucement. Que font les autres en bas ? Je l’ignore, mais il semblerait que la manifestation de notre présence ne les ait pas perturbés. Peut-être qu’ils ont aimé ça. Peut-être que c’était prévu. Peut-être qu’ils étaient l’appât, que je n’ai fait qu’entrer dans un jeu délicieux. Peut-être que depuis le début, je suis le spectacle, l’objet, non pas comme la femme d’en bas soumise à tous, mais l’objet de celui qui me tient contre lui en murmurant qu’il a aimé me baiser, me pénétrer, s’enfoncer dans mon sexe puis ma bouche puis mon cul, me faire jouir, qu’il veut recommencer, replonger sa queue durcie en moi et me faire gémir. Peut-être… Je laisse aller ma tête, mes jambes, mon corps. Recommencer, me soumettre à nouveau et y prendre plaisir, comme la fille en bas, ou presque, reflet incertain de cette soumission absolue. Oui. Ce bâtiment abandonné aura été une belle découverte…

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