Je me surpris moi-même. J’avais osé le dire, j’avais dis à mon frère que je voulais le sucer. Je compris alors que je ne pouvais plus faire marche arrière lorsqu’il se retourna et rebroussa chemin, s’approchant de plus en plus près de moi, le pénis toujours de sortie.
-Ah, je savais que tu en mourrais d’envie.
Il s’approcha de moi jusqu’à ce que son gland se trouve à l’entrée de ma bouche, toujours fermée. Mon intimité reprit donc à couler de plus belle. J’eus un bref mouvement de recul, effrayée par ce que je m’apprêtais à faire.
-Salomé, tu es certaine de vouloir le faire ?
-Oui, répondis-je, c’est juste que je ne pensais pas qu’elle aurait cette taille, c’est plus impressionnant que sur un écran d’ordinateur.
Il eut un faible sourire puis, me regardant droit dans les yeux, il posa sa main à l’entrée de ma fente. Sentant ses doigts frotter mes parois, j’écartai légèrement les jambes afin de lui laisser un peu plus de place pour manuvrer.
-Oh, alors comme ça, toi aussi tu es accro au porno ? Alors dis-moi, quand tu en regardes, est-ce que tu te caresses comme je suis en train de le faire ?
J’allais lui répondre, lui révéler la partie perverse de mon être, mais au moment ou j’ouvrais les lèvres pour prononcer ce « oui », il enfonça doucement son pénis dans ma bouche, le frottant contre ma langue. Je le laissai faire, appréciant trop ce qu’il me faisait pour avoir le courage de résister à l’inceste, mais l’envie était trop forte. Et puis zut, ce n’est que la première fois, je suis sûre que pleins d’autres gens l’ont déjà fait, pensais-je. Je me laissais donc aller, profitant de ce petit moment d’extase que m’offrait mon frère. Je regardais alternativement le visage de celui-ci, n’essayant même pas de masquer son plaisir, et son membre allant et venant dans ma bouche. Je fermai alors les yeux et décidai de prendre les choses en main. Je posai ma main droite sur son membre, l’obligeant à s’arrêter, et commençai des moulinets avec ma langue. Je n’avais aucune expérience dans ce domaine, si bien que je savais que je m’y prenais mal, malgré les gémissements de mon frère, simulés à mon avis.
-Oh oui surette, c’est trop bon, continue !
Ces paroles sonnèrent faux dans ma tête. Je l’entendais à sa voix, il n’était pas sincère.
-Arrête de te moquer de moi.
-Mais je ne me moque pas ! répondit-il, feintant d’être vexé.
Étrange, je pensais mon frère bien meilleur menteur que cela. Antoine était réputé au lycée pour être un manipulateur hors-pair. On disait qu’il pouvait mentir sans aucun risque d’être découvert, on disait aussi qu’il pouvait lire les expressions sur les visages. Apparemment, son mythe n’était rien de plus qu’une histoire à faire s’endormir des enfants.
-Si ! Je sais que je suis mauvaise, mais je n’ai jamais sucé de ma vie !
Il me caressa les cheveux tendrement avant de me redresser le menton.
-Salomé, dit-il en me tapotant l’épaule de sa main libre -et trempée de cyprine, mais je ne lui fis pas de remarque-, d’accord, ce n’était pas génial, mais c’était loin d’être mauvais, je t’assure. Si tu veux un conseil, tu devrais essayer d’aspirer un peu de temps en temps, comme si tu voulais faire sortir tout le sperme de mon gland pour qu’il arrive tout droit dans ta bouche. Essaie et ce sera formidable.
Les doux mots de mon frère me consolèrent et m’encouragèrent à reprendre. Je suivis son conseil et, parfois, j’aspirai, comme je l’aurais fait avec une paille, et provoquai par conséquent chez lui une réaction plutôt encourageante, qu’il intensifia en rentra deux doigts dans mon intimité avant de commencer à me caresser de l’intérieur. Je fus surprise, personne n’était jamais entré auparavant, même s’il ne s’agissait ici que d’un index et d’un majeur, rien de bien exceptionnel.
-Dis-donc surette, c’est soirée piscine aujourd’hui ? Regarde comme tu débordes.
Je fis de mon mieux pour jeter à il à mon entre-jambe, mais ce fut les draps qui attirèrent mon attention. Une tâche d’humidité fit son apparition au beau milieu de mes jambes. Totalement excitée par cette vision de ma cyprine, j’attrapai délicatement le scrotum de mon frère et la pressai gentiment. J’avais déjà vu ce genre de choses dans des vidéos sur Internet, mais je ne savais pas si cela lui plairait ou non. Apparemment, oui. Il se mit à gémir un peu plus bruyamment, mais il se reprit rapidement en main, sans quoi il aurait réveiller notre père. Je ris intérieurement de cette situation, j’étais persuadée que ce serait moi qui aurait à masquer mes hurlements. Comme quoi la vie nous réserve de bonnes surprises. Perdues dans mes pensées, je fus ramenée à la réalité lorsque je sentis un liquide gluant et amer couler dans ma gorge. Le goût me plaisait, j’appris donc que j’aimais sentir les sensations qu’offrait le sperme d’un homme dans ma bouche. Lorsque j’eus tout avaler, il se recula et se rhabilla précipitamment. Je lui fis une moue boudeuse, mais il me fit signe de tendre l’oreille : papa était réveillé et descendait les escaliers. Il ne fallait surtout pas qu’il nous surprenne, alors j’ouvris la fenêtre afin de libérer la pièce de son odeur de sexe. Je voulus enfiler mon pyjama, mais je sentais le sperme et la cyprine à plein nez, alors je décidai d’aller prendre une douche après avoir demander à mon frère de prétexter un oubli d’éteindre le radiateur la nuit dernière et d’avoir beaucoup transpiré pendant la nuit.
-Comme tu voudras. Prends ton temps, je prépare ton petit-dej !
Je le remerciai et, après m’être totalement dénudée, j’entrai dans la douche. Je n’hésitai pas à bien faire couler l’eau et me tartiner entièrement de gel douche et de shampoing, je ne voulais absolument pas que l’odeur persiste. Après une dizaine de minutes, je rejoignis mon frère et mon père venant tout juste de finir de manger. Je n’avais pas pris la peine de m’habiller, je m’étais contentée d’enrouler une serviette cachant mes parties intimes des regards indiscrets et une autre autour de mes cheveux. Me frère ne me lâchait pas du regard, sauf quand notre père regardait dans sa direction, où là, il se concentra à nouveau et se leva de table, accompagné de mon père.
-Je t’ai préparé ta tartine à la confiture, Salomé, dit-il en partant à son tour en direction de la salle de bain.
Je mangeai paisiblement lorsque j’entendis le petit « clic » de la serrure de la porte verrouillée par Antoine.
-Je pars faire les courses, je reviens dans un quart d’heure, pas plus. A tout de suite.
Je tournai alors la tête et vis mon père quitter la maison et monter dans sa voiture. Il nous avait laissé seuls, mon frère et moi. Ces pensées me donnèrent quelques idées perverses, mais je les contins. Une fois ma tartine avalée, je me levai, rangeai mon bol de lait à présent vide dans le lave-vaisselle. Je me dirigeai à présent vers ma chambre, voulant profiter ce bref moment de répit pour laver mes draps. En passant devant la salle de bain, j’entendis un nouveau « clic » et la porte s’ouvrit, laissant place à une main attrapant le nud de la serviette recouvrant mon corps. Je me retrouvai alors totalement nue tandis qu’Antoine garda la serviette dans la salle de bain. Je rentrai alors à l’intérieur, amusée, et le découvris nu comme un ver. Une fois la porte passée, il la ferma à clé et, après m’avoir plaquée contre le mur, il m’embrassa. Folle d’excitation, j’ouvris instinctivement la bouche, laissant sa langue chatouiller la mienne. Son sexe, tout aussi dur que lors de notre séance de fellation, se redressa et se colla à mes parois plus humides par la cyprine que par l’eau de la douche. Il m’attrapa alors par la taille et me souleva jusqu’à m’emmener dans la douche. Je me laissai faire, attendant de voir ce qu’il voulait de moi. Arrivés à l’intérieur, il me plaqua contre le mur et laissa l’eau couler, arrosant nos corps sécrétant des montagnes d’hormones sexuelles. Il m’embrassa derechef tout en soulevant l’une de mes jambes en l’air, plaquant son bassin au mien. Comprenant où il venait en venir, je le repoussai subtilement.
-Attends, s’il-te-plaît, je ne l’ai jamais fait avec personne auparavant.
Il arrêta son baiser et me regarda dans les yeux. Aucune lueur de méchanceté ne brillait dans son regard, ni aucune de perversité. Il voulait tout bonnement et simplement prendre du plaisir avec moi. Il valait donc mieux que ce soit lui qui me fasse devenir une femme, non pas l’un de ces pervers grouillant les rues, n’attendant que de voir ma jupe se soulever au moindre coup de vent pour me sauter dessus et me faire souffrir, rendant l’instant abominable. Il se prépara à reculer, mais je le lui empêchai en attrapant son gland de ma main droite.
-Je voulais simplement te dire, articulai-je, de ne pas être trop dur avec moi.
Sans prononcer le moindre mot, il sourit et plaça son pénis à l’entrée de ma fente. Il me regarda, ses yeux me demandant si j’étais prête. Je hochai la tête et sentis alors son membre passer en moi. Je me retins de crier de douleur et pris mon frère dans mes bras. Sentant ma détresse, il ne bougea pas et, avec moi, il attendit que la douleur s’estompe pour commencer à bouger. Les quelques aller-retour qu’il fit dans mon utérus m’emmenèrent au septième ciel, mais, avec une petit déception, il se retira et éjacula sur mon ventre. Je pus alors voir un mélange de sang et de sperme couler dans le siphon de la douche. J’en étais amusée. Je fus alors prise au dépourvu lorsque Antoine plaça deux doigts dans mon vagin et commença à faire trembler ses mains assez intensément.
-Maintenant, c’est ton tour d’être satisfaite, me chuchota-t-il à l’oreille.
Je tremblai de plaisir, si bien que mes forces menaçaient de m’abandonner. J’eus encore plus de difficultés à résister lorsque mon frère prit mon téton droit pour le mettre dans sa bouche et lui donner de nombreux coups de langues. A ce rythme, je jouis en quelques secondes et m’assis par terre, totalement exténuée.
Après m’être remise de mes émotions, mon frère et moi nous étions rincés et, ensemble, nous avions changé mes draps et refermé ma fenêtre. L’air frais avait remplacé cette odeur de sueur et de plaisir qui régnait auparavant dans ma chambre. Une fois le nettoyage terminé, Je regardai ma montre. Onze heures. Je commençai alors à paniquer, cela faisait une heure que notre père était sorti et toujours aucunes nouvelles. Cependant, mon frère restait calme, beaucoup trop calme d’ailleurs. Je n’aimais pas du tout ça. Deux minutes plus tard, je fus soulagée lorsque la porte de la maison s’ouvrit, laissant l’homme qui m’avait fait naître entrer dans un rectangle de lumière.
-Désolé les enfants, s’excusa-t-il, j’ai crevé en route et mon téléphone était déchargé.
Antoine ne répondit rien, il se contenta de taper amicalement l’épaule de son père. Quand à moi, je l’enlaçai et l’embrassai sur la joue. Cependant, durant mon étreinte, j’eus une terrible impression. Je cru déceler sur le visage de mon frère de la satisfaction. Je chassai cette pensée de mon esprit, mettant ceci sur le dos de notre petite folie matinale.