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Marc et Laurence – Chapitre 1




Cette histoire fait suite a "dans le train de nuit (5)"

Arrivés chez nous, tout le monde enlève son manteau et nous nous installons dans le salon. Là je vois que Laurence est habillée dun chemisier parme relativement léger pour la saison et dune jupe blanche en jersey, courte et juste au corps. Je ne vois aucune trace de sous-vêtement. Sa jupe moule des fesses magnifiques et son corsage laisse entrevoir une superbe poitrine. Carole elle, comme à son habitude, porte une robe blanche courte et ample avec un décolleté en V profond et, bien sûr, sans aucun sous-vêtement. Jentraine Marc vers la cuisine pour préparer le repas. Je règle la chaudière pour augmenter la chaleur.

-Tu crois quil ne fait pas assez chaud ?

-Pour le moment oui, mais qui sait ?

Marc me sourit.

Dans le salon, Laurence sassoie dans un gros fauteuil et pose son sac sur la table basse. En sasseyant, sa jupe est remontée sur ses cuisses, mais elle na fait aucun geste pour la redescendre. Carole de lautre côté de la table, se penche pour louvrir et sortir les bouteilles dapéritif et les verres. Se faisant, elle offre à Laurence une vue imprenable sur sa poitrine, voire jusquau sexe. Laurence ne quitte pas des yeux cette poitrine offerte jusquà ce que Carole se redresse. Leurs regards se croisent, Carole sourit, ce qui détend immédiatement Laurence.

-Tu as des seins magnifiques.

-Merci, mais tu as peut être remarqué quils sont bronzés, je suis naturiste et je naime pas porter de vêtement, cest pour ça que je mhabille, été comme hiver, très légèrement. De plus, comme Jean, je ne supporte pas les sous-vêtements.

-Je vois que tu es à laise avec ton corps, moi aussi, je ne supporte pas les sous-vêtements. Mes seins et mes fesses sont constamment libres. Seulement Marc est un peu plus coincé et il est mal à laise quand je mets des vêtements trop sexy.

-Ce nest pas le cas de Jean, au contraire, il adore. En tout cas tu es assez sexy aujourdhui.

-Oui mais javais un grand manteau par-dessus et nous devions rentrer chez nous avant la conférence. Marc est très rigide sur les bonnes manières, cela se répercute même dans nos relations sexuelles. Il est très classique. Il ne connait que mon vagin, jaimerais quil me titille lanus, je ne connais pas encore cette sensation davoir un sexe dans le cul. Personnellement, avant de le connaitre, jai eu des expériences sexuelles dont je ne lui ai jamais parlé, de peur de le perdre.

-Comme quoi ?

-Jai faits lamour avec des couples, plusieurs hommes ou des femmes, voire plusieurs en même temps, mais jamais de sodomie.

-Je le savais, ta silhouette, ta démarche, ton attitude démontre ton aisance avec ton corps. Pour la sodomie, je crois quon peut régler le problème aujourdhui, tu sais que, moi aussi, jaime beaucoup les femmes, et jaimerais bien tinitier.

-Ok, mais je ne sais pas comment Marc va le prendre.

-Ne ten fait pas, je connais Jean, si vous êtes là, cest quil y a une raison, je pense quils ont fait connaissance dans le train, une connaissance plus approfondie que le simple « je mappelle untel ». Je pense quils ont été plus loin que ça.

-Tu est sûre? cest vrais que je trouve Marc très décontracté, dhabitude il est plus réservé avec les gens quil connait à peine.

Les filles discutent quand, après avoir fait lessentiel du repas, nous les rejoignons pour boire un verre.

-Jean, savais-tu que Laurence est comme nous ? Elle ne supporte pas les sous-vêtements, elle est nue sous sa jupe et son corsage.

Marc la regarde étonné, il a du mal à imaginer sa compagne se dévoilant si vite devant une inconnue.

-Comme toi et moi. Mais elle nest pas naturiste, donc elle ne se déshabille pas en public, juste devant son homme.

-Je pense que si tout le monde était nu, je le ferais sans problème. Jai été tentée par le naturisme il y a quatre ans, mais mon copain dalors ne voulez pas en entendre parler. Il ne voulait pas que je sois nue devant dautres hommes.

-Et toi Marc, quen penses-tu ?

-Je dois dire que tout cela commence à me dépasser, cette matinée dans le compartiment, toutes ces sensations nouvelles pour moi, je me sens capable de faire bien dautres choses.

-Comme de te déshabiller, là, tout de suite.

Laurence le regarde médusée, elle essaie dassimiler ce quil vient de dire, que sest-il passé dans ce compartiment, de quelles sensations parle-t-il ?

Marc regarde Laurence avec un sourire un peu contraint.

-Marc, que sest-il passé dans le compartiment ?

Marc sassoie, je lui sers un whisky « on the rock », il en boit une gorgée et se tourne vers Laurence.

-A vrais dire je nen sais trop rien, je vais donc tout te raconter tout ça, chronologiquement.

Marc raconte sa version de ce voyage en train. Au fur et à mesure que lhistoire avance, je vois Laurence senfoncer de plus en plus dans son fauteuil et regarder son homme avec dautres yeux. Elle a lair dêtre soulagée dun poids. Quand Marc a fini son histoire, elle se lève contourne la table, vient sassoir à côté de lui et pose sa tête sur son épaule.

-Marc, je taime encore plus.

Elle se penche sur lui et lembrasse passionnément.

Carole applaudi.

-Si nous passions à table ?

Tout le monde se lève pour mettre la table. Jamène le vin, mais au moment de sassoir, je fais une remarque.

-Marc tu nas pas répondu à ma question, tu es capable de te déshabiller là, tout de suite.

-Tu veux que je te le prouve ?

-Oui.

Marc se dirige vers le divan, regarde Laurence droit dans les yeux et commence à se déshabiller. Laurence le rejoint, mais elle, avec le peu de vêtements quelle porte, se trouve la première à poil. Elle est magnifique. Carole les rejoint et jen fais autant. Nous sommes donc tous à poil dans le salon. Heureusement les rideaux sont tirés. Cette situation ne laisse pas Marc indifférent, sa bite se redresse inexorablement. Il na pas lhabitude de ces situations.

-Quelquun pour soccuper de Marc ?

-Moi, si Laurence le veut bien.

-Vas-y.

Carole sapproche de Marc, le pousse dans un fauteuil, sagenouille en lui, écartant les jambes et plonge sur son sexe. Marc ferme les yeux pour mieux apprécier la fellation de Carole. Laurence, ny tenant plus, sapproche de Carole et la caresse sur tout le corps. Ses mains sactivent sur son dos, ses fesses, ses seins, son ventre pour finir sur son sexe et son anus. Laurence masturbe Carole tout en lui, titillant la rondelle. Elle suce ses doigts pour les faire pénétrer dans son fion. Elle commence par un, deux, trois puis quatre. Elle ne peut aller plus loin car Marc, ny tenant plus, se vide dans la bouche de Carole. Elle avale tout, redresse la tête et pousse un râle sourd, elle jouit. Laurence continu tant que le corps de Carole est secoué de spasmes. Marc émerge, Laurence redresse Carole pour poser ses lèvres sur les siennes. Elles sembrassent en se caressant. Marc regarde sa compagne embrasser la mienne, il se retourne vers moi lair interrogateur.

-Et oui, il ny a pas que nous qui tirons du plaisir de notre sexe.

Les filles se séparent et nous finissons par nous mettre à table. Le repas est très jovial, tout le monde est de bonne humeur. A la fin, tout le monde passe au salon. Marc a pris un fauteuil comme Carole, je suis sur le divan à côté de Laurence. Laurence se retourne vers moi.

-Dis donc, ces deux égoïstes ont jouis, cest à notre tour maintenant.

Elle me pousse pour mallonger sur le dos. Elle se positionne en 69 et me gobe la bite. Je mempare de sa vulve, titille le clitoris avec ma langue avant de laspirer. Elle se liquéfie dans ma bouche, sa cyprine me recouvre le visage. Laurence me fait bander en peu de temps. Elle se redresse, pivote sur elle-même et se retrouve à cheval sur mon ventre. Elle appui ses mains sur mon torse, soulève ses fesses pour les reposer un peu plus bas. Au bout de deux fois, elle est assise sur mon sexe. Je vois Carole se lever et venir vers nous, Laurence se soulève de nouveau, la main de Carole se saisi de ma verge pour la maintenir bien droite. Je ferme les yeux pour napprécier que cette pénétration dans un sexe chaud et humide. Laurence descend doucement, ses grandes lèvres menveloppent la bite et descendent jusquà mon pubis. Je sens deux fesses sur le bas de mes cuisses, cest Carole qui sest assise sur moi. Jouvre les yeux pour voir deux mains semparer des seins de Laurence et les pincer doucement. Laurence monte et descend doucement sur mon sexe. Elle sapplique à parcourir ma bite sur toute sa longueur, mon gland sort presque à chaque montée pour rouvrir de nouveau ce sexe qui ne demande que ça à chaque descente. Laurence a une particularité rare, elle peut contracter son sexe, sans serrer les cuisses, comme elle veut. Elle se contracte à chaque montée pour se détendre à la descente. Je nen peux plus.

-Attention, je vais jouir.

-Oui, viens, je tattends, je nattends que toi.

Je me libère, immédiatement suivi par Laurence qui jouit dans un grand cri.

-AAAAAAAAHHHHHH

Je pense que les voisins savent ce que lon fait. Quand jémerge, Laurence et Carole sont bouche à bouche, toutes les deux assises sur moi. Mon sexe est encore un peu dans celui de Laurence. En tournant la tête, je vois Marc en train de se branler doucement, il me sourit.

-Cest vraiment la journée de toutes les découvertes.

-Tu regrettes ?

-Pas du tout, jentrevois de nouvelles possibilités et ça me met en joie.

Laurence et Carole se lèvent.

-Cest pas très confortable ici, on sera mieux dans notre lit.

Elles se dirigent vers la salle de bain en riant. Jentends couler leau de la douche accompagnée de gloussement, petits rires et grands silences. Elles doivent bien se poupouiller.

Marc est toujours dans le fauteuil en train de se masturber doucement. Je me lève, magenouille devant lui et entame une fellation dont jai le secret. Les filles passent devant la porte du salon quand Marc se déverse dans ma bouche. Après lavoir nettoyé, je sors du salon, vais dans la salle de bain pour me faire un lavement approfondi, en prévision de ce qui va arriver, et je vais récupérer mon petit sac et une serviette. Quand je reviens au salon, Marc soccupe toujours de sa bite.

-Allez, dans la chambre, jaimerais bien que tu toccupes de mon cul.

-Jarrive, mais d’abord, un petit tour à la douche, tu viens m’aider?

J’accompagne Marc dans la salle de bain pour l’aider à se faire un lavement, il n’a pas l’habitude. Quand nous arrivons dans la chambre, Carole est en train de sodomiser Laurence avec un de ses godes-ceintures. Marc a un moment de flottement. Décidément cest une journée spéciale. Il remarque la forme et la taille du lit.

-Ouah, un lit rond, il fait combien de diamètre ?

-Deux mètres.

-Ça va, on aura de la place.

-Cest étudié pour.

Il se jette sur le lit, ce qui déséquilibre les filles qui sécroulent sur lui. Le gode de Carole sort du fion de Laurence, il se trouve juste à côté de la tête de Marc. Celui-ci se jette dessus et le gobe. Après lavoir lécher un moment il le libère.

-Hum, le goût de ma petite femme, cest génial.

Laurence le pousse et se remet en position pour se planter de nouveau sur le gode. Carole reprend ses va et vient lents. Je bande comme un fou, me positionne derrière Carole, lui enduit le fion de gel et me plante en elle. Elle simmobilise un petit instant pour me faciliter la tâche. Je commence à la besogner lorsque je sens une main me badigeonner le fion de gel et un bel engin se planter dans mon cul. Mons sphincter souvre pour accueillir ce mandrin dur comme du bois. Nous sommes tous avec un braquemart dans le fion à part Marc.

-Tu nes pas triste de ne rien avoir dans le cul ?

-Pas du tout, en fait, jai mis le gode ceinture qui était sur le bord du lit, il a un gode anal assez volumineux qui me vrille le cul.

Cela explique la raideur de l’engin que j’ai dans le cul. Nous arrivons à synchroniser nos mouvements tant bien que mal et cest Carole qui part la première, suivi par moi et Laurence. Marc résiste plus longtemps dans mon cul, il ne jouit pas. Nous nous séparons pour sétendre sur le lit. Carole et Marc enlève leurs godes pour les poser sur le lit. Laurence remarque la troisième ceinture de Carole, elle est constituée dun gode extérieur et de deux godes intérieurs, lun pour le sexe, lautre pour le cul. Tous ces godes sont interchangeables et Carole en possède au total huit. Elle va les chercher pour les étaler sur le lit. Laurence se retourne vers Marc.

-Tu ne mas jamais sodomisée, cest Carole qui ma dépucelée. Jean ta défoncé le cul, à mon tour de te le défoncer, à quatre pattes sur le lit, et que ça saute !!

Marc sourit

-Oui maîtresse.

Tout le monde rigole pendant que Marc se met à quatre pattes. Laurence met un gode de quatre centimètres de diamètre en extérieur, elle met le plus gros, sept centimètres, pour sa vulve et le second de quatre centimètres pour lanus.

-Tu crois que ça va aller ?

-Oui, ne ten fait pas, aide moi à le positionner.

Carole sapproche de Laurence, sempare de la ceinture, enfile les jambes de Laurence, et fait remonter lensemble vers son sexe et son lanus. Je badigeonne son cul de gel ainsi que celui de Marc. Carole présente les godes devant leurs destinations, les positionne et tire la ceinture vers le haut. Je vois les deux godes se frayer un passage, Laurence se mord un peu les lèvres, le passage du gode dans son fion est un peu délicat, mais son visage montre un grand bonheur de vivre linstant. Elle ajuste la ceinture en tirant plus fort vers le haut. Une fois les godes en place, elle serre la ceinture et avance vers Marc. Celui-ci attend à quatre pattes sur le lit, la tête sur ses avants bras.

-Jarrive mon amour, jarrive et je vais te défoncer le cul, comme ça, tu sauras ce que jattends de toi dans lavenir.

Elle positionne le gode sur la rondelle de Marc et senfonce dun seul mouvement vers lavant. Marc a un petit réflexe de défense, mais se détend et accepte cette intrusion. Laurence attrape ses hanches et va et vient dans son cul, elle augmente doucement le rythme, je vais pour me positionner sous son ventre pour réceptionner son sperme, mais Carole me devance et gobe sa bite. Quà cela ne tienne, je me positionne entre ses cuisses pour lui exciter la vulve. Cest Marc qui jouit le premier, très vite suivi de Carole et de Laurence. Jai le visage enduit de cyprine de Carole car, sans être une femme fontaine, elle libère énormément de liquide. Je me redresse, Laurence mimmobilise et me lèche le visage pour me nettoyer.

-Hum, cest bon le jus de femme, jaime de plus en plus.

Elle se libère de sa ceinture et vient sassoir sur le bord du lit. Carole la fait mettre sur le dos, savance au-dessus delle pour se positionner en soixante-neuf. Elle écarte ses jambes pour faire baisser sa vulve au niveau de la bouche de Laurence, celle-ci sempare de son sexe avec sa bouche et la lèche sans retenue. Carole se penche, baisse la tête et vient lui laper le sexe à grand coup de langue. Elles jouissent très vite en même temps.

Quelques minutes plus tard, tout le monde est allongé sur le lit, et petit à petit, tout le monde sendort. Je me réveille après avoir dormi une bonne heure, je suis seul dans le lit. Je me lève pour rejoindre les autres. Ils sont dans la salle de bain en train de se doucher. En entrant dans la salle de bain, je constate que Carole est prise en sandwich entre Marc qui la sodomise et Laurence qui soccupe de son sexe. En me voyant, elle me sourit, elle est au bord de la jouissance, je vois ses narines palpiter, son ventre se contracter, elle jouit en le faisant savoir.

-AHAHAHAHAHAHAH.

Je mapproche vers elle, elle me tend les bras en nous échangeons un baiser passionné pendant que Marc se vide en elle.

-Je taime chéri, je taime.

-Moi aussi mon amour, je taime.

Je rentre dans baignoire, mais je suis trop fatigué pour avoir encore envie davoir une activité sexuelle quelconque. Tout le monde se lave et retourne au salon. Lhorloge a tourné, il fait presque nuit. Marc rassemble ses affaires ainsi que celles de Laurence.

-Il se fait tard, je suis très fatigué, nous allons rentrer. Cette journée sera pour moi inoubliable, jai découvert ma vraie nature, la vraie nature de Laurence et une nouvelle orientation à donner à notre couple. Tout ceci grâce à une panne de motrice, le monde est très bien fait.

Tout le monde rit à cette blague, mais on sent un peu de tristesse de devoir se quitter si vite.

-Je vais organiser une petite fête dans notre appartement au bord de la mer dans quinze jours, évidemment vous en êtes. Donnes-moi ton email et je tenverrai un plan daccès à lappartement.

Nous échangeons nos mails et nous raccompagnons Marc et Laurence chez eux. Arrivés devant leur immeuble, Marc aperçoit un homme devant la porte.

-Dis donc Laurence, ce nest pas Pierre devant la porte ?

— Oui, appelle-le.

Marc sort de la voiture, et se précipite vers lhomme en lappelant.

-Il faut quon vous présente Pierre, cest un journaliste, il est rarement ici, toujours en reportage à létranger.

Je gare la voiture et nous nous dirigeons vers Pierre et Marc. En définitive, nous avons passé la soirée chez eux, ce fut très instructif, et après le départ de Pierre, très épuisant.

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