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Mamie Geneviève – Chapitre 21




Mamie Geneviève 21

Après m’être démaquillée, avoir fait pipi et m’être brossé les dents, j’enfile ma nuisette et vais à ma chambre. Gilles attendait que je libère la place pour faire sa toilette. Quand je le croise, le coquin ne peut s’empêcher de détailler mes formes, peu masquées par la transparence du tissu

J’ai décidé de ne pas coucher dans le même lit que lui. Moi je dors dans ma chambre, lui dans la sienne.

Il est près d’une heure trente du matin quand je me glisse dans les draps. Je suis tellement épuisée de ma journée, que je crois que je tombe instantanément dans les bras de Morphée.

Mais, quelque chose me réveille dans la nuit. Je ne sais plus où je suis en essayant d’ouvrir les yeux et me demande qui me caresse le sein. Je sens maintenant un homme collé dans mon dos et quelque chose de dur et chaud glisser lentement entre mes fesses.

J’émerge enfin et demande à mon gendre :

— Tu as encore envie ?

— Oui maman

— Tu n’es pas fatigué ?

— Si, mais je n’arrête pas de penser à toi et n’arrive pas à dormir.

— Et tu veux faire un câlin à ta maman ?

— Oui, j’aimerais rester comme ça, si tu veux bien ?

— Je suis d’accord, mais pose ta main ici.

Je prends sa main pour la poser sur mon buisson. Instinctivement, il caresse mes poils du bout des doigts. En soulevant un peu la jambe, je l’invite à se diriger vers ma vulve.

Il se guide alors à mes réactions pour jouer avec mon clitoris.

Même si je mouille atrocement, c’est dans le cul que je veux qu’il me prenne, j’ai trop pris goût à la sodomie avec mon petit-fils.

Je glisse une main entre nous et me saisis de son membre raide pour le pointer au bon endroit.

Cette fois, ce n’est pas sa maladresse qui perturbe l’intromission, mais plutôt mes soubresauts incontrôlés quand il pinçote mon petit bouton. Gilles reprend le contrôle des évènements et me pénètre en douceur, je le sens m’envahir. C’est maintenant ma main qui a remplacé la sienne entre mes jambes.

Mon gendre procède à ma sodomie avec une incroyable délicatesse. Il me caresse le corps avec douceur tout en allant et venant lentement dans mon anus. C’est si délicieux que j’aimerais que cela dure une éternité. Il se penche au-dessus de mon épaule et je tourne la tête pour trouver ses lèvres.

Notre baiser semble déclencher en lui une frénésie passionnée car il se met à s’activer dans mon derrière. Il libère ma bouche et me bascule sur le ventre pour mieux me dominer. Je le sens devenir plus animal et ça ne me déplaît pas d’être une femelle soumise à cet homme en rut. Il me donne des coups de reins puissants qui me font geindre de plaisir.

Bon sang, comme il m’encule bien ce salaud !

Il sort de moi soudainement et quand, surprise de cet arrêt brutal, je tourne la tête vers lui, je constate malgré la pénombre, qu’il se masturbe frénétiquement au-dessus de mes fesses.

C’est dans un grognement bestial qu’il m’éclabousse la raie de son jus chaud.

Je reste ébahie qu’il puisse encore disposer d’une telle vigueur ! Quand je pense que ma fille le disait impuissant !

Plus surprenant encore est de constater qu’après cela, il me lape le derrière à grands coups de langue pour récupérer chaque goutte de semence dont il m’a souillée le derrière jusqu’au milieu du dos.

— C’est gentil de me nettoyer mon chéri. Tu me donneras ton zizi après, moi aussi j’en ai envie

— D’accord maman

Une fois que j’ai fini de téter son bout, je recommande à ce vilain garnement de filer dans son lit.

Dès qu’il a refermé la porte, je glisse ma main entre mes jambes pour me caresser le plus silencieusement possible. J’arrive à m’endormir environ une heure plus tard, malgré toutes les choses qui me tournent encore dans la tête.

Quand j’ouvre les yeux, le soleil est déjà levé depuis un moment. La pendule m’indique neuf heures passées. Ce qui m’a réveillé, ce sont des bruits de marteau et d’une machine qui ronronne.

Encore vasouillarde, je regarde par la fenêtre ce qui peut faire tant de bruit, ce sont les voisins qui font du béton. Ce couple de trentenaires s’active visiblement à faire une terrasse extérieure.

La femme m’aperçoit et m’adresse un petit signe amical auquel je réponds instinctivement.

Je pense qu’il s’agit des nouveaux voisins dont m’a parlé Gilles.

C’est plus fort que moi, je suis pressée de faire leur connaissance. J’enfile un peignoir, mes mules et me retrouve vite auprès du grillage séparateur des maisons. Tous deux interrompent leur travail et s’approchent de moi, en sueur.

Bien qu’ils soient sales, je note qu’ils sont naturellement très beaux tous les deux. Elle, c’est une vraie bombe, les cheveux blonds cendrés mi-longs, un corps de rêve hormis peut-être une petite poitrine.

Lui à le type méditerranéen plutôt beau gosse et bien bâti.

Ils se présentent comme étant, lui : Jacky et elle : Michèle. Leur sourire amusé à l’évocation de leur prénom m’échappe. Je ne comprends pas l’allusion qu’ils me font. Plus tard, Gilles m’expliquera que c’est une homonymie avec de célèbres vidéastes porno.

Ils sont charmants tous les deux de prendre quelques minutes pour me saluer, avant de me dire qu’il est leur est urgent de retourner à leur tâche. Il ne faut pas que le béton « tire » m’explique-t-il, bien que je ne comprenne pas de quoi il parle.

Mais quand j’entends le mot tirer, j’ai maintenant tendance à tendre l’oreille, voire à écarter les jambes.

Je retourne à la maison après leur avoir souhaité un bon courage. Gilles vient de se lever et déambule en slip vers la cuisine. J’avoue que j’aime bien regarder son petit cul !

Quand je le rejoins, je m’empresse de lui proposer un café.

Alors que je m’affaire à la cafetière, mon gendre, les yeux encore collés m’enlace par derrière et presse son pubis contre mes fesses. Il m’embrasse dans le cou et me dit :

— Geneviève, tu es la femme de ma vie ! Je t’épouserais volontiers si c’était possible

— Oh ça non mon chéri ! Je ne souhaite plus avoir de mari ! D’autre part, tu dois apprendre à prendre du plaisir sans moi  et également sans ma fille.

— J’ai peur de peiner Agnès si je devais aller fricoter ailleurs.

— Ne t’en fais pas pour elle, je suis sûre qu’elle apprécierait que tu le fasses.

— C’est mal la connaître !

— Je te rappelle que c’est ma fille tout de même !

Avec infiniment de diplomatie, je lui fait comprendre qu’Agnès souhaite se séparer de lui pour vivre une autre histoire avec Mélanie, cette jeune et belle rousse. Je lui apprends que toutes deux sont éperdument amoureuses l’une de l’autre.

Je suis vache de lui balancer tout ça dès le réveil et il met un moment à réaliser, à avaler et digérer mes propos. Totalement accablé, il s’assied sur sa chaise et sirote son café en réfléchissant intensément.

Placée derrière lui, je lui masse les épaules affectueusement et lui susurre :

— Il est temps de changer de vie mon chéri.

— Qu’est-ce que je dois faire ?

-À court terme, aller aider tes voisins à faire du béton et plus si affinités. À plus long terme que toi et Agnès restiez bons amis, au moins vis-à-vis de vos enfants.

— C’est une bonne idée que de faire du béton, c’est physique, ça va me faire oublier ce que tu viens de me dire.

— Et surtout ça te permettra de concrétiser ce que je t’ai demandé de faire hier. Je te rappelle que tu dois avoir une relation avec eux avant mon départ !

— Bien chef ! Sourit-il

— Et rappelle-toi que tout est permis. Y compris une relation entre hommes.

— Je ne suis pas homo !

— A bon ? Moi, je suis persuadée que tu préfèrerais une bonne bite à un goulot de bouteille ou même à un manche de pioche. Tu ne peux pas savoir comme c’est agréable de se faire enculer !

— Allons Geneviève, vos propos me choquent

Il a encore du mal à me tutoyer, sauf quand je joue le rôle de sa maman.

J’ajoute :

— Je compte sur toi mon petit

— C’est d’accord maman, mais ça ne t’embête pas si je te laisse toute seule ?

— Agnès va revenir ce midi, je lui expliquerai tout. Pour ta part, tu ne dois avoir qu’un seul objectif, à savoir : faire ce que je t’ai demandé. Tu vas donc prendre tout le temps qui t’est nécessaire. D’abord tu vas proposer ton aide à ces gens et pour la suite je te laisse faire tu me raconteras.

Mes propositions semblent faire mouche, il est déterminé à exécuter mes vux, non pour me satisfaire, mais plus par esprit de vengeance envers Agnès qui le trompe avec une femme.

Il fait un rapide brin de toilette, mais prend soin de raser sa barbe naissante. Il enfile de vieux habits et rejoint le domicile du couple. En regardant par la fenêtre, je constate qu’il est particulièrement bien accueilli.

Après ma toilette, je remets les mêmes sous-vêtements que la veille et que mon gendre a eu l’extrême gentillesse de me laver. J’adore porter ces bas à couture, ça me rappelle ceux que portait ma mère. Il ne me reste qu’une jupe, mais je n’ai plus de chemisier qui puisse s’accorder, je choisis donc de remettre la robe évasée, que je portais hier soir.

Après un peu de lessive, je profite d’être un peu seule pour contacter mon autre fille, Virginie.

Nous papotons quelques minutes, sans que je n’aborde à aucun moment les murs de sa sur ou de mon gendre. Elle me raconte combien elle est heureuse d’être avec ses enfants avec qui elle n’arrête pas d’avoir du plaisir, jusqu’à l’épuiser physiquement.

Virginie me signale en outre, qu’une de ses amies bien intentionnée’ lui a signalé qu’elle avait vu son mari en compagnie d’une autre femme entrer dans un hôtel en s’enlaçant.

Il n’est donc pas parti en déplacement pour son boulot comme il le prétendais, mais pour rejoindre sa maîtresse.

Elle ajoute que cette information ne lui fait aucun effet compte tenu qu’elle compte bien se séparer de ce gros porc très vite.

Virginie n’ose à aucun moment me demander comment j’ai agi envers sa sur Agnès, suite aux découvertes que j’ai faites récemment à propos des relations qu’avaient mon mari avec elle(s).

Une fois que j’ai raccroché, je me sens toute heureuse que Virginie se décide enfin à plaquer son connard de mari.

J’appelle ensuite Sabine, qui elle aussi me dit combien elle heureuse d’avoir découvert l’amour avec son fils. Elle me congratule, m’encense, me remercie infiniment de lui avoir ouvert les yeux (et la chatte pensais-je) pour l’amour que lui porte Bastien, son beau jeune homme de fils.

Bastien a hérité de la beauté de sa mère et j’avoue qu’il me plaît bien ce petit coquin qui, quand je l’ai rencontré la première fois, se complaisait à regarder sous ma jupe. Il faut dire que David, mon petit-fils, a tout fait pour l’emmener dans mon lit les jours suivants.

Après avoir raccroché, je jette un coup d’il par la fenêtre et remarque une forte complicité entre mon gendre et ses voisins. Les travaux de maçonnerie avancent vite à ce que je constate.

Aux regards qu’ils échangent entre eux, je comprends qu’ils sont pressés de passer à autre chose.

C’est bien plus tard, alors qu’ils sont rentrés dans leur maison que j’aperçois, malgré la distance, mon gendre debout et pris en sandwich, entre l’homme derrière lui et la femme devant, tous deux l’enlacent. Les mouvements langoureux de ce trio pourraient faire penser qu’ils dansent mais je crois plutôt qu’ils s’excitent mutuellement en se frottant l’un contre l’autre.

.

Je les vois ensuite disparaître, probablement pour avoir plus d’intimité dans une chambre.

Comme les choses vont vite !

Y serais-je pour quelque chose ?

A suivre

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