Cet été nest pas chaud. Je regrette presque davoir loué cet appartement à Palavas les flots. Dabord cette station na rien de folichonne, ensuite le mistral envoi le sable sur le corps presque nu. A force de demander aux commerçant, les seuls natifs du coin, je loue un vélo pour aller plus loin dans un endroit idyllique: de toutes petites dunes, des végétaux protecteurs et personne autour. Enfin je sens la chaleur du soleil. Un peu de crème pour bronzer, je minstalle pour laprès midi. Je pense être au calme: arrive une autre jeune femme qui sinstalle à moins de 10 mètres de moi. Quel sans gène. Elle fait ce que jai fait tout à lheure; elle se passe de la crème après avoir enlevé son maillot. Elle est totalement nue. Je la regardais avec un air de bouledogue quand je remarque sa beauté. Je trouve que je ne suis pas plus mal quelle. De dépit je me met nue à mon tour. Elle minspecte: je dois lui plaire puisquelle vient vers moi pour bavarder. Tu parles bavarder nueCest pourtant ce qui se passe.

— Bonjour, je ne vous dérange pas.

— Non, du tout ( je mens comme je respire)

— Tant mieux, je suis seule en vacance, on ma indiqué cet endroit; ils avaient raison, cest agréable, nest-ce pas ?

— Très agréable.

— Vous savez que nous ne déparez pas: vous êtes bien faite. Je my connais en femme vous savez ?

— Ah bon !!!

— Oui cest ainsi, je préfère les femmes aux hommes !! Je suis même dominante dans un couple de fille.

Je ne sais plus que dire: une lesbienne me fait du gringue, à moi, bonne hétéro. Une idée me traverse la tête quest-ce quune dominante dans un couple de fille ? Je nose pas poser la question. Elle est très près de moi. Je pourrais la toucher. Je pourrai je ne sais quoi. Brusquement jai une montée dadrénaline: et si je la laissais membrasser par exemple ou même aller plus loin, jaurais une expérience dans ma vie.

Je me tourne vers elle en souriant: elle comprend vite que je suis à sa merci. Elle me fait coucher sur ma serviette, se penche et sans attendre pose ses lèvres sur les miennes. Elles sont salés de lécume de la Méditerranée. Par contre sa langue force un peu pour venir dans ma bouche pendant quun main se pose sur mon sein droit. Sa caresse est très aérienne, elle me frôle plutôt.

Sa langue doit avoir fait dix fois le tour de ma bouche quand elle se relève un peu pour membrasser dans le cou. Jen suis toute remuée. Un premier baiser avec une fille me met dans un état pas possible: je commence à mouiller. Je penche la tête pour quelle membrasse mieux dans le cou. Elle me donne des frissons partout. Je suis en léthargie, je me laisse faire totalement.

Quand je suis avec un homme je sais bien quoi faire, je le caresse, je réagit, je le touche, je le masturbe même avant. Mais avec une autre, je suis perdue je ne sais ce que je peux faire, à moins de faire sur elle ce que je fais sur moi pendant une masturbation. Je ne vais quand même pas la branler comme ça de ma propre initiative. Nous ne nous connaissons pas du tout, malgré son baiser. Jai tord de réfléchir: elle ne se gêne pas pour descendre sa main vers mon ventre quelle caresse gentiment, voluptueusement. Mon nombril est lobjet de recherches intenses. Un nombril quelle idée. Pourtant cest drôlement agréable son doigt à cet endroit.

Sa main dépasse le pubis: elle descend toujours, elle est au niveau du haut des lèvres. Jécarte les jambes sans y penser, je suis à elle Elle ouvre létui pour faire ressortir le clitoris. Quelle agilité de son doigt sur mon bouton. Pour faire bon poids elle membrasse encore sur la bouche. Alliée à sa masturbation je ne tiens pas longtemps: je jouis trop vite.

Elle nabandonne pas la partie: si elle attend la fin de ma jouissance, elle recommence plus calmement: cette fois elle me caresse toujours le clitoris, elle étend son action vers mon puits avec deux autres doigts. Elle cherche et trouve rapidement lendroit doù partent mes orgasmes les plus puissants. Je jouis encore quand elle laisse ma bouche: cest la sienne qui va directement sur ma chatte. Je sais ce quelle va faire, il me tarde de sentir sa bouche contre mon sexe.

Cest enfin le moment, sa langue est sur mon bouton. Quelle différence avec ses doigts. Elle est douce, douce et à la fois brutale. Mon bouton se trouve aspiré dans ses lèvres, puis rejeté pour être encore aspiré. Je me tortille dans tous les sens, je gémis, je ne sais même plus où je suis, je suis dans un cocon de plaisir.

Elle menjambe, me donne son sexe. Je vois de près un sexe féminin, je vois son clitoris bandé, ses lèvres charnues, son vagin et à peine plus loin son trou noir du petit trou. Je comprends que mes amants aiment ma fente. Elle sarrange pour que je la lèche. Je suis un peu écurée davoir à passer ma langue dans cette brèche. Je me force un peu, je connais le goût de la cyprine quand je lèche mes doigts après mêtre faite jouir. Je passe rapidement ma mangue: son goût est presque le même que le mien, je nhésite plus, je la lèche à grands coups de langue. Je trouve que sa chatte est lisse, douce, agréable en un mot.

Mais je ne fais que suivre ce quelle mimpose: si elle est sur le bouton je reste sur le sien, si elle entre dans mon antre je vais dans la sienne, si elle pose sa langue sur mon rectum jen fais autant. Elle entre dans mon cul je le fais dans le sien, comme ça pour notre plaisir.

Chaque endroit léché me fait partir dans une jouissance inédite. Je sens que je la fait jouir aussi. Quand nous arrêtons cette série de 69, elle reviens en place près de moi, membrasse longuement sur la bouche.

— Ca tas plu ?

— Beaucoup oui.

— Jétais ta première femme ?

— Oui.

— Nous recommencerons quand tu voudras.

— Bien sur.

Sur le moment je dis nimporte quoi. Mais, bof, pour les vacances cest normal de changer un peu. En rentrant tout rentrera dans lordre.

Nous sommes entrés ensemble pour le repas du soir. Ensuite nous nous sommes promenées comme des amoureux sur la plage en nous arrêtant souvent pour nous embrasser. Nous avons encore fait lamour une fois avant daller dans sa chambre pour la nuit. Je ne pensais jamais vivre une nuit aussi folle avec une femme. Cest quelle avait les godes pour que nous jouissions normalement. Jai apprécié le double gode qui nous a permis de jouir ensemble avec un des bouts planté dans nos ventres. Jétais sur le dos, mes fesses presque contre les siennes,. Elle a planté le bout dans mon sexe, bien humide, elle me la mise au fond pour enfin entrer lautre bout dans son ventre. Elle a manuvré lengin de telle façon que notre plaisir soit commun: elle a réussi à nous donner un orgasme collectif. Pour finir la nuit en beauté, elle a voulu un 69 particulier: Nous nous léchions les fentes en nous enculant avec un gode; Une autre femme qui mencule: jaurai tout vu et vécu. Elle partait le jour même . Nous nous sommes donnés nos coordonnées pour bavarder de nos aventures et rendez vous pour lan prochain.

Maintenant que je suis entré à la maison je me demande si je ne vais pas chercher une autre femme pour changer des hommes que jaime toujours autant; jen ai eu la preuve quant elle menculait avec un gode alors quune vrai bite est plus agréable.

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