Il s’était écoulé un peu moins d’une semaine depuis les ébats que Jérémie avait eus avec sa soeur et Matthieu dans les vestiaires du terrain de rugby. Durant cette période, Jennifer ne lui avait plus donné d’instructions ou de rendez-vous, le faisant peu à peu oublier la punition qu’elle lui avait promise. 

Temporairement libéré de la domination de sa soeur, le jeune homme avait retrouvé sa concentration pendant les cours et s’attelait à nouveau à faire le résumé de ces derniers chaque soir. Pourtant, il n’avait pas la moindre idée du changement qui allait survenir dans sa vie car si en apparence, Jennifer semblait avoir oublié les propos qu’elle lui avait adressés après leur rencontre avec Matthieu, celle-ci était en réalité en train de préparer le terrain pour un chamboulement dans la vie de son frère. 

Après une longue journée de cours, Jérémie voulut rentrer chez lui de suite au lieu d’aller fêter la fin de la semaine avec ses amis au bistrot faisant face à leur fac. Arrivé à son domicile, il salua sa mère et s’installa à son bureau pour faire le résumé de ses cours de la journée. Sachant sa soeur à un entraînement de volleyball et son père en voyage avec l’une de ses classes, le jeune homme s’attendait à passer une fin d’après-midi tranquille. 

Cependant, contrairement à ses prévisions, alors qu’il était au beau milieu d’un résumé, il entendit Jeanne frapper à sa porte. 

Oui, Maman ?

Il y a quelque chose dont il faut que nous discutions, toi et moi. 

D’accord. Qu’est-ce que c’est ?

Viens au salon, je vais te montrer. 

En suivant sa mère jusque dans le salon, Jérémie ressentit soudain une terrible anxiété en repensant au photomontage qu’il avait fait et laissé à Jennifer. Au vu du ton que Jeanne avait employé pour lui adresser sa requête, le jeune homme craignait plus que jamais que sa soeur n’ait révélé leur secret. 

En voyant le cliché posé sur la table basse du salon, Jérémie sentit les battements de son coeur s’accélérer. Sa pire crainte était devenue réalité. Sa mère l’invita à prendre place en face d’elle et le jeune homme s’exécuta, tout apeuré par la réaction que Jeanne. 

Ta soeur est venue me faire part de ce que vous avez fait le soir où Papa et moi sommes sortis. Elle m’a également raconté ce que tu lui as dit à propos de ce photomontage et l’accord que vous avez fixé entre vous en conséquence. J’ai été vraiment choquée d’apprendre ça mais j’essaie de comprendre. Pour ça, j’ai besoin de t’entendre là-dessus. Est-ce que c’est vraiment ça que tu veux ? Être l’esclave de Jennifer ?

Pris au dépourvu par le calme dont sa mère faisait preuve, Jérémie fut momentanément incapable de produire le moindre son. Après avoir inspiré fortement, il trouva la force de répondre à Jeanne. 

Oui, c’est ce que je veux, Maman.

Tu en es sûr ? J’ai aussi posé la question à ta soeur de savoir si elle souhaitait toujours être ta dominante. Elle m’a répondu que ça lui plairait bien. Cependant, si tu veux tout arrêter, il te suffit de me le dire et toute cette histoire appartiendra au passé. Je te repose donc la question : es-tu sûr de vouloir continuer à être dominé par ta soeur ?

Jérémie hésita quelques instants. D’un côté, il avait beaucoup apprécié les moments que sa soeur et lui avaient partagés et il se réjouissait à chaque fois qu’elle lui demandait de la lécher ou le sodomisait. D’un autre côté, si leur histoire venait à s’ébruiter, il risquerait de perdre beaucoup, notamment le respect et l’amitié de ses camarades de fac. Le jeune homme pesa le pour et le contre. Il prit le parti d’espérer avoir du plaisir tout en pouvant dissimuler ledit plaisir. 

Oui, Maman, c’est ce que je veux. 

Très bien, dans ce cas, considère qu’à partir d’aujourd’hui, tu es officiellement soumis à ta soeur. Tu lui devras donc respect et obéissance. Bien entendu, elle sera désormais la seule à pouvoir tout arrêter entre vous. J’informerai ton père de la situation et nous n’hésiterons pas à sévir si nous apprenons que tu t’es rebellé contre Jennifer. 

D’accord, Maman, j’obéirai à tous les ordres de Jennifer. 

Parfait. Une dernière chose : ta soeur m’a également parlé d’une punition qu’elle comptait t’infliger au cas où tu persisterais à vouloir être son esclave. Je vais donc l’informer de ta décision et te conseille d’attendre ici qu’elle rentre de son entraînement de volley. 

Jeanne se leva pour signifier à son fils que la conversation était terminée et pianota sur l’écran de son téléphone. Suivant à la lettre le conseil de sa mère, Jérémie alla dans sa chambre et s’allongea sur son lit en attendant impatiemment le retour de Jennifer. 

Environ une trentaine de minutes s’écoulèrent avant que la porte de l’appartement ne s’ouvre sur Jennifer. En constatant l’arrivée de sa fille, Jeanne alla s’enquérir de la raison de son retard. 

J’ai eu ton message, Maman. Je suis donc allée faire quelques courses. De plus, j’ai également une proposition à te faire. 

Mère et fille s’isolèrent dans le salon afin de ne pas être entendues de Jérémie. La conversation des deux femmes dura quelques minutes, tout au plus, et Jennifer alla prendre une douche tandis que Jeanne préparait le dîner. 

Le repas se déroula dans une ambiance pesante pour Jérémie. Maintenant que sa mère savait pour Jennifer et lui, comment le voyait-elle ? Et qu’avaient bien pu se dire sa mère et sa soeur de si confidentiel pour s’isoler dans le salon ? Ces questions le tourmentaient quelque peu, lui faisant perdre l’appétit. Il prit pourtant le parti de manger sans faim, se disant qu’il aurait les réponses à ces questions bien assez vite. 

Lorsqu’ils eurent fini de manger, Jennifer ordonna à son frère d’aller dans sa chambre et de s’y mettre nu en l’attendant. Jérémie s’exécuta de suite, pensant que sa soeur comptait mettre en oeuvre la punition qu’elle lui avait promise une semaine auparavant. 

Au bout de dix minutes, le jeune homme vit sa soeur entrer dans sa chambre, accompagnée de Jeanne. Si sa mère demeurait habillée, Jennifer, elle, était seins nus et équipée d’un gode-ceinture. Jérémie releva également un nouvel instrument dans l’attirail de sa soeur : une cravache. 

J’ai proposé à Maman d’assister à la punition que je vais t’infliger, histoire de lui donner une idée de ce qu’il se passe entre nous. 

Jeanne s’assit sur le lit de son fils afin d’observer calmement la scène qui allait se jouer entre ses enfants. Jennifer fit signe à son frère de s’agenouiller devant elle et de sucer son gode. Jérémie obéit promptement, excité par le fait d’être pris par sa soeur sous les yeux de sa mère. 

Le jeune homme s’appliqua à faire de lents mouvements de va-et-vient sur l’engin de Jennifer. Malgré son zèle, il reçut un coup de cravache sur le visage. 

Mieux que ça, Jérémie !

Jérémie accéléra son mouvement, arrachant un sourire moqueur à sa soeur. Jennifer laissa son frère sucer son gode quelques instants puis elle décida que le moment était venu de passer aux choses sérieuses. Elle ordonna à Jérémie de recracher son sexe factice et lui fit signe d’apposer ses mains contre un mur en se cambrant le plus possible. 

Lorsque son frère se fut exécuté, la jeune femme enfonça son gode-ceinture jusqu’à la garde dans son sombre conduit sous le regard impressionné de Jeanne. 

Comme ça faisait un moment qu’il s’amusait à se mettre mon gode dans le cul, il s’est habitué à ce genre de calibre. Je peux donc y aller à fond. 

Sur ces mots, Jennifer se mit à pilonner Jérémie de toutes ses forces, comme pour prouver à sa mère ce qu’elle avançait. La jeune femme put soutenir le rythme durant plusieurs minutes puis, épuisée, se retira du fessier de son frère et ôta son gode-ceinture. 

Tu veux essayer, Maman ?

Cette question choqua Jérémie qui jusqu’à présent ne voyait Jeanne que comme une simple observatrice de la relation qu’il entretenait désormais avec sa soeur. La réponse le surprit tout autant. 

Eh bien, j’avoue que j’avais quelques réserves quand vous m’en avez parlé mais comme vous semblez vous plaire dans cette relation, je veux bien essayer moi aussi. Je vais me mettre plus à l’aise. 

Jeanne sortit de la chambre et revint quelques minutes plus tard uniquement vêtue d’une petite culotte blanche quelque peu tachée d’auréoles brunâtres, signe évident de l’excitation qu’elle avait éprouvée en regardant Jennifer dominer Jérémie. 

En la voyant en si petite tenue, Jérémie passa de la surprise à l’excitation. En effet, avec son teint juvénile et sa poitrine plutôt bien développée pour une morphologie comme la sienne, sa mère lui paraissait magnifique et il éprouva l’envie d’être pris par elle. 

Jennifer laissa Jeanne s’équiper du gode-ceinture et lui remit la cravache. Après avoir vérifié son équipement, Jeanne ordonna à son fils de se coucher sur son bureau en levant les jambes le plus haut possible. Dès que le jeune homme se fut exécuté, sa mère enfonça à son tour le sexe factice jusqu’à la garde dans son rectum et se mit à le sodomiser puissamment. Les gémissements de Jérémie occasionnés par ses coups de reins firent beaucoup sourire Jeanne. 

C’est vraiment mignon de te voir prendre autant de plaisir à te faire enculer par une femme et ton petit zizi tout dur est vraiment hilarant à voir. 

En entendant ces paroles, Jennifer éclata de rire tandis que sa mère se retirait du fessier de Jérémie. Jeanne retira le gode-ceinture et le rendit à sa fille. 

Je veux maintenant savoir si tu apprécieras aussi ce qui va suivre.

Un premier coup de cravache sur son ventre lacéra le ventre de Jérémie qui serra les dents pour réprimer un cri de douleur. Jeanne donna un deuxième coup sur la cuisse de son fils qui parvint difficilement à retenir ses larmes. Le jeune homme sentit finalement un troisième coup, plus puissant que les deux précédents, sur ses bourses. Cette fois-ci, il émit un cri strident tant la douleur était vive. Pour toute réaction, Jennifer éclata de rire tandis que Jeanne admirait le résultat de son oeuvre. 

Apparemment, tu t’es habitué au gode de ta soeur mais pas à la cravache. C’est un point qu’il va falloir entraîner. De plus, je me demande comment réagirait ton père s’il apprenait la nouvelle. Je suis sûre qu’il serait ravi d’avoir un vide-couilles à disposition. 

Je ne pense pas que faire de Jérémie le vide-couilles de Papa soit une bonne idée car il se trouve que ton fils a un penchant plus que prononcé pour la domination féminine. Je pense donc qu’il vaut mieux faire comprendre à Papa qu’il ne pourra prendre Jérémie qu’avec notre accord. 

Tu as raison, Jennifer. Par conséquent, voici ce qu’il va se passer : Papa ne rentrant que dans une semaine de son voyage, je lui parlerai à ce moment-là. En attendant, Jérémie, dès que tu es à la maison, tu demeureras nu, et il va de soi que toutes les tâches ménagères te reviendront. Tu resteras également toujours joignable lorsque tu seras à l’extérieur au cas où l’une de nous veut te prendre. Et dernière chose : j’ai beaucoup aimé le photomontage que tu as fait de toi et de Jennifer. J’aimerais le même pour moi dès demain matin. 

Oui, Maman. 

Sur ces dernières paroles, Jeanne et Jennifer sortirent de la pièce avec leur équipement en laissant Jérémie toujours nu. De son côté, le jeune homme était à présent tout excité d’avoir une seconde maîtresse à satisfaire en la personne de sa mère et espérait ardemment une éventuelle séance de punition avec elle.

[ à suivre ]

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