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[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine – Chapitre 11




Chapitre 11 :

le piège érotique

Mathilde mit sa main devant sa bouche et ouvrit de grands yeux.

-Mais Comment ? Morgane ?

Morgane venait de baisser sa jupe et dévoilait son sexe aux deux femmes qui se trouvaient face à elle. Alors que la directrice observait l’entrejambe de Morgane avec envie et gourmandise, Mathilde, elle, ne parvenait pas à cacher son effarement.

La jeune prof de français s’avança et retira la main de Mathilde de sa bouche. Elle posa ensuite ses lèvres sur les sienne et elles échangèrent un baiser prolongé. Morgane saisit les doigts de sa collègue et les guida vers son sexe qui gonflait doucement. Lorsque les doigts entrèrent en contact avec le membre mou et allongé, ils se refermèrent d’eux même.

La directrice vint enlacer Mathilde par derrière et ouvrit son pantalon. Elle le fit glisser le long de ses jambes. La jeune femme se laissa faire, comme si, dépassée par les événements, elle acceptait tout. La culotte rejoignit rapidement le pantalon qui se trouvait maintenant en boule aux pieds des trois femmes. Eugénie retira aussi ses frusques et se frotta aux fesses de Mathilde tout en massant son clitoris impeccablement épilé. La jeune femme gémit entre deux baisers.

Le sexe de Morgane avait rapidement gonflé sous les douces caresses de sa collègue. Il se dressait à présent droit et fière. Mathilde le parcourut de bas en haut et n’en revenait pas des proportions de la queue qu’elle sentait sous ses doigts. Elle ne put résister à jeter un coup d’il à ce mastodonte.

-Oh mon Dieu ! S’exclama-t-elle. Morgane, il est énorme !

-N’est-ce pas, s’extasia la directrice. Si tu n’as jamais eu de gros sexe en toi, tu vas prendre ton pied ma chérie, c’est moi qui te le dis.

-Je ne pourrai jamais mettre tout ça en moi, s’ébahit Mathilde. Il est trop gros et trop long.

-C’est pour ça qu’on va faire ça doucement, la rassura Morgane. Pose ta jambe sur cette chaise.

La jeune femme s’exécuta, non sans lancer un regard anxieux à l’imposant sexe entre les jambes de sa collègue. Dans cette position, les lèvres vaginales de Mathilde s’ouvrirent et laissèrent couler un fin filet de cyprine qui vint se perdre sur le carrelage du bureau de la directrice.

Morgane se dit que sa collègue était plus excitée que ce qu’elle voulait bien leur faire croire. Mais elle dû admettre qu’elle se contrôlait remarquablement bien.

Elle se mit à genoux et embrassa langoureusement le délicieux sexe de sa collègue. Celle-ci ne put retenir un gémissement tremblant d’excitation.

Eugénie, plus mesquine, se colla à son dos et commença à embrasser son dos nu en pétrissant ses seins. La main de la directrice se fraya un passage jusqu’à ses fesses et caressa le délicat anus de Mathilde. Sans prévenir, elle y enfonça son majeur jusqu’à la garde. Mathilde se cambra violemment et Morgane reçut quelque jet de mouille au fond de la gorge.

-Pas là, gémit Mathilde. S’il vous plait, je ne l’ai jamais fait là.

-Où ça ? S’enquit innocemment la directrice.

– Dans les fesses, rougit la jeune femme.

-Tu n’as jamais pris dans le cul ? S’ébahit Eugénie qui était une grande adepte de cette pratique.

Elle lança un regard complice à Morgane qui lui répondit par un sourire entendu.

– N non, mais je ne veux pas.

-D’accord, d’accord, la rassura Morgane. Eugénie, assieds-toi sur le bureau je te prie.

Elle s’exécuta sans rechigner et, une fois en place, se massa la vulve en attendant la suite des instructions.

-Mathilde, Eugénie n’a pas eu d’orgasme vaginal depuis très longtemps et elle se langui de cette sensation Tu pourrais l’aider ?

Mathilde avait compris. Morgane voulait qu’elle présente sa croupe en faisant un cunnilingus à sa directrice. Elle hésita une pleine seconde mais, l’excitation l’emportant sur la raison, elle finit par coucher son buste sur le bureau. Sa tête était à deux doigts du sexe de sa supérieure et elle reniflait ses effluves enivrantes. Elle n’avait encore jamais goùter au jus d’une femme, ce serait une première.

-Comment ça se fait que vous n’ayez pas eu d’orgasme, s’étonna soudain Mathilde. C’est la première fois que vous baisez ?

Morgane vint caresser sa vulve avec son sexe.

-Oh non, bien sûr que non, Sourit la directrice. Ça fait trois jours que ça se passe comme ça. Je crois que j’ai eu neuf orgasmes en tout.

-Neuf, s’exclama la jeune femme. Mais vous venez de dire que

-C’est parce que ce n’était pas des orgasmes vaginaux Susurra Morgane à son oreille.

Mathilde eut un léger temps de réflexion avant d’ouvrir de grands yeux alarmés.

-Non, je ne peux

Avant qu’elle n’ait le temps de finir sa phrase, Morgane s’enfonça dans son anus jusqu’au gland. Mathilde poussa un puissant gémissement que la directrice étouffa en collant son abricot luisant contre la bouche de la jeune femme. Elle croisa ensuite ses jambes dans le dos de la jeune femme pour que celle-ci ne se débatte pas trop. Elle ondulait du bassin pour frotter sa vulve trempée contre le visage de la jeune femme.

Morgane s’avança lentement en souriant de bonheur. Mathilde était incroyablement serrée et douce. C’était tout bonnement divin. Son pilier, tout humide de sécrétion, pénétra la jeune femme jusqu’à la moitié puis revint au niveau du gland. Morgane commença de lents mouvements qui allaient de plus en plus loin dans son cul.

Mathilde semblait grandement surprise des sensations que cette pénétration lui faisait ressentir. Sa bouche avait beau être dans l’intimité de sa directrice, ses yeux exprimaient un plaisir sans cesse croissant. Elle gémissait de surprise et de désir dans la chatte d’Eugénie qui accentuait ses mouvements de bassin pour son propre plus grand bonheur.

-Mets-moi un doigt dans l’anus, demanda la directrice à Mathilde.

Celle-ci s’exécuta et elle fut surprise de la facilité avec laquelle son doigt avait franchi les parois anales de sa supérieure. Elle rajouta donc deux doigts qui rentrèrent tout aussi aisément.

Eugénie pencha la tête en arrière et gémit d’aise. Ses deux trous étaient comblés et elle était très excitée par la vision de Mathilde enculée par Morgane.

-Oh Mathilde, putain ! Qu’est-ce que t’es bonne, gémit Morgane. C’est trop bon !

-Plus vite ! Supplia la jeune femme entre deux lèches vaginales. Vas plus vite !

-Tu es sûre ? tu es vraiment très serrée.

-Je veux te sentir au fond de moi !

Morgane n’en attendait pas moins. Elle poussa fortement contre Mathilde qui se fit écraser contre le bureau en geignant de bonheur.

-Ohhh ! Oui ! Vas-y, vas-y !

Morgane heurta tout à coup le fond de sa collègue qui gémit alors intensément. Elle n’avait pas réussi à mettre entièrement sa queue comme avec Eugénie mais au moins, Mathilde était pleine.

-Oh Mathilde ! Qu’est-ce que tu es bonne, ma belle !

-Mon cul, putain ! Mon cul est rempli et défoncé ! Baise-moi Morgane ! Encule-moi !

Morgane se retira lentement en fermant les yeux et en se mordant la lèvre d’extase. Une fois arrivé au niveau du gland, elle embrocha à nouveau sa collègue mais, cette fois-ci, un peu plus rapidement. Elle réitéra l’opération sous un concert de gémissements venant des deux femmes. Sa queue glissait dans les entrailles de Mathilde avec une étrange et délicieuse facilité. Elle se doutait que c’était grâce au liquide recouvrant son sexe et que celui-ci devait aussi augmenter le plaisir de la jeune femme qui se faisait enculer sur le bureau pour son plus grand bonheur.

Elle pénétrait Mathilde du plus en plus rapidement, accentuant ses gémissements. À chaque fois qu’elle touchait le fond, sa collègue poussait un geignement à moitié surpris, à moitié de jouissance.

-Oh ! Vas-y ! Morgane, Troue-moi l’anus ! Plus vite, encore plus vite ! Je vais jouir du cul !

Morgane se mit à pilonner sa collègue. Cette dernière, sous les puissants coups de boutoirs, cria de plaisir en en demandant encore.

Soudain, Mathilde se cambra violemment et eut une série de contraction annale qui enserrèrent la queue de Morgane. La jeune femme jouissait. Morgane ne put résister plus longtemps et eut un violent orgasme. Elle éjacula dans les entrailles de Mathilde mais, celles-ci entant trop petites, des jets de spermes s’échappèrent de son anus et vinrent se perdre sur le carrelage.

-Ooh c’est boon ! Gémit Mathilde.

La directrice planta son sexe sur la bouche de la jeune femme et le frotta frénétiquement.

-Je vais jouir moi aussi ! S’exclama-t-elle. Plus vite ! Mets ta langue ! Ouiiii ! c’est boon putain !

Elle s’effondra sur son bureau, éreintée par l’orgasme qu’elle venait d’avoir.

Les trois femmes restèrent là, attendant que leur orgasme s’estompe comme un rêve qui s’efface doucement au réveil.

Morgane fut la première à réagir en allant se chercher un verre d’eau. Lorsqu’elle revint, elle trouva Mathilde étendue sur le bureau et Eugénie aspirait tout le sperme qui se trouvait dans son anus. Mathilde gémissait de bonheur sous les caresses linguales de sa supérieure.

Morgane eut une poussée d’excitation et sa queue se dressa aussitôt. Elle se glissa derrière la directrice qui n’avait rien vu, trop occupée par le cul de Mathilde. Morgane écarta tout à coup les fesse d’Eugénie et perfora son anus. Cette dernière cria de surprise et de bonheur.

-Ooh ouiii ! Défonce-moi ! Défonce mon petit trou ! Rempli ton sac-à-sperme !

Morgane pilonna littéralement le cul de sa supérieure en faisant claquer ses fesses. Elle ne lambinait pas et mettait toute sa force pour la sodomiser comme il se devait.

Eugénie enfouit son visage dans le cul de Mathilde et cria de bonheur dans celui-ci. Elle mit dans doigt dans le vagin de la jeune femme et la doigta sauvagement tout en aspirant son anus.

Les trois femmes eurent leur orgasme simultanément en criant de bonheur. Mathilde et Morgane était maintenant vide et la directrice était pleine. Comme d’habitude.

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