Nous sommes lundi matin, et je dois me rendre à Londres pour un séminaire d’une semaine sur la Cybersécurité dans le milieu bancaire. Je suis banquier, spécialisé dans la défense contre les attaques et les piratages informatiques. Mon épouse est en train de m’aider à préparer ma valise.
Alors mon chéri, je te mets combien de chemises…
Petit retour en arrière pour les présentations.
Je me prénomme Franck, 35 ans, 1.88m, 80 kilos, tout en muscle (normal je suis un ancien gymnaste de haut niveau), et responsable de la sécurité informatique au sein d’une grande banque internationale.
Ma femme s’appelle Mireille, (Mimi pour les intimes), 34 ans, cheveux courts blonds, 1.69m pour 58 kilos, avec un superbe 90B, et des fesses à faire damner un saint. Comme je gagne très bien ma vie, elle a cessé de travailler peu après notre union et consacre son temps au sein d’une association.
Nous sommes mariés depuis 10 ans, sans enfant pour le moment, et je suis amoureux d’elle comme lors de notre rencontre.
Nous nous entendons bien sur le plan sexuel, même si j’aimerais parfois qu’elle prenne un peu plus d’initiatives. La seule pratique qu’elle ne m’accorde pas, c’est la sodomie. J’ai essayé, mais elle trouve cela dégradant.
Donc, en ce jour de départ pour une semaine, nous préparons mes affaires. Mimi qui sort de la douche est juste vêtue d’un déshabillé léger. Je ne peux m’empêcher d’admirer ses belles courbes.
Elle est penchée sur ma valise ; je m’approche discrètement par-derrière et empoigne ses seins. Ses tétons durcissent instantanément. Je l’embrasse dans le cou, mais elle m’arrête.
Nous n’avons pas le temps Franck, ton avion décolle dans 3 heures.
Mais si, ne t’en fais, pas nous avons largement le temps pour un petit câlin.
Non, n’insiste pas, il faut finir ton bagage et je dois encore m’habiller.
Elle se défait de mon emprise, finit de boucler ma valise, et s’en va dans le dressing pour s’habiller, me laissant un peu frustré.
Mimi, tu ne perds rien pour attendre, je me vengerai au retour.
Ne t’en fais pas mon chéri, je te réserverai une surprise.
Une heure plus tard, je m’enregistrai à l’aéroport. Juste avant de monter dans l’avion, je reçus un message de ma banque venant annuler mon envol. Victimes d’une intrusion par des hackers, ils avaient besoin de mes compétences au siège.
Je rejoignais mon bureau et commençais à contrer les attaques. Après une journée de combat, nous résolvions le problème avec mes collaborateurs.
Il était déjà 18h00 et je profitai d’un moment de calme pour grignoter un peu, et appeler Mireille. Je tombai sur sa messagerie.
Salut ma chérie, suite à une intrusion dans nos réseaux, j’ai passé la journée au siège et mon séminaire à Londres est annulé. Je rentrerai ce soir dès que j’aurai fini ici.
Vers 20h00, après avoir vainement essayé de joindre mon épouse à plusieurs reprises pour qu’elle vienne me chercher, je décidai de prendre un taxi pour rentrer.
Au moment où le véhicule me déposa devant chez nous, je constatai la présence de la Twingo de Marc, mon meilleur ami. Que faisait-il chez nous ? Y avait-il eu un problème, raison pour laquelle Mireille ne pouvait pas répondre à mes appels ?
J’entrai chez nous et tout de suite je sentis que quelque chose n’était pas normal. Toutes les lumières du rez-de-chaussée étaient éteintes et j’entendais du bruit à l’étage. J’eus un sombre pressentiment qui paralysa tout mon corps. Mon sang était comme glacé dans mes veines. Je déposai doucement ma valise sur le canapé, me déchaussai et commençais à monter les escaliers jusqu’à l’étage.
Le palier était divisé en trois : à droite et à gauche deux chambres dont une me servait de bureau, et un couloir menant à notre chambre, à une salle de bain et à un w. c.
J’entendis des bruits étouffés provenant de notre chambre. Prudemment, je progressai vers cette dernière. La porte était légèrement entre-ouverte. Je ne pouvais voir directement le lit parce que ce dernier se trouvait derrière la porte. Mais, je pouvais voir par reflet dans le miroir qui se trouvait en face de notre lit, ma femme qui se faisait prendre en levrette par Marc.
Quel enfoiré, baiser la femme de son meilleur ami. Moi qui l’avais tant aidé dans sa vie professionnelle et après son divorce. Moi qui l’avais sorti de la merde alors qu’il n’était qu’une loque.
Et Mireille, quelle salope ! Me tromper avec celui que je croyais être mon meilleur ami. Mais pourquoi ?
Au moment où je m’apprêtai à intervenir, j’entendis ma femme lui dire:
Viens Marc, encule-moi fort comme la dernière fois.
J’étais abasourdi. Elle se faisait enculer alors qu’elle me le refusait depuis notre rencontre. Et visiblement, ce n’était pas la première fois. Depuis combien de temps me trompait-elle ?
Je fis deux pas en arrière et retournai dans mon bureau pour y récupérer mon caméscope, pour avoir des preuves de son infidélité.
Je retournai devant la chambre et commençais à filmer leurs ébats. J’avais le son et l’image. Ils allaient me le payer très cher tous les deux.
J’entendais les halètements des deux amants qui se donnaient corps et âme dans leur baise. Je vis Marc se retirer, enfoncer ses doigts dans la chatte de ma femme, prélever sa mouille et commencer à en enduire son anus. Puis il plongea un, puis deux doigts dans son petit trou pour l’assouplir. Mireille gémissait comme une salope suite à l’intrusion.
Oh oui, Marc, montre-moi que tu es un homme, pas comme ma lopette de mari.
Oui, je vais te montrer qui est le mâle dans cette maison.
Oui, encule-moi fort, l’autre connard n’a jamais voulu me la mettre dans le cul, il trouvait cela dégradant. Vas-y plus fort, plus loin… Oui, je vais jouir…
Je n’en revenais pas de leurs propos. Ma propre épouse me traitait de connard et de lopette.
Caché derrière ma caméra, j’avais l’impression de vivre une scène irréelle. Le filtre de l’appareil faisait que je me retrouvai protégé de cette scène qui était vraiment pornographique. En plus, je constatai qu’ils baisaient sans préservatifs…
Je filmai toute la scène jusqu’à ce que Marc éjacule dans les boyaux de ma future ex-femme.
En effet, à ce moment-là, j’avais pris la décision que je mettrais un terme final à notre mariage avec Mireille.
Mais je me jurai également de détruire leurs réputations à tous les deux.
Marc sortit sa bite de l’anus de ma femme, qui se retourna pour le lécher et sucer cette queue qui venait de l’enculer. Je constatai que son sexe était plus petit et moins gros que le mien. Mais qu’est-ce qu’elle lui trouvait alors ? Plus vieux que moi, ventripotent, je ne comprenais plus rien. Si encore cette catin en avait choisi un plus jeune et mieux membré que moi. Mais même pas.
Discrètement, je retournai dans mon bureau et déposai le caméscope dans le coffre fort que je possédai pour mes dossiers confidentiels, et dont j’étais le seul à avoir la combinaison. Je pris également le pistolet qui s’y trouvait en retirant le chargeur, mais en laissant une cartouche engagée dans la chambre.
J’étais prêt à leur faire la frayeur de leur vie…
Je retournai devant la chambre. Je les voyais s’embrasser goulûment et les entendais rire.
Au bout de quelques minutes, j’entendis Mireille lui dire.
Viens mon chéri, je veux que tu me baises la chatte.
Avec plaisir ma petite salope, je vais te faire oublier ton connard de mari.
Oui, viens, baise-moi fort. Couche-toi sur le dos, je vais venir m’empaler sur ta pine.
Grâce aux caresses et à la bouche de mon épouse, Marc recommençait à bander. Il se mit sur le dos en attendant son amante.
J’attendais le bon moment pour intervenir. Je préparai mon portable dans une main et le pistolet dans l’autre. J’étais prêt pour le grand final.
Au moment où elle commença à le chevaucher, j’ouvris la porte en grand et me retrouvai face aux deux amants en pleine fornication. Je pris plusieurs photos de leur position. Je voyais les visages hallucinés des deux baiseurs. Leurs expressions que je fixai sur la pellicule étaient celles de quelqu’un qui a vu un revenant. Je mis mon portable en position film et en brandissant mon arme je leur demandai.
Lequel de vous deux la lopette va abattre en premier ?
Mireille se dégagea pour se mettre derrière Marc qui était figé de peur.
Toi, Marc que j’ai accueilli sous mon toit, que j’ai sorti de la merde, que j’ai soutenu après ton divorce, c’est comme ça que tu me respectes et que tu me remercies.
……….
Ou toi, ma salope de femme, qui m’a toujours refusé ton petit trou pour mieux l’offrir à ses amants, qui me traite de connard et de lopette sans aucun respect pour nos 10 ans de mariage.
……….
Vos visages trahissent votre stupeur de me voir. Eh oui, ma chère et tendre future ex-épouse, mon séminaire a été annulé. Mais si tu avais écouté mes 4 messages où je te l’annonçais et où je te demandais de venir me chercher, tu l’aurais su.
Marc prit le premier la parole
Ne fais pas de connerie, Franck, ce n’est pas ce que tu crois.
Ah bon, parce que tu sais ce que je crois ? Je sais surtout ce que je vois : deux belles ordures qui baisent sous mon toit, dans mon lit conjugal. Mais vous n’avez pas terminé. Désolé de vous avoir interrompu. Continuez votre petite affaire. Le premier qui jouira sera épargné… ou peut être le contraire… on verra selon mon humeur.
Mireille arriva enfin à sortir de sa léthargie.
Mon cur, excuse-moi pour ce moment de faiblesse. Je n’ai jamais voulu te blesser, ni te manquer de respect.
Mais j’hallucine, en plus de me cocufier, tu essayes de te foutre de ma gueule. J’ai bien vu et entendu vos paroles et tes gémissements. Tu n’es qu’une salope et je vais mettre fin à cette mascarade.
Ne fais pas ça mon amour, tu sais que je n’aime que toi.
Le mot amour dans ta bouche me fait gerber. Lorsqu’on aime, on ne trompe pas cet amour. Et encore moins avec son meilleur ami, et en prononçant des insultes abjectes à mon encontre.
Mais je ne le pensais pas. C’était dans le feu de l’action. Je t’en conjure, crois-moi.
C’est quoi cette défense minable ? Ait au moins le courage de ce que tu as fait. Dis-moi pourquoi tu me trompes avec Marc et depuis combien de temps.
Je ne sais pas t’expliquer. Cela a commencé il y a 6 mois après une réunion à mon association. Tu étais en réunion au siège à Londres pour deux jours. Marc était arrêté et attendait aux feux le passage au vert. Je l’ai hélé pour lui demander de me ramener à la maison. Je l’ai invité à prendre un verre et cela a dégénéré.
Combien de fois m’as-tu trompé, et explique-moi ton acceptation de la sodomie avec ce tocard.
Arrête de te faire du mal, Franck. Je ne veux pas entrer dans les détails.
Dans ce cas, c’est toi qui feras la première les frais de ta tromperie.
NON. Je vais tout te révéler.
Et Mireille m’expliqua en long, en large, et en travers, son infidélité. Elle m’expliqua que, même si notre entente sur le plan de l’affection et du sexe était parfaite, son corps réclamait un brin de folie. Elle m’avoua qu’elle aurait dû me faire savoir que ce serait mieux avec simplement plus de fougue.
C’est vraiment dégueulasse, encore pire que ce que je pensais. Vous ne méritez plus de vivre.
Arrête mon chéri, je jure que le reste de ma vie, je te ferai oublier cette passade. D’ailleurs, tu pourras toi aussi m’enculer quand et autant de fois que tu le voudras.
Mais je rêve, après m’avoir refusé ton trou du cul pendant toutes ces années parce que c’était « dégradant », tu me le proposes comme cela sans vergogne. Sache que je refuse de passer derrière cet enfoiré.
Mais, que comptes-tu faire maintenant ?
C’est très simple, vous allez reprendre où vous en étiez resté. Le premier qui jouira aura la vie sauve.
Tu délires, Franck. Je ne peux pas faire ça devant toi.
Alors, je vous abats tous les deux.
Mais tu iras en prison.
Je m’en fous, tu as brisé notre couple et ma vie. Il ne me reste plus rien. Tu dois accepter les conséquences de ton action.
Je jouai le jeu à fond. Mon plan de vengeance commençait à prendre forme. Il me fallait la vidéo où on verrait les deux amants côte à côte, en train de se masturber.
Comment allait se passer la suite ?????
