— à Marseille –
Cela faisait 2 jours maintenant que nous étions à Marseille. Et je pouvais enfin profiter du corps dAgnès en intégralité. Bien sur, je l’ avais déjà prise dans toutes les positions et par tous les orifices, mais toujours au bureau entre 2 rendez-vous, de façon rapide et "brutale". Alors que cette fois ci, nous avions une suite avec un grand lit à notre disposition, et si nos journées étaient un peu chargées, les soirées et les nuits étaient à nous. Agnès envoyait régulièrement des photos à son mari, un peu comme on envoi des cartes postales, sauf que là, le plus souvent elle était nue avec mon membre bien enfoncé en elle.
Le matin du 3éme jour, elle me réveilla avec une superbe fellation. J’étais sur un petit nuage :
— vivement ce soir, que je puisse abuser du reste de vos talents
— non, pas ce soir, je vous rappelle que vous allez diner avec monsieur Paoli …
— oh merde, je l avais oublié celui là, fait chier !
Le monsieur en question était un gros fournisseur, gros dans tous les sens du terme, millionnaire, il avait tous les attributs du nouveau riche, l’obésité et la vulgarité en plus, bref, un porc.
Il est clair que je préférais passé ma soirée entre les reins d’Agnès qu’en compagnie de ce personnage, mais les affaires sont les affaires.
Nous avons donc quitté notre chambre à regret pour nous rendre à notre premier rendez-vous de la journée, avec un autre fournisseur. Agnès comme à son habitude était très élégante, sexy, sans être provocante ni vulgaire. D’ailleurs je ne la présentais plus comme ma secrétaire mais comme mon assistante, ce qui il est vrai correspondait plus à la réalité. Le rendez-vous se passa normalement, et je pu encore une fois constater l’effet qu’elle faisait sur la gente masculine. C’est en sortant de ce rendez-vous que nous sommes tombés sur Monsieur Paoli. Il la remarque immédiatement, et l’espace d un instant j’ai bien cru qu il allait se sentir mal.
Agnès le remarque aussi, et en rajouta un peu en gonflant sa poitrine pour mettre ses seins en valeur, en riant à ses mauvaises allusions sexuelles. Puis il pris enfin congé en la gratifiant d’un "a ce soir très chère", signifiant par là qu’il comptait l’avoir à notre table pour le diner, ce qui n’était pas prévu. Connaissant le personnage, j’avais pensé épargner ma belle … mais là on était coincés. C’était le genre de type à faire capoter une affaire si il n’obtenait pas ce qu’il voulait.
— désolé, Agnès mais je crois que vous allez vous aussi passer une mauvaise soirée.
— à ce qu’il semble … mais si il faut en passer par là pour avoir des prix corrects.
— reste à espérer qu’il se contentera de se rincer lil
— euh … je sais bien que je suis a votre disposition, mais vous n’allez pas me demander de coucher avec … ça ?!?
— non, cela ne fait pas partie de notre arrangement, si nous devions envisager cette possibilité, je vous laisserais le choix, sans aucune conséquence sur votre emploi je vous rassure.
— bien, il n y a plus qu’à espérer alors ! Mais j’ai un autre problème avec cette soirée
— lequel ?
— je n’ai pas pris de robe de soirée, si ce monsieur compte se rincer lil autant lui donner quelque chose à regarder non ?
— nous sommes dans une grande ville, cela devrait se trouver facilement
Après plus de 3 heures de recherche nous avions enfin trouvé la tenue adéquate : un longue robe dos nue et au décolleté plongeant. Plus que plongeant, en fait, juste … affolant ! Je dû faire un effort surhumain pour ne pas la baiser dans la cabine dessayage. Bien entendu, ce genre de robe se portait sans sous-vêtements, et laissait entrevoir une bonne partie de ses seins à chacun de ses mouvements.
Elle se regarda dans la glace, tourna sur elle même, s’admira sous toutes coutures :
— bien, plus que des talons aiguilles, le maquillage qui va bien, et si avec ça il ne jouit pas dans son slip en me voyant c’est qu il est homo !
Le soir venu, nous sommes arrivés au restaurant à l’heure dite, mais il était déjà là. Il eût un grand sourire en voyant qu’Agnès m’accompagnait, mais lorsque qu’elle enleva son manteau, il restât simplement bouche bée, elle s’avançant vers lui sans aller trop vite pour qu’il puisse avoir le temps de l’admirer, puis elle se pencha pour lui faire la bise, dévoilant ses seins. Il plongeant immédiatement son regard dans son décolleté et lorgna ses seins sans complexes. Il n’était pas dupe bien sur, mais cela faisait partie du jeu.
— Madame, vous êtes superbe !
— Merci, très cher …
Elle joua son rôle à la perfection durant tout le repas, notre invité était aux anges, et les serveurs aussi.
Entre le plat et les desserts, il s’excusa, et pris la direction de toilettes. Il essaya tant bien que mal de cacher son érection en se levant mais c’était peine perdue.
Elle me glissa à l oreille :
– je crois qu’il va se faire un petit plaisir pour faite retomber la pression
— je crois aussi
Elle se leva a son tour :
— je vais lui donner un coup de main
— vous êtes sur ? Vous n’êtes pas obligée
— ne vous inquiétez pas, je gère !
Les toilettes étaient à l’étage, aussi personne ne s’aperçut qu’elle entrait dans celles des hommes …
Elle réapparut 5 minutes plus tard, avec un petit sourire coquin sur les lèvres.
— déjà ?
— oh il était tellement excité que ça n’a pas été difficile, il m’a suffit de le branler sur mes seins. Il a jouit presque immédiatement.
— Agnès, vous avez mérité une prime
— ah, il revient ..
Il se rassit à sa place
— et bien on peut dire que votre assistante est capable que prendre en main toutes les situations
— oui, elle est très douée et dévouée à son travail
— que voulez vous messieurs, je fais de mon mieux pour que les négociations aboutissent …