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Ma petite voisine Angèle – Chapitre 3




Angèle, sa sour et moi

— ?Bob, je te présente Anne ? me dit Angèle en me désignant sa sour qui se trouve à ses côtés dans le hall d’entrée de mon appartement.

Angèle m’embrasse discrètement sur la bouche et je devine que sa sour est informée de notre relation puisqu’elle me tend à son tour les joues pour me faire la bise.

— ? Très heureux de faire ta connaissance Anne ? je réponds.

— Angèle ma beaucoup parlé de toi me dit Anne en me fixant droit dans les yeux avec une lueur profonde qui me fait comprendre que les deux sours ont beaucoup parlé sans doute.

— A moi aussi je lui réponds ne souhaitant pas en être de reste, sous entendu : je sais tout.

Ce petit jeu des présentations achevé, les deux sours s’assoient au salon, où j’ai préparé différentes boissons pour l’apéritif. J’ai invité Angèle à manger avec sa sour, puisqu’elle souhaite me la faire mieux connaître.

Anne est une jeune fille magnifique, elle est brune à la peau mate comme sa sour aînée et ses yeux sombre semblent encore plus grands avec cette lueur particulière des jeunes filles candides ; bien qu’elle ait juste 20 ans, on l’a croirait beaucoup plus jeune.

Elle est un peu plus grande qu’Angèle, environ 1.70, de corpulence menue et par contre sa poitrine semble peu développée et toute petite sous son tee-shirt blanc qui laisse deviner qu’elle ne porte pas de soutien.

Angèle m’observe durant les quelques secondes que je consacre à l’examen rapide et discret de sa sour, une lueur coquine et amusée dans le regard qui semble dire : ? elle te plaît ma sour ? ?

Anne est en short estival, très moulant et je peu observer un joli petit ventre musclé orné d’un brillant sur son nombril. Excitant à souhait et Angèle semble remarquer la bosse qui commence à pointer sur mon short pourtant large.

Les filles choisissent le whisky-coca, tandis que moi, je reste fidèle au Jack Daniel’s sec. la conversation s’engage sur différents sujets agréables et d’actualité. Je peux constater que Anne est aussi curieuse et érudit que sa sour Angèle. Elle prend ses études de droit international très au sérieux et nous continuons de bavarder en sirotant jusqu’au repas vietnamien que j’ai préparé.

Je ne peux m’empêcher d’embrasser Angèle assise à mes côtés d’abord timidement puis à pleine bouche, car je ne l’ai pas revue depuis jeudi, où nous avons passé une si agréable après-midi.

En effet, son mari est rentré à l’improviste (comme toujours) vendredi matin pour repartir ce samedi matin.

Anne nous observe discrètement durant ces cours intermèdes en rosissant légèrement. Nos regards se croisent tandis que j’embrasse sa sour et je crois deviner qu’elle en voudrait bien aussi.

Nous passons ensuite à table et le repas se passe très agréablement jusqu’à ce que, le rosé aidant, Angèle attaque dès la fin du repas :

— ? Tu sais, Anne, Bob m’a félicité pour la qualité du rasage de ma chatte et je lui ai expliqué que c’était toi qui m’entretenait la touffe ? annonce Angèle à Anne qui en reste interloqué, fourchette en main et rosit imperceptiblement.

— C’est vrai que tu fais du bon boulot car j’ai rarement dégusté une chatte aussi bien entretenue, je rajoute en regardant Anne droit dans les yeux afin de tester ses réactions.

— Tu sais me confie Angèle, la sienne est aussi très lisse en dehors d’un petit papillon poilu magnifique, j’adore la déguster en guise de dessert.

La température de la pièce vient de passer à 30 degrés d’un coup car j’ai brusquement très chaud et ma queue me gène dans mon slip.

— ? dommage que tu sois vierge, tu devrais profiter de ce que Bob est notre bon ami pour lui demander de te débarrasser de cette chose devenue inutile ? croit bon de rajouter Angèle.

— Pourquoi pas rétorque Anne pas gênée mais toujours rosissante tout de même et qui décide de répondre aussi ouvertement à notre conversation directe et vraiment sans détours.

— ? Je suis toujours volontaire pour rendre service ? je réponds ?surtout si la fille est aussi magnifique que toi ?

je rajoute en regardant Anne qui commence à se tortiller sur sa chaise comme si elle était assise sur quelque chose de pointu.

— si l’on passait au salon me propose Angèle qui me semble particulièrement excité et agit comme si elle était chez elle, ce qui me plaît beaucoup.

Elle se lève et se dirige vers le canapé accueillant de la pièce voisine nous la suivons Anne et moi en nous frôlant légèrement et je constate une légère sudation autour des ailes de son nez, marquant son excitation et peut-être aussi son inquiétude pour ce qui va immanquablement se produire.

J’en profite pour régler la clim que j’ai mis en marche vers midi et je descends légèrement la température car il fait chaud en ce mois de septembre.

Je vais chercher le café qui est prêt et lorsque je le ramène de la cuisine, je m’aperçois qu’en mon absence, Anne s’est assise à côté de sa sour et l’embrasse à bouche que veux-tu.

Je me positionne donc sur le fauteuil face à elles, tasse à café à la main ; tout en dégustant mon arabica, et admirant le tableau vivant que m’offrent les deux frangines.

Angèle caresse la poitrine de sa sour en lui soulevant le tee-shirt ce qui me permet d’admirer les petits seins d’adolescente d’Anne, les tétons sont gonflés et larges, non encore formés ; ces seins sont petits mais hyper excitants, on lui donnerait ainsi une quinzaine d’années.

Anne commence à gémir tandis qu’Angèle lui suce ses seins, puis Angèle se glisse à genoux entre les jambes d’Anne tout en lui ôtant son short afin de lui grignoter la chatte.

Elle ne lui enlève pas son string blanc mais se contente de lui écarter afin de découvrir une petite chatte appétissante surmontée d’une petite touffe teintée blonde qui remplit un tatouage de papillon sur son pubis. Voilà donc le fameux papillon dont parlait Angèle durant le repas.J’admire au passage le cul d’Angèle à peine recouvert par sa courte jupe estivale et dont le string ne couvre en rien la raie du cul qui m’attire beaucoup.

— ? tu peux t’approcher pour mieux voir si tu veux, mon chéri me dit Angèle

j’aime bien qu’elle m’appelle mon chéri, comme si nous nous connaissions depuis longtemps.

— Si Anne le veut bien, je rajoute.

— ouiiii je veux. soupire Anne en me regardant avec des yeux brillants et troublés par le plaisir qu’elle reçoit de sa sour, regarde moi jouir avec ma sour, rajoute-t-elle.

— tu devrais ôter ton short avant de le craquer me fait remarquer Angèle en souriant ainsi Anne pourra voir ce qu’est une vraie bitte d’homme et non pas ce qu’elle a vu jusqu’à présent de ces petits étudiants minus- tu as raison, je lui réponds en ôtant mon short et libérant ma queue en début d’érection.

Je m’approche ainsi tout en me masturbant légèrement devant ce tableau superbe et excitant.

Putain que c’est bon de voir ces deux petites gouines, Angèle qui broute le minou de Anne qui n’en peut plus de jouir, en s’accrochant à la tête de sa sour. Je vois maintenant de près sa petite chatte aux lèvres saillantes et luisantes de foutre et de salive d’Angèle.

Angèle me présentant son cul, j’écarte la ficelle du string afin d’y placer un doigt. Depuis deux jours que je ne l’ai pas touché, elle tressaille immédiatement et gémit, tout à sa caresse envers sa sour. Mes doigts fouillent verticalement sa vulve juteuse et gonflée de plaisir.

Je vois que Anne lorgne vers ma queue à portée de sa main aussi je lui prends sa main droite et la pose sur mon tube érigé ; elle entreprend immédiatement une masturbation lente et agréable tout en restant timide et légère. elle manque de pratique c’est évident mais elle en veut car elle regarde bien ma queue dans le détail tout en soupesant mes couilles bien pendantes et gonflées de plaisir.

— ? Tu veux goûter ? me demande Angèle en se retournant vers moi et en désignant la chatte de sa sour en s’écartant légèrement.

— plutôt deux fois qu’une car elle a l’air très appétissant la petite.

— goûteuse et salope à souhait ma sour me répond Angèle qui se jette sur ma queue pendant que je m’abaisse vers la belle moule qui m’est offerte sur un plateau.

J’y plonge à mon tour ma langue et mon nez, le goût de miel ressemble à Angèle sauf que sa chatte est moins gonflée et son clitoris moins proéminent. Par contre ces lèvres en pétales de fleur sont plus longues et balisent parfaitement l’entrée du vagin qu’il va me falloir ramoner tout à l’heure. Mais ne nous pressons pas. J’aspire les lèvres de sa chatte comme je le ferais d’une glace en bâton et les gémissements d’Anne ne font qu’augmenter.

Je poursuis donc ma visite pendant que Angèle me suce avec force la queue ; mais nous sommes dans une position inconfortable, surtout pour Angèle aussi je propose aux filles de me coucher sur le dos au sol.

Pendant que Anne présente sa chatte au-dessus de ma tête, Angèle pourra me sucer confortablement.

Je retire donc le string d’Anne devenu inutile et la positionne au-dessus de moi, non pas à genoux mais accroupie comme si elle allait faire pipi, autant dire que dans cette position j’ai la meilleure vue du monde car elle est écartelée comme un fruit mur.

Angèle se positionne dans mon alignement et continue à genoux de me dévorer la queue sous les yeux d’Anne qui gémit de mes caresses. Dans la position ouverte au max dans laquelle elle se trouve, ces deux orifices sont à ma merci et j’en profite en passant de sa chatte bien béante à sa bague annale dont l’entourage très sombre et large déclenche en moi une folie de léchage et de pénétration de langue dont ma petite Anne profite allègrement en hurlant de joie.

— ? Oh oui Angèle, il me dévore le cul, je n’en peux plus, je veux moi aussi sucer sa queue.

— Tu as le temps ma chérie, réponds Angèle qui voit bien que si sa sour se penche vers ma queue, elle devra se mettre à genoux et sera donc moins bien à ma merci ; la torturer un peu par l’attente semble plaire à Angèle. Anne continue donc de crier sous mes caresses et ne pouvant me sucer, se met à se masturber le clito lorsque je m’attaque à son orifice anal dont ma langue pénètre petit à petit le vestibule ; puis, je retourne vers son vagin que je pénètre de ma langue en introduisant mon index dans son cul.

— ? Est-elle prête ? me demande Angèle car toi, tu me semble adéquate pour sauter une petite salope de pucelle en chaleur

— Si elle le veut vraiment ! je lui réponds

— ? oui je veux halète Anne entre deux respirations saccadées.

Je lâche alors Anne de dessus de mon visage et elle se retourne pour présenter sa chatte au-dessus de ma queue qui a pris des proportions énormes sous les coups de langue d’Angèle.

— Ecoute bien ma petite chérie, Angèle va guider ma queue vers ta chatte mais c’est toi qui dose la pénétration à ta volonté comme tu le sens, ok ?

— ouiiii me répond Anne à demi dans les vap de bonheur et malgré tout un peu inquiète, ce qui est bien naturel.

Je sens Angèle qui positionne mon gland devant l’orifice vaginal d’Anne dont elle écarte les lèvres et qui comprend à la légère pression que j’exerce sur ses hanches qu’elle peut s’empaler sur ma bitte. J’essaie de ne pas trop la gonfler afin de faciliter le passage.

— vas-y ma chérie dit Angèle, avec les gods que je t’ai introduit, jusqu’à présent, cela ne devrait pas te faire de mal.

Anne ferme les yeux et pendant qu’elle descend lentement en s’enfonçant sur ma queue, j’en profite pour téter ses petits seins d’adolescente qu’elle n’est plus et lui prendre la bouche. Sa langue est fraîche comme un bonbon et agile pareille à celle de sa sour.

Elle respire fortement par le nez, vu que je l’embrasse et à force de descendre le long de mon sexe, je sens son pubis heurter le mien. Je pose alors mes mains sur ses hanches en appuyant légèrement et monte légèrement mon bassin afin d’atteindre le maximum de pénétration, elle crie alors prise d’un orgasme dévastateur tandis qu’Angèle qui lui a introduit un doigt dans le cul commente :

— ? Tu aimes bien mon doigt dans ton cul, hein petite sour cochonne ; Tu n’es plus vierge maintenant mais tu dois bien profiter de cette journée afin de toujours t’en souvenir, la bonne queue de Bob va te ramoner tous les recoins de ta chatte.

— ouiii s’écrie Anne en commençant à me chevaucher avec lenteur mais assurance désirant sans doute parfaire son dépucelage. Elle appui ses mains sur la moquette et poursuit un mouvement ascendant et descendant au rythme de son désir et pour son plaisir. Je me laisse faire en lui caressant ces petits seins.

Je commence à être passablement excité par cette petite d’autant plus qu’Angèle qui lui ramonant l’anus avec son doigt ne reste pas inactive sur mes couilles qu’elle malaxe et lèche avec amour. la cadence d’Anne s’accélère ainsi que ses cris de jouissance. Je décide de changer de position et de la prendre en levrette ce qui va me permettre de la défoncer encore mieux plus à fond.

Anne comprend mes intentions et se positionne à genoux, les avant-bras bien au sol et me présente impudiquement son postérieur que je profite pour reluquer pendant que Angèle lui écarte bien les fesses

— ? vas-y, maintenant finit là dans cette position et ramone-lui bien la chatte, après ce sera mon tour me dit-elle.

Je m’enfonce en Anne avec plus de facilité, il faut dire qu’elle est bien huileuse de foutre.

Angèle en profite pour se coucher la chatte à portée de langue d’Anne qui se met à lui brouter le minou pendant que je m’active avec force. J’accroche Anne aux hanches et me mets à la besogner avec efficacité et le résultat ne se fait pas attendre, elle est prise d’un orgasme qu’elle hurle dans la chatte de sa sour qui jouit en même temps qu’elle. A ce moment là, j’envoie mon jet de sperme tout au fond de l’antre vaginal d’Anne ; elle n’est plus vierge ;

je la ramone encore longtemps après avoir éjaculer car ma queue reste bien excitée encore.

Nous tombons tous les trois au sol, épuisés et contents afin de reprendre notre souffle.

Je suis du côté d’Angèle qui embrasse sa sour en me tournant le dos me demande de la prendre sur le côté.

— ? Ramone-moi mon chéri car depuis jeudi, je suis en manque de ta queue et j’ai un gros appétit à combler.

Bien que venant d’éjaculer, je ne suis pas tout à fait mou aussi je pénètre facilement la chatte d’Angèle en levrette couchée et pendant qu’elle embrasse affectueusement sa sour, je lui laboure copieusement le vagin afin de lui donner ce qu’elle réclame. Ma queue bien que moitié molle lui remplie bien la chatte et l’excitation aidant reprend un volume correct permettant un ramonage efficace.

Excitée comme elle est, elle ne tarde pas à jouir d’autant plus que ma main droite ne reste pas inactive et lui caresse le clito. C’est dans un hurlement d’animal blessé que ma nouvelle chérie Angèle s’envoie en l’air une fois de plus sous le regard affectueux de sa sour qui lui caresse doucement son ventre rebondi par la grossesse.

(à suivre)

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