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Séduction délicate de la soeur de ma mère – Chapitre 1




Ma tante Véronique vint nous voir pour quelques jours.

Je venais d’avoir 23 ans, terminant ma dernière année d’école de commerce et je fantasmais sur la sur de ma mère depuis mon adolescence, moi Patrick fils unique.

Elle avait 42 ans, grande blonde avec des jambes sans fin. Hyper bien foutue avec une belle poitrine bien ferme, des lèvres sensuelles, elle symbolisait la femme mûre, parfaite à mes yeux.

Divorcée depuis un an, elle s’ennuyait ferme malgré ses deux garçons de 8 et 10 ans, mes cousins dans la région bordelaise.

Elle arriva l’après-midi et partit faire du shopping avec ma mère.

Le soir je la vis en jeans moulant, elle pouvait se le permettre avec le cul qu’elle avait. Un tee-shirt légèrement décolleté lui alla à ravir, mettant en valeur sa poitrine bien ferme. Sans être un fin connaisseur, je misai sur un 90B et ses seins en forme de poire me mirent immédiatement l’eau à la bouchesi j’ose dire. J’évitai de trop regarder son cul, bien alléchant au demeurant ainsi que ses lèvres, dessinées sans aucun doute par le créateur pour friser une telle perfection.

— Ah voici mon neveu ! S’exclama-t-elle.

— Bonsoir Véro !

Nous nous fîmes la bise et nous passâmes à table. Ma tante fut en face de moi et durant le repas, je lui jetai quelques regards et la fit rire deux-trois fois. Elle aussi garda son regard posé sur moi. Je crus bien ne pas être indifférent à ma tante, mais de là à envisager l’invraisemblable.

Puis vers 22 heures, je montai me coucher et j’écoutai dans ma chambre voisine de celle de ma tante, la conversation qu’elle eut avec mère.

— Mais Véro, voilà presque un an que tu es seule, tu t’ennuies à mourir, il faut refaire ta vie !

— Je ne sais plus où j’en suis Anne. Se confia-t-elle.

— Réfléchis et trouve quelqu’un, il faut continuer de vivre. Rétorqua ma mère.

— Oui sans aucun doute, mais trouver quelqu’un ça n’est pas évident. Anne j’ai envie de lire un peu alors à demain. Bonne nuit.

— On en reparlera quand tu en auras envie, bonne nuit ma Véro.

J’entendis la porte se fermer et ma mère regagner sa chambre.

Il fut 23 heures et je vis la lumière de sa chambre par ma porte entrouverte. Une envie folle de la rejoindre m’envahit, mais ma timidité emporta cette idée fort séduisante.

Puis le hasard fit bien les choses, ma tante vint à pas de loup me voir prise, au dépourvu, l’ampoule de sa lampe de chevet ayant grillé.

J’eus le temps d’apercevoir sa nuisette rose, affolante de sensualité. Elle s’assit sur mon lit pour m’expliquer la situation et je lui proposai dans l’immédiat de lui donner l’ampoule de ma lampe, ainsi que d’aller lui changer.

Exprès je ne mis que mon boxer, mesurant 1m80 et affichant 75kg, j’étais, en restant humble le mec bien balancé et ayant effectué des séances de musculation, mes pectoraux bien développés avec mon torse poilu ne laissaient pas les filles indifférentes.

Je la suivis dans le couloir, obnubilé par son si joli petit cul que je devinais sous sa nuisette. L’ampoule changée, ma tante me remercia et engagea une conversation, assise sur le bord du lit. J’admirai au passage ses pieds fins et je fis attention à ne pas plonger dans son si joli décolleté.

— Raconte-moi un peu Patrick ce que tu fais, tu as une copine ? S’interrogea-t-elle à mon sujet.

— J’en avais une il y a trois semaines mais ça a cassé, de toute façon j’ai mes examens. Et toi depuis ton divorce, comment ça se passe ?

— C’est compliqué de retrouver quelqu’un avec deux enfants. Je parle de quelqu’un de sérieux, de stable.

— Mais ça ne te manque pas ? Lui demandai-je avec une question ambiguë.

— Bah si, je n’ai pas envie de terminer vieille fille !

— Jolie comme tu es, ça doit être facile pourtant et puis il faut en profiter. Poursuivis-je.

— Tu sais Patrick, je vois des hommes autour de moi et il ne parle que de sexe. Me confia-t-elle.

— Oui évidemment, il n’y a pas que ça dans la vie. On peut partager autre chose. Dis-je en tentant de la jouer style le type posé.

— Oui mais toi à ton âge, tu ne penses qu’à ça avec une fille ! Dit-elle en pouffant de rire.

— Je ne vais pas me marier à 23 ans ! Et puis je vais te faire une confidence, je suis attiré par les femmes mûres. Ajoutai-je pour attirer ma tante sur un terrain glissant.

— Les femmes de mon âge t’attirent ? Dit-elle en me taquinant.

— Oui Véro, elles sont plus raffinées, plus subtiles, plus féminines et honnêtement je les trouve plus belles, plus épanouies avec un charme

— Ah ah ! Donc si je n’étais pas ta tante, tu me draguerais dans ce cas ? Me demanda-t-elle curieuse de ma réponse.

— Ah il y a des chances Véronique, tu es mon type de femme, grande blonde, bien foutue

En prononçant cette phrase, une érection se mêla à cette conversation intimiste. Du coup, je croisai mes bras de peur qu’elle soit visible en me maudissant de n’avoir pas mis un peignoir ou autre chose.

Je me sentis ridicule, bander devant ma tante à mon âge !

— Bah dis donc ! Répondit-elle un peu embarrassée par de telles confidences.

— Mais tu restes ma tante ! La vie est mal faiteLui confiai-je.

— Donc tu chasses les cougars ? Répondit-elle sans apporter de commentaire à ma petite remarque.

— Je ne chasse pas, je cherche. Et toi par exemple, tu n’es pas attirée par un jeune mec, juste pour essayer ? Demandai-je en tâtant le terrain.

— Tu m’en poses des questions ! Bah j’avoue que je n’y avais jamais songé.

— Il y a bien des types qui se tapent des petites minettes. Ajoutai-je.

— Oui enfin à 42 ans, je me vois mal avec quelqu’un de ton âge !

— Moi je le conçois très bien. Dis-je en la regardant.

Ma tante eut une espèce de gêne l’espace d’un instant, un malaise régna avec mes derniers mots et sa façon de lorgner sur mon torse me signifia que je ne la laissais pas si indifférente que cela. Peut-être lui avais-je mis la puce à l’oreille avec mes histoires de types âgés se tapant des jeunettes ?

Je saisis sa main et lui fit un baiser dans le cou.

— Patrick, j’aime bien parler avec toi, tu es très mature pour ton âge.

— Moi aussi ma super Tatie ! Je te trouve toujours autant ravissante.

— Quel gentleman ! Tu me fais rire en m’appelant TatieApproche et viens me dire bonsoir. Dit-elle en se levant pour me raccompagner à sa porte.

Je pris Véro par la taille et lui fis la bise en la serrant contre moi. Adroitement, je caressai d’une manière furtive sa paire de fesses à travers sa nuisette tout en m’éloignant. Ma tante me jeta un regard explicite, sachant pertinemment qu’elle fut la portée de mon geste.

Je regagnai ma chambre penaud, mais conscient d’avoir débuter mon travail de séduction.

Le samedi matin, je croisai Véro dans le couloir, moi habillé, elle en pyjama.

Qu’est-ce que ma tante pouvait me plaireet dès la première heure, sans maquillage, naturelle donc sensuelle.

Je lui fis la bise tout naturellement en échangeant des banalités. Après mes cours, je passai un peu de temps avec quelques copains et rentrai le soir pour dîner.

— Alors Patrick et ta journée ? Demanda ma mère, mon père étant absent pour un match de foot entre potes.

— Révisions et encore révisions !

— C’est ta dernière année ? Me demanda Véro.

— Oui après j’ai un stage de 6 mois et un rapport à faire.

— Et tu as trouvé l’entreprise ?

— Pas encore Véro, je cherche dans la région mais j’ai des pistes pour octobre.

— Ah tu as encore le temps. Dit-elle en jouant avec son rond de serviette.

— Bon il est près de 23h, je vais me coucher et papa, il rentre à quelle heure ?

— Ce soir il dort chez son copain Jacques et les connaissant, il est préférable qu’il ne conduise pas. Répondit ma mère.

— Oui d’ailleurs Anne, je vais y aller aussi. Rajouta ma tante.

J’embrassai ma mère puis ma tante. Elles montèrent rapidement et j’entendis ma tante souhaiter bonne nuit à ma mère après leur causette habituelle du soir. De mon côté, ayant terminé un brin de toilette, je laissai volontairement ma porte entre ouverte et me mis à lire ou plutôt parcourir un cours de marketing. J’entendis ma tante faire sa toilette à son tour, puis plus aucun bruit. J’en déduisis que mon plan était tombé à l’eau. Au culot, je toquai à sa porte puis je glissai ma tête à travers la porte.

— Tu ne dors pas ? Lui demandai-je.

— Non rentre. Répondit-elle à voix basse.

— Je ne veux pas te déranger mais j’ai aimé notre conversation d’hier.

— Tu ne me déranges pas du tout et je n’ai pas sommeil. Murmura-t-elle en se redressant.

Bien entendu, je fus à nouveau torse nu, histoire d’attiser l’excitation de ma tante à mon égard.

Je crois bien que j’avais vu juste.

— Mais tu n’as pas froid comme ça, torse nu ?

— Si un peu. Répondis-je sciemment.

— Attends, je vais te donner mon gilet.

Ainsi ma tante se leva de son lit, elle me fit le plaisir de la voir se déplacer, affriolante avec sa petite tenue et ses jambes divines. Elle prit un de ses gilets et vint s’assoir enfin près de moi, prenant soin de le poser sur mes épaules.

— Dis donc, t’es vachement baraqué et bien poilu ! S’exclama-t-elle tout naturellement.

— Et ça te plait ? Lui demandai-je.

— Ah oui, j’aime les mecs dans ton styleenfin plus âgé. Dit-elle en se rattrapant de ces mots d’égarement.

Puis Véro eut un fou rire avec ce qu’elle venait de me dire, elle réalisa l’énormité de son propos émanant d’une tante vis à vis de son neveu. Je passai ma main dans ses cheveux pour les lui remettre hors de son visage. Elle me prit dans ses bras, par pure tendresse, puis tout près de moi elle me posa une question.

L’envie de l’embrasser fut immédiate avec ses seins contre mon torse, elle ne s’en rendit pas compte et fut curieuse de mes vacances futures.

— Bon et tes vacances, qu’as-tu prévu, un beau mec comme toi ? Dit-elle en me prenant par l’épaule.

— Oh je les passerai bien avec ma jolie Tatie fraîchement divorcée ! Dis-je en gardant bien de conserver mes mains sur mes cuisses.

— Oh mais c’est une invitation pour les vacances, tu veux venir chez moi ? S’exclama-t-elle en rigolant.

— On en reparlera demain. Répondis-je posément.

— Tu veux déjà te coucher, on peut encore parler un peu.

— Sérieusement Véro, tu aurais dans l’idée de m’inviter chez toi pour les vacances ?

— Oui tu pourrais voir tes neveux, il me demande sans cesse de tes nouvelles et si tu es doué en bricolage, j’ai un tas de trucs à faire et puis il y a la piscine mais j’ai bien peur que tu t’ennuies avec une vieille de mon âge. Me susurra-t-elle.

Ma tante avait un petit côté allumeuse, cherchant à savoir si elle pouvait encore plaire, raison pour laquelle elle chercha une réaction de ma part en parlant d’elle, "la vieille". Exprès je passai à autre chose, sans relever ce terme incorrect à son égard, en invoquant les joies de la piscine avec ses enfants. Puis je repartis à nouveau dans un échange intimiste.

— Toute seule chez toi, tu n’as pas peur, tu habites un village et Bordeaux est loin. Luis fis-je remarquer.

— Avec le temps, je m’y suis habituée à vivre seule et j’ai une alarme au cas où.

— Mais étant seule, tu n’as pas essayé les sites de rencontres ? Continuai-je en essayant différentes pistes pour voir sa réaction.

— Je préfère voir la personne en face de moi et puis je suis difficile dans mes critères. Répondit-elle, catégorique.

— Tu as un style de bonhomme ? Enchainai-je dans la foulée.

— Oui j’aime les blonds, grands et forts mais surtout il faut qu’il soit intelligent, doux et me fasse rire.

— Mais tu cherches le prince charmant ! Dis-je et Véro éclata de rire.

— Et toi, que recherches-tu chez une femme ? Demanda-t-elle attentive à ma réponse.

— Une belle blonde avec des gros nichons ! Véro fut prise d’un énorme fou rire.

— Arrêtetu me fais pleurer, allez sois sérieux. Ma tante prit un mouchoir pour s’essuyer les larmes.

— De la féminité à revendre et du charme à l’infiniet ?

— Et ? Fit Véronique intriguée.

— De la maturité.

— Mais tu es incroyable avec ça. Les filles de ton âge ne te plaisent pas, tu préfères connaître une femme comme moi par exemple ? Dit-elle sur un ton direct.

Véro se mît en évidence encore une fois. Mon jeu de séduction fonctionna à merveille et mon envie de la baiser ne fit que se renforcer à force de la voir se prendre au jeu.

— Oui enfin qui te ressemble. Mais depuis ton divorce, tu n’as pas eu d’aventure ? Enfin tu m’arrêtes si je suis indiscret.

— Oh je peux te le dire, j’ai déjà mes garçons et puis il faut du temps pour s’en remettre d’autant que c’est lui qui est parti rejoindre une petite jeune et puis ça ne manque pas, je prends du recul. Dit-elle vaguement mélancolique.

— Pour une petite jeunefaut vraiment être un con ! Répliquai-je.

— Que veux-tu dire ? En me posant cette question, ma tante chercha indirectement à ce que je lui fasse des compliments, des flatteries sur son physique.

— Bah quand on est marié avec deux gosses, je trouve ça bien dommageRépondis-je sans saisir sa perche tendue.

— Et bien dorénavant je suis libre en quelque sorte, libre dans ma tête enfin tu vois ce que je veux dire.

— Ah une belle quadra comme je les aime ! Rajoutai-je en allumant ma tante.

— Écoute et suis mon conseil, reste avec des filles de ton âge, tu t’éclateras plus. Me dit-elle en occultant ma phrase.

— Oui mais Véro j’ai justement envie de m’éclater avec une quadra et en plus elles ont une super libido, alors ?

— Bah j’en sais rienMurmura-t-elle pensive.

— Mais tu pourrais me donner des conseils même si les jeunes ne t’attirent pas.

— Oui enfin fais un essai avec une quadra que tu connais bien dans ce cas. Me conseilla-t-elle.

— Celles que je connais sont toutes moches !

— Sympa pour moi

— Ca n’a rien à voir avec toi et tu sais très bien ce que je pense de toi. Ajoutai-je sur un ton confidentiel.

Véro se mît dans la boucle des quadras et mon insistance pour avoir une aventure avec une fameuse quadra changea son comportement. L’attitude de ma tante en dit long, elle fut explicitement visée dans ce que je recherchais chez une femme et je vis à travers son regard une envie de vouloir me plaire davantage.

J’enchainai à nouveau avec des questions directes.

— Tu aimerais savoir ce que je pense de toi mais tu ne me le demandes pas, n’est-ce pas Véro ?

— Oui, ça me gêne un peu de te le demander. Dit-elle embarrassée.

— Tu es active, joyeuse, pas chiante et tu feras le bonheur d’un type mais je te trouve trop exigeante, le type parfait n’existe pas. Alors pense à toi, pense à t’éclater, tu n’as que 42 ans !

— Je l’ai dit, les types ne pensent qu’au sexe. Répliqua-t-elle.

— Et ça te fait peur ? Lui demandai-je directement.

En posant cette question, je pris un risque inconsidéré en entrant de plein fouet dans la vie intime de ma tante, qui marqua un temps d’hésitation. Mais du fait de notre conversation extrême entre un neveu et sa tante, je sentis Véro prête à se confier, à se dévoiler. Je la poussai en douceur dans ses retranchements en me mettant en avant.

— J’ai connu plusieurs filles, certaines très portées sur la chose et d’autres plus intellectuelles. Mais toi, voici une année complète de célibat. La chaleur d’un homme doit te manquer ? Demandai-je en devenant carrément indiscret.

— Oui Patrick ça me manque quelque fois mais les enfants sont là.

— Oh ma chère Véro, ta libido est en baisse. Dis-je attendant une réaction virulente de sa part.

— Détrompe-toi ! J’aime regarder un bel homme, l’écouter parler, le voir s’intéresser à moi.

— Un blond de préférenceAjoutai-je dans un sourire.

— Mais blond ou brun peu importe, du moment qu’il est délicat. Mais je ne cherche pas non plus une relation sérieuse et je n’ai pas envie de m’envoyer en l’air avec le premier venu ! S’emporta-t-elle toute seule.

— Alors fais-le avec quelqu’un que tu connais bien au départ et puis tu verras si ça fonctionne. Moi je suis à fond sur les matures, tape-toi un jeune dans la trentaine.

— Tu es à fond sur les matures ! Donne-moi la différence entre faire l’amour avec une jeunette et une vieille comme moi ? Demanda-t-elle sans détour.

— C’est mon fantasme !

— De quoi ?

— Faire l’amour à une quadra, la faire frissonner de plaisir, c’est autre chose qu’une gamine de 20 ans. Tu n’imagines pasPoursuivis-je pensif.

J’allumai ma tante dans toutes les directions, elle s’en aperçut très vite et ne répondit pas à mes allusions indirectes. Puis il se fit tard, je décidai définitivement de prendre congé.

— A demain Véro et passe une bonne nuit.

— Oui Patrick, toi aussi et tu me feras rire en vacances, j’en ai besoin.

— Pas d’inquiétude, je me teindrai en blond platine ! Plaisantai-je.

Véro se remit à rire une nouvelle fois.

Au moment de lui faire la bise, elle se leva comme hier, je la serrai contre moi et cette fois, mes mains passèrent sous sa nuisette pour lui caresser les fesses, tout en lui déposant un baiser dans le cou. En quittant sa chambre, Véro me regarda puis baissa les yeux, gênée de n’avoir opposer aucune résistance à mon acte déplacé voire inconsidéré mais ô combien symbolique.

Le lendemain à midi, nous déjeunâmes. Nous échangeâmes quelques regards, mais rien de plus et je la fis rire à plusieurs reprises. Ensuite, il fut question de son départ.

— Alors Véro tu pars demain après-midi ? Demanda ma mère.

— Oui mais je reviendrai après les vacances, en septembre.

— Tu ne pars pas ? Demanda à son tour mon père.

— Non malheureusement, mais leur père les a pour la mi-juillet et de mon côté j’ai des travaux à faire, enfin du bricolage, de la peinture et il faut que je change des tuiles. Ca n’est pas très passionnant !

— Et tu n’as personne pour t’aider ? Insista ma mère.

— Tous mes amis sont en vacances Anne mais j’ai proposé à Patrick de venir m’aider.

— Tu es d’accord mon grand ? Demanda mon père.

— Oui pas de problème et l’air du sud me fera du bien. Répondis-je.

— C’est vraiment gentil Patrick. Me dit Véro.

— Tu verras tes petits cousins en plus, tu es une sorte de grand frère pour eux. Ajouta ma mère.

— Et je te paierai en plus. Me dit ma tante.

— Hors de question ! Dis ma mère.

— Alors ma tante me fera des bons petits plats ! Répliquai-je ironiquement.

Tout le monde rigola de bon cur et nous fixâmes une date pour début juillet. Je pris un air blasé alors qu’en fait, je jubilais intérieurement de me savoir presque seul avec ma tante l’espace d’une semaine voire plus.

Nous décidâmes d’une date en juillet et ma tante insista pour payer le train, sans succès face au refus formel de sa sur. Mais point de billet retour ne fut réservé.

J’eus mes examens haut la main et attendis la date fatidique. Avant de partir, j’écoutai les recommandations de mes parents et surtout ma mère. Elle me confia que sa sur, malgré ses apparences joviales fut au bord de la dépression, ayant très mal vécu cette séparation. De mon côté, je m’inventai une ex petite amie que je retrouverais, une fois arrivé chez ma tante, histoire d’annihiler toute ambiguïté entre elle et moi.

Je débarquai à la gare et ma tante m’accueillit accompagnée de Jules et Oscar, mes petits neveux.

Ce fut un accueil fort chaleureux et voir ma tante aussi pétillante avec ses deux garçons me fit pitié, quel gâchis de divorcer d’une si belle femme avec deux enfants

Déjà arrivé, mes cousins se jetèrent à l’eau et me supplièrent de les rejoindre.

Le temps de prendre mes quartiers, ma tante m’ayant installé dans la chambre d’amis située au rdc, j’enfilai un maillot de bain pour faire un grand plongeon sous les yeux attentifs de Véro. Nous fîmes les fous dans la piscine, les garçons réclamant que leur mère vienne se mêler à la partie.

Je n’avais jamais vu ma tante en maillot de bain, aussi nous nous mîmes à entonner une chanson improvisée.

" maman à l’eau !

maman en maillot".

Mais Véro ne céda pas, par timidité vis à vis de moi ? par son état dépressif dont je doutais ? Je n’en sus trop rien.

Passé 18h30, les garçons les yeux rougis allèrent prendre une douche.

Je restai sur la terrasse avec ma tante en short et son tee-shirt blanc. Malgré cette tenue banale, je ne pus qu’admirer ses formes, sa poitrine naissante, ce fut plus fort que moi.

Véro me proposa un apéro, un Bordeaux rosé.

Les garçons mangèrent vers 19h30, affamés et fatigués. Je montai leurs dire bonsoir puis nous dînèrent en tête à tête.

L’air fut doux, propice à la discussion avec la piscine et ses eaux turquoise, il ne manqua plus que les coraux.

Le dîner fini, je complimentai ma tante sur le repas ainsi que sur son jardin fleuri. Elle apprécia ma disponibilité envers mes neveux et je ne pus m’empêcher d’ironiser.

— On dirait que tu parles du gendre idéal ! Véro éclata d’un rire joyeux.

— Mais je te trouve si charmant, si attentionné. Me confia-t-elle avec un sourire en coin.

— Merde j’ai oublié la teinture pour devenir un blond platiné !

Véro fut pliée en deux, les larmes coulèrent et j’allumai tranquillement une cigarette. Puis elle se reprit.

— Oh qu’est-ce que tu peux me faire rire

— Oui mais il se fait tard et demain j’ai piscine avec mes neveux et j’espère que tu te joindras à nous. Lui confia-je.

— Oui demain je me baigne Patrick.

— Ah enfin je te verrai en maillot de bain. M’exclamai-je.

— Ne t’attends pas à des miracles. Dit-elle en finissant son verre.

— Je te dirai si tu as des chances avec ton blond intelligent et raffiné !

— Oh je ne suis pas obnubilé par les cheveux non plus. Rajouta-t-elle en me lançant un petit regard coquin.

Je crus bien que ma tante avait quelque peu abusé du rosé et le soleil se fit rare.

En regagnant ma chambre, elle me montra mes serviettes dans la salle de bains puis au moment de s’éclipser, elle vint près de moi.

— Passe une bonne nuit Patrick, je suis contente que tu sois là. M’avoua-t-elle.

— Merci Véro et toi aussi.

Ma tante ne fut pas en nuisette, toujours en short et tee-shirt et ce soir-là, je n’eus pas envie d’un geste osé à son égard, par crainte aussi de tout briser. Inconsciemment je voulus que ce soit elle qui fasse le premier pas, mais la connaissant et au regard de notre relation tante-neveu, j’eus peu d’espoir de la voir se transformer en cougar, bref de prendre elle-même l’initiative.

Le lendemain matin, je fis une démonstration de crawl à mes petits cousins, sous l’il attentif de ma tante.

Enfin, je m’affairai aux différentes tâches de bricolage pour l’après-midi. Vers 16h, les petits cousins me réclamèrent, tel une sorte de grand frère pour une nouvelle fois faire les fous dans l’eau.

Véro apparut, une serviette à la taille avec un tee-shirt.  Je fis signe de la main d’arrêter nos éclaboussures et un silence s’installa.

— Continuez les garçons ! Lança-t-elle pour détourner leurs regards.

Elle leva les bras au ciel pour se dégager de son haut, j’admirai au passage son ventre plat et sa poitrine étincelante. Vint la séquence de la serviette, Véro l’ôta délicatement et la posa sur son transat m’offrant une vue somptueuse de son derrière fabuleux, ses hanches quasi-parfaite et ses cuisses bien galbées.

Elle était foutrement bien balancée, j’eus peine à croire son âge en la voyant dans cette tenue. Malgré l’eau quelque peu froide de la piscine, une chaleur m’envahit et je sus dorénavant que ces vacances avec ma tante seraient différentes de toutes celles que j’avais pu connaitre.

Nous restâmes une bonne heure dans la piscine, jouant avec les enfants pour leur plus grande joie. En fin d’après-midi, ma tante leurs ordonna de sortir et de prendre une douche. Il fallut qu’elle se fâche pour qu’ils sortent, ce qui eut pour don de l’énerver.

— Patrick, je prends une douche moi aussi et ce soir, c’est tenue décontractée !

— Ah d’accord ! Répondis-je sans savoir la signification réelle du mot décontracté.

J’eus hâte de voir comment ma tante allait s’habiller.

Pour ma part, je pris un débardeur avec un shortet un slip, des fois que mon sexe me fasse des caprices incontrôlés.

Je dressai la table pour les petits cousins et je m’improvisai chef de cuisine en leurs cuisinant des pâtes à la bolognaise. Ni une ni deux, mes deux petits ogres dévalèrent les escaliers, tout heureux du festin dévoré en l’espace de quelques minutes. Deux glaces en dessert et le tour fut joué.

— Patrick, on peut monter jouer au jeux vidéo ?

— Demandez à votre maman quand même.

— Yes ! On va lui demander et tu nous diras bonsoir. Dirent-ils enthousiastes.

Tel l’homme parfait, je rangeai la cuisine puis une table avec une nappe sur la terrasse agrémentée de deux chaises avec les couvertset le tour fut joué pour accueillir ma tante.

Quelques lasagnes surgelées au four firent l’affaire en guise de repas.

Décontracté, j’attendis patiemment avec une bouteille de rosé sur la table, tout en fumant ma cigarette.

— T’es génial Patrick, tu as tout fait !

Ma tante me fit sursauter et je n’eus que le temps de me retourner pour la voir s’asseoir en face de moi. Je cachai ma stupéfaction en la voyant, Véro arborant un chemisier bleu transparent, largement décolleté avec short bien court. Je lui servis un verre pour la rafraichir et j’observai son absence de maquillage sauf au niveau des yeux, mettant en valeur ses lèvres d’une sensualité extrême. Je craquai littéralement, intérieurement.

— On avait dit décontracté Véro, j’ai l’air d’un con.

— Pas du tout et moi, comment me trouves-tu ? Me demanda Véro en prenant du recul pour mieux se faire contempler par son neveu.

Je ne rêvai pas. Véro n’avait pas de soutien-gorge et instinctivement, j’en conclus la même chose pour le reste. Il fut clair que ma tante se retrouvait elle-même, en phase d’éveil en quelque sorte, en phase de séductrice à mon encontre.

— Tu es très en beauté. Répondis-je en omettant volontairement de souligner son absence flagrante de sous-vêtements.

— Toi tu me scotches depuis que tu es arrivé, je cherche un défaut et je ne trouve pas. Anne a de la chance d’avoir un fils comme toi. M’avoua-t-elle.

— Durant cette semaine, tu en trouveras certainement. Personne n’est parfait. Bon ça doit être chaud, je monte dire bonsoir aux terreurs et tu m’attends.

— Mais avec plaisir… Me dit Véro dans un grand sourire charmeur.

Ma tante s’affairant dans la cuisine, je me remis à table. Elle amena le plat et se pencha pour me servir avec un naturel déroutant, sachant pertinemment qu’elle m’offrit une vue plongeante et pertinente sur sa poitrine.

Sans le savoir, Véro se comporta en une formidable cougar avec un bémol. Elle n’osa de toute la soirée prendre l’initiative, même si au fond d’elle-même elle en mourut d’envie.

— Patrick, tu me ressers un verre de rosé, il est tellement bon et je me sens si bien en ta compagnie. Me confia-t-elle.

— Oui mais j’entends des grondements, l’orage se précise.

— Ca ne va pas tarder, mettons-nous à l’intérieur et installe-toi sur le canapé.

Ma tante rangea la nappe et je m’installai dans le salon. Le ciel devint noir et les grondements cessèrent, laissant place à une pluie violente comme on en rencontre dans le sud-ouest. Le temps de ranger, elle fut quelque peu trempée et sa poitrine se fit visible, si visible que je me crus dans une scène d’un film érotique. Véro un peu déstabilisée prit la décision de se changer.

Qu’allait-elle trouver comme tenue pour m’aguicher davantage ?

Elle revint tout naturellement avec un peignoir mais j’eus peine à deviner ce qu’elle portait dessous.

— Voila ! enfin tranquille. Me dit Véro installée près de moi, en allongeant ses jambes sur la table basse.

— Oui et je vais te dire bonsoir, mes neveux m’ont fatigué.

— Déjà ? Tu ne veux pas bavarder un instantDit-elle avec une mine boudeuse en quittant ses mules pour se retrouver pieds à l’air.

— Wouah tu as des pieds soignés, ils sont ravissants.

— Ils te plaisent ? Dit-elle en tortillant ses orteils.

— Oui et je dois t’avouer que j’ai toujours aimé les regarder, c’est rare de voir des pieds élancés et bien soignés. Sais-tu qu’il n’y a rien de plus relaxant qu’un massage des pieds, il y a beaucoup de terminaisons nerveuses. Répondis-je en ayant envie de les prendre en main.

— Oui mais il faut connaitre les emplacements exacts, ça n’est pas évident à faire. Tu sais comment on fait ? Demanda-t-elle intéressée.

— Oui une copine ostéopathe m’a appris et du coup, je lui prodiguais des massages, là je me suis fait avoir ! Plaisantai-je tout en ayant inventé cette histoire farfelue.

— Ah bahdu coup je ne vais pas te demander. Dit-elle toute peinée.

— Tu as mal aux pieds, des lancements ?

— Oui j’ai des lancements mais ne te crois pas obligé et puis ça me gêne un peu.

— De quoi ? 

— Que tu me masses, je suis ta tante. Ajouta-t-elle légèrement confuse.

— Allezallonge bien les jambes sur la table pour avoir les pieds en l’air, je me mets au bout, par contre tu n’as pas une crème pour le soin du corps ?

— Si je vais en chercher. Dit-elle impatiente que je commence.

L’idée de dorloter ses pieds m’excita et je considérai ce massage comme un point de départ. Véro redescendit et je me badigeonnai les mains pour entamer mon fameux massage. Je m’occupai d’un pied à la fois, passant mes doigts le long de sa voute plantaire pour repasser sur la peau très fine de ses orteils. Une fois les deux pieds terminés, j’appuyai avec le pouce à différents endroits et j’estimai que n’importe quel massage pouvait être relaxant en unissant douceur et délicatesse.

Je pris ses pieds élancés dans chaque main pour les dorloter, j’avoue humblement que la position assise m’arrangea ce soir-là, mon sexe me faisant de gros caprices.

— Comme tu fais ça bien Patrick ! S’exclama-t-elle.

— C’est fait pour. Dis-je en faisant de longs passages en incluant la base de ses mollets.

— Qu’est-ce que tu es doué avec tes mains, au fait tu ne t’ennuies pas trop ici ? S’interrogea-t-elle tout en me laissant dorloter ses pieds si gracieux à mes yeux.

— Non pas du tout ! Il y a les enfants et les massages pour ma tante ! 

Véro fut prise d’un fou rire et je rigolai en même temps qu’elle. Je poursuivis mon uvre jusqu’à ce que la crème l’ait pénétrée totalement. Ensuite, par pure gourmandise mon massage se fit caresseur et sensiblement érotique, puisque mes passages atteignirent le haut de ses mollets. Tel un professionnel, je posai des questions précises.

— Tu es tendue dans les jambes Véro, la table basse est solide, je peux m’assoir dessus ?

— Oh je suis tendue de partout, oui tu peux t’y mettre.

Assis sur la table, je déposai ses pieds précieux sur mes cuisses et s’en lui demander son avis, je fis couler un filet de crème sur chacune de ses jambes repliées en observant au passage la présence d’un slip. Véro me regarda faire et je débutai par les mollets en les massant tel un footballeur. Sans soutien-gorge, ma tante resserra discrètement la ceinture de son peignoir mais j’eus à loisir de pourvoir m’aventurer sur ses cuisses largement découverte. Concentré sur mon pseudo massage, mes passages caresseurs s’amplifièrent sur l’extérieur de ses longues jambes et j’alternai entre ses cuisses et ses mollets. 

— Ca va, ça te détend ? Lui demandai-je tout en ayant une forte érection.

— Oui je ne pense plus à rien mais je t’embête avec ça Patrick. 

— Non je vais avoir terminé et la prochaine fois, je te ferai un massage californien. Dis-je en forçant l’aventure entre ses somptueuse cuisses.

— Ah bon et c’est quel type de massage ?

— Tu masses les muscles fessiers pour faire diminuer la cellulite et l’ensemble du dos mais te connaissant, tu n’oseras pas. Dis-je en devançant sa réponse de manière provocatrice.

— Bah comme tu t’y prends, je ne vois pas pourquoi je te dirai non, par contre pour la cellulite, ça vient à grand pas mais je vais te montrer mes fesses ?

— Non, on met une serviette quand même ! Conclus-je en lui caressant l’intérieur de ses cuisses.

— Merci Patrick, tu m’as fait du bien, c’était super et je sens que je sens que je vais bien dormir.

— Tu me diras tout ça demain, au fait les garçons partent quand ? Dis-je en abandonnant à regret mon fameux massage.

— Son père vient les chercher vendredi, enfin après-demain. Répondit-elle mélancolique.

— Bon il faut que je profite de mes petits cousins ! Et puis tu ne seras pas seule pour le week-end.

— Ah oui heureusement que tu seras là, c’est super sympa de t’avoir. Conclut-elle en se levant.

Véro me prit dans les bras et me serra contre elle, mais son peignoir entrouvert jeta le trouble et aussitôt je lui fis un baiser sur la joue.

Ma tante, confuse monta et je regagnai ma chambre avec, avouons-le une frustration totale.

Désormais, je campai sur mes positions en restant dans l’attente d’une initiative de ma tante dans les jours futurs. J’avais bien retenu la journée de vendredi, jour où son ex viendrait chercher les gosses. Nous ne fûmes que mardi soir et je décidai de prendre sur moi, malgré mon attirance de plus en plus intense. Je me sentis vulnérable de mes émotions mais en réfléchissant bien, ma tante devait bougrement gamberger quant à son attitude à adopter.

La balle fut dans son camp

Le lendemain matin, les enfants dormaient encore et en sortant de ma douche, je la croisai dans le couloir avec sa petite nuisette.

— Bonjour Patrick, tu as bien dormi ?

— Bonjour Véro, oui impeccable et toi ?

— Très très bien et j’attends avec impatience ton prochain massage. Répondit-elle en s’approchant.

— Il faut prendre rdv, je suis débordé en ce moment mais pour toi, je ferai une exception. 

— Tu me fais rire à la première heure ! S’esclaffa-t-elle.

Elle vint près de moi et posa ses mains sur mes épaules, je la pris par la taille en évitant un geste maladroit. A mon tour je lui fis un baiser mais dans le cou.

— Eh tu me donnes des frissons en m’embrassant de la sorte ! S’exclama-t-elle.

Sentant mon organisme s’agiter, je clos cet échange avant que Véro ne s’en aperçoive en faisant un pas en arrière. Je me retournai et elle porta sa main à la bouche, puis la tendit dans ma direction en soufflant dessus, ce fut un baiser factice mais un signe révélateur.

J’eus ainsi cette impression farouche que pour la baiser, il me faudrait rester posé, patient, attentif ou attentionné et la faire rire, bref être un fin stratège pour arriver à mes fins

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