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Claire, une lycéenne modèle – Chapitre 4




Je lui répondis immédiatement que 14h00 ce nétait pas possible car javais mon cours de gym. Quelques secondes après je reçu sa réponse : « Tu fais ce que je te dis, 14h00 chez moi. »

Pour qui il se prend cet enfoiré ?! Comme si jallais lui obéir ! Je décidais de ne pas lui répondre et daller au lit, le sommeil vint rapidement, mais au milieu de la nuit je me réveillais complètement trempée de sueur et la chatte en feu.

Qu’est ce qu’il marrivait ? Jéprouvais un besoin irrépressible de me masturber, je baissai donc ma petite culotte et entrepris de caresser mon clitoris dune main tout en malaxant un sein de lautre, il ne me fallu pas longtemps pour arriver à la jouissance et je mordais mon oreiller pour ne pas réveiller toute la maison. Cest les doigts tout poisseux de mon jus que je mendormis.

Je profitai de ce samedi matin pour faire une bonne grasse matinée, et cest bien après dix heures que je me levais, la première chose que je fis fut de regarder mes SMS. Je relus celui de Marc, me demandant quelle jupe jallais mettre pour le rendez vous ; Je réalisais soudain que je navais pas prévu dy aller, hors maintenant je me demandais comment mhabiller pour le satisfaire. Est-ce que e devenais folle ?

Je décidai daller prendre un bain pour me changer les idées, et lorsque je me déshabillais je vis les traces de mes émois de la nuit dans ma culotte, me revint en mémoire les événements de ces dix derniers jours : les pipes, mon dépucelage forcé puis la séance de baise dhier soir et immédiatement une boule se forma dans mon bas ventre.

Je minstallais dans le bain brûlant et immédiatement éprouvais à nouveau le besoin de me caresser, ce que je fis sans me poser de question, mais javais besoin de quelque chose de plus consistant que mes doigts

Je saisis alors une bouteille de shampooing qui avait une forme bien adaptée : un cylindre de 3 cm de diamètre et long dune quinzaine de cm, je me lenfonçais dune traite dans mon vagin et entama un lent va et vient.

Une fois satisfaite, je décidais qu’il était temps de prendre soin de moi, épilation des jambes, masque pour les cheveux et le visage, je mépilais même intégralement le pubis, non pas que ma toison fut très fournie mais ça faisait un peu désordre.

Une fois sortie du bain et séchée je mhabillai sagement, jaurais le temps de me changer après manger et ça évitera à mes parents de me poser des questions sur ma tenue. Je pris cependant le temps de choisir mes vêtements pour cet après midi, vous laurez compris je navais plus du tout lintention daller à la gym.

Après plusieurs essais mon choix se porta sur une jupe plissée bleue foncée avec un chemisier à manches courtes blanc, je choisis un soutien gorge push up noir et son string assorti ainsi qu’une paire de bas auto fixants que ma mère mavait acheté pour le mariage dune cousine.

Je me rhabillai en jean et descendis pour le repas :

— Tu vas à la gym tout à lheure ? Demanda mon père

— Non jai prévu daller faire du shopping avec mes copines.

— Ah très bien, ne dépense pas tout ton argent de poche !

— Non, cest promis !

Je naimais pas du tout mentir à mes parents, mais je ne pouvais tout de même pas leurs dire que javais lintention daller me faire baiser chez mon « élève ». Ma mère ajouta alors :

— On part à 13h30 chez Grand-mère

— Oui daccord, vous lembrasserez pour moi alors ! Vous rentrez à quelle heure ?

— Oh, en début de soirée, ne nous attend pas pour manger. Répondis ma mère.

Javais vraiment de la chance, mes parents ne me verraient pas partir habillée comme je lavais prévu et ils ne me verraient pas rentrer non plus. Je débarrassai donc la table pour leur permettre de partir plus vite et une fois que la voiture quitta lallée, je me précipitai dans ma chambre pour revêtir ma tenue puis il me fallu un certain temps pour me maquiller proprement, je me contemplai alors dans la glace, « vraiment pas mal !» me dis-je. Je réalisai soudain que je navais pas choisis de chaussure ! Je navais que quelques minutes pour me décider, mon choix se porta vers une paire descarpins à talon noirs. Jallais vraiment avoir lair sexy habillée comme ça !

Je pris mon sac et après un dernier coup dil dans la glace je me rendis chez Marc.

Pile à lheure ! Je sonnai et attendis, cest Julien lami de Marc qui à filmer ma fellation dans les toilettes qui ouvrit la porte. « Ça sent le traquenard » pensais-je

— Entre, Marc tattend. Dis Julien toujours aussi aimable.

— Oui bonjour à toi aussi !

Je passai devant lui et aperçu son regard me déshabiller de la tête aux pieds, Marc mattendait dans le salon, assis dans un fauteuil, une bière à la main, visiblement sa mère nétait toujours pas là, il régnait dans la pièce une forte odeur de shit.

— Bonjour. Dis-je timidement, le regard baissé.

— Tu es très belle, tu as bien suivis mes directives ! Approche.

Je mexécutai, me plaçant juste en face de lui, il me saisit par la taille et me fit tourner sur moi-même afin de pouvoir admirer ma chute de reins mis en valeur par ma jupe et mes talons hauts. Je lui fis de nouveau face, il me sourit alors et déboutonna son pantalon sortant son sexe :

— Viens me sucer ma belle ! Dit-il

— Euh, il y ’a Julien ça me gène. Murmurai-je

— Il ta déjà vu avec ma queue à la bouche je te rappelle, allez pas dhistoire ! A genoux et pompe !

Cest morte de honte que je mexécutai, je commençai par caresser son sexe qui ne tarda pas à prendre de belles proportions, puis jentrepris de le prendre en bouche et de mettre en pratique les quelques techniques apprises ces derniers jours, Marc avait ses deux mains sur ma tête et donnait le rythme de cette fellation.

— Tu as vu comme elle suce bien ? Dit Marc à son copain qui sétait assis dans un autre fauteuil et contemplait la scène.

— Ouai jétais sûr que cétait ce genre de fille ! Elle a même mis des bas cette salope ! Regarde ce petit cul denfer qui se dandine pendant quelle te pompe la queue ! Ajouta Julien

Jétais de plus en plus excitée par la situation, je pompais cet énorme sexe sous les yeux de lami de Marc, ils ne se privaient pas pour se moquer de moi et me traiter de chienne, mais ça me rendait folle. Soudain, Marc me fit arrêter cette fellation, je pus reprendre mon souffle et essuyer la salive qui avait coulé sur mon menton.

— Sers nous à boire, pour moi ce sera un whisky, fouille dans la cuisine pour les verres et le bar et juste là. Ordonna Marc

— Très bien, Julien tu veux quoi ?

— Même chose !

— Prends en un pour toi aussi Claire. Ajouta Marc

Je ne voulais rien boire, mais je ne voulais surtout pas désobéir à Marc car javais peur de ses représailles, je mexécutai donc et servis trois verres de whisky. Marc tapa alors sur son genou, me faisant comprendre de m’asseoir dessus, ce que je fis sans broncher.

— Tu las vraiment bien dressé ! Remarqua Julien

— Le travail nest pas encore fini, mais je reconnais quil ya un net progrès.

Jécoutais ces commentaires sans rien dire, trop humiliée et de plus en plus soumise, je sirotais donc mon whisky par petites gorgées. Marc me demanda alors de mettre de la musique, il avait un CD près de la chaîne Hi-fi, je linsérai dans le lecteur et appuyai sur Play, les hauts parleurs déversèrent du RnB américain. Je retournai m’asseoir sur les genoux de Marc ce quil apprécia grandement, il commença à me palper les fesses à travers ma jupe, il avait toujours son sexe sorti, celui-ci avait perdu de sa vigueur. Je continuai de boire mon whisky et spontanément je décidais de branler un peu ce sexe qui mavait dépuceler la veille.

Une fois mon verre fini Marc me demanda de danser un peu, je montai donc sur la table basse du salon et au rythme de la musique jessayais deffectuer une danse la plus sexy possible, le whisky me faisait tourner la tête et jentendais à peine les commentaires salaces de Marc et Julien.

— Enlève ton chemisier ! Mordonna Marc

Mon cur battait la chamade, jallais bientôt me retrouver en sous vêtements devants deux garçons de ma classe, moi la lycéenne de 17 ans studieuse et timide jobéissais au salop qui avait pris mon hymen de force il y avait à peine 24heures.

Je défis les boutons de mon chemisier un à un, dévoilant mon soutien gorge à la vue de mon public visiblement ravi, après quelques secondes je pris linitiative de baisser sensuellement ma jupe le long de mes jambes gainées de noir, dévoilant mon fessier rebondi et à peine caché par mon string.

Jétais donc en sous vêtements et talons aiguilles en train de me déhancher sensuellement sur une table basse, exhibant mon anatomie à Marc et Julien visiblement très excités par la situation, en effet le sexe de Marc était bandé à bloc et Julien se caressait à travers son jean tendu par une belle érection.

Lalcool aidant, jétais complètement désinhibée, et cest tout naturellement que je dégrafai mon soutien gorge, je cachais mes seins avec un de mes bras tandis que je laissais tomber mon sous vêtement à mes pieds. Puis mes mains glissèrent lentement le long de mon corps dévoilant mes petits seins nus et mes tétons érigés. Encore quelques pas de danse et je fis descendre mon string très lentement le long de mes jambes tendues ce qui mit ma croupe en valeur. Jexhibais ainsi mon minou fraîchement épilé ce qui excita encore un peu plus mon public.

La musique cessa, et cest seulement avec mes bas et mes escarpins que je rejoignis Marc sur le fauteuil, je magenouillais à nouveau devant lui et gobais goulûment son sexe tendu. Julien nen revenait pas, il avait une vue imprenable sur mon cul et ma chatte alors que je suçais avidement son ami.

— Putain je ne le crois pas ! Cette salope à lair davoir la chatte trempée ! Sexclama Julien

Il avait raison et pour lui en mettre plein la vue jécartais un peu plus les jambes et de ma main libre entrepris de bien écarter mes lèvres vaginales. Jentendis alors Julien sagiter derrière moi et me retournai, il était à nouveau assis dans le fauteuil mais il avait sortit son sexe et se caressait lentement me dévorant des yeux.

Marc se leva alors et alla s’asseoir dans le canapé, il fit signe à son ami de venir s’asseoir à coté de lui. Javais donc deux belles bites fièrement dressées devant moi qui nattendaient qu’une chose. Javançais donc à quatre pattes vers le canapé en tortillant du cul comme la chienne que je devenais. Je recommençai à sucer Marc, je ne voulais pas trop moccuper de Julien, mais celui-ci me saisit une main et la plaça sur son sexe bandé. Jentrepris de le branler timidement pendant que je pompais la bite de Marc qui me dit :

— Lâche moi la queue et occupe toi de mon ami tu verras sa bite va te satisfaire !

Jobéis docilement, et entamai une fellation que je tentais de rendre la plus agréable possible. Pendant ce temps Marc se leva et mattrapa par les hanches afin de me positionner en levrette sur le canapé de façon à ce que je puisse continuer de sucer Julien pendant quil soccupe de ma chatte. Il me lécha la fente pendant quelques minutes puis, alors que je suçais toujours avidement Julien, Marc menfila son mandrin au fond de mon vagin trempé, ce qui me fit crier de bonheur.

Julien me saisit alors la tête et entreprit de me baiser la bouche avec sa queue, celle-ci un peu moins longue que celle de Marc était plus épaisse, aussi javais beaucoup de mal à ouvrir ma bouche en grand pour laccueillir correctement. Marc me pilonnait à toute vitesse, je ne pouvais que gémir avec la bite épaisse de Julien dans la bouche, je sentais ma mouille dégouliner le long de mes cuisses et chaque coup de rein de Marc faisait des bruits obscènes et humide, celui-ci me claqua les fesses puis se retira, il mordonna daller masseoir sur Julien, ce que je fit docilement.

Sa bite épaisse entra dans mon vagin fraîchement dépucelé comme dans du beurre, je montais et descendais sur sa queue en gémissant de bonheur alors quil entreprit de me lécher les seins. Marc vint se placer à coté de moi, sa bite luisante de mes sécrétions juste devant mon nez, je lavalai donc, goûtant à mon propre jus.

Je naurai jamais imaginé en me levant hier matin que je passerai mon samedi après midi à me faire baiser sauvagement par deux garçons de ma classe.

Nous changeâmes encore de position, cette fois cest Julien qui me prenait en levrette pendant que je suçais Marc assis sur le canapé. La grosse queue qui me ramonait la chatte me faisait un bien fou, et toute occupée à pomper du mieux possible le sexe de Marc, je ne sentis pas arriver lorgasme, celui-ci se propagea dans tout mon corps comme une onde de choc, provoquant des contractions de mes muscles vaginaux qui eurent raison de Julien. Celui-ci sextirpa de mon vagin et vint se placer devant moi juste à temps pour déverser toute sa semence sur mon visage et dans ma bouche que je pris soin douvrir en grand.

Marc saisit alors une nouvelle fois ma tête pour planter sa bite au fond de ma gorge, il éjacula instantanément une très grosse quantité de sperme que jessayais davaler du mieux possible, cependant il y en avait trop et je du en recracher une partie qui atterri sur le canapé en cuir.

Jétais exténuée, honteuse et je ne savais plus quoi penser de moi, Marc me tira de ma rêverie.

— Hey ! Tu as dégueulassé le canapé ! Nettoie tout ce sperme vite fait ! Dit il visiblement ravi de laprès midi quil était en train de passer.

Je me dirigeais donc vers mon sac pour prendre un mouchoir, lorsquil ajouta :

— Non mais tu fous quoi ? Avec ta langue tu nettoie ! Tu as presque tout avalé ça serait con den perdre !

Rouge de honte, je magenouillai devant le canapé et entrepris de tout nettoyer avec ma langue, javalai donc le reste de sperme, entre temps Julien et Marc avaient commencé à ranger le salon, Marc me dit de remballer mes affaires et de rentrer chez moi car sa mère nallait pas tarder à arriver.

Je me rhabillai donc, Marc sapprocha alors de moi, me palpa le cul et me dis :

— Dommage de ne pas avoir plus de temps ! En tout cas tu es vraiment un super coup ! Lundi jirai peut être voir le dirlo pour lever ta sanction.

— Oui, merci. Répondis-je perplexe

— Allez file ! Je tembrasserai volontiers mais tu sens un peu le sperme ! Ajouta-il en éclatant de rire

Je pris alors mes affaires, en me dirigeant vers la sortie Julien en profita pour me coller une tape sur le cul, je le foudroyai du regard et parti sans un mot.

Arrivée chez moi, il était seulement 16h, javais donc largement le temps de prendre un bain pour réfléchir à cette après midi. Les vapeurs dalcool se dissipèrent et je réalisai que javais vraiment adoré me faire prendre comme ça par deux garçons bien montés. Je me remémorai mon strip-tease et la séance de baise qui avait suivi et immédiatement je sentis mon vagin me picoter, je saisis une nouvelle fois le flacon de shampooing et me masturbai jusqu’à lorgasme.

La fin de journée se déroula normalement, je décidais de réviser un peu, ces derniers temps je métais montrer distraite en cours et je ne voulais pas prendre de retard. Vers 20h je me fis chauffer une part de pizza que je mangeai devant la télé, cest à ce moment que mes parents revinrent de chez ma grand-mère.

— Tiens tu es déjà en pyjama ? Demanda mon père en rigolant

— Oui jai pris un bain et je vais passer la soirée à réviser, alors autant être à laise.

— Bonne idée, tu as fait fumer ta carte bleue alors ?

— Euh, non, non jai rien acheté ! Mentis-je repensant à ce mensonge qui métait totalement sorti de lesprit.

Je passai alors un peu de temps au salon avec mes parents, ils me racontèrent leur journée en me donnant des nouvelles de ma grand-mère, jamais ils ne se seraient douté que leur fille de 17 ans avait passé laprès midi à se faire copieusement baiser par deux jeunes mâles.

Je montai donc dans ma chambre et entrepris de poursuivre mes exercices, après plus de deux heures de révision mon téléphone vibra, cétait Marc : « Je suis devant chez toi, habilles toi vite et rejoins moi, tu as 5 min ».

Et merde ! Jenfilai en vitesse un jean et un petit pull ainsi qu’une paire de converses montantes, le plus dur allait être de sortir de la maison sans éveiller les soupçons. Mon père était dans la cuisine alors que ma mère lisait dans son lit, je sortis discrètement de ma chambre et descendis lentement les escaliers, mon père était toujours dans la cuisine, hors cétait par là que je voulais sortir, je pris mon téléphone portable et composai le numéro de la maison. Le téléphone situé dans le salon sonna immédiatement, mon père se leva en jurant et alla chercher le téléphone, je profitai de ce cours instant pour me précipiter vers la cuisine et sortir sans faire de bruit. Après avoir raccroché, je rejoignis Marc qui mattendait dans la rue appuyé contre un mur.

— Tu as failli être en retard. La prochaine fois tu devras être plus rapide. Me dit Marc durement

Je baissai la tête, et plutôt que de lui expliquer pourquoi jétais en retard, je mexcusais en lui promettant que cela ne se reproduira plus. Il mordonna de le suivre ce que je fis sans poser de question, nous marchâmes en silence jusqu’à un petit parc juste à coté de chez moi. Marc se dirigea vers un arbre dans un endroit plus sombre, baissa son jean et extirpa son sexe devant moi. Il le montra et dit :

— Allez, dépêche toi on na pas toute la nuit !

— Merde, mais tu es fou ! On va nous voir !

— Tais toi et fait ce que je te dis, personne ne nous verra, il fait nuit ! Allez fait ce que tu sais faire de mieux.

Résignée, je maccroupis et entama à nouveau une fellation, il ne me fallu que quelques minutes pour le faire jouir à nouveau. Javalai tout son sperme sans rechigner, je devenais vraiment une salope, jétais dans un parc en train de tailler une pipe à un mec de ma classe et javalais sa semence sans aucune retenue !

Après avoir remonté son jean, Marc me dit :

— Allez rentre chez toi, merci pour la pipe cétait vraiment super ! La prochaine fois je te baiserai nest ce pas ?

— Oui si tu veux. Répondis-je totalement soumise

— Cest bien, allez ouste !

Il disparut dans lobscurité me laissant à nouveau seule avec un goût de sperme dans la bouche je rentrais chez moi, il ny avait plus de lumière au rez-de-chaussée, mon père était sûrement monté se coucher, je pus facilement rentrer et rejoindre ma chambre sans faire de bruit. Je ne retournai cependant pas me laver les dents afin de ne pas faire de bruit, après avoir remis mon pyjama je me couchai et mendormis avec le souvenir de cette fellation dans la bouche.

Le dimanche passa très simplement, aucune nouvelle de Marc, jen profitai pour me reposer et réviser en vue de la semaine chargée qui sannonçait.

Le lundi matin jenfilai un mini short en jean par-dessus un collant noir et des bottes en cuir, pour le haut je choisis une chemise foncée et une veste en jean, je me trouvais vraiment belle habillée comme ça, le mini short surtout mettait mon cul en valeur de façon provocante, auparavant je ne mhabillais jamais comme ça pour aller au lycée afin déviter les commentaires de Marc et ses copains. En partant je croisais moi père qui me complimenta sur ma tenue ce qui me flatta, il fit également allusion à un éventuel petit copain, je rougis mais ne répondis pas et filais au lycée.

Une fois arrivée, japerçu Marc et Julien qui rigolaient avec leurs potes, jétais persuadée dêtre le sujet de ces rires, aussi je méclipsai et rejoignis directement la salle de cours. A dix heures je fus convoquée une nouvelle fois chez le directeur, celui-ci mexpliqua quil avait eu de bon retour de la part de Marc sur mon implication dans les cours du soir et que pour me récompenser il avait décidé de lever la sanction qui pesait sur moi. Je devais néanmoins toujours aller aider Marc le soir avec ses devoirs.

Je rejoignis alors le deuxième cours du matin, jarrivais donc en retard mais avec une excuse valable, mais Benoit, un autre des amis de Marc avais pris place justement là ou je masseyais dhabitude au premier rang, la seule place restante était bien sur celle au dernier rang à coté de Marc.

Jallai donc massoir à coté de lui,il madressa un grand sourire auquel je ne répondis pas. Après quelques minutes de cours je lui dis :

— Merci davoir parler au directeur pour moi.

— Ah oui, il faut dire que tu as mis du cur à louvrage pour ça. Me dit-il avec un clin dil.

Je rougis et tentai de me replonger dans le cours, mais il poursuivi :

— Dailleurs tu pourrais peut être me remercier plus chaleureusement pour ça ?

— Comment ça ? Demandais-je, un peu inquiète

Je le vis alors ouvrir sa braguette et sortir son sexe de sa prison de tissu.

— Arrête ça on va nous voir ! Le suppliais-je dans un souffle

— Mais non allez branle moi discrètement ! Personne ne nous verra.

Marc était assis contre le mur ce qui me permettait de le cacher presque entièrement avec mon corps, jentrepris donc de le branler en faisant mine de mintéresser au cours, je le sentais respirer de plus en plus fort, signe quil appréciait le traitement que je lui infligeais.

Cette caresse dura un long moment, je sentais lexcitation monter en moi, mes joues devaient être toutes rouges et mon cur battait extrêmement vite. Mes caresses et la peur dêtre vue eurent rapidement raison de la résistance de Marc, celui-ci parvint à jouir sans se faire entendre, déversant un flot de sperme épais sur ma main et son sexe ramollissant.

Je navais plus de mouchoir pour messuyer, je léchais donc discrètement tout le sperme sur ma main. Puis dans un élan de folie, je fis volontairement tomber mon stylo, je me penchais donc pour le ramasser et au passage je gobais le sexe de Marc tout gluant de sa jouissance et le nettoyais rapidement de ma langue. Lui-même fut surpris par ce geste et me complimenta.

A la fin du cours il me dit de le rejoindre derrière un des bâtiments du lycée une fois mon repas terminé, je me dépêchai donc de rejoindre mes amies pour filer a la cantine.

Une fois le repas expédié, je me précipitais sur le lieu du rendez vous, Marc my attendait, il mentraina à larrière dune remise et me plaqua face au mur de celle-ci, sans un mot il baissa mon mini-short, mon collant et ma culotte et me tritura le vagin avec ses doigts puis sans un mot, il sorti une nouvelle fois sa bite et membrocha dune traite !

Jétais complètement trempée, il put ainsi me bourrer comme je le méritais, c’est-à-dire comme une jeune salope en manque de bite.

Je gémissais de bonheur sous ses assauts virils, il alternait les pénétrations lentes et profondes avec de petits coups de reins rapides, il plaça ensuite sa main sur mon pubis et me pinça le clitoris tandis quil me bourrait à toute vitesse, cest à ce moment que je jouis violemment dans un râle, mes jambes ne supportèrent plus mon poids et je maffalai sur le sol crasseux. Reprenant mon souffle je vis le sexe de Marc couvert de cyprine devant mon visage, jentrepris de le sucer avidement afin quil vienne une nouvelle fois dans ma bouche avide.

Il ne me fallu pas longtemps pour parvenir à mes fins, son sperme sécoula dans ma gorge et je le buvais avec délectation.

Marc se rhabilla et parti sans un mot, il navait absolument rien dit depuis quil mavait fixé rendez vous derrière ce bâtiment. Je lui obéissais aveuglément, il navait même plus besoin de me donner dordres, il me montrait son sexe et je le suçais, il pouvait me baiser quand et où il le voulait. Jétais en train de devenir sa vide couille personnelle et je devenais folle de sa bite.

Cest la chatte toute baveuse que je retrouvai mes amies devant la salle de classe, elles me demandèrent où est-ce que jétais passée et je dus inventer un bobard pour me sortir de ce pétrin. La suite des cours se déroula normalement, à la sonnerie Marc vint me voir pour me dire quil ny aura pas de cours du soir aujourdhui et que lon se verrait demain. Je lui répondis que jétais daccord mais il perçut de la déception dans ma voix et me dit :

— Tinquiète pas, tu la verras encore souvent ma bite ! A demain ma petite salope à moi !

Et il partit rejoindre ses amis, me laissant rentrer chez moi tranquillement. Cest vers 20h30, alors que je regardais la télé en pyjama avec mon père, que la sonnette dentrée retentit, mon père alla ouvrir puis mappela me disant que cétait pour moi. Cest en arrivant devant la porte que je compris, Marc était là tout sourire, il avait quelques livres à la main.

— Bonsoir, jespère que je ne te dérange pas jai un souci avec un exercice alors je me suis dit que tu pourrais rapidement mexpliquer. Me dit-il en guettant une réaction de mon père.

— Oui, on peut regarder ça rapidement, si je peux taider

— Merci, cest vraiment sympa de ta part, et désolé de vous déranger si tard monsieur. Ajouta-t-il à lintention de mon père.

Celui-ci nous laissa monter dans ma chambre et retourna devant la télé. Une fois à létage, Marc me prit par la taille et me posa sur mon lit, il retira mon bas de pyjama et entama un cunnilingus dont il avait le secret, je lui dis de ne pas faire de bruit, que ma mère lisait à coté, il ne me répondit pas et continua de me lécher le minou, celui-ci ne tarda pas à shumidifier, il inséra deux puis trois doigts à lintérieur, me branlant rapidement tout en me léchant le clitoris. Je me caressais les seins en même temps quil minfligeait ce traitement, mes tétons étaient tous durs dexcitation et je les pinçais sans retenue, il me léchait toujours comme un fou lorsque je sentis lorgasme arriver, jeu à peine le temps de saisir un oreiller et de mordre dedans pour ne pas ameuter toute la maison.

Il me fallu plusieurs minutes pour me remettre de mes émotions ? Marc attendant patiemment que je sorte de ma torpeur, il contemplait ma chatte grande ouverte dégoulinante de mouille, prête à accueillir nimporte quelle bite.

Il était assis dans mon fauteuil de bureau le sourire aux lèvres, jôtai alors mon haut de pyjama et cest à quatre pattes que je le rejoignis, il sortit rapidement son sexe bandé à bloc que je pris en bouche immédiatement, je le pompais avidement pendant plusieurs minutes, bavant abondamment, à plusieurs reprises il appuyait sur ma nuque de façon à enfoncer son sexe le plus profondément possible, provoquant des hauts le cur et métouffant presque.

Il me murmurait à loreille que jétais sa salope, que jadorais sucer sa bite avec mes parents juste à coté et quil allait me baiser sur la moquette de ma chambre.

Japprouvai et après un dernier coup de langue sur le gland je me retournai, offrant ma croupe et mon vagin à sa vue, il se plaça à genoux derrière moi et me pénétra dun coup jusqu’à la garde. Il me saisit les seins mais ne bougea pas son sexe en moi, cétait à moi de mempaler sur lui, ce que je fis avec bonheur, avançant et reculant brutalement, son pubis claquant contre mes fesses, je passai alors une main sous moi et lui attrapai les couilles que je malaxais en même temps que je me baisais sur sa bite tendue à lextrême.

Il me porta ensuite jusqu’à mon lit, puis il mallongea sur le coté et plaçant ma jambe sur son épaule il me pilonna avec force. Jétais une nouvelle fois au bord de lexplosion, jenfonçais donc ma tête dans mon oreiller afin détouffer mes gémissements, ses mouvements se firent désordonnés, il martela mon vagin quelques secondes de plus puis se retira et éjacula son foutre chaud sur mon ventre et mes seins. Je lâchai alors mon oreiller et étalai ce sperme sur mes seins gonflés de désir, je me léchai ensuite les doigts en regardant Marc droit dans les yeux.

— Tu es la plus incroyable salope que jai jamais vue ! Me souffla-t-il

Je me senti flattée, encore lesprit englué dans le plaisir intense que je venais de ressentir, je le remerciai et lui dis quil pouvait encore me baiser sil le voulait. Il préféra se rhabiller et partir avant déveiller des soupçons auprès de mon père. Malgré une certaine déception je ne le retins pas, je me rhabillai donc et laccompagnai jusqu’à la porte dentrée, il me remercia pour mon « aide » et partit. Quand à moi, je souhaitai une bonne nuit à mon père et montai me coucher, la chatte encore brulante et le ventre maculé de sperme séché.

Le mardi fut une journée plutôt morose, les cours se succédèrent et je rentrais chez moi avec la ferme intention daller voir Marc pour prendre mon coup de bite désormais quotidien.

Je frappais donc à sa porte à lheure convenue, mais je tombais sur sa mère qui me dit que je ne pouvais pas voir Marc ni ce soir ni les autres soirs de la semaine, elle me claqua ensuite la porte au nez, il ne me restait plus qua rentrer chez moi et attendre la fin de la semaine, fin de semaine qui annonçait également le début des vacances de Toussaint.

Je profitais donc dêtre seul à la maison pour appeler ma gynécologue afin quelle me prescrive la pilule, celle-ci risquait de devenir utile dans les semaines qui viendrait si je continuais de me faire baiser comme ça, le rendez vous fut fixé le vendredi soir.

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