Elle vient de me faire jouir ! J’ai gémis comme une salope, sauf que moi, je suis une salope particulière, j’ai une bonne bite entre les jambes et je suis un homme, un vrai.
Toi, lecteur, tu viens de faire la connaissance de ma fiancée. C’est une vraie salope comme tu as pu voir et tu vas pouvoir suivre nos aventures de couple très pervers et très obsédé ! Bonne lecture à toi !
Ma fiancée vient donc de me faire jouir et la seule présence du gode ventouse sur le carrelage de notre salon témoigne qu’elle était déjà bien chaude avant mon arrivée. La guêpière aussi. J’adore quand elle porte ce genre de lingerie. Elle en porte d’ailleurs de plus en plus souvent. Elle aime qu’on la regarde et n’est pas contre quelques exhibitions de temps à autre, mais cela est une (ou plusieurs) autre histoire.
De mon côté, j’ai toujours adoré la lingerie, depuis tout petit. Me branlant dans les affaires de ma mère, la lingerie a toujours occupé une part importante de ma vie. Ma fiancée me laisse porter la sienne, elle adore voir ma bite moulée dans la dentelle. Ce qu’elle préfère, c’est me faire porter ses culottes sales. Elle n’est pas contre le fait que je porte ses soutiens-gorges pour écarter les bonnets et venir lécher mes tétons, les mordre, les gober, comme si j’étais une fille. A voir le plaisir qu’elle prend à me faire ça, c’est que c’est vraiment une sacré obsédée. Je l’aime tellement comme ça, et je l’aime surtout tout court. Il faut un amour sincère, pur, transparent et très ouvert pour être un couple comme nous.
Ma fiancée vient de me faire éjaculer et comme toute bonne salope, elle avale le sperme. Elle adore avaler. Mais la contrepartie, et quel supplice, c’est de m’occuper d’elle. Je dois avouer que c’est une de mes occupations préférées. J’adore faire jouir ma femme et son corps me le rend bien.
Ses seins, j’ai envie de manger ses seins là. Ils sont petits, 90B, mais extrêmement réactifs. Les effleurer suffit à la faire mouiller. Vous vous rendez compte ? Elle mouille juste en lui touchant les tétons. C’est une salope je vous avais dit.
J’écarte légèrement sa guêpière, je lui lèche donc les seins, avec le bout de ma langue, doucement, en jouant avec son érection mammaire. Vous voulez goûter ? Attendez, on y viendra peut-être, si vous n’êtes pas sages !!!
Je palpe ensuite bien ses seins, fermement, de plus en plus fermement, je les écrase même, elle adore ça. Elle vient appuyer sur ma tête, c’est le signal pour que j’ouvre ma bouche en grand et que je prenne son sein entièrement. Là, elle appuie sur ma tête pour que je le gobe comme un chien. L’autre sein est occupé par ma main, je lui pince le téton très fort. Je commence à baver, comme un bon chien ; elle, elle écrase mon visage complètement, je suis en train d’enfoncer mes dents dans son sein mais elle ne s’en occupe pas.
Après plusieurs dizaines de secondes, elle relâche la pression et me regarde amoureusement. Oui, avec ma fiancée, nous sommes des porcs. Mais des porcs amoureux.
Maintenant qu’elle mouille bien, je peux m’attaquer à sa chatte. Bon, elle s’est prise quatre doigts sans broncher, c’est le service habituel avec nous. Comme tous les couples, nous avons commencé avec deux doigts. Mais ma fiancée a de gros besoins et il est vrai qu’après plusieurs défonces en bonne et due forme, sa chatte s’est bien élargie.
Je lui plante donc mes multiples phalanges sans prévenir. Elle lâche un petit cri, vraiment léger, pour la forme dira-t-on. Je la sens à ma merci. J’adore la sentir soumise.
Je commence quelques va-et-vient pour lubrifier mes doigts et aller plus loin ensuite. Je connais sa chatte par cur. Elle adore que j’aille taper dans le fond. Oui, oui, une pure salope. Ses deux points sensibles, c’est le point G qui se situe à 5cm de l’entrée de sa chatte sur la paroi supérieure et le fond de sa chatte donc. Le mieux, c’est de lui caresser son point G doucement, puis brutalement, puis doucement et ainsi de suite. Dans les bons jours, j’arrive à laisser deux doigts sur son point G et aller taper le fond avec mon index et mon majeur. A l’heure actuelle, elle gémit de plus en plus et appuie sur ma main pour que je m’enfonce encore plus. Elle adore se faire défoncer comme une vulgaire pute et très honnêtement, il y a de quoi. Je suis en train de ruiner sa chatte et elle en redemande encore et encore.
J’accélère alors de plus en plus. Je lui baise littéralement sa chatte et elle se contrôle de moins en moins. Elle lâche pied. Mes doigts deviennent fous et font sa fête à son antre de plaisir.
— Plus vite, plus fort, s’il te plait, me supplie-t-elle
— Pas de problème mon Amour, lui répondis-je perversement
Elle veut jouer ? Nous allons jouer. Qu’elle ne se plaigne pas ensuite, en même temps, elle ne se plaint jamais après s’être faite défoncer !
— Plus fort, plus fort, oui, oui, oui…. Dit-elle essoufflée
Ses doigts se plantent dans ma cuisse, cuisse qui porte les stigmates de nombreuses baises violentes, salaces et animales.
— Tu aimes ça petite pute ? lui dis-je vulgairement avec un regard dur
— Oui, je suis une pute, t’imagines pas comme je suis une pute, me répond-elle fière d’elle.
— Ah oui ?
— Oui, j’adore qu’on me baise, j’adore les gros pervers comme toi, toi, t’es le meilleur pervers, t’es un pervers qui adore me défoncer
— Oui, je suis un pervers, un pur-sang et j’adore te défoncer ta grosse chatte.
Je sens qu’elle va jouir, le bruit de sa chatte devient de plus en plus liquide, je sens sa jouissance arriver, oui, je la sens bien
— Baise moi, baise moi fort, enfonce tes doigts plus loin, allez connard, baise ta salope de pute
— T’en rêves trop mais t’auras juste mes doigts ce soir
— Putain, je veux de la bite, je suis trop en manque, il me faut des bites, appelle des mecs, s’il te plait
— La ferme, jouis plutôt que de l’ouvrir sale chienne
C’était ce qu’elle voulait entendre.
Un flot jailli de sa chatte, elle éjacule ma salope. Je m’en prends sur le torse, sur le visage. Son cul baigne sur le cuir de notre canapé. Elle a bien joui ma salope.
Ma fiancée est une femme fontaine, j’avais oublié de vous prévenir, toutes mes excuses !
Je la regarde :
— Je t’aime ma future épouse, lui dis-je
— Je t’aime aussi mon futur mari, me répond-elle.
Elle me regarde, me prends dans ses bras et nous nous apaisons. Enfin, ça, c’est ce que je croyais quand je la vois avec son regard pervers…