Je descendis l’escalier précipitamment. Cette matinée avait été déjà rudement excitante et intense, c’est peu de le dire. En moins d’une heure, j’avais dégusté ma première bite, subit une immonde éjaculation buccale, et jouis deux fois en l’espace de 10 minutes sur le visage de Jeannine, la tante la plus salace que la Terre porta cette année-là.
Mais voilà. Il y a deux jours, j’avais fait une rencontre très surprenante, me prenant totalement au dépourvu : Camille.
Camille 1M70 Châtain clair était un mélange d’exotisme sexuel, d’extrême sensibilité et d’un sex-appeal hors norme. L’équation était simple, surtout depuis les successives révélations que j’avais eues depuis mon arrivée dans cette maison de la débauche : la bite m’excitait, la bite m’appelait, la bite me plaisait. Je découvris un tout nouveau pan de ma sexualité. Et quoi de mieux que Camille ?! Cette femme incarnant tout aussi bien la hargne et l’appétit masculins que la tendresse et la perversité féminines. Son visage angélique, ses lèvres allègrement gonflées au botox, ses cheveux lissés pour plus de douceur, son léger maquillage, ses seins ronds et débordant de son haut, à la fois bombés aux hormones et augmentés via la chirurgie, tout comme son cul, ses jambes plutôt musclées mais totalement épilées et surtout, entre ses puissantes cuisses, une longue queue qui m’avait paru si appétissante, si gourmande, si longue alors qu’elle était au repos
Je pensais à tout ça en marchant vers notre point de rendez-vous. Il faisait encore nuit, et la brume s’accrochait au sol. Le froid me mordait les nerfs, j’étais sorti à la hâte et n’était pas assez couvert. Heureusement, elle arriva presque en même temps que moi. Je me précipitai à l’intérieur de sa voiture surchauffée. En rentrant j’eu de nouveau un choc émotionnel. Camille était encore plus belle que dans mon souvenir. Bon, elle était aussi habillée de façon très provocatrice. Son soutien-gorge dépassait de son débardeur, laissant apparaître de la fine dentelle bleu marine. Son haut était rentré sous son jean haut, lui faisant, j’en étais persuadé, un cul à tomber par terre. Son soutien-gorge était de ceux qui pressent les seins et les font ressortir vers l’avant. Deux énormes pamplemousses lisses et juteux. J’aurais pu passer ma vie à les sucer. C’était d’un effet impayable. Mais le plus beau, c’était son sourire, la façon dont son visage se mua en un petit joyau brillant. C’est ça qui me plut le plus. Elle me lança un salut gai, je me penchai pour lui poser un chaud baiser sur la joue. Elle posa sa main sur ma joue et mon cou pendant que je l’embrassai. C’était très sensuel. La main glissa sur mon torse alors que je me dégageai d’elle pour mettre ma ceinture, mais sa main ne me quittait pas et finit sur ma cuisse, où elle découvrit que je bandais très très fortement
– Oh Tu l’as apportée Détache-toi, tu conduis.
– Ppp Pourquoi ? Je ne sais même pas où tu habites !
– Regarde patate, il y a le GPS. Aller, on échange !
Ce que nous fîmes. Je m’installai au volant. Je n’avais pas conduit depuis longtemps. J’eus du mal à trouver le point de patinage, et calai plusieurs fois. Camille se pencha sur moi en posant de nouveau sa main sur ma cuisse heureusement, ma queue était de l’autre côté.
— Il faut te détendre, tu es crispé, c’est pour ça que tu débrayes trop vite et cale. Détends-toi Regarde-moi Chris
Elle posa ses deux mains de part et d’autre de mon visage. Ses yeux plongèrent dans les miens. Le temps s’arrêta. Et elle se pencha pour poser un délicat baiser sur ma bouche, auquel je répondis sans attendre. Un baiser très classique, mais qui me réchauffa. Quelque chose d’authentique, enfin.
— Réessaye maintenant. Qu’on aille au chaud chez moi pour que je me douche et qu’on mange enfin !
Je réussis. Elle habitait à un quart d’heure d’ici. Elle me félicita pour ma conduite, disant que je me débrouillais très bien. Juste avant un passage un peu dangereux, elle posa sa main sur ma cuisse pour me dire de faire attention. Une fois la courbe négociée avec brio, elle me sourit et fit glisser sa main sur ma braguette, qui rapidement se déforma sous son massage expert.
— A partir de maintenant c’est que de la ligne droite et des feux Je pense que tu peux gérer même avec une légère perturbation, non ?
En prononçant ce « non » provocateur, elle sorti ma queue de mon boxer et couinant comme une petite fille
— Uuuuh salut toi dit-elle en s’adressant à mon gland qui était juste sous son nez. Elle l’embrassa du bout des lèvres. « Tu m’as manqué, oh oui tu m’as beaucoup man » et elle goba mon gland et quelques centimètres de ma bite.
Comment vous décrire ce trajet ? C’était génial, vrai-ment gé-nial ! A chaque feu rouge, je me penchai pour caresser une partie de son corps : ses hanches qui étaient mise en avant à cause de sa posture courbée sur le côté, ou bien je me frayai un passage pour glisser ma main sous son débardeur pour masser un de ses seins. Camille, elle, était concentrée sur sa tâche. Elle était complètement absorbée, tandis qu’elle m’absorbait. Nous arrivâmes rapidement chez elle, je me garai et elle n’en démordait pas. Elle me pompait avec volupté et s’appliquait. Visiblement, elle était triste que je n’aie pas encore jouis. Je lui dis qu’on aurait tout le loisir de finir chez elle.
Dans l’ascenseur, elle m’embrassa comme une chienne en me disant qu’elle voulait de nouveau sentir mon sperme remplir sa bouche, mais que cette fois elle voulait m’entendre râler, crier, me libérer véritablement.
— Appuie sur le 12 ! Personne n’y habite. Je veux te terminer dans l’ascenseur
Je m’exécutai, et elle tomba à genoux pour me sucer de plus belle. Ses mains passaient sous mon t-shirt pour griffer mon corps. Elle avait du mal à avaler tout mon chibre mais l’enfonçait le plus loin qu’elle pouvait. A chaque fois elle s’auto-tamponnait. Et à chaque fois, vision féérique, elle me fixait avec ses grands yeux amandes en se reculant et langue tendue pour faire sortir ma queue de sa bouche, dégoulinante de salive qui venait s’écraser sur sa poitrine ferme et siliconée
Elle était tellement sale que je lui donnai une légère gifle en la traitant de « bouche à bite », ce à quoi elle répondit par l’affirmative en m’encourageant à continuer à la gifler. Je recommençai. C’était nouveau pour moi, mais le contexte fit que j’aimai ça et visiblement elle aussi
— Jouis-moi sur la gueule Chris ! Ouiiii Je suis sûre que ces grosses couilles sont bien pleines
Malheureusement ce n’était pas le cas. Je m’étais déjà vidé à deux reprises moins de 30 minutes avant Je devais trouver une solution. D’autant que je n’avais pas envie de finir. Enfin Oui j’avais envie de jouir sur elle, c’était indéniable, mais je ne voulais pas perdre l’excitation. Je cherchai alors une parade, mais l’ascenseur nous sauva : il venait d’être appelé au 8ème étage.
— MERDE ! Enculés ! Vite rhabille-toi Chris.
Je l’aidai à se relever et lui donna mon sweat à capuche pour qu’elle puisse cacher son visage souillé par la bave et le maquillage dégoulinant Moi j’essayai tant bien que mal de dissimuler mon énorme érection sous mon jean. 10 petites secondes et les portes s’ouvrirent sur un homme imposant, épais, bodybuildé, qui partait sans doute faire son entrainement matinal. Camille était tournée vers le mur pour ne pas attirer l’attention, tandis que j’essayai de paraître normal. Je crois qu’en appuyant sur le zéro, le type se rendit compte de ma queue en érection, car il me sourit légèrement, sûrement un moyen pour lui de me questionner sur ma sexualité. De toute façon, il devait peser dans les 100kg et faisait au moins 1m90, une vraie masse de muscles. Je levai la tête pour le regarder. Son sweat-shirt Nike laissait peu de place à l’imagination : d’énormes pectoraux bien taillés, des épaules larges, des trapèzes puissants, des biceps monstrueux. Je salivai en imaginant ses abdominaux colossaux et une queue assez courte, tassée, grasse et épaisse, maculée d’épaisses veines nourrissant deux grosses couilles de taureau. Lui me regardait sans que je m’en aperçoive, perdu dans ma rêverie. Alors je ne sais pas sous quelle impulsion je fis ça, mais la paume de ma main droite vînt frotter son entre-jambe, son leggins synthétique et doux Mon regard bloqué sur lui, sur son bas ventre, je le caressai lentement, silencieusement, sans même m’intéresser à lui, tant j’étais absorbé dans mon fantasme Je ne prêtai même pas attention à Camille, peut-être qu’elle me regardait. En tout cas le colosse ne m’arrêta pas Sa queue était placée à la verticale, position idéale pour le caresser et elle se réveilla sous ma main Cela dura 10 petites secondes 10 secondes durant lesquelles j’étais ailleurs, envouté par ce géant, cet athlète, ce Dieu grec 10 secondes pendant lesquelles ma main glissait du haut de son sexe jusqu’à l’intérieur de ses cuisses, entre ses larges cuisses, pour sentir ses bijoux de famille 10 secondes durant lesquelles je m’imaginais à ses pieds à lécher son leggins
Juste avant que nous n’arrivions au rez-de-chaussée, il me releva la tête avec deux doigts et m’indiqua le numéro 8 et désigna la droite avec son pouce 8ème étage, porte de droite Plus qu’un étage, il me caressa la joue et fit glisser son pouce sur mes lèvres, que j’aspirai dans ma bouche pour y goûter, le sucer le temps d’une fraction de seconde Ding ! Il me sourit et suça son pouce légèrement recouvert de ma bave, en souriant. Il avait des cuisses colossales et un cul magnifiquement musclé. J’avais envie de lui courir après et devenir son esclave, sa petite chienne, être serré dans ses bras puissants et pleins, me sentir tout petit, être passif après avoir été le maitre de ma tante Jeannine
Les portes se refermèrent et Camille revint à la vie en se collant contre moi, son visage à quelques centimètres de mon visage, cachée sous sa capuche.
— Ouuf, on a eu chaud !
– Ton haleine sent la bite c’est très excitant, répondis-je en l’embrassant tendrement.
– Hmmm tu me rends folle Vite, rentrons à la maison.
Une fois chez elle, du fait des rideaux, des lumières tamisées, du soleil qui commençait doucement à pointer le bout de son nez, et surtout grâce à la douche que s’offrit Camille, nous basculâmes dans un moment d’une douceur exquise et inattendue. Je feuilletai sa collection de manga et m’installai sur son canapé pour en lire un. Elle me rejoint en peignoir, s’allongea tout contre moi, et commença à embrasser mon cou. Je laissai tomber le manga pour m’occuper d’elle, la serrer contre moi tandis qu’elle s’endormait tranquillement, murmurant des mots doux.
Je m’endormi moi aussi. Une petite heure. J’avais fait ma nuit moi, contrairement à elle. Je lui laissai un mot doux, lui disant que je rentrai à la maison car j’avais à faire (courses de Noël, derniers achats, préparation de la maison etc.). Je lui promis que nous nous verrions cette nuit ou le lendemain. Je ne sais pas pourquoi, je lui laissai mon boxer Il sentait assez fort Je me dis que ça pourrait lui plaire si jamais elle avait un élan d’excitation au réveil, la bite tendue
Je fermai la porte avec précaution, et patientai devant l’ascenseur. Mon téléphone m’indiquait 35 minutes de marche, en coupant à travers bois Heureusement que j’avais un jean plutôt souple et des Nike, je pourrai les faire en courant, et ainsi ne mourrais pas de froid (instant dramatique !). L’ascenseur était occupé, je descendis donc les escaliers.
Au 8ème étage, je ralentis. Lentement, je fis le trajet entre l’ascenseur et le couloir qui partait à droite. Il y avait plusieurs appartements le long de ce couloir. Mais le deuxième et le dernier affichaient des noms plutôt hispaniques, ce qui ne correspondait pas avec mon grand sportif inconnu. Ce devait donc être le premier, logique. Je fouillai mes poches mais évidemment je n’avais ni stylo ni bout de papier. J’aurais dû être plus malin et préparer un mot pour ce type lorsque j’écrivais le billet pour Camille. Quel imbécile !
La porte de l’ascenseur s’ouvrit. Je me figeai ! Etait-ce lui ?! Mon cur battait à tout rompre ! Que se passerait-il s’il me surprenait là devant sa porte J’étais pétrifié. Peur ou excitation, je ne saurais le dire.
Mais c’était un homme taciturne qui rentrait sûrement du travail après un rude service de nuit. Il était 8h30. Je le saluai et entrai dans l’ascenseur. 8 étages à descendre. Je commençai à me poser de nombreuses questions. Depuis que j’étais arrivé chez ma tante, tout mon monde s’en était trouvé chamboulé. Je couchai avec ma tante, à vrai dire je la baisai plus qu’autre chose, l’appelant même « Maman » selon sa volonté : elle m’était totalement soumise et j’avais hâte de voir comment elle se comporterait le soir du réveillon et le matin de Noël, m’attendant à un véritable festin sexuel. Ensuite venait Nicolas, qui sans le savoir, m’avait jouit dans la bouche comme un cochon, et qui avait été ma première expérience de fellation. Ensuite Jenny La mystérieuse Jenny. Celle qui secrètement me plaisait depuis le début, celle que j’envisageais véritablement, celle qui semblait me correspondre, puisqu’au fil des jours nous nous découvrions de nouveaux atomes crochus. Mais n’était-ce pas du fantasme ? Elle m’avait dit avoir un copain, un homme même. Mais était-ce la vérité ? Je me souviens de son très léger sourire quand elle avait compris ma déception en l’apprenant. Etait-ce un numéro de sa part ? Je n’en savais rien. Et puis cet incident de l’autre nuit. Elle avait réagi avec tant de tact, alors qu’elle avait clairement compris que j’avais rêvé d’elle au point de jouir dans mon sommeil, et qui plus est d’éjaculer sur sa cuisse ! Mais pour elle ce n’était qu’un incident sans importance. Tant mieux pour moi d’ailleurs, ça m’ôtai une grosse charge de honte à porter. Mais elle restait un mystère. Il y avait Camille, qui me plaisait beaucoup. Plaire ? Me plaisait-elle, ou était de la décontenance, de l’euphorie face à sa plastique parfaite et au pénis qu’elle dissimulait sous sa culotte en dentelle ? Jeune j’avais beaucoup fantasmé sur les shemales, comme beaucoup d’entre vous qui lisez ces lignes je pense. Une belle créature féminine, des gros seins et à disposition une bite à sucer pour assouvir sa curiosité et ses pulsions, pour une fois de temps en temps se laisser aller à jouer le soumis Moi en tout cas c’était un fantasme inavoué. Et donc la possibilité de le réaliser aussi facilement était un don du ciel. Enfin, le jeu de Nicolas avec ses amis. Un groupe de jeunes vraiment sympathiques, geek évidemment, mais avec des qualités certaines, et une ouverture d’esprit invraisemblable. Leur jeu, bordel, c’était quelque chose tout de même ! Dissimuler tout ça sous « la possibilité de gagner des crédits » à utiliser sur un MMORPG me semblait être un beau mensonge. En tout cas, peu importe les vrais motivations, c’était vraiment l’une des réunions les plus excitantes à laquelle j’avais pu assister, et j’attendais la prochaine avec hâte et impatience sans en parler à Nicolas, évidemment !
Tout cela tournait dans ma tête sans trouver d’issue. Courir dans la fraicheur matinale m’aiderait peut-être à trouver une sorte de rédemption, d’équilibre, ou du moins de tranquillité, car je ne pourrai pas continuer à ce rythme indéfiniment. Et si je me faisais prendre en plus ? Si Jeannine m’avait surpris en train de sucer son fils endormi ? Si Jenny avait aperçu sa mère se délecter de la bite de son cousin dans la cuisine ? Et si ? Et si ?!
Non, vraiment je devais me calmer, peser le pour et le contre, discuter avec Jeannine premièrement. Clarifier la chose. Lui demander si entre nous il était question d’un jeu, d’une chose éphémère, ou bien d’autre chose. Connaitre les intentions de Camille. Passer plus de temps avec Jenny, la seule avec qui ma relation était encore saine. Oui, c’est ça que je devais faire, absolument.
Je me sentais beaucoup mieux. Prêt pour mon footing, prêt à m’aérer, prêt à reprendre ma vie en main ! Prêt à passer le plus beau Noël de ma vie !!!
Mais arrivé au rez-de-chaussée, la porte de l’ascenseur s’ouvrit sur le colosse en sueur qui s’essuyait le visage avec sa serviette et avalait à grandes gorgées une boisson protéique
Il entra Me dit « salut » en souriant et je restai dans l’ascenseur alors qu’il appuyait sur le terrible bouton 8 La porte se referma
A suivre