Mamie Geneviève 2

 

Mon petit fils David que j’héberge m’a prodigué des caresses qui m’ont faites jouir pour la première fois malgré mon âge.

Il me léchait encore avec application quand sa sur a sonné à la porte.

 

J’ouvre la porte, encore confuse et rouge d’émotion. Elle me fait la bise et m’interroge pour savoir si tout va bien. Encore troublée, je bredouille que oui.

En entrant dans le séjour, elle renifle et dit :

« Hum, ça sent bon ici ! »

De quoi parle-t-elle ? Je ne veux pas m’avouer que mon odeur de cyprine flotte dans la pièce.

Nous bavardons quelques minutes, puis Christelle me demande où est son frère.

 

« Il est dans sa chambre, là haut. Va le voir si tu veux»

Elle monte à l’étage et je les entends discuter et rire un peu. J’en profite pour soulever ma jupe et constater ma culotte trempée et mon collant déchiré, suite aux évènements récents. Je ne peux pas rester comme ça, j’ai l’impression que ça peut se voir même si ma jupe est baissée !

 

Je monte discrètement dans ma chambre me changer et au sortir, je n’entends plus leurs conversations. Par curiosité, je m’approche de la porte entrebâillée de la chambre de David et le vois allongé sur le lit avec sa sur couchée près de lui.

Ce qui me suffoque, c’est de voir ce qu’ils sont en train de faire.

 

Christelle est penchée sur son frère et l’embrasse à pleine bouche. Je vois également sa main menue s’activer sur la belle érection qui déforme la braguette de David.

J’en suis bouleversée, et en même temps fascinée. Lui se tortille et se dégrafe le pantalon pour le baisser sous ses fesses. Sans attendre, Christelle rampe vers la verge tendue et l’avale profondément.

 

La pratique de la fellation ne m’a jamais plue quand mon mari me le demandait. J’esquivais au maximum cette pratique que je trouvais répugnante. Mais là, c’est différent, voir ces deux jeunes ensemble me trouble, et je ne sais si je dois m’offusquer ou contenir la jalousie que j’éprouve pour cette minette, ma petite fille.

 

Ils doivent avoir l’habitude d’avoir des rapports ensemble et ça me gêne de découvrir ça.

Mais en même temps, ma nouvelle culotte est déjà trempée de regarder ce couple en action, serait-ce du voyeurisme de ma part ?

Lui, donne des coups de reins pour pénétrer plus loin la bouche qui le suce, et finalement, en plusieurs spasmes, il se vide dans la gorge de sa sur.

 

Désireuse de ne pas être surprise, je descends prudemment pour retourner au séjour et faire semblant de coudre. Je n’arrive pas à me concentrer, les images et des pensées tourbillonnent dans ma tête.

 

Après quelques minutes, ils redescendent et Christelle me lance un regard complice et joyeux. A-t-elle décelé ma présence tandis que je les observais ?

 

 

Nous discutons tous les trois de choses et d’autres et elle m’apprend que son père s’en prend à elle, désormais. David n’étant plus là pour qu’il ait un défouloir à sa bêtise. C’est vraiment un con et le mot est faible.

 

Plus tard, elle me signifie qu’elle doit rentrer et je lui propose de la raccompagner. Pas jusqu’à chez elle, je n’ai pas envie de rencontrer son père, mais à proximité de sa maison.

Mon petit fils préfère rester là, aussi nous faisons la route entre filles. Je suis concentrée sur la conduite et n’ose pas aborder le sujet des relations incestueuses que j’ai découvertes précédemment.

Quand nous arrivons aux abords de sa maison, je me gare et me tourne vers elle.

Elle me déclare alors, tout de go :

« Dis moi, mamie, tu as aimé ce que t’as fait David tout à l’heure ? »

Je suis prise au dépourvu et bredouille :

« De quoi tu parles ? »

« Il t’a bien léché, pas vrai ? »

Un coup de sang me monte au visage, c’est un mélange de honte et de la colère qu’il ait pu trahir notre secret.

« C’est pas grave Mamie, tu sais, je ne dirai rien,… Aller, j’y vais, au revoir »

Je me penche pour lui faire la bise et elle se saisit de mes joues pour me biser la bouche. Et elle s’en va, me laissant à un niveau de trouble indescriptible. Elle vient de m’embrasser sur la bouche et j’en reste totalement surprise. Il me faut de longues minutes pour que s’estompe mon trouble. Elle est déjà loin quand je redémarre.

 

De retour à la maison, je suis encore chamboulée, mais aussi très en colère contre David.

Quand il me voit surgir, très remontée, il n’ose pas m’approcher. Ca ne m’empêche pas de lui dire :

« Tu avais besoin d’en parler à ta sur ? Tu avais promis d’être discret, et là, tout le monde va le savoir ! Bravo !»

« Je n’ai rien dit ! Elle a tout deviné et, quand elle m’a demandé, je ne lui ai pas menti, c’est tout ! »

« Et c’est pas tout ! Je vous ai vu tous les deux et ce qu’elle te faisait ! »

« Je sais. Christelle m’a dit, après, qu’elle te savait derrière la porte, moi, j’avais rien remarqué ! »

 

On ne s’est plus parlé de la soirée et je n’ai pas entendu son lit grincer.

Moi, je tourne et retourne dans mon lit, tous les évènements de la journée me reviennent en tête. Mon petit fils qui me pelote avant de me lécher, ma petite fille, toute aussi dépravée, qui suce son frère et, après, m’embrasse sur les lèvres. Si la famille savait ça !  Qu’est ce que je suis en train de vivre soudainement ? Moi, si prude d’ordinaire.

 

Les jours suivants, je sens ma colère redescendre, mais David est toujours distant par peur de ma réaction, si il cherchait à m’approcher. Ca ne m’empêche pas de l’écouter se masturber et de l’entendre prononcer mon nom lors de son extase. Je pousse le vice à changer la culotte dans laquelle il se vide, pour en mettre une toute propre au même endroit. Il lui est difficile de l’ignorer.

 

Je sais que c’est indécent, mais j’ai fortement envie de revivre l’extase qu’il a su me procurer par son cunnilingus si bien réalisé. Cette expérience nouvelle semble avoir réveillé un désir sexuel enfoui au plus profond de ma conscience. Je l’avoue : J’ai envie de sexe !

Je ne sais pas si c’est dû aux phéromones ou à la vue de son corps, mais j’ai envie d’un homme.

 

Je feuillette des catalogues de vente par correspondance et m’arrête sur les dessous sexy. Je fini par m’avouer que je veux séduire mon jeune mâle et que je vais y mettre ce qu’il faut. Je suis trop impatiente pour attendre une livraison et me décide d’aller en ville pour mettre mon plan en uvre, au plus tôt.

 

Je reviens les mains chargées de paquets contenants des atours qui doivent faire craquer n’importe quel homme. J’ai troqué mes collants contre des bas, le coton de ma culotte pour de la dentelle. Mon soutien gorge, pigeonnant, fait bien ressortir ma poitrine. Ca m’excite même d’enfiler le porte jarretelles. Un chemisier blanc transparent contraste avec le noir de mes dessous. Ma jupe mi-cuisses et mes souliers à talons hauts, complètent convenablement ma tenue de femme élégante. Un maquillage léger, un parfum fleuri et me voilà prête à l’accueillir.

 

Je suis assise dans le canapé à essayer de lire une revue, alors que ma pensée est ailleurs et je suis impatiente et fort peu concentrée.

Quand il arrive, avant qu’il n’ait pu s’approcher, je lui demande de me servir à boire. Il s’approche avec deux verres et me tend le mien. Il s’attarde sur mon décolleté, mais je ne le reprends pas de ce regard indiscret.

Il s’assoit sur le fauteuil face à moi et je sens son regard sur mon corps. Je croise les jambes très haut et je sens mes cuisses se découvrir à son regard affûté. Je croise et décroise les jambes, les écarte un peu plus quand je me penche pour prendre un autre magazine dans le porte-revues.

Il est ferré ! Sa respiration est forte et je le vois se contorsionner pour mieux voir mon entre jambe. Bien entendu, j’écarte, et referme mes cuisses aussitôt pour le laisser sur sa faim.

 

Moi-même, je sens le trouble monter, je n’ai pas l’habitude de faire ça et là je me sens allumeuse d’un petit jeune. Je me mettrais des claques si je n’aimais pas cette situation provocatrice d’une exhibitionniste en chaleur.

 

Je me penche pour lisser mes bas, en le laissant admirer la gorge de mes seins. Je fait glisser mon bas pour le réajuster en m’arrêtant à la limite de ma jupe. Son regard s’affole entre mes jambes et ma poitrine. Du coin de l’il je vois qu’il est au bord de l’apoplexie. Il est rouge pivoine et respire au rythme d’une locomotive.

 

Il se décide à me demander :

« Tu m’en veux encore, mamie ? »

« Mais non mon chéri ! Viens près de moi ! »

Je m’écarte et tapote l’assise à mes cotés. Il hésite à se lever et, de la main, essaie de cacher l’érection qui déforme sa braguette.

Je m’en amuse intérieurement et le laisse s’asseoir près de moi. Je penche la tête en avant et son bras s’enroule sur mes épaules. Je le laisse se coller à moi. J’adore ce moment.

Nos regards se croisent et ne se détachent plus. Son visage s’approche du mien et je lui tends mes lèvres qu’il prend des siennes.

Ce contact me fait frissonner, mais je me sens en totale fusion avec cet homme. J’oublie toute différence d’âge et surtout qui est mon partenaire. Nous sommes deux âmes qui se rencontrent et s’unissent.

Notre baiser est passionné comme celui de deux amants qui attendaient ça depuis toujours.

Pour ma part, j’avais oublié ce plaisir depuis longtemps.

Enhardi, le coquin glisse sa main sur mon chemisier et effleure ma poitrine. Chacun de ses passages mettent en évidence mes réactions aux zones les plus sensibles et c’est à ces endroits là qu’il insiste. C’est si bon que j’ai besoin de reprendre ma respiration et que j’interromps notre baiser.  Il en profite pour défaire les boutons de mon chemisier avant de l’ouvrir.

Il est pressé de reprendre ses caresses, et moi aussi !

Après quelques délicats frôlements, il dégage mes tétons de mon soutien-gorge. Il darde sa langue avant de les picorer. Cette sensation est délicieuse et inutile de dire que mon corps apprécie. Mes seins sont durs et mon intimité très humide. Il me caresse le ventre doucement et entreprend de me téter. Pas suçoter, téter comme le ferait un bébé.

 

Alors là, je sens la chaleur monter en moi et prend appui pour respirer. Ma main s’est posée sur sa cuisse et mon petit doigt est en contact avec la dureté de son membre. Mes doigts frémissent une fraction de seconde pour les retirer, mais mon envie de le toucher est plus forte.

J’y vais franchement pour me saisir de son engin et ce que je pétris est plus conséquent que ce que j’avais entraperçu. Il a une main entre mes jambes, que j’écarte volontairement pour le laisser atteindre son but. Ses doigts qui glissent sur mes bas me font frémir.

J’en oublierai presque de m’occuper de ce membre si raide. Dès que j’entame mon mouvement, il m’interrompt et me fais comprendre qu’il ne pourra pas se retenir très longtemps si je continue.

 

Moi j’ai envie de le déshabiller et, en peu de temps, il est nu comme un vers. Je suis impressionnée par ses proportions qui n’ont rien à voir avec celles de, feu, mon mari.

Je me sens prise de folie, je quitte ma culotte et m’allonge sur le canapé cuisses ouvertes. J’ai le feu ! Je le veux en moi, vite !

J’écarte bien les genoux et il ne résiste pas à l’invitation. Il se couche sur moi et après l’avoir guidé du bout des doigts il pénètre mon intimité.

Si la progression est lente, et , intérieurement je le félicite de son attention, je me sens quand même distendue, emplie d’un sexe dur. La sensation est délicieuse, j’en veux plus !

Je lui appuie sur les fesses en disant

« Viens mon chéri, viens vite »

Soucieux de me satisfaire, il s’enfonce d’un coup sec et je ne peux m’empêcher d’échapper un cri.

Il entame ses mouvements de bassin et je commence à me pâmer, toute cette vigueur qui me perfore me porte aux nues.

« Plus vite mon chéri, plus vite ! »

Il s’y met avec toute la fougue de sa jeunesse, et, malgré la douleur de ses coups trop profonds. Mon orgasme arrive, je le sens monter terriblement et je ne peux  réprimer mes soupirs, puis mes cris quand il se déclenche.

Lui, ne résiste pas longtemps à ma jouissance et se cambre pour propulser en moi sa semence.

Nos corps en sueur restent collés un long  moment et c’est à regret que je le sens sortir de moi.

 

Quel plaisir intense je viens de vivre, même si tout a été si rapide et avec si peu de préliminaires.

Comme c’est bon de faire l’amour. Je suis impatiente de recommencer ! 

 

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