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La bouffeuse de sperme du mobile-home 36 – Chapitre 1




La bouffeuse de sperme du mobile-home 36

Nous avions loué, ma femme et moi, un mobile-home dans un camping près de Saint-Malo pour quinze jours en juillet. L’emplacement 34 nous fut donné. Le mobile-home était grand, au bout d’une allée, près du mur du camping. Nous n’avions qu’un seul voisin direct, le mobile-home 36, la pente n’ayant sans doute pas permis d’en installer d’autre ici. Nous étions tranquilles. Nous avions très vite sympathisé avec le locataire du 36, Franck, un grand type, d’une cinquantaine d’année, divorcé, qui passait un mois là avec son fils Anthony qui pouvait avoir à peu près 20 ans. Anthony travaillait à l’été dans ce camping et c’était le seul moyen pour son père de passer quelques jours avec lui. Ils venaient ici pour la troisième fois.

Franck ne faisait pas son âge. Il était encore très athlétique et n’étaient-ce quelques poils blancs sur son torse , on aurait pu le croire plus jeune. Dès notre premier contact, sa carrure m’avait évoqué un joueur de rugby, comme moi. C’était le cas et c’est autour de cette passion commune que nous avions trinqué pour notre premier apéro, le lendemain même de notre arrivée. Il avait immédiatement plu à Elisa, ma femme, car il est extraordinairement serviable et très drôle. On ne s’ennuie jamais avec lui .

On allait souvent à la plage, ou à la piscine du camping ensemble, nous avions déjà fait quelques balades en commun où il nous avait fait découvrir cette magnifique région et le soir nous jouions ensemble ou tapions la discute jusqu’à pas d’heure.

C’est un soir, avec sans doute l’aide de l’alcool qui n’avait pourtant pas coulé beaucoup, que tout a dérapé.

Nous comparions nos musculatures. A peu près équivalentes, lui légèrement plus petit que moi mais taillant son mètre quatre-vingt dix quand même, pectoraux, biceps, abdos tout y est passé. Plus jeune que lui de vingt ans, et pratiquant encore le rugby, je prétendais être plus fort que lui. Il me dit que l’âge ne faisait rien à l’affaire mais je prétendis être sûr de le battre au bras de fer où j’excelle. Il me répondit que non. Je pariai cinquante euros. Il refusa et comme je le traitai amicalement de dégonflé, il me proposa beaucoup plus.

-ok pour 10 000  !

-Quoi ?

-Je te parie 10 000 que je te bats !

Elisa répliqua que c’était n’importe quoi, que nous avions trop bu et que nous n’avions pas, pour ce qui nous concernait elle et moi, une telle somme.

-Ok ; Voila ce que l’on va faire. Si je perds, je vous donne le fric. Si je gagne, Elisa tu passes la nuit prochaine entièrement nue dans mon lit.

-Quoi, tu veux baiser ma femme ?

-Non. Je ne la toucherai même pas…sauf si elle le veut. Quant à toi, je te mettrai dans un endroit où tu ne pourras pas nous déranger de la nuit.

-D’ac ! C’est bon pour moi.

Mais Elisa me fit comprendre qu’elle n’était pas du tout d’accord. Je lui fis remarquer que je ne perdais quasiment jamais contre des mecs de mon âge, alors contre un mec de vingt ans de plus… et qu’au pire, une nuit à dormir, même nue, à côté d’un pote qui avait promis de ne rien entreprendre si elle ne prenait pas d’initiative… Elle hésitait. Mais 10 000  !

-C’est bon, on marche.

Franck voulut qu’on signe un papier pour nous y engager car il craignait que nous ne revenions sur notre parole si je perdais. Quant à lui, il signerait le chèque immédiatement la partie finie. Nous n’étions pas inquiets de ce côté là, nous savions qu’il avait de l’argent. Il partit chercher le carnet de chèque dans le mobile home 36.

Pendant ce temps, Elisa me dit que nous aurions dû demander 15 000. C’est ce que je me décidai de faire au retour de Franck. Il sembla hésiter longtemps puis finit par dire oui mais à la condition de pouvoir aussi caresser les seins d’Elisa autant qu’il lui plairait. Il y eut un long moment de silence, voire de gène, de part et d’autre que personne ne voulut briser. Puis, prenant son hésitation comme une crainte de perdre de sa part, je consultai Elisa du regard. Elle haussa les épaules.

-C’est bon dis-je. On signe.

Le papier signé et le chèque rempli, la partie commença. Je pris vite l’ascendant mais bloquai à mi-course. Il était en position d’infériorité mais ne bougeait plus d’un millimètre. Il jouait l’endurance. Je fis quelques tentatives pour débloquer mais il ne cédait pas. A la quatrième tentative, dès que j’eus un peu relâché, il contre-attaqua. Je reculai petit à petit. A ce moment, je m’imaginais ma femme nue sur son lit et ses mains à lui sur ses seins. Le doute me prit. Ce moment de déconcentration me fut fatal. Mon bras céda. J’avais perdu.

J’étais consterné. Je fixai la table sans rien dire.

Franck se leva.

-A demain. Marc, je passe te prendre à 18 H00 et Elisa à 20H00.

-A 23 ! On a dit la nuit et elle tombe tard. Et pas après 6 H 00 du matin.

-ok !

Je ne dormis pas de la nuit. Je me demandai comment faire pour assister à la scène, mais impossible de savoir où il comptait m’emmener. Elisa me faisait la gueule. Elle avait passé le reste de la soirée à me traiter de tous les noms.

Le lendemain midi, je dus prendre la voiture pour aller faire des courses. En cours de route je croisai Daniel, un type que Christian nous avait présenté et avec qui nous avions fait quelques virées en bateau. Il faisait de l’autostop et la chance vint à ma rencontre.

-ça va Daniel ?

-Ah ! Salut Marc, tu tombes bien. Ma voiture est en panne et je dois aller remplir le jerrican pour faire le plein du bateau.

-Tu vas en mer ?

-Non, je le prête à Franck qui va faire un tour à Cézembre en fin de journée.

Cézembre est une île à quelques minutes au large de Saint-Malo. Il n’y a que deux navettes par jour. Je compris que Christian voulait m’y déposer. Je pris donc toutes les dispositions pour louer un bateau qui devait m’y attendre le soir et me ramener après que Franck m’aurait déposé.

Comme je l’avais prévu, à 18 H00, Franck passa me prendre et me conduisit à Cézembre où j’étais sensé passer la nuit.

-Dis, tu ne lui caresseras pas trop les seins.

-Vous avez signé.

-Rien de plus hein ?

-Rien de plus de ma part. Mais je ne lui donne pas dix minutes pour m’en demander davantage et là, je ne réponds plus de rien.

-Je suis tranquille. Elle ne bougera pas.

-Elles cèdent toutes !

Je fis la mine de rire et blaguai mais j’étais mort de trouille.

Dès qu’il m’eut déposé, je fonçai vers le bateau que j’avais loué. Je demandai au propriétaire de m’emmener directement vers la plage du camping et j’espérais arriver au mobile-home 36 avant le retour de Franck qui devait rendre le bateau à Daniel. J’arrivais effectivement avant lui, m’introduisis dans sa chambre et me planquai dans la penderie dont la porte un peu disjointe me permettait de voir le le lit à la tête duquel un vaste miroir permettait d’embrasser du regard le reste de la pièce et la télé.

Quelques temps après Christian entra. Il vint directement dans la chambre mais n’ouvrit pas la penderie. Je le vis mettre un dvd dans le lecteur et préparer le lit.

Puis j’attendis 23 H 00.

Elisa frappa. Il alla lui ouvrir et la fit entrer directement dans la chambre. Il lui proposa à boire mais elle refusa. Il alluma la télé et je vis s’afficher rapidement les images d’un film porno. Avec le son, pourtant bas, je ne comprenais pas tout ce qu’ils se disaient mais elle se déshabilla. Elle était magnifique. Ses gros seins fermes et sa chatte épilée dans la lumière étaient une vraie invitation au sexe. Franck baissa son froc et un énorme paquet qui entamait une jolie bandaison en sortit. J’avais pourtant vu des queues dans les vestiaires, mais de cette taille et de cette circonférence là, jamais. Un vrai sexe d’animal. La tige grossissait à vue dil. Déjà elle faisait un angle de 90° avec le pubis très poilu et le prépuce laissait s’affranchir le gland qui apparaissait peu à peu. L’extrémité de la bite se gonfla et se mit à dessiner une belle courbe vers le haut, entrainant toute la masse dans un angle de plus en plus serré avec le corps et décalottant entièrement une masse dessinée à la perfection et luisante. Elisa était trop près sans doute pour mesurer la taille de cet énorme pal.

Franck tendit sa main droite vers les nichons et Elisa recula. Je crus comprendre qu’il l’invitait alors à prendre la main elle-même et à la poser sur sa poitrine pour vaincre l’hésitation, ce qu’elle fit avec une certaine répugnance. Il se mit à caresser des doigts ou de la main entière. Puis il mit l’autre main. Elisa fermait les yeux. Au bout de quelques minutes elle se détendit. Les seins palpitaient à mesure que le rythme de sa respiration augmentait. Il titillait les tétons dardés et gros. Puis, il posa la main droite sur le sein gauche pour pouvoir pivoter et passer derrière elle, en la frôlant de tout le côté gauche de son corps mais en évitant le contact de la bite qui se trouvait donc fièrement dressée presque à toucher la cuisse de ma femme. Elle commençaient à s’abandonner aux mains expertes de Franck, à gémir doucement, à écarter ses jambes qu’elle avait maintenues serrées jusqu’alors. Elle pencha sa tête en arrière. Les joues se touchaient. Elle passa ensuite son bras droit en arrière également pour attraper la nuque de Franck dont la pine tendue à mort commençait à mouiller. Il entreprit alors de l’embrasser dans le coup. Cela fit revenir Elisa à la réalité et elle se dégagea, libérant son bras qu’elle plaqua contre son corps. En retombant celui ci rencontra inévitablement l’énorme zob. Par réflexe, elle croisa ses mains sur son ventre.

Cependant, toujours avec patience, Franck s’était rendu maître de la poitrine. Il susurra quelque chose à l’oreille de ma femme, elle fit lentement non de la tête mais il insistait. Lentement je le vis descendre la main droite sur le ventre d’Elisa alors que l’autre main continuait d’agacer l’aréole gauche. Leur main se rencontrèrent et il amena lentement leurs deux mains droites vers sa verge. Quand sa main rencontra son sexe, il libéra celle d’Elisa. Je vis qu’elle hésitait à franchir les quelques millimètres qui la séparait du monstre. Alors, lui, se tournant légèrement lui mit la pine dans la main. Elle se mit à la caresser et s’arrêta. Elle ouvrit les yeux, les baissa vers l’engin tout en se retournant vers Franck. Et elle s’exclama : "Hein ? J’en ai jamais vu d’aussi grosse" ! Je n’entendis pas la réponse toujours à cause des bruits du film qui affichait à ce moment une partie à plusieurs, mais il dut lui dire de le branler car, après avoir attendu un peu, c’est ce qu’elle commença à faire.

Ils étaient maintenant face à face. Comme elle s’était un peu penchée pour astiquer le manche, il tendit le bras vers la desserte du lit pour attraper la télécommande et arrêter le film. Désormais je pus tout entendre. Il l’encourageait : "Oui c’est bon, vas-y, tu as des doigts de fées". Il colla son corps contre le sien, mit sa main entre les cuisses et sa langue sur un sein. Elle ne lâchait plus le vit colossal qui dégoulinait d’une mouille abondante. Il la fit basculer sur le lit et, avant qu’elle ne se reprenne, fourra sa tête entre ses cuisses. Il se mit à lui bouffer la chatte tout en continuant de lui malaxer les siens.

A ce moment je me rendis compte qu’il y a longtemps que j’aurais dû lui casser la gueule, en fait, dès qu’il avait commencer à l’embrasser. Mais je m’étais laissé avoir et, sans y prendre garde, j’avais glissé ma main dans mon futal et me pignolai lentement devant cette scène très sexe.

Ma femme s’excitait et avait perdu le contrôle. : "Ô oui, c’est bon, mets moi ta langue dans le trou. HMMMM, Ouiii". Je lus les signes avant-coureurs de l’orgasme chez elle. Elle parlait de plus en plus encourageant son amant avec les mots les plus orduriers, lui caressant frénétiquement la tête et ondulant de plus en plus son bassin de haut en bas. Franck repéra sans doute ces mêmes symptômes car, il se souleva, se glissa sur elle et commença à la pénétrer. Elle gémissait : La vache, c’est trop gros, ça va pas rentrer, ô oui pousse… ahhh, oui elle rentre". En effet elle devait rentrer car la chatte était sûrement toute lubrifiée. "Ouiii, ça y est, vas-y bourre moi". Il ne se le fit pas dire deux fois et commença à la ramoner avec violence. Elle noua ses jambes autour des fesses musculeuses qui se contractaient sous les va-et-vient et passa ses bras autour des épaules de l’homme. Elle jouit immédiatement et longuement. Mais lui n’avait pas fini. Quand elle eut laissé retomber ses bras et ses jambes, le corps livré à la fatigue, il continua de la pilonner. Puis, après un long moment en missionnaire, il la retourna et la mit en levrette. Il s’appliquait méthodiquement à entrer et sortir avec lenteur pour bien faire sentir la longueur du morceau qu’il entrait progressivement de plus en plus loin et bientôt jusqu’aux couilles. Terrassée, inerte, elle avait la tête sur l’oreiller, les seins écrasés sur le lit. Ses hanches étaient prises dans les mains vigoureuses. Puis il se mit en bouledogue, toujours avec la même lenteur calculée; fasciné par ce show de baise, j’atteignis moi même l’orgasme et jutai abondamment sur la porte de la penderie.

Mais lui était très endurant. Il s’assit au bord du lit et, comme si elle n’avait pas été plus lourde qu’une plume, la prit et la fit s’asseoir sur le pieu, en lui tournant le dos. Elle était face à moi, la moule béante, dégoulinante de mouille, avalant l’énorme zob. Il se mit à jouer des reins pour la doser comme il faut. Un second orgasme se préparait. Elle se mit elle même à monter et à descendre sur le chibre rouge et humide. Les grosses couilles toutes poilues étaient trempées de cyprine. Les mains de Franck enserraient à nouveau les énormes nichons. Elle jouit comme une folle. Je dus reconnaître que jamais je ne l’avais baiser comme cela.

Enfin, il la souleva, la fit se mettre à genoux et, après s’être fait goulûment pompé le dard, il se retira pour éjaculer. Le foutre partit en jets longs et puissants qui s’écrasèrent sur le visage pour les premiers alors que les derniers inondaient les seins. Puis il remit sa bite dans la bouche. " C’est bon hein ? Tu aimes mon jus ma belle " ? Elle n’avait jamais bouffé le mien et là, je la voyais lui décrasser le nud. Il n’avait que peu débandé et trempa son gland dans le sperme qui continuait à dégouliner sur les nibards, les jets les plus puissants commençant tout de même à coaguler. Elle ressuça. Puis il ramassa ce qu’il put dans sa main et le lui fit bouffer. Elle lapait avec frénésie. "Tu aimes mon foutre hein ma petite pute ? " ô oui, donne encore". Quand elle eût tout avalé, ils s’allongèrent sur le lit. Il y eut un long moment de silence. "Je vais me doucher" dit-il. Elle lui répondit qu’elle aussi, et qu’elle rentrerait après. "Non, tu restes, tu as signé jusqu’à six heures". "Tu as eu ce que tu voulais et bien plus, non ? Laisse moi partir, je n’aurais jamais dû te céder, j’ai honte". " Tu restes. Je récupère et je te baise toute la nuit.; Jusqu’à six heures". Elle ne dit rien. Ils restèrent un long moment allongés côte à côte. Il commença à lui caresser à nouveau les seins. Alors elle se pencha, reprit la bite mole dans sa bouche. A près l’avoir sucé un moment, elle dit "Je vais me doucher". "On y va ensemble". Il se levèrent, il la prit dans ses bras, lui roula une pelle magistrale tout en la doigtant, puis tout en reculant, lentement, les doigts toujours dans la chatte, il l’attira avec lui. Ils sortirent de la chambre. Je ne vis plus rien. J’entendis juste l’eau couler. J’en profitai pour partir. Il était 1H30 du matin et je ne savais pas si j’étais heureux ou malheureux d’être cocu. Je rentrai dans mon mobile-home, et me couchai dans la chambre que nous n’utilisions jamais puisque je n’étais pas sensé être dans mon lit.

A suivre….

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