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Petit garçon devient adulte – Chapitre 2




Le dimanche 23 septembre nous rentrâmes donc à Paris car maman voulait profiter de la semaine qui nous séparait de la rentrée, pour effectuer le renouvèlement indispensable de ma garde-robe. Songez un peu, j’allais pour la première fois enfin porter des pantalons longs !

Pendant le trajet de retour, elle me chapitra, sur la nécessaire organisation de notre « mode de vie », car il ne serait pas facile de pouvoir continuer à mener nos « jeux amoureux, dans notre petit trois pièces, en présence de mon père, ».

Fort heureusement les horaires de travail de mon père changeaient après chaque période de repos hebdomadaire, qui eux mêmes se décalaient chaque semaine. En clair, nous pourrions au moins compter sur ses semaines de « nuit » et la plupart des dimanches où nous serions seuls à la maison pendant plusieurs heures. De son côté maman avait trouvé du travail dans un petit atelier de couture, ce qui suivant l’expression consacrée allait mettre du « beurre dans les épinards » mais elle serait occupée du lundi au vendredi.

Dès notre arrivée, maman s’empressa de consulter l’ardoise affichée dans la cuisine, ardoise sur laquelle mon père inscrivait ses horaires pour la semaine. Ainsi,ce dimanche, il ne rentrerait que vers dix neuf heures. Nous, nous regardâmes en souriant, et nous dirigeâmes derechef dans ma chambre.

Je renversais immédiatement maman sur mon divan, et commençait à fourailler sous sa robe: pendant qu’elle déboutonnait, le haut, je retroussais le bas.

Le spectacle qui s’offrit à moi était d’autant plus excitant que pour le voyage, maman avait mis des bas, donc un porte jarretelles, et des chaussures à talons. La vue de l’espace de peau nue, entre le haut de ses bas fumés et le triangle sombre de sa toison décupla mon désir. Je me lançais donc sans plus attendre dans un cunnilingus passionné, prodiguant mille caresses du bout de la langue à son clitoris tout émoustillé.

Je me régalais de sa cyprine, lapant le délicieux liquide que son plaisir lui faisait sécréter. Tout à sa jouissance, elle cambrai les reins pour s’offrir. Son souffle était rauque, sa respiration haletante. Comme c’était bon de lui donner du plaisir. Je continuais mon travail jusqu’au moment où elle implora, il n’y a pas d’autre mot, d’être « montée ».

Mon braquemart qui n’attendait que cet instant l’empala, ses yeux se révulsèrent.

Je la besognais, lentement, m’appliquant pour qu’à chaque coulissement mon chibre flatte bien sa petite perle.

Épuisé par la tension nécessaire au contrôle de ma retenue, au bout d’un temps qui me paru interminable, elle supplia d’une voix implorante d’être « achevée ».

Ouf! Je lâchais ma semence. Quatre, cinq, six, sept longs traits de foutre inondèrent son utérus, avant que je ne m’affaisse épuisé, vidé. Nous restâmes ainsi, prostrés, embrochés, l’un dans l’autre, l’un sur l’autre, à nous murmurer notre amour.

Puis elle se releva, et ôta sa robe en la passant par dessus sa tête.

Quelle était belle ma jeune maman, amante, offrant ainsi aux yeux de son grand garçon le spectacle de sa ferme poitrine nue et de son corps.

Un filet de sperme suintait sur une de ses cuisses, gagnant le haut de son bas, s’y arrêta un instant sur la lisière de nylon avant de continuer sa progression. Ses yeux suivaient mon regard, elle les abaissa, poussant un « Oh, mince! » en découvrant l’écoulement. séminal. Elle s’avança vers moi, et avec une infinie douceur, sa fine main , souleva mon scrotum, le soupesa, l’estima et rendit son jugement. « Tu es un véritable étalon mon amour ! »

Ce premier trimestre au lycée, comme tout le reste de l’année, je m’appliquais à obtenir les meilleurs notes. Pour moi c’était la seule façon de récompenser maman pour le bonheur qu’elle me donnait.

Trois évènements importants marquèrent cette première de vie « de couple ».

Fin janvier, en plein hiver, mademoiselle Charon mourut. Je connaissais cette vieille mademoiselle depuis ma plus tendre enfance. C’était elle qui me gardait lorsque mes parents travaillaient. Elle habitait dans notre immeuble une minuscule chambre de bonne sous les toits. Par quelle miracle avait-elle pu l’acheter lorsque le propriétaire avait mis en vente tous l’immeuble, nous n’en saurons jamais rien.

Mais début mars, maman reçu une lettre d’un notaire l’informant que cette brave vieille lui léguait cette chambre, et tout ce qu’elle contenait. Pour moi c’était une aubaine, pour mon père un sujet de mécontentement, car les frais de succession étaient à notre charge !

Le deuxième fait marquant fut que le directeur du Monoprix de notre quartier avait retenu ma candidature pour m’employer comme manutentionnaire pendant les vacances scolaires de Noël. Pour la première fois je gagnais donc mon argent. À l’issue de cette première expérience il me proposa de revenir à Pâques, et pendant les grandes vacances. Ce « job » comme on dit de nos jours, était pain béni pour l’adolescent que j’étais.

Enfin le dernier évènement, fut au printemps l’hospitalisation de mon père. Si nous devions aller le voir tous les jours et passer une grande partie des dimanche auprès de lui, contrepartie substantielle, je le remplaçais dans toutes ses fonctions dans le lit conjugal.

À seize ans et demi, en pleine possession de mes moyens, j’honorais donc « sa femme » au moins une fois par jour enfin quand je dis par jour… J’étais dans toute l’acception du terme, un homme.

Cette pratique, et en quelque sorte les responsabilités qui en découlaient, m ’avait « mûri ». J’avais toujours aussi faim, sexuellement parlant, mais au désir animal, avait succédé précoce maturité sexuelle.

Quitte à émousser votre plaisir, amis lecteurs, ce que je veux dire, c’est qu’en dehors de la réalité incestueuse, j’éprouvais de plus en plus de satisfaction à donner du plaisir à ma mère. Si l’expression « les yeux bordés de reconnaissance » à un sens, les cernes qui certains matins assombrissaient les yeux de maman en disaient long sur ce point.

Les meilleurs choses ont une fin. Vint le jour fatidique, ou les médecins jugèrent que

mon père pouvait sortir. Si j’emploie le mot fatidique, c’est aussi qu’au terme de ce séjour, le diagnostique prononcé était « leucémie ».

Comme nous devions aller le chercher le lendemain, ce qui allait mettre un terme à plus de trois semaines d’activités « conjugales », je me promis de profiter intensément de la dernière nuit !

Après un rapide dîner, comme nous nous m’apprêtions à regagner « notre » chambre pour la dernière nuit avant longtemps, maman m’apprit qu’elle avait ses règles. La tuile !

Je cachais mal ma déception, car je me faisais une joie de lui faire l’amour en douceur avant le retour de notre seigneur et maître.

Pour me consoler, maman ouvrit son corsage. Le spectacle de ses nichons gonflés était plus que ne pouvait en supporter mon tempérament: l’érection en sommeil dans mon pantalon n’en demandait pas tant pour se réveiller brutalement. Mais que faire, « me finir à la main » ?

C’était sans compter sur l’instinct de l’amour maternel. Après qu’elle eut quitté l’ensemble de ses vêtements à l’exception de sa culotte anormalement gonflé par la présence de sa serviette périodique, Elle s’agenouilla, souriante toute en se passant la langue sur ses jolies lèvres. Il y avait longtemps, que j’avais cessé de la soumettre à ce genre de pratique, mais là… Je la laissais « s’avilir » car la tension était trop grande, et comme c’était sa bouche ou ma main…

Elle commença par de légères caresses de la pointe de la langue, tout en flattant et en me massant les couilles. Elle s’attaqua ensuite à mon gland gonflé, violacé par l’afflux sanguin, cause de cette bandaison paroxysmique. Puis elle, introduisit ma queue entre ses lèvre et l’aspira. D’une mimique, elle me fit comprendre que je pouvais ouvrer. J’y allais doucement, mais chaque « aller » se terminait bien au fond de sa gorge, au maximum de ce qu’elle pouvait « engoûler » de mon braquemart.

Je ne lui laissais aucun répit, jusqu’au moment de mon éjaculation. Ne pouvant plus me contrôler, je maintins sa tête plaquée contre mon pubis et ne la lui relâchait qu’après être certain qu’elle ait bien tout ingurgité. J’étais honteux de cette impulsion, mais soulagé de voir qu’elle ne s’en était pas offusquée.

Jusqu’à ce que mon père ait suffisamment récupéré , pour décider de partir se reposer dans la maison de mes grands-parents, je fus contraint à une quasi abstinence à l’exception d’une aubaine inattendue.

Un samedi soir, alors que je regagnais ma soupente, au cinquième étage, je trouvais monsieur Goulard, affalé devant la porte de son appartement. Il ronflait comme un sonneur et était manifestement saoul. Je frappais à sa porte pendant une bonne minute avant d’entendre un bruit de pas. Madame Goulard ouvrit, elle était en chemise de nuit et comme elle dû se pencher pour prendre son époux par les pieds pour m’aider à le rentrer, m’offrit une vue imprenable sur sa poitrine. Comme je l’ai souvent dit ma maman avait de superbes seins, mais ceux de madame Goulard étaient impressionnant !

Une fois à l’intérieur, toujours penchée sur son mari, elle me m’expliqua en chuchotant, qu’il était hors de question de le coucher dans leur lit et qu’il avait bien de la chance que le fils H. , lui ait évité de passer sa nuit sur le palier. Puis ayant remarqué mon « émotion » elle me gratifia d’un sourire engageant, se redressa en ajoutant:

— tu peux toucher mon petit…

Je ne me le fis pas répéter deux fois, et engageais derechef une main dans l’échancrure de son vêtement. Ces « lolo » étaient effectivement lourds, chauds et engageant. Tellement engageant que je ne pu résister à la tentation de la plaquer contre la paroi du couloir dans lequel nous nous trouvions encore, au dessus de son mari. Comme elle ne manifestait aucun signe de réprobation j’engageais ma seconde main sous sa chemise de nuit et la plaquait sur son pubis velu.

— pas ici mon petit, viens…

Leur appartement étant situé du même côté de l’immeuble que celui de mes parents, je compris qu’elle m’entraînait dans leur chambre à coucher…

— je parie… Tu n’es pas puceau au moins mon petit… Non à ton geste, j’ai l’impression que non !

— Non madame G….

— Jeanine, mon petit François, et pas de madame s’il te plaît

D’une poussée je la renversais sur son lit, et me couchais sans autre forme sur elle.

— Tu peux au moins enlever tes pantalons mon chéri ! fut sa seule réaction.

Je m’exécutais à la vitesse grand V et la rejoignis.

— mais c’est qu’il… est excité ce gamin… Pfff et bien pourvu !

Excité était un euphémisme, cela faisait trois semaines que j’étais au régime sec, j’avais une faim de loup, et cette bonne femme s’offrait spontanément de calmer ma fringale. J’allais lui en donner…

Et je lui en donnais. Après avoir entrouvert sa fente d’amour, mon majeur expert se mit en devoir de flatter son clitoris. Elle avait le souffle court, murmurait des « Oh oui, Oh oui, c’est bien mon petit, continue, continue »

Tenant à lui montrer qu’elle n’avait pas à faire à un « bleu » je me décidais à lui bouffer la chatte. Ma langue s’activait autour de son petit bouton, elle me pressais le visage sur sa moule qu’elle s’efforçait de m’offrir encore plus.

À l’évidence, il devait y avoir un bon moment que son pochtron de mari ne l’avait pas honoré car elle m’offrait son cul comme une chatte chaleur.

Quittant son entre jambe pour revenir la chevaucher, je m’amusais a laisser mon gland « tâtonner » faisant semblant de pas trouver l’entrée de son vagin.

Elle était aussi ivre de désir, que son bonhomme l’était d’alcool. Elle n’y tenait plus, elle en voulait de la bite. Mais je tenais à ce qu’elle la prenne et qu’elle s’empale sur mon noud. Après… Après elle n’allait pas être déçue j’allais la défoncer dans les règles.

Ah oui elle en voulait, j’avais beau la trombonner à mort, elle ne se calmait pas. Je fus même obliger de lui appliquer un oreiller sur le visage pour limiter ses piaillements. Elle ne se calma que lorsque je lâchais ma purée, et quelle purée…

— Ah, ah, ah ahhh dit-elle cherchant à reprendre son souffle…

— Ah, on ne m’a jamais fait jouir comme ça mon petit, et c’est toi un gamin….

— Je crois que je ne suis plus un gamin Jeanine tu sais…

— Mais, je t’ai quasiment vu naître mon p…, François

Oui mais le temps avait passé.

Nous devisâmes comme cela un moment, le temps que le sang remonte dans ma verge.

Elle accueillit ma nouvelle érection par un sourire. Plus le temps ni le besoin de finasser. Je la fis mettre à quatre pattes,devant le miroir de son armoire à glace; après l’avoir débarrassé de sa chemise de nuit. Je n’avais jamais osé demander à maman de la prendre ainsi. Jeanine fut donc ma première levrette.

Je lui empoignais les seins et lui infligeais des grands coups de boutoir dans sa chatte avide, gluante de ma semence, et elle était heureuse d’être traiter de la sorte. Elle exultait.

Plus tard, quand elle eut pris l’habitude de venir me retrouver dans ma mansarde, elle m’avoua son âge: quarante huit ans. Elle était dactylo-facturière chez un petit fabricant de meubles. Elle avait eu quelques amants avant de se marier, n’avait jamais pu avoir d’enfant. Elle voyait venir la vieillesse…

Elle avait près de trente et un ans de plus que moi, elle le savait, elle n’en dit rien. Je la consolais de l’indifférence de son mari poivrot, joueur de surcroît.

Ses visites étaient régulières, car il était rare que Pierre, son mari, qui était facteur, ne soit pas ivre-mort chaque fin de semaine. Une fois rentré de ses beuveries, elle le couchait tant bien que mal et venait frapper à ma porte.

Je lui donnais l’amour qu’elle n’avait plus, j’étais son dernier amant… Je me mis donc à l’aimer à ma façon, mais sincèrement…

À suivre….

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