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La Gestionnaire – Chapitre 13




Le voyage de retour du Vietnam est tout aussi long que celui de l’aller. J’atterris à Roissy vendredi en fin de matinée. Taxi, appartement, douche. Vers 15 heures je suis devant Aline, la très belle secrétaire de mon directeur.

— Vous êtes toujours aussi séduisant, Jérôme !

— Merci Aline…

— Mais vous êtes toujours aussi menteur !

— Pourquoi donc ?

— Vous ne tenez jamais vos promesses !

— Je vous promets une soirée avant mon départ…

— OK Pari tenu… entrez, il vous attend…

Le directeur m’attend toujours avec la même vaillance.

— Jérôme qu’en est-il réellement ?

— Vous avez lu mon rapport et votre décision n’est pas révocable je pense ?

— En effet ! Vous partez me remettre cela au quart de poil…

— Cela me pose quelques problèmes personnels…

— Faites le nécessaire, la boîte prend en charge vos frais…

— OK !

— Vous repartez quand ?

— Me donnez-vous 15 jours ?

— Tant que cela ?

— Pas moins !

— Toujours aussi dur en négoce !

— Pour votre service…

— Accordé !

— Merci !

Je quitte le bureau. Aline m’attend.

— Alors quand ??

— Quand quoi ??

— Notre soirée ??

— Je vous fixe cela lundi…

— Promis ?

— Promis !

Je rentre à l’appartement. Le syndic me téléphone. Il veut absolument me voir. Il peut tout de suite. Il arrive.

Le temps de prendre un verre d’eau et il est là. Il était en bas de l’immeuble, ou je ne comprends rien. Il me propose une partie de l’appartement contiguë au mien. Des travaux impératifs vont occuper la moitié de l’appartement et il me cède pour un prix défiant toute concurrence, le reste. Je vais pouvoir disposer de deux chambres supplémentaires et doubler la pièce de vie. Mais l’argument massue est que le précédent propriétaire avait fait installer une piscine. Les travaux seront effectués en un mois. La remise en état sera prise en charge par la copropriété. Je signe l’achat, ne sachant pas les avantages que j’en tirerai à l’avenir.

Dans mon courrier, j’ai trouvé le carton d’invitation de Charlotte. Il est magnifiquement décoré. Je suis invité, à partir de 19h30 à une adresse dans Paris. La tenue de soirée est de rigueur. Le temps d’une douche et je serai prêt.

J’arrive à l’adresse indiquée vers 19h45. C’est un immeuble ancien, avec une cour et une grande grille. A la porte un planton d’une compagnie de gardiennage filtre les entrées. Je lui tends mon carton. Il m’autorise à entrer et me dit de me présenter en haut du perron. Une lourde porte en fer forgé et doublée de vitres satinées barre l’entrée. Elle est entrouverte. Je pousse le lourd battant. Une musique douce de style Lulli est diffusée en sourdine. Un couple accueille les arrivants. Ils sont habillés comme à la cour de Louis XIV. Perruques poudrées, décolleté vertigineux, bas blancs,…

— Bonsoir…

— Bonsoir…

— Vous avez votre bristol ?

Je tends mon bristol à la jeune femme. Son décolleté est impressionnant. Les aréoles de ses seins sont visibles. Les pointes sont coincées sous la dentelle. Elles menacent à tout moment de se libérer et d’apparaître aux lumières du hall.

— Monsieur L…, notre hôte vous attend dans le petit salon. Laissez-moi vous guider…

— Je suis prêt à me laisser guider au bout du monde par une aussi jolie personne que vous…

— Merci, Monsieur de vos compliments…

Elle me devance dans le hall. Elle possède une chute de reins phénoménale et un petit cul merveilleux. Elle s’arrête face à une porte richement décorée. Elle frappe. Un "entrez" retentit. La jolie poupée ouvre la porte et s’efface pour me laisser entrer. La porte se referme derrière moi. Un homme légèrement plus âgé que moi s’avance un sourire aux lèvres.

— Bonsoir, Monsieur Jérôme L…

— Bonsoir Monsieur…

— Je me présente, Pierre-Arnaud de P… Nous avons une connaissance commune, je crois…

— Charlotte ?…

— Oui ! Je sais qu’elle vous dit tout vu qu’elle est votre soumise…

— Soumise est un bien grand mot, nous pratiquons en effet des jeux érotiques et un peu SM…

— Charlotte et moi avons décidé d’une surprise à vous faire…

-…

— Venez avec moi…

Il me guide vers une autre porte. Nous entrons dans une salle toute en longueur. Des stalles sont installées de chaque côté de la pièce. D’un côté, sont assises des jeunes femmes, de l’autre des jeunes hommes. Pierre-Arnaud se tourne vers moi.

— Choisissez Jérôme celle qui sera votre accompagnatrice pour cette soirée…

— Pour une fois et si me l’autorisez, je préférerais être choisi…

— A votre guise, Jérôme…

Il se retourne vers l’assistance :

— Mes amis, pour une fois, c’est vous qui pouvez choisir votre accompagnant… que ceux qui souhaitent être parmi les élus se lèvent…

Aussitôt un jeune homme se lève. De l’autre côté de la pièce une jeune femme se lève et tire la main de sa voisine qui se lève, un peu obligée.

— Cher ami, vous êtes servi… vous serez quand même obligé de choisir…

Je m’adresse au jeune homme :

— Désolé, mais je n’ai pas d’affinité envers les humains de mon sexe… une prochaine fois peut-être…

J’adresse aux deux jeunes femmes qui sont restées debout :

— Laquelle des deux dois-je choisir ?

Celle qui s’est levée la première me demande, d’une voix chaude avec un accent slave marqué :

— Est-il possible de nous choisir ensemble ?

Je me tourne vers mon hôte et l’interroge du regard.

— Vous avez tous les droits, Jérôme, faites comme bon vous semble…

— Alors je vous emmène toutes les deux…

Les deux jeunes femmes s’approchent de moi. La première est blonde, grande et fine. Elle est remarquablement bien faite. Ses seins tendent le tissu de sa tunique et ses jambes longues à souhait dépassent largement de la jupette. L’autre est rousse. Sa peau est blanche comme du lait. Tout son corps, du moins la partie visible est constellée de taches de rousseur. Mais je n’ai pas le temps de détailler mes compagnes. Pierre-Arnaud nous guide vers une salle de réception. Des salons d’attente sont installés. Déjà de nombreux salons sont occupés. Nous nous installons dans un salon, près de la fenêtre qui donne sur le jardin. Mes deux compagnes s’assoient dans les fauteuils. Ils sont profonds et elles disparaissent presque entièrement dans le cuir fauve. J’en profite pour les interroger sur leur présence dans cette soirée.

— Comment vous prénommez-vous ?

La jeune femme blonde qui s’est levée la première me répond :

— Je m’appelle Andréa et je suis tchèque, elle, c’est Nancy, et elle est Irlandaise…

— Je me doutais de sa nationalité, vu la couleur de ses cheveux… mais pourquoi c’est toujours vous qui parler ?

— Nancy est très timide, alors je me dévoue…

— Ce n’a pas l’air d’être une trop grande corvée…

— Ne vous moquez pas de moi…

Je les observe. Elles sont vêtues d’une tunique identique. La ceinture est large de deux doigts. De la ceinture au niveau de hanches, part une bande de cinq centimètres de large qui croise devant le cou et revient sur l’autre hanche. La bande de tissu cache donc chaque sein, enfin dans le cas d’Andréa, une grande partie de ses seins est visible. Sous la ceinture, le paysage est très agréable. La jupe se réduit à deux pas de tissu, l’un devant et l’autre derrière. Mais ces deux panneaux ne sont pas jointifs. Il manque environ dix centimètres. Je peux ainsi constater qu’elles ont, toutes les deux de jolies cuisses et qu’elles ne portent pas de slip.

Andréa est grande, fine et longue. Sa poitrine est presque disproportionnée. Deux obus tendent le tissu. Les pointes de ses seins sont moulées par le tissu. Ses cuisses sont musclées, mais fines.

Nancy est aussi grande mais plus charpentée. Ses seins sont comme deux demi-pamplemousses. Ils ne bougent pas et ses tétons sont gros comme des petits pois. Ses cuisses sont elles aussi couvertes de taches de son. Je les interroge :

— Comment êtes-vous arrivées dans cette soirée ?

Andréa prend aussitôt la parole. Nancy regarde ses genoux serrés. Elle a l’air apeuré.

— Voilà, nous sommes étudiantes en faculté. Nous sommes en doctorat de sciences humaines. Nous logeons dans un petit appartement dans la banlieue proche. Mais c’est très cher pour des étudiantes étrangères. Alors nous participons régulièrement à des défilés de présentations de vêtements dans des petites villes de province. Les plus osés vont jusqu’au défilé de lingerie. Mais la semaine dernière, nous avons reçu les impôts locaux. Nous ne pouvons pas débourser la somme. Il y a quelques semaines nous avons été contactées par une personne. Nous pouvions gagner de quoi ne plus avoir de soucis jusqu’à la fin de l’année. Nous avons dit oui et nous sommes là ce soir. Dès que nous sommes arrivées, nous avons vu dans quel guêpier nous nous étions mises. Mais nous avions reçu un acompte et malheureusement, nous l’avons déjà entamé. Impossible de faire machine arrière ! Nous sommes obligées de tenir nos engagements. Voilà vous savez tout !

— Pourquoi m’avoir choisi ?

— Des cinq hommes seuls qui sont entrés, vous êtes le plus jeune, et en plus on pouvait choisir… alors je n’ai pas hésité… Nancy était trop angoissée pour faire un choix… J’espère que vous ne le regretterez pas…

— Nous verrons cela plus en avant…

Un extra tout habillé comme à l’époque du Roi-Soleil nous invite à passer à table. Une double porte s’ouvre sur une salle gigantesque. Une table est dressée, magnifique. Mes deux compagnes sont bouche bée. Nous nous dirigeons vers le festin offert. Nancy se penche pour la première fois vers moi. Avec son ravissant accent, elle me dit :

— Il y a un vieux Monsieur qui passe sa main sous ma jupe… et je n’aime pas cela…

Je regarde les arrières de Nancy. En effet, un monsieur d’un âge certain, pelote sans vergogne, les fesses fermes de la belle rousse. Je lui adresse la parole :

— Cher Monsieur, malgré tout le respect que je vous dois vu votre âge, je vous demande de bien vouloir de pas tâter de ma marchandise. Je l’ai choisie en bon état et je ne voudrais pas qu’elle soit gâtée au moment de la consommer…

Le vieux Monsieur me regarde avec un air mauvais :

— Cher freluquet, vous avez deux jolis fruits verts, vous pourriez m’en prêter un…

— Il fallait arriver plus tôt et bien choisir… Que je ne vous reprenne pas à ces privautés sur mes compagnes, sauf si je vous y prie…

Nancy me remercie par un baiser sur la joue.

— Merci Monsieur

Je les prends pas la taille et les serre contre moi.

— Mes chères petites amies, je m’appelle Jérôme et je souhaite que vous me tutoyiez.

Andréa prend la balle au bond :

— Jérôme, que nous feras-tu donc subir ?

— Je ne sais pas encore mais nous verrons bien…

Nous nous restaurons. Les mets sont délicieux et mes deux jeunes amies sont émerveillées. Elles s’empiffrent.

— Vous n’avez pas mangé depuis combien de semaines ?

— Nous sommes obligées de nous restreindre sur la nourriture, alors quand on peut…

Le temps passe tranquillement. Il est près de 23 heures quand le Maître des lieux nous convie à la grande manifestation. Il informe que les accompagnatrices et accompagnateurs sont à la disposition des personnes qui les ont choisis et qu’ils devront satisfaire tous les envies des Maîtres ici présents.

Toutes les deux me regardent avec inquiétude.

— Tu es un de ses détraqués qui battent les femmes ?

— Non, j’ai une amie qui en rêve, mais je n’aime pas…

— Où est-elle ?

— Je ne le sais pas. Elle doit être ici pourtant. Elle doit me faire une surprise.

Nous suivons le flux des personnes. Nous nous engageons dans un escalier qui descend sous le bâtiment. La fraîcheur des caves de l’immeuble particulier nous saisit. Mes deux accompagnatrices se rapprochent de moi espérant trouver un peu de chaleur. Chacune de mes mains constate qu’elle a la chair de poule sur la peau. Est-ce la peur de l’inconnu et de trouver un méchant homme qui va leur faire subir les pires et derniers outrages ou bien l’humidité qui nous entoure ? Une large porte s’ouvre. Nous pénétrons dans une première salle. Au milieu de la pièce une estrade trône. La porte se referme derrière nous. Nous sommes environ vingt personnes. Nous nous installons autour de la pièce. Elle est tapissée de velours rouge sombre. La lumière ambiante s’atténue doucement. Des spots violents illuminent l’estrade. Notre hôte s’avance et prend la parole :

— Mes chers amis, comme vous le savez, vous êtes dans l’antre des plaisirs, des plaisirs particuliers. Certaines personnes souhaitent assouvirent des envies et des fantasmes. Ici, elles le peuvent. Mais je précise bien que toutes les personnes ici présentes, qui vont réaliser leurs envies ou leurs fantasmes, sont consentantes. Elles le font par plaisir pur, sans aucune contrainte. Si elles subissent des actes que certains qualifieront de contre nature, elles le font consciemment. Toutes sont majeures, consentantes, par écrit, et vaccinées.

Pierre-Arnaud termine sa tirade. Personne dans l’assistance ne pipe mot. Apparemment, chacun sait pourquoi il est venu. Nancy se penche vers moi et m’interroge :

— Que va-t-il se passer ?

— Attends et regarde…

Elle me jette un il inquiet et inquisiteur. Pierre-Arnaud reprend :

— Si personne n’y voit d’inconvénient, nous allons commencer… Ce soir, une jeune personne a souhaité faire une surprise à son ami. Ce dernier est dans la salle. Pour ne pas qu’il s’ennuie, il est accompagné. Sa jeune compagne veut lui démonter son amour, son allégeance. Mais il me faut un aide. J’ai donc mis dans ce sac, le prénom de tous nos invités, mâle ou femelle. C’est elle-même qui va tirer au sort son bourreau. Voilà les conditions de la première séance sont posées. Je vais chercher la jeune femme.

Il contourne l’estrade et disparaît derrière un lourd rideau. Quelques secondes plus tard, il réapparaît. Il tient par la main une jeune femme. Elle est vêtue d’une longue cape noire. Pierre-Arnaud la guide vers les marches de l’estrade. Elle est sous le feu des spots. Elle est blonde vénitien. Ce n’est donc par Charlotte, elle est d’un blond naturel. Son visage est un ovale parfait. C’est une très jolie jeune femme que Pierre-Arnaud guide dans la pièce. Pierre-Arnaud l’installe au milieu de l’estrade dans le rond lumineux des spots.

— Voici chers amis, Carole. Elle va se présenter en répondant à mes questions.

— Etes-vous ici sans crainte, ni obligation ?

— Oui Monsieur…

— Vous venez ici libre et sans contrainte…

— Oui Monsieur…

— Quel âge avez-vous, Carole ?

— J’ai vingt-cinq ans…

— Etes-vous mariée ?

— Non Monsieur, je vis en concubinage…

— Pouvez-vous vous présenter physiquement ? Taille, poids, mensurations…

— Je mesure 1,68m pour 52 kilos. J’ai les yeux bleus. Je suis blonde naturelle. Mes mensurations sont les suivantes : tour de poitrine 90 bonnets B, tour de taille 64, tour de hanches 87.

— Quelles sont vos particularités ?

— D’après mon ami, je suce très bien, mais je suis prête à le prouver à quiconque dans l’assistance.

— Vos seins sont-ils sensibles ?

— J’adore que l’on me suce les bouts de seins. Cela m’excite énormément.

— Autre chose à ajouter ?

— Oui, j’aime me faire sucer la chatte. Mon ami tient à ce qu’elle soit toujours parfaitement entretenue. Je suis totalement épilée, aisselles, sexe et anus.

— Bien autre chose ?

— Mon ami a essayé de me sodomiser à plusieurs reprises. Je n’y arrive pas. Il considère que je ne fais aucun effort pour cela. Si je suis ici c’est pour lui prouver que je l’aime et que je fais des efforts pour lui plaire.

— La sodomie vous effraie-t-elle ?

— Oui Monsieur…

— Vous êtes très prude, Carole… Employez les termes exacts…

— J’ai peur de me faire… de me faire enculer, Monsieur…

— Vous allez tirer au sort votre bourreau pour cette soirée. Si ce dernier souhaite vous enculer, vous devrez vous soumettre. Êtes-vous toujours d’accord avec les termes de ce contrat ?

— Oui Monsieur… mais…

— Mais ?

— Je souhaite que mon…

— Bourreau, il faut savoir employer les termes exacts, Carole…

— Je souhaite que mon bourreau soit le plus doux possible… pour que par la suite j’aime cette pratique et que je puisse l’offrir à mon ami…

— Bien, Carole, les présentations sont terminées. Je vais vous montrer à l’assistance.

Carole a un mouvement de recul.

— Allons Carole pas de crainte… je vais ôter votre cape et vous montrer à tous et à toutes…

Pierre-Arnaud s’approche de Carole. Il ôte le clip qui maintient la cape, et passant derrière elle, il ouvre celle-ci. Un murmure parcourt la salle. Carole est de toute beauté. Sa peau mate ressort sous la lumière crue des projecteurs. Elle est vêtue d’un bustier de cuir noir. Il enserre sa taille et fait ressortir sa poitrine. Ses seins sont fièrement dressés au-dessus du vêtement de cuir. Le bustier s’arrête au-dessus du pubis. Le sexe est exposé, glabre. Pierre-Arnaud demande :

— Souhaitez-vous voir la plastique de cette belle sous tous ses angles…

Un murmure d’approbation parcourt la salle. Pierre-Arnaud actionne une télécommande. Une partie de l’estrade s’anime. Carole est installée sur un disque. Ce dernier s’est mis en mouvement et tourne sur lui-même. Carole ne bouge pas et le mécanisme nous permet d’admirer le corps de cette jeune femme sous toutes les coutures…

— Posez vos mains derrière votre cou et tirez vos coudes sur l’arrière.

Carole obéit. Aucune trace de rejet des ordres ne se trahit sur son visage. La position met en valeur sa poitrine. Naturellement, la position la fait se cambrer. En tournant, chacun peut constater qu’elle a un très beau cul, rond, ferme et apparemment très accueillant.

— Ecartez les pieds, Carole… chaque personne de l’assistance a envie de découvrir vos trésors.

Carole écarte largement les pieds. Le mécanisme a terminé sa rotation. Pierre-Arnaud s’adresse de nouveau à Carole.

— Carole, êtes-vous toujours d’accord avec les termes du contrat…?

— Oui Monsieur…

— Vous allez tirer une boule dans le sac que voici. A l’intérieur de chaque boule, une liste de sanctions est écrite. Vous la lirez à haute et intelligible voix. Ensuite vous tirerez un nom dans l’autre sac, celui de votre bourreau…

Un silence total se répand dans la pièce, le temps que Pierre-Arnaud tend les sacs. Andréa se penche vers moi et me demande :

— Si tu es choisie, que fais-tu ?

— La règle est la règle… je dois m’exécuter…

— Même si tu dois la battre ?

— Oui, bien sûr…

— Tu es un salaud… charmant, mais salaud quand même…

— On verra ta position après le châtiment…

Nancy se serre un peu plus contre moi. Je sens ses seins fermes et durs se frotter contre mon bras. Je la regarde.

— Cela t’excite un peu…

Elle me regarde avec des yeux étonnés. Elle hoche la tête de haut en bas…

— J’ai eu une éducation anglaise, alors cela laisse des traces, fatalement…

— Je suis sûr que tu mouilles… vrai ?

— Tu peux vérifier…

Je glisse la main sous le panneau arrière de sa jupe. La croupe se tend vers l’arrière facilitant la progression de ma main. Elle trouve un sexe un peu piquant. Elle a dû se raser depuis quelques jours. La repousse a eu lieu. Mon majeur trouve deux lèvres épaisses et grasses. Je ne me suis pas trompé. Cette situation l’excite. Andréa me tire le bras.

— Que fais-tu avec Nancy ?

— Je vérifie que la situation l’excite…

Andréa se penche devant moi et adresse un regard lourd de reproches à la rousse irlandaise.

— Nancy, tu es une véritable petite salope…

— Andréa tu n’es pas excitée, toi ??

— Non pas du tout !

— Je demande à voir…

— Il n’en est pas question…

Nancy la regarde à son tour, mais avec un air plus vicieux.

— Je suis sûre que ta chatte bave comme une morte de faim…

— Salope…

Je glisse aussitôt ma main sous la jupe d’Andréa. Son sexe est très facilement accessible. Elle est aussi trempée que Nancy…

— Vous êtes aussi salope l’une que l’autre…

Je leur fais une bise sur la joue… Elles rosissent et regardent la scène.

Carole plonge la main dans le premier sac. Elle ressort une boule blanche. Elle la tend à Pierre-Arnaud. Il l’ouvre et sort un billet. Il le déplie et le lit. Un sourire se dessine sur ses lèvres. Carole le regarde avec une inquiétude certaine. Pierre-Arnaud lui donne le billet.

— Carole, lisez à haute et intelligible voix votre pénitence…

Carole commence à lire le billet. Son visage se liquéfie.

— Oh non pas cela, s’il vous plaît, pas cela…

Pierre-Arnaud intervient…

— Carole vous avez accepté les règles…

— Oui Monsieur… mais j’ai très peur…

— A vous de tirer un bourreau de classe… il y en a dans la pièce qui sont excellents, d’autres que je ne connais pas… Carole, il faut tirer un nom…

Carole tremblante, remue les tickets où sont inscrits les noms des Maîtres susceptibles de lui administrer la punition qu’elle a tirée au sort… Elle tourne et retourne les petits rouleaux de papier sans oser choisir…

— Carole, choisissez…

Carole prend un nom…

— Voici Monsieur…

Pierre-Arnaud déroule le papier…

— Tiens l’heureux gagnant est un nouveau… Je ne le connais pas… Je ne sais pas s’il est dur ou doux…

Carole regarde l’assistance. Les spots doivent lui cacher les visages de ses admirateurs…

— Carole, vous devez maintenant lire votre sentence…

Carole reprend le billet des mains de Pierre-Arnaud et commence sa lecture. Sa voix est couverte par la peur de ce qui va lui arriver.

— Ma chère Carole, c’est ton amant Marc qui t’écrit. Tu m’as toujours soutenu que tu étais prête à tout pour me prouver ton amour. Voilà le jour venu. Tu t’es souvent refusée à moi pour des pratiques qui sortent du commun. En particulier, tu as toujours refusé de te faire sodomiser. Malgré mes tentatives répétées et mes essais, tu as toujours serré les fesses suffisamment pour que je ne puisse pas te pénétrer ainsi. Donc aujourd’hui tu dois en subir les conséquences. Un des maîtres présents ce soir dans l’assistance va dans un premier temps te punir de tes refus. A lui de choisir la punition qu’il t’infligera. Je lui laisse carte blanche. Ensuite, il t’enculera, devant tout le monde. Il perforera ton anus plissé qui s’est toujours refusé à ma queue. Je veux que toute l’assistance puisse voir ton cul recevoir une bite. Toute cette soirée est filmée depuis le début de cette soirée. Ainsi, je pourrais à tout moment te rappeler ta soumission de ce soir et te prouver que ton cul est suffisamment large pour enfiler une bite, même si tu refuses la mienne.

Je t’aime très fort ma Carole, je t’embrasse et te souhaite beaucoup de courage… Marc

Carole relève son visage. Des larmes coulent sur ses joues. Pierre-Arnaud lui reprend le premier billet.

— Carole vous devez maintenant appeler votre bourreau…

— Oui Monsieur…

Elle prend le billet que lui tend Pierre-Arnaud.

— Le bourreau que le sort m’a attribué ce soir s’appelle Jérôme…

Pendant une fraction de seconde, je ne percute pas. Je reste entre les bras de mes deux amies. Elles me tiennent par la taille et je les tiens par les épaules. Mes mains ont quitté leurs chattes humides et accueillantes. Pierre-Arnaud me connaît depuis mon arrivée. Il insiste :

— Jérôme, voulez-vous quitter les bras câlins de vos deux jolies amies pour venir châtier notre amie Carole ?

Nancy me pousse :

— Allez Jérôme, il faut respecter votre engagement… allez corriger cette femme qui le mérite…

— Crois-tu qu’elle le mérite ? Si tu étais à sa place, tu serais moins fière…

— Ne sois pas aussi sûr de cela… J’aimerais peut-être bien être à sa place…

Andréa ne me retient pas…

— Si tu en as envie, vas-y…

Je me libère de ma prison dorée et j’annonce à haute voix :

— Chères demoiselles, vous allez assister à une scène de SM. Vous êtes novices dans ce domaine. Je ne veux à aucun prix que vous ne détourniez le regard de ce qui va se passer sur cette estrade. Vous ne devrez pas, pendant toute la durée de la séance, vous faire toucher ou vous toucher. Pour cela je vais demander à Pierre-Arnaud de vous lier les mains dans le dos et vous installer dans les cages situées sur les côtés de la pièce. Vous aurez tout loisir de regarder mais vous ne pourrez pas en profiter sans mon autorisation ou sans moi…

Nancy et Andréa sont estomaquées. Pierre-Arnaud fait un signe de la tête. Deux appariteurs taillés comme des armoires à glace, saisissent les bras des miss. Nancy a déjà tendu ses poignets en arrière. Elle est une soumise dans l’âme. Elle se laisse attacher sans résister et conduire dans la cage la plus proche. Son garde lui fixe un collier de cuir autour du cou et le lie à la cage. Elle ne pourra pas tourner la tête. Andréa n’est pas aussi facile à mater. L’appariteur lui tient les bras, mais elle se défend. Elle tente de lui donner des coups de pied. Mais il a la maîtrise et la force avec lui. Andréa se retrouve avec une paire de menottes sur les poignets. Elle est installée dans la cage. Elle râle sérieusement :

— Jérôme, tu es un salaud, fait nous libérer immédiatement…

— Andréa, tais-toi et regarde…

— Il n’est pas question que je me taise…

Sans aucune indication de ma part ou de celle de Pierre-Arnaud, l’appariteur pose un bâillon boule sur le visage d’Andréa. Il l’attache pour qu’elle assiste au spectacle… Je me dirige vers l’estrade. Je gravis les trois marches. Je suis tout près de Carole. Elle a peur. Son corps trahit son inquiétude. Des frissons parcourent ses flancs. Je tourne autour d’elle. Elle me suit du regard.

— Bonjour Carole…

— Bonjour Monsieur…

— Alors ce soir c’est le grand jour…

— Oui Monsieur…

Les larmes coulent sur ses joues.

— Pourquoi pleures-tu ?

— J’ai peur… j’ai peur d’avoir mal… je regrette d’avoir accepté…

— Tu veux que tout s’arrête immédiatement ??

— Oui j’aimerais, mais Marc va me quitter si je refuse ma punition et de me faire sodomiser…

— Qu’est-ce qui tu fais le plus peur, la punition ou la sodomie ?…

— Les deux…

— Choisis une des deux…

— La sodomie… cela m’effraie… j’ai peur d’être déchirée… je n’ai jamais eu de pénétration anale et je peine à me mettre un thermomètre quand j’ai de la fièvre…

— Nous verrons cela après… nous allons commencer par la punition… je vais te proposer de choisir un chiffre de 1 à 4. Tu vas me donner ce chiffre. Il correspond, chez moi, à un instrument de correction.

— Mais à quoi correspondent les chiffres ?

— Je te le dirais après ton choix…

— Heu… Le trois…

— Pourquoi le trois, par hasard ou c’est ton chiffre fétiche ?

— C’est mon chiffre fétiche…

— Je vais te donner les correspondances… le un correspond à la main, le deux au martinet, le trois à la cravache

— Oh non pas ça…

-… Et le quatre au puddle…

— S’il vous plaît pas la cravache… par ça c’est trop dur…

— Tu ne connais pas, tu ne peux pas savoir…

— Oui mais je me doute…

— Il faut essayer pour savoir… Pierre-Arnaud, pouvez-vous me fournir une cravache ?

— Bien sûr, cher ami…

Un silence pesant s’abat sur l’assistance. Pierre-Arnaud me tend l’instrument de correction. Je me passe sous les yeux de Carole.

— Regarde, regarde bien l’instrument de ton supplice…

Carole avale ses larmes. Elle n’ose pas ouvrir les yeux. Je lui passe la cravache sur les lèvres. Elle a un hoquet. Je glisse le bout de la cravache entre ses seins. Je dessine l’arrondi de chacun d’eux. Je vois sa peau frissonner. La cravache continue sa découverte du corps de Carole. Elle arrive au niveau de son sexe. Il est épilé. Carole serre instinctivement les cuisses.

— Écarte tes cuisses…

Carole n’obéit pas. Je lui claque l’intérieur de la cuisse de la cravache. Elle pousse un cri de surprise.

— Aie ça fait mal !

— Tais-toi !

Carole écarte largement les cuisses, offrant le passage à la badine de cuir. Je frotte son sexe en appuyant fort la tige contre ses lèvres. Carole grimace. Je fais le tour d’elle. Je laisse courir le cuir fin sur les deux dômes ronds et fermes de son cul.

— Cambre-toi…

Carole obéit. Elle a eu peur d’une cinglée. Elle se détend et offre sa croupe. Je me recule. Je lève le bras et lui assène un premier coup en travers de ce cul arrogant. Carole hurle sa douleur. Elle se frotte les fesses. Elle avance et se retourne.

— Non cela fait trop mal… arrêtez…

— Carole, tu as fait un choix, il faut l’assumer…

— Je ne veux plus…

— Sois sage…

— Non je ne veux plus que vous me tapiez…

Sans rien faire les deux appariteurs avancent. Carole crie:

— Non ! Laissez-moi !

Carole est prise par les bras. Du plafond descend une barre de bois. A chacune de ses extrémités pend un bracelet de cuir. Malgré ses efforts pour se débattre, Carole a les poignets attachés. Elle rue et tape de toutes ses forces dans les jambes des deux hommes de main. Ils maintiennent les chevilles et du plateau tournant, sortent des bracelets de cuir. Les chevilles de Carole sont rapidement immobilisées. La barre qui tend les bras de Carole vers le haut se lève. Carole est tendue entre le plateau tournant et la barre. Elle pleure. Je m’approche d’elle dans son dos et lui murmure à l’oreille :

— Que tu le veilles ou non, tu seras punie, alors coopère…

— Cela fait mal…

— Je vais te donner une méthode. Tu vas compter les coups. Tu verras que lorsque l’on arrive à la fin les coups sont moins douloureux… tu veux essayer…

— Oui je veux bien…

— Je vais te donner dix coups…

Je lance une première fois la cravache. Carole ne peut pas réprimer un hurlement… Puis elle prononce timidement un "un"… Je la laisse reprendre son souffle. Je caresse les fesses du cuir fin. Les fesses se décontractent. Elles s’approchent, devancent le contact frais du cuir de la cravache. Aussitôt je recommence, sifflement et claquement. Un "deux" éructé plutôt que prononcé sort de la bouche tordue de la jeune femme. Avant qu’elle ne respire la cravache cingle à deux reprises. Si Carole n’était pas attachée par les poignets, elle se serait écroulée sur la moquette noire. Je passe le manche de la cravache entre ses fesses et agace les lèvres de son sexe.

— Trois… Quatre

— C’est bien Carole…

— Je passe devant elle. Elle me regarde avec un regard suppliant. Je cingle son sexe.

— Carole me fixe. Ses yeux sont plongés dans les miens et elle prononce de manière claire et forte :

— Cinq…

Elle est forte et fière. Elle veut me prouver qu’elle saura ne plus rien dire, ne plus crier. Je frappe de nouveau

— Six…

Nouveau coup…

— Sept…

Elle ne bronche plus. Elle se redresse au contraire. Elle tend son sexe vers la cravache. Elle demande, elle quémande les coups… Nouveau coup…

— Huit…

Carole me regarde. Elle me sourit. Je caresse ses seins. Une lueur d’inquiétude traverse son regard. Sa bravache m’amuse. Je lui souris. Elle continue de crâner. Je lui cingle la poitrine. Sa poitrine s’enfonce, elle recule pour tenter une protection. Ses seins se sont recouverts d’une fine pellicule de sueur. Ses tétons sont irrigués et se gorgent de sang. Un fin trait rouge sombre passe d’un sein à l’autre.

— Neuf…

Je tourne autour d’elle et reviens de l’autre côté. Elle me regarde. Avant qu’elle ne bouge, la cravache a frappé. Carole étouffe un gémissement.

— Dix…

Ses larmes ont délayé le maquillage de ses yeux. Mais elle me regarde toujours avec une fierté inconsciente… Je passe derrière elle. Je frotte le bout souple de la cravache de son sexe et remonte vers son anus. Les fesses se tendent, appellent la caresse. Elles se séparent et me font découvrir l’anus plissé. Je promène le manche tressé sur cette pastille offerte. Le cul ondule, mimant une copulation. Je retire l’objet de la convoitise anale. Le cul quémande encore cette caresse. C’est à ce moment que je frappe, la cravache à la verticale, bien entre les deux monts jumeaux. J’ai cherché à atteindre l’anus et la peau tendre de la raie des fesses. Carole pousse un cri de bête blessée. Un "dix" retentit dans la pièce. Elle a chaud. Son visage ruisselle de sueur et de larmes. Je prends ses cheveux mi-longs dans ma main. Je l’oblige à me fixer dans les yeux. J’approche mes lèvres des siennes. C’est elle qui se tend pour m’embrasser. Nos bouches s’épousent. Nos langues se touchent, se mêlent.

J’arrête le baiser. Carole a les yeux fermés et me demande :

— Encore, encore…

— Tu veux encore des coups de cravache…

— Oui, si c’est toi qui le fais…

— Il faudra prendre rendez-vous chère amie…

— Quand tu veux, comme tu veux, où tu veux…

— Nous verrons cela plus tard…

Je lui libère les chevilles en libérant les mousquetons des bracelets.

— Bravo Carole, tu as supporté la première partie de ta punition. Maintenant, tu vas devoir me donner ta virginité anale. Je vais t’enculer…

Carole me regarde avec défit et lance à la cantonade :

— Je suis prête. Tu peux m’enculer… Je t’offre mon cul. Tu vas pouvoir me dépuceler le cul.

— Tu es prête…

J’ôte ma veste. Je me place face à elle. Je prends ses chevilles et les monte sur mes épaules. Je crochète le premier mousqueton au même anneau que le bracelet du poignet. Je répète la même manipulation pour l’autre jambe. Carole se retrouve donc suspendue. Ses poignets et ses chevilles sont attachés au même anneau à chaque extrémité de la barre de suspension. Je me recule pour que toute l’assistance puisse admirer la position indécente de la femme. Les cuisses écartées, elle dévoile son sexe et son anus.

— Te voilà prête, Carole.

— Je suis prête à t’accueillir, Maître Jérôme…

Pour la première fois, je la sens inquiète. Je saisis sur la table de service un flacon de liquide lubrifiant. J’asperge l’anus d’une giclée. Aussitôt je masse la rondelle. Je commence par introduire une phalange. La pommade facilite l’intromission. Je pousse doucement. La résistance musclée cède doucement face à ma poussée régulière. Je masse l’anneau musclé et l’apprivoise. Carole se relâche. Son anus accepte la pénétration. L’index entre sans trouver d’opposition. Je pratique quelques mouvements pour habituer la cavité anale. Mon doigt au départ serré, gagne de l’espace. Je ressors l’index. Je place le majeur à ses côtés. Je présente le couple à l’orée de l’anus. Carole me regarde. Je lui souffle de se détendre et de pousser comme si elle voulait chier. Je vois la bague brune se révulser et le petit trou s’épanouir. Les deux doigts entrent sans difficulté. Je pousse. Ils trouvent un conduit accueillant, souple et chaud. Les intrus n’en sont plus. Je ne peux pas aller plus loin. Ma main bute contre les fesses.

Je retire mes doigts. Carole gémit :

— Non, reviens, remets tes doigts… c’est trop bon… encule-moi vite… Dépêche-toi de venir m’enculer, j’ai envie de ta bitte.

Dans l’attente de la venue d’une intromission plus substantielle que mes doigts, son bassin ondule. Elle soupire et avance son cul. Son anus palpite. L’anneau brun se contracte et se relâche de plus en plus rapidement. Je touche cette bague. Je la sens impatiente de désir. Je me pulvérise du liquide lubrifiant sur les doigts. Son anus s’ouvre comme une fleur sous la pression renouvelée des doigts inquisiteurs. Je me recule et admire le spectacle. Carole écartelée, offrant son cul à la caresse honteuse. Elle ouvre les yeux et me sourit.

— Viens, ne me fais pas languir…

Je présente de nouveau mes doigts lubrifiés à l’entrée du cul. Je pousse. Mes doigts sont aspirés dans son ventre. Je ralentis la pénétration. Je fouille sa cavité doucement, massant la bague ferme, s’assouplissant, l’apprivoisant. Je sens le ventre de Carole se détendre, apprécier les attouchements rectaux. Elle maîtrise sa respiration, facilitant la pénétration à chaque inspiration. Ma main butant contre les fesses, je retire mes doigts. Je commence un manège d’avant en arrière. Le cul absorbe de plus en plus facilement l’intrusion. Carole ferme les yeux, toute à la montée de son plaisir. Je sens son cul s’épanouir comme la corolle d’une fleur. Je veux encore qu’elle se détende, qu’elle se distende pour pouvoir accueillir mon sexe. Je retire une fois encore mes doigts. Carole cherche sa respiration, la bouche grande ouverte. Elle est là, cuisses écartelées, sexe et cul béant, attendant l’estocade. Elle est à la limite de l’orgasme. Elle tire sur ses poignets et sur ses chevilles attachées pour avancer son bassin.

Je joins les deux index et les majeurs de chaque main. Je les place sur la rosette étoilée. Je pousse. Carole cherche de l’air. Sans ralentir la pénétration, je vais au plus loin possible dans ce cul accueillant. Carole feule. Elle entre en transes. Elle est agitée de mouvements incontrôlés. Elle jouit par le cul. Un cri de plaisir et de bonheur traverse la salle. Je la prive de cette jouissance et retire mes doigts.

— Oh non encule-moi encore, recommence, perfore-moi…

Carole ouvre les yeux.

— Es-tu heureuse de connaître la sodomie ?

— J’attends ta bitte… ne me fais plus attendre…

— Tu aimes ?

— J’adore, j’en raffole…

— Tu veux vraiment ma queue ?…

— Oui, s’il te plaît… je ne peux pas plus te prouver mon envie… je ne peux pas être plus impudique et plus indécente que maintenant… viens !!

Je déboucle ma ceinture. Le zip de la fermeture éclair déchire le silence que les spectateurs, tous pris au spectacle ont imposé. Je dégage mon sexe. Il est gonflé à son maximum. Il y a longtemps que je n’avais pas été aussi excité. Je présente mon gland entre ses fesses. Je le glisse dans la vallée largement ouverte de son cul. Carole me stimule :

— Je suis prête à te recevoir, je te désire dans mes fesses, je te veux dans mon cul… mais va doucement tu es énorme… c’est la première fois que je vais me faire défoncer le cul et tu es monté comme un âne… Marc, mon amant, tu vas me faire découvrir ce que c’est qu’un vrai sexe, pas ta petite biroute de rien du tout. Jérôme a une queue fantastique…

Je frotte mon gland contre son anus, lentement doucement. Afin de faciliter l’introduction, je badigeonne son anus de produit lubrifiant. La caresse se fait encore plus douce. Je la sens s’exciter encore. Les sensations sont extraordinaires. Les palpitations de son anus jouent comme une bouche sur mon gland. Je pousse mon gland vers son ventre. Le gland entre, passe la bague musclée. Carole fait un effort pour absorber mon champignon. Elle s’ouvre. Le premier sphincter passé, j’arrête ma poussée. Carole souffle fort. Je vois son visage se crisper.

— Tu as mal ?…

— Non cela va, continue doucement.

Sa voix rauque et basse prouve que l’entrée ne se fait pas sans douleur. Je reprends la poussée, lente et continue. Carole se mord les lèvres.

— Tu veux que j’arrête un moment ?

— Sûrement pas ! Tu dois me défoncer, alors vas-y…

Je pousse encore. La sensation est étonnante. Ce n’est pourtant pas la première fois que je sodomise une pucelle du cul, mais Carole a un cul merveilleux. La caresse sur ma queue est extraordinaire. J’attends quelques minutes que l’anus se détende. J’en profite pour caresser les fesses tendues par la position d’offrande de Carole. Ces caresses doivent la surprendre. Elle ouvre ses grands yeux et me sourit. Je pousse de nouveau. Elle réagit. Ses yeux se ferment à moitié et un sourire éclaire son visage.

— C’est bon, c’est trop bon…

Ma queue continue sa progression. Je vois son anneau épouser la tige de mon sexe. Il palpite pour permettre l’entrée de mon membre. Mon bassin avance. Carole insensiblement se met à bouger. Une grimace tort son visage. Elle pousse une exclamation de douleur.

— Tu as mal ?

— Un peu laisse-moi reprendre mon souffle…

Je recule un peu et je projette une nouvelle giclée de lubrifiant autour de ma queue pour aider la progression. Quelques secondes plus tard, Carole ouvre et yeux et d’un hochement de tête m’autorise à continuer ma poussée. J’effectue de tout petits allers-retours lents. Je ménage ma monture. Je prends mille précautions. Un grand nombre de femmes n’aiment la sodomie car leurs amants sont des brutes et des goujats. Carole me regarde et me dit :

— C’est bon, tu peux continuer…

Je continue mes mouvements lents, mais à chaque poussée, j’entre un peu plus. La progression est lente mais continue. Carole transpire beaucoup. Ses cheveux sont collés sur son front. Elle tente d’écarter encore plus ses cuisses. Ma queue n’est plus serrée comme au début de la pénétration. Au contraire, la sensation est très agréable. Carole tourne sa tête de droite à gauche et commence à gémir son plaisir. Je sens le plaisir qui monte pour Carole et pour moi. Elle ne dit plus rien et d’un seul coup, elle part dans une litanie d’insanités comme une femme qui jouit peut en prononcer.

— Plante-moi… Bourre-moi à fond… Défoncemoi… je veux sentir tes couilles contre mon cul… vas-y ! Je n’ai pas mal… au contraire ça me plaît !… va plus fort !… plus profond…

Comment refuser une telle demande ? Je me mets en branle… je commence à accélérer mes mouvements. Son cul est tout à fait ouvert, béant. Aucune résistance n’est offerte à ma pénétration. Carole s’adresse à son amant…

— Marc cette fois c’est vrai, je suis une enculée… et j’aime ça…

Elle gigote suspendue à la barre d’écartement. Elle tire sur ses bras et ses cuisses pour faciliter mon entrée et une intromission la plus profonde possible. Mes couilles frappent ses fesses. Les claquements des deux peaux résonnent dans la pièce. Carole est haletante. Son orgasme arrive. Soudain, elle est prise de tremblements convulsifs. Son bassin s’anime de mouvements désordonnés. Elle feule, gémit… elle est bouche grande ouverte. Sa respiration est bloquée… je la sens fondre, accueillir ma qu

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