J’ai 25 ans et je vie chez moi, avec mes parents et mon frère ainé. Un après-midi, mes parents étaient sortis quand j’entendis de drôle de bruit dans la chambre de mon frère. J’allais entrouvrir la porte, pour ne pas le déranger: je le voyais en train de sucer un copain que je connaissais de vue. En regardant mieux, je pouvais voir que sa bite elle aussi était dans la bouche de son copain. Ils se faisait l’amour comme des homos. Je n’en revenais pas. Mais les voir ainsi me faisais mouiller. Je ne pouvais m’empêcher de relever ma robe et de me branler: je ne portais pas de sous vêtements: il m’était facile de me satisfaire. J’étais à deux doigts de jouir quand mon frère me regarda faire. Il me demanda de venir au lieu de l’espionner par la porte. Il se leva pour me prendre par la main et me faire rentrer en fermant la porte derrière moi.
Je le regardais: il bandait toujours et avait une bite énorme pour moi qui en avait tout de même vue quelques unes. Je jetais un il à son copain: il bandait aussi et sa bite était presque aussi grosse que celle de mon frère. Mon frère m’obligea à m’assoir entre les deux. C’est le copain qui m’a embrassé le premier. Je ne pensais pas qu’un homo aimait embrasser une fille. Quand il eu fini je lui posais la question: ni l’un ni l’autre n’était homos. Ils étaient bisexuels: les filles faisaient parties aussi de leur carte.
En effet il m’embrassait les seins comme savent le faire peu d’hommes. Je me cambrais sous la caresse. C’est à ce moment que mon frère me mis une main entre les cuisses. Je n’avais pas le temps de me révolter, il était déjà sur mon clitoris. Il me branlait comme un chef. Je ne résistais plus je devenais une chiffe molle entre ses deux hommes.
La main de mon frère descendais de plus en plus bas: il me mettait deux doigt dans ma vulve et trouvait mon point le plus faible: il m’a fait jouir. Il a encore descendu sa main et est arrivé près de mon cul. Il n’a caresser que le pourtour, c’était bon. Je me trouvais prise par ces deux hommes. Je n’osais demander qu’on me baise. C’est le copain qui m’observait depuis un instant qui devina mon envie. Il m’a couché sur le lit, écarté les jambes et je le guidais vers mon sexe. Il y rentrait lentement. J’encaissais parfaitement cette bite que je trouvais énorme un instant avant. Il allait et venait dans mon con comme en pays conquis.
Je jouissait encore et encore. Lui ne jouissait pas. Il cédait sa place à mon frère. J’aurais du refuser, mais le désir d’avoir un orgasme était trop fort. Je guidais donc cette queue familiale vers mon con. Il me pénétrais lui aussi très lentement, sa bite énorme pouvait sans doute faire des dégâts. Il était très doux il m’a baisé très lentement pour que je m’habitue. Je commençais à prendre un plaisir inconnu. Enfin je jouissait autour de cette bite fraternelle. Il se retirait.
Maintenant j’aurais droit à un autre régime me disait le copain: on va de prendre tout les deux à la fois: un devant l’autre derrière. J’avais déjà eu une bite dans le con ou le cul et une autre dans ma bouche mais jamais deux dans mon entrejambe.
Ils m’ont faite levé. Le copain s’appuyait contre le mur, il me prenait contre lui, me levant pour pouvoir mettre sa bite sur mon cul. Il n’y entrait pas. Mon frère que j’avais devant moi à son tour venait poser sa bite sur mon con. Il me baisait comme tout à l’heure. Il baisait bien. Quand il fut à fond dans mon vagin il se retira légèrement : j’encaissais la bite du copain dans mon cul. Au début c’était plutôt gênant. Et d’un seul coup, je ne sais comment j’ai commencé à ressentir un plaisir plus fort qu’avec une seule bite. Je jouissait comme une folle et ne voulais pas qu’ils arrêtent. Pourtant, hélas, je sentais le sperme des deux hommes en moi. Je ne finissait pas de jouir, même s’ils avaient déjà quitté mes fesses. Je les regardait tout les deux: ils bandaient encore. Mon frère s’est mis en levrette et pour la première fois je le voyais se faire mettre par un autre homme qui le masturbait. Je voyais son sperme gicler sur le drap: il débandait enfin. Son copain sortait également de son cul: il avait débandé. Mon frère me disait c’est la première et la dernière fois que nous baisions ensemble. Je le regrettais, ils étaient à ma porté.