Lorsque la porte s’ouvre, je suis étonné de voir maman avec papy.
Tout le monde s’embrasse et les potins du jour circulent à grande vitesse, chacun raconte ses petites misères, surtout papy sur son séjour à l’hôpital.
— Maman, comment as-tu fait pour nous rendre visite ?
— Ton père est parti pour une semaine en séminaire et pour ne pas rester seule, j’ai décidé de vous rendre une petite visite.
— Mais tu es revenue avec papy.
— En chemin, j’ai appelé l’hôpital et j’ai appris que c’était le jour de sortie de papy, voilà.
— Ça fait plaisir de te voir, maman.
— Merci, mon chéri.
Il est presque l’heure de dîner, nous passons à table, je suis assis à côté de maman, Laure est face à moi, papy et mamy sont en bout de table.
Vers la fin du repas, je sens un frôlement sur ma jambe, je regarde Laure qui me fait un clin d’il, j’avance un peu ma chaise, son pied caresse mon entrejambe, je porte un short, elle a très facile d’atteindre ma bite, son pied masse mes couilles et ma queue, je commence à bander quand papy s’écrie :
— Un verre d’alcool pour fêter mon retour, allez Flore met les verres à table
Papy sert les verres et dit : « Cul sec et on remet ça »
Après quelques verres, tout le monde est un peu ivre.
— Papy, comment allons-nous faire pour dormir ?
— Rémy, tu vas monter au grenier, il y a un matelas, ta grand-mère et moi dans notre chambre, ta maman et Laure dans l’autre chambre et toi sur le matelas à côté du lit, j’espère que ça ira
Après être passé par la salle de bain, je me dirige vers la chambre, la lumière est éteinte, maman et Laure sont couchées, je me couche sur le matelas, enlève mon short, me couvre pour essayer de m’endormir au plus vite.
Un long moment plus tard, je n’arrive pas à m’endormir.
— Rémy, tu dors ?
— Non maman, les cris de mamy et de papy m’en empêchent et en plus j’ai froid.
— J’entends aussi malgré la salle de bain entre les chambres, Rémy, si tu veux je te fais une petite place pour venir te réchauffer
Je me lève pour me glisser dans les draps, maman s’est reculée et s’est mise en chien de fusil, je me colle à elle, elle passe un bras par-dessus pour me serrer contre elle, je sens sa poitrine contre mon dos.
— Mais Rémy, tu ne portes pas de pyjama ?
— Non maman, cela me gêne pour dormir.
Maman passe sa main sur ma poitrine.
— Dit donc, tu es poilu comme ton père.
— Sauf en dessous, je rase mes poils.
— Tu rases tes poils ?
— Ben oui, c’est plus propre
— Moi aussi, je rase mon minou
— Rémy, ça me gêne de te poser cette question, ton zizi est aussi gros que celui de ton père ?
— Je ne sais pas, cela me dérange mais je vais me masturber, tu pourras comparer
Je commence à agiter ma queue, elle durcit et mon excitation monte, maman me caresse la poitrine.
— Ça y est maman, tu peux comparer
Maman saisit ma bite et s’exclame :
— Houlà Rémy, elle est beaucoup plus grosse et plus longue que celle de ton père
— Maman, je vais éjaculer
— Attends, je vais enlever ma chemise de nuit pour que tu jouisses, ne tache pas les draps
Maman se contorsionne pour enlever sa chemise et ensuite entoure ma bite, je jouis tout de suite, maman tiens ma bite en main et continue des vas et viens.
— Maman retourne toi, c’est à mon tour de te réchauffer
Je me colle à maman en laissant mes bras le long du corps.
— J’espère que Laure ne va pas s’éveiller
— Mais non maman, deux somnifères et l’alcool, elle doit dormir comme un loir
— Je vais allumer la lampe de chevet, on verra si elle dort
Enfin je vois les seins de maman, ils sont moyens avec de grandes auréoles brunes et de gros tétons, j’ai envie de les sucer.
— Maman, je vais passer au-dessus de toi pour voir si Laure dort
Lentement, j’enlève la couverture, Laure est seulement vêtue d’un tee-shirt elle ne porte pas de culotte, je caresse sa poitrine, aucune réaction, je descends vers son entrejambe, astique son clitoris, ses jambes s’écartent lentement.
— Rémy, fais attention, si elle se réveille
— Maman aide moi, nous allons écarter ses jambes.
— Rémy, tu ne vas quand même pas la pénétrer
— Maman, aide-moi, elle n’est pas assez mouillée, écarte les lèvres de sa chatte.
— Rémy, je vais faire une bêtise mais tant pis
Maman se retourne, se met à quatre pattes et enfonce ses doigts dans le vagin de Laure, elle écarte sa chatte pour faciliter l’intromission de ma bite.
— Regarde maman
J’enfonce ma bite lentement jusqu’aux couilles, maman enlève ses doigts, saisit ma queue, pose sa tête sur le ventre de Laure, lèche ma bite à chaque fois qu’elle sort de la chatte de Laure.
— Maman, je vais éjaculer.
— Attend, mon chéri, je sais que c’est immoral mais j’ai trop envie, ma chatte est toute mouillée, je vais me retourner et tu vas me baiser, tu m’as fait devenir vicieuse et même salope.
— Non, je ne vais pas te baiser mais te traiter comme une salope, je te baiserais plus tard, sur le dos et écarte tes jambes, j’arrive dans cinq minutes, je descends à la cuisine.
J’enfile mon short et je descends à la cuisine, j’allume la petite ampoule, voilà qui fera l’affaire, un concombre de belle taille, j’entends un bruit, c’est maman qui est descendue, elle est en peignoir.
— Maman, pourquoi es-tu descendue
— Pour savoir ce que tu faisais
— Ça ne va rien changer, allonge-toi sur le divan et enlève ce peignoir, écarte les jambes
— Oh non Rémy, pas le concombre
Je présente le bout du concombre dans l’ouverture du vagin et commence à l’enfoncer, quand tout à coup la lumière jaillit, c’est papy, il est nu comme un ver.
— Alors gamin, tu joues avec ta mère, je me doutais qu’elle était salope, continue je regarde
— Henri, je suis gênée
— Laisse-toi faire, maman, tu vas bien jouir
Papy s’assied sur le bord du divan pour ne pas rater une miette
& A suivre &
