Au bout d’un cours instant et quand le sexe de monsieur fut de nouveau au repos il se levât et partit en me laissant seul dans son bureau.

Avant que la porte se ferme il me dit qu’il m’avait laissé un peignoir sur le divan.

Je le mis, il était en soie blanche très belle mais aussi très court. Il semblait assez féminin.

Nonchalamment je me mis à lire les titres sur les tranches des livres de sa bibliothèque, je n’en connaissais aucun mais ça m’évitait de penser à la situation dans laquelle je me trouvais.

Mais si Ivan avait joui ce n’était pas mon cas et ce n’était pas la soie du peignoir qui atténuait mon excitation.

Après une bonne heure j’entendis monsieur qui mappelait.

" Viens dans la chambre ! "

Guidé par le son de sa voix je trouvais la chambre au fond du petit couloir.

Il m’attendait debout, nu, son torse velu et grisonnant surplombait un corps certes massif mais qui avait un port de prince.

Son sexe était énorme, bandé au dessus de ses grosses couilles.

J’étais très attiré mais j’avais peur.

Oui, j’ai aimé sucer ce sexe mais je n’ai jamais été sodomisé alors vue la taille de lengin, ça donne à réfléchir.

Il me fit m’allonger sur le dos, la tête au bord du lit.

"Tu vas apprendre à me faire des gorges profondes, c’est ce que je préfère, c’est une condition indispensable pour que je m’occupe de toi !"

Debout, il positionnât son sexe au dessus de ma tête ;

"Ouvres bien ta bouche, sors ta langue et lèches mes couilles, allez, ma belle, fais ça bien ! "

J e m’appliquais à lui donner alternativement des grands et petits coups de langue, la position mexcitait, je bandais ferme et ça faisait bien deux heures que j’avais envie de cracher la purée.

Il me pinçait les tétons m’encourageait avec des : " c’est bien ma chérie continues comme ça ! "

Puis il m’a un peu tiré en arrière tant est si bien que ma tête se retrouvait dans le vide, il commençait à introduire son gland entre me lèvres.

Au début j’essayais de respirer par le nez mais plus il essayait de s’enfoncer dans ma gorge plus je sentais la panique menvahir.

En plus je bavais énormément ce qui me bouchait les narines.

Je gigotais désespérément des jambes mais Ivan ne s’arrêtait pas.

Il m’a baisé la bouche, je sentais à chaque fois son sexe buter et puis j’ai senti la voie se libérer et ses couilles venir frotter mon nez.

Monsieur se retirât et je pus enfin respirer, il me gratifiât d’une caresse dans les cheveux et me dit :

" C’était pas mal, je suppose que c’était la première fois ?"

" En tout cas t’as aimé, regardes tu as éjaculé sans te toucher.»

Jacquiesçais, de la tête.

"Mets toi sur le ventre maintenant je vais faire de ton petit cul serré une chatte accueillante ! "

Et sans aucune préparation il se positionnât au dessus de moi, m’écartât les jambes, je sentis son gland se poser sur mon orifice,

Il essayât une première fois mais j’étais tellement crispé qu’il reculât, il me fessât vigoureusement, m’ordonnât de me détendre et de le recevoir mais rien n’y faisait j’avais trop peur et je me mis à pleurer.

Puis il fixât un ultimatum c’était soit je me montrais plus coopératif soit je pouvais partir.

Je suis parti ……..

Dix jours après Ivan m’obsédait toujours mais je ne savais pas comment j’allais être reçu si je le rappelais ou bien que j’essaie de le voir.

J’ai décidé d’aller à sa garçonnière.

L’accueil fut frais, il ne fit qu’un geste celui de m’indiquer la direction de son bureau.

Je me suis engouffré dans l’appartement comme un petit garçon qui doit aller chercher sa punition corporelle.

La porte fermée je reçus une gifle magistrale.

" Cest la dernière fois que je t’ouvre la porte et c’est ta dernière chance aussi, Allez, déshabille toi, je dois te punir pour que tu comprennes.»

Une fois nu, il me fit mettre en position fessé sur ses genoux, je devais le masturber pendant qu’il m’infligeait une véritable raclée.

Il était dur sous mes caresses, ses coups sont devenus des caresses et ses caresses se sont concentrées sur ma rosette.

Il jouait à faire entrer et sortir un doigt, puis à me faire sucer ce même doigt pour le réintroduire un peu plus.

Puis, deux doigts.

Je grimaçais, la sensation n’était pas vraiment celle que jespérais.

Ivan m’a encouragé.

" Allez détends toi tu vas voir tu vas aimer, tu aimes déjà, tu la veux, ma bitte, je vais te l’enfoncer jusqu’aux couilles tu vas hurler de plaisir tu vas devenir un vraie femelle.»

Je ne sais si ce sont ses mots ou ses doigts dans mon intimité mais je sentais une douce chaleur montait en moi.

Je me suis mis naturellement à quatre pattes, mon cul pointé en face de lui attendant loffrande.

Il a forcé au début pour rentrer mais je poussais avec lui, j’avais mal mais plus que ça je voulais sentir son sexe en moi je voulais qu’il me possède.

Il est entré, il était plus doux que la première fois et une fois bien dedans il a commencé de doux et lents mouvements de va et vient.

Je sentais monter la jouissance en moi.

J’entendais monsieur :

" C’est bon ça ! Tu mouilles, tu la sens bien ma grosse bitte, tu aimes ça ?"

Je sentais maintenant ses couilles qui frappaient les miennes, il devenait énergique et bestial, je recevais régulièrement des claques sur les fesses.

Le rythme s’accélérât et je sentis une jouissance fulgurante m’envahir tandis que j’entendais les grognements de plaisir de monsieur qui se vidait en moi.

Ivan s’est immédiatement remis debout devant moi il a présenté son dard imprégné de sécrétions, Je l’ai pris en bouche, comme il aime j’usqu’aux couilles ……..

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