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Mon fils, mon maitre – Chapitre 4




Le lendemain matin, je me demande comment j’ai pu me retrouver dans mon lit. Je suis seule, je regarde l’heure, il est déjà 9h30. Je suis nue, exception faite de mes bas et de mon porte-jarretelles. J’enfile un déshabillé et je me rends au rez-de-chaussée. Je me dirige vers la cuisine où je retrouve Antoine et Sarah qui prennent le petit-déjeuner. Je me glisse entre les deux hauts sièges sur lesquels ils sont assis pour leur dire bonjour.

— Bonjour, mon chéri ! Dis en tendant mes lèvres à mon fils.

— Bonjour, maman ! Me dit-il avant de m’embrasser à pleine bouche.

— Bonjour, Sarah ! Dis-je en me tournant vers ma bonne.

— Bonjour, Madame ! Me répond-elle.

— Pas de Madame quand nous sommes entre nous. C’est Séverine ou Sève dans les conditions que tu connais. Dis-je avant d’approcher mes lèvres des siennes.

— Bonjour, Séverine ! Dit-elle en glissant une main sous mon déshabillé avant de m’embrasser.

Ma main se pose sur le boxer de mon fils et je constate qu’il est en pleine forme. J’interromps le baiser que me donne Sarah et je me tourne vers Antoine pour mettre au grand jour sa belle érection. Je saisis sa belle queue d’une main et j’approche mes lèvres de son gland.

— Mais que fais-tu, maman ? Me demande-t-il, surpris.

— Je prends mon petit-déjeuner, mon chéri ! Lui réponds-je avec un petit sourire malicieux.

— Tu es vraiment devenue une bonne salope assoiffée de queue, maman !!

— La faute à qui ? Dis-je avant de prendre son mandrin en bouche.

Je m’applique à le sucer avec douceur et gourmandise. Mes lèvres descendent de plus en plus bas sur sa tige alors que je le branle doucement d’une main et que mon autre main lui caresse les couilles. Dans mon dos, Sarah n’est pas en reste et sa main est remontée entre mes cuisses pour me caresser la chatte. En sentant un doigt entrée dans ma grotte d’amour, je m’active de plus belle sur la queue de mon fils en gémissant de bonheur. Le traitement que je fais subir à Antoine porte rapidement ses fruits. Lui, si endurant d’ordinaire, ne tarde pas à m’envoyer sa semence au fond de la gorge en de longues saccades. Je garde le précieux liquide dans ma bouche et je me tourne pour l’embrasser. Comme la veille, nous nous partageons le sperme de mon fils dans un profond baiser. Puis, comme si de rien était, je m’installe près d’eux pour prendre un café et des tartines à la confiture. Après le petit-déjeuner, Antoine nous presse car il souhaite partir en balade, nous dit-il. Il nous conseille de prendre un manteau et sans nous poser plus de questions, Sarah et moi nous séparons pour aller nous préparer chacun de notre côté.

Je prends rapidement une douche, enfile bas et porte-jarretelles avant de revêtir l’un de mes tailleurs à jupe courte que j’ai acheté exprès pour mon fils. Je me hisse enfin sur une paire d’escarpins à talons aiguilles avant de descendre rejoindre mon fils au rez-de-chaussée. Il m’attend dans le salon et après m’avoir demandé si je suis prête, il m’entraîne vers l’extérieur. Au passage, je m’empare de mon petit manteau de fourrure dans le hall d’entrée et je le suis sans savoir ce qui m’attend. Il me fait monter à l’arrière de ma luxueuse berline allemande et au passage nous récupérons Sarah devant son petit pavillon qui se trouve à l’entrée de notre propriété. Antoine la fait monter à l’arrière près de moi et il prend la route en disant qu’aujourd’hui il va être notre chauffeur de maître (ou plutôt de maîtresse !). Bien entendu, Sarah et moi ne pouvons nous empêcher de nous câliner sur la banquette arrière pendant que notre chauffeur nous conduit Dieu sait où. Après un temps qui m’a paru trop court tant nous étions occupées Sarah et moi, nous arrivons dans la grande ville voisine située à près de 120 kilomètres de la maison.

Il est déjà 13h et Antoine s’arrête devant les portes d’un grand restaurant où il nous invite à entrer. Nous y sommes fort bien accueillis mais il faut dire que c’est un endroit que je fréquente avec Olivier lorsque nous sommes de passage dans le coin. Après un bon repas gastronomique, mon fils décide de nous emmener flâner en ville dans les rues commerçantes. Sarah et moi prenons du plaisir à faire du lèche-vitrine jusqu’au moment où nous passons devant une boutique de lingerie de luxe. Mon fils me tire à lui et me glisse à l’oreille :

— J’aimerais que vous achetiez de jolies guêpières en prévision de la soirée.

— Une soirée, mais à quoi penses-tu mon chéri ?

— Sève, je veux que tu achètes une guêpière et que tu en offres une à Sarah ! Pour le reste, on verra plus tard, c’est une surprise !! me répond-il sur un ton sec.

— Bien, maître ! Dis-je en baissant les yeux, prenant mon air de soumission.

Nous entrons dans la boutique et une jeune femme d’à peu près 25 ans ne tarde pas à s’occuper de nous. Antoine nous suit de près et n’hésite pas à donner son avis. Il souhaite que nous portions la même guêpière afin que l’on nous prenne pour des surs. Il veut qu’il y ait de la dentelle et que nos poitrines soient soutenues par un balconnet afin que l’on puisse voir nos tétons pointer. La jeune femme qui s’occupe de nous semble un peu déstabilisée et, le rose aux joues, elle présente bon nombre de modèles à mon fils. Elle n’ose plus nous demander notre avis tant Antoine est directif. Il opte enfin pour un modèle en fine dentelle et satin noir qui épouse bien la forme de nos corps et dont le buste ne fait que soutenir nos poitrines. La vendeuse nous accompagne vers les cabines d’essayage et Antoine demande à ce que nous entrions dans la plus vaste pour pouvoir nous voir toutes deux ensemble. Gênée, la vendeuse rebrousse chemin et nous laisse avec notre maître. Une fois que nous avons enfilé nos guêpières, Antoine semble satisfait mais fait appel à la vendeuse pour qu’elle donne son avis.

— Madame, pourriez-vous venir voir et me dire ce que vous en pensez, s’il vous plaît ! Dit-il avec un petit sourire en coin.

— Oui, monsieur, tout de suite. Répond la vendeuse en essayant de dissimuler son trouble.

— Alors, comment les trouvez-vous ? Demande-t-il, fier du trouble qu’il a créé chez la pauvre jeune femme.

— C’est très joli, Monsieur, mais peut-être pourrions-nous ajouter une culotte et des bas ! Répond la jeune femme en retrouvant tout son esprit commerçant.

— J’aimerais effectivement les voir avec le string assorti et de jolis bas en soie noire ! Répond mon fils sans se déstabiliser.

— Je vous apporte tout ça, Monsieur.

— Merci ! Lui répond-il en la regardant s’éloigner.

La jeune femme revient vers nous après quelques minutes et nous tend chacune une paire de bas et un string. Sarah et moi nous empressons d’enfiler les sous-vêtements sous le regard de la vendeuse. Je viens tout juste de me rendre compte que mon fils nous a exhibées la chatte à l’air devant cette jeune femme et que cela ne m’avait même pas effleurée. Elle reste là, immobile à nous regarder nous vêtir et j’ai même l’impression que maintenant elle profite du spectacle. Antoine l’attire contre lui et lui caresse le cul sans vergogne. Il l’attire dans la cabine qui peut contenir largement quatre personnes et referme le rideau derrière eux.

— Alors, elles te plaisent mes deux petites soumises ? Lui demande-t-il à mi-voix.

— Ou… oui, Monsieur !! répond-elle timidement.

— Allez, mes petites chéries !! Dites merci à la dame !! dit mon fils en la poussant doucement entre nous deux.

— Merci, madame !! disons-nous en cur.

Sarah attire la jeune femme à elle et pose ses lèvres sur les siennes. Elle l’enlace alors que je les contourne pour me retrouver dans le dos de la vendeuse. Je glisse mes mains entre les deux corps et je me mets à pétrir la petite poitrine de notre vendeuse alors qu’elle offre maintenant sa langue à Sarah. Cette petite est réceptive et j’ai très envie de lui donner du plaisir. Mes mains quittent sa poitrine et redescendent sur ses hanches. J’attrape le bas de sa jupe et la remonte lentement. Je saisis ensuite la main droite de Sarah et la dirige vers l’entrejambe de notre vendeuse qui se laisse faire et écarte légèrement les jambes pour nous donner l’accès à son sexe. Elle lâche un léger gémissement lorsque les doigts de Sarah trouvent son clitoris à travers la fine étoffe de son string. Je glisse ma main sur ses fesses et j’écarte la fin tissue avant de rejoindre la main de ma bonne sur la chatte de la jeune femme. Nos doigts se rejoignent à l’entrée de sa petite chatte et c’est en harmonie que nous glissons chacune un doigt dans le vagin trempé d’excitation.

Sarah ne lâche pas la bouche de la jeune femme et les gémissements de plus en plus forts de notre proie sont étouffés par la bouche de ma bonne. Nos doigts s’activent de plus en plus vite dans le vagin de la jeune femme et cette dernière ne tarde pas à jouir dans la bouche de Sarah. Nous retirons nos doigts de son vagin et nous lui faisons lécher pour qu’elle goûte à son jus.

— C’est bien mes petites chéries, vous avez bien remercié la dame. J’espère que Madame est satisfaite ? Demande Antoine avant de poser un baiser sur les lèvres de la vendeuse.

— Oui, très satisfaite, Monsieur ! Répond la vendeuse en rajustant sa jupe.

— Je veux que tu retires toutes les étiquettes des vêtements car elles vont les garder sur elle, ma belle !! lance Antoine en lui donnant une petite tape sur les fesses.

— Bien Monsieur ! Répond-elle avant d’aller chercher une paire de ciseaux.

— C’est ma mère qui va régler les achats !! annonce Antoine alors que la jeune femme s’applique à retirer toutes les étiquettes.

— Comme il vous plaira ! Répond-elle en me regardant, stupéfaite.

— Oui, il est mon fils et mon maître et je peux te dire qu’il a une bonne grosse queue qui me fait beaucoup de bien !! Peut-être aimerais-tu y goutter un jour !! lui dis-je à l’oreille pour entrer dans le jeu de mon fils.

— Je… je ne sais pas, Madame !! dit-elle avant de disparaître de la cabine.

Sarah et moi nous rhabillons et nous passons à la caisse. Je m’amuse du trouble que notre dernière conversation a créé chez notre vendeuse et, avant de quitter le magasin, je lui tends ma carte en lui disant de m’appeler si elle a envie de nous revoir. Elle devient rouge pivoine mais je constate que sa main droite est descendue directement vers son pubis. Nous continuons à flâner jusqu’au soir dans les rues de la ville avant de choisir un nouveau restaurant. Antoine semble pressé et nous prenons un repas rapide avant de regagner la voiture. Comme à l’allée, Sarah et moi passons à l’arrière et Antoine nous demande de retirer nos vêtements. Nous nous retrouvons en guêpière, string et bas et il nous demande d’enfiler nos manteaux. Bientôt, nous nous retrouvons devant un club privé dans un quartier plutôt chic de la ville. Le bâtiment est en retrait, à l’abri des regards indiscrets, et la porte massive de l’entrée est éclairée par une lumière tamisée rouge. Mon regard interrogateur interpelle mon fils et il me dit :

— Maman, je connais ce club et ce soir j’ai décidé de vous donner à qui voudra bien. Ne vous en faites pas, ici tous les rapports sont protégés et je souhaite que vous preniez un maximum de plaisir.

— Bien, mon chéri ! Mais on pourrait nous reconnaître !! Dis-je un peu anxieuse.

— Ne t’en fait pas maman, j’ai tout prévu. Nous allons porter ces masques dès que nous aurons franchi cette porte !! me dit-il en me montrant trois masques qui dissimulent le haut du visage.

— Très bien mon chéri !! dis-je avant qu’il ne sonne à la porte.

— Bonsoir Monsieur Antoine ! Dis l’homme démesurément baraqué qui vient d’ouvrir la porte. Apparemment, mon fils est bien plus connu dans ce club qu’il n’a bien voulu me dire.

— Pouvons-nous nous joindre à vous ? Demande mon fils avec aplomb.

— Avec d’aussi jolies créatures, les portes vous sont grandes ouvertes, Monsieur !! lui répond l’homme massivement musclé.

Nous entrons et passons au vestiaire où attend une jolie femme brune aux formes pulpeuses. Sarah et moi lui tendons nos manteaux. Nous nous retrouvons en guêpière, string, bas et escarpin. Antoine nous place nos masques sur le visage avant de passer le sien et il nous entraîne dans un couloir étroit. Nous débouchons dans une grande salle aux lumières tamisées. Au milieu se trouve une piste de danse où des gens encore habillés se trémoussent sur une musique sensuelle. Tout autour de la salle se trouvent des alcôves dotées de canapés spacieux où l’on peut voir des couples s’enlacer. Soudainement, je me sens un peu gênée de me retrouver dans ce genre d’endroit même si la vision de ces couples qui se caressent et se font l’amour fait monter en moi un profond désir. Antoine ne me laisse pas le temps de réfléchir et nous entraîne vers un couloir qui mène à des pièces assez grandes dotées de lit. Il m’explique que c’est l’endroit où les hommes emmènent leur compagne pour les offrir à qui veut. Sarah semble à l’aise et, en voyant mon regard, elle me dit qu’Antoine l’a déjà amenée là à quatre reprises et qu’à chaque fois elle a pris son pied.

Me sentant un peu rassurée par ces paroles, je laisse mon fils m’entraîner dans l’une des pièces et je me laisse aller sur le grand lit qui occupe la pièce. Antoine se déshabille dans un coin de la pièce alors que Sarah plonge déjà son visage entre mes cuisses pour me lécher la chatte après avoir écarté la fine étoffe de mon string. Je commence à gémir alors que deux hommes entrent dans la pièce en demandant la permission de se joindre à nous. Antoine les invite et l’un d’eux vient me présenter sa queue devant la bouche alors que l’autre se place derrière Sarah. Je tends la main et attrape la bite qui se présente à moi. Je le branle doucement avant d’ouvrir la bouche et de le sucer d’abord timidement. C’est la première fois que je suis offerte par mon maître dans un lieu qui m’est inconnu. Il m’a déjà offerte à ses amis mais c’était à la maison, dans un lieu où je me sentais en sécurité. Mon fils a dû sentir mon trouble car il vient me caresser les cheveux pour me rassurer. Il semble être vraiment habitué de cet endroit, cette pensée me rassure et peu à peu je me détends.

Pour que je me mette en confiance, il me donne aussi sa queue à sucer et, très vite, je me mets à pomper les deux queues qui s’offrent à moi. Sarah doit être en train de se faire ramoner la chatte car ses gémissements emplissent la pièce alors qu’elle s’acharne à me bouffer la chatte. Je suis tellement mouillée qu’elle n’a aucun problème à me glisser deux doigts dans la chatte et, à mon tour, je me mets à gémir et suçant alternativement la queue de mon fils et celle de l’inconnu. Nous sommes tous concentrés sur notre acte sexuel lorsque soudain j’entends une voix qu’il me semble connaître.

— Ma femme et moi pouvons-nous nous joindre à vous ?

— Mais, bien entendu ! Répond vivement mon fils.

Je relève rapidement la tête et je n’en crois pas mes yeux. Le couple qui vient d’entrer n’est autre que les anciens propriétaires de notre demeure. Ils ne portent aucun masque et il n’y a aucun doute, ce sont bien eux. Ce sont des amis de mes parents, catholiques convaincus, comment peuvent-ils se retrouver dans un tel endroit. Rapidement je me refais le film de ces deux derniers jours et la découverte de la salle au sous-sol de notre demeure. En fait, les amis de mes parents sont des dépravés. Ils sont plus jeunes que mes parents mais ils ont une bonne soixantaine. Ils sont tous deux nus. Lui mesure dans les 1,80 m, il semble qu’il entretient bien sa musculature et reste très élégant pour son âge. Elle, de son côté mesure dans le 1,70 m et possède encore un corps svelte. Sa poitrine de taille moyenne reste étonnamment ferme mais je soupçonne que la chirurgie esthétique est passée par là. Quoi qu’il en soit et malgré leur âge, ils sont tous deux encore appétissants. Je n’ai pas le temps de laisser mes pensées aller plus avant car l’homme reprend la parole.

— Nous aimerions profiter des charmes de cette jolie personne !! dit-il en me désignant.

— A votre guise, je vous l’offre avec plaisir !! répond mon fils.

Le petit con, il m’offre à des gens que je connais mais comment puis-je le blâmer !! Il ne sait pas qui ils sont et il a l’air d’éprouver tellement de plaisir à m’offrir à des gens qui pourraient être mes parents. Chantal et Philippe sont des amis de longue date de mes parents. Comme eux, ils sont issus de familles bourgeoises de la région et comme eux, ils sont très portés sur la religion. Je les ai vus très souvent chez mes parents jusqu’à ce que je me marie et je les ai perdus de vue jusqu’à ce qu’ils nous proposent, à Olivier et à moi, de racheter leur propriété il y a 15 ans. Nous avons dû nous croiser brièvement deux ou trois fois depuis et voilà que je me retrouve face à eux dans une posture pour le moins inconfortable. Mon maître vient de les inviter à profiter de mes charmes et je ne vais pas pouvoir me dérober. Je me rassure en me disant que je porte un masque et qu’ils ne peuvent pas me reconnaître. L’inconnu que j’étais en train de pomper cède volontiers sa place et s’approche de Sarah pour lui donner sa queue à sucer.

Chantal me tire un peu sur le côté pour que je m’écarte de ma bonne et tout naturellement, elle prend sa place. Son visage plonge entre mes cuisses et sa langue se met très rapidement à faire des merveilles sur ma chatte. Avec une expertise certaine, elle remonte mes cuisses vers mon bassin afin que je lui offre mes orifices en toute impudeur. Dans cette position, Chantal a une vue imprenable sur ma chatte et surtout sur mon petit illet. Je suis encore un peu crispée lorsqu’Antoine me donne de nouveau sa queue à sucer. Je ne me fais pas prier et je le pompe avec vigueur en le branlant d’une main alors que Philippe vient de poser une main sur ma poitrine. Il se penche pour me lécher les seins. Sa langue me caresse les tétons avec habileté et il ne tarde pas à me les sucer et à les mordiller m’arrachant un premier soupir. L’action conjuguée de sa bouche sur mes seins et de celle de sa femme sur ma chatte et mon petit trou me fait rapidement oublier qui me prodigue ces caresses. Je suis redevenue une petite chienne en chaleur soumise qui ne pense qu’à prendre du plaisir sous le regard de son maître.

Philippe me lâche les seins en me donne sa queue à sucer en disant à mon fils :

— Allez vous occuper de ma femme, mon cher ! Je pense qu’elle a très envie de sentir votre queue en elle !

— Avec plaisir, Monsieur !! répond Antoine avant de me laisser à Philippe pour se placer derrière sa femme.

Philippe me prend par les cheveux et relève ma tête vers sa grosse bite. Cet homme est vraiment très bien doté par la nature et mon instinct de salope me pousse immédiatement à ouvrir la bouche. Il me glisse sa grosse queue entre les lèvres et je m’applique à le sucer vigoureusement. Dans cette position un peu inconfortable, je peux voir mon fils agripper les hanches de Chantal et plonger sa queue d’un seul coup dans sa chatte. Elle pousse un grognement de plaisir tout en continuant à me dévorer la chatte. De sa main sur mes cheveux, Philippe impose le rythme de la fellation et sa queue s’enfonce de plus en plus loin dans ma bouche. Je pince un peu plus les lèvres que je ne souhaite pas qu’il aille trop loin. Une bite tout au fond de ma gorge n’est réservé qu’à mon maître et je ne le ferai pas à un autre s’il ne me le demande pas. Philippe a l’air de comprendre mon message car il relâche son emprise sur mes cheveux et me laisse maintenant le sucer à ma guise. Philippe a soudain envie de me prendre et il me fait mettre en levrette face à sa femme.

Nos têtes se retrouvent l’une contre l’autre et Chantal n’a qu’à tourner un peu son visage pour m’embrasser. Elle me tend ses lèvres et j’ouvre les miennes pour laisser passer sa langue inquisitrice dans ma bouche. Nos langues se mêlent dans un balai amoureux au moment où Philippe plonge sa queue bien dure dans ma chatte. Je me mets à gémir de bonheur en offrant encore un peu plus ma bouche à Chantal. Je me cambre lorsque je sens le pouce de Philippe se poser sur ma petite rondelle. Sentant ma réaction, Chantal me demande à voix basse :

— Elle te plaît la queue de mon mari ?

— Hummm, ouiii !! dis-je dans un souffle.

— Tu aimerais l’avoir dans ton cul ?

— Oui mais il va falloir demander à mon maître !! dis-je dans un murmure plein d’espoir.

— Mon mari peut-il enculer votre soumise ? Demande Chantal en se retournant vers Antoine.

— Tout ce qui vous plaira, elle est ici pour se donner devant moi !! répond mon fils en pilonnant un peu plus fort la chatte de Chantal. Monsieur me permettra-t-il de vous enculer ? Demande-t-il en contrepartie.

— Monsieur n’y voit aucun inconvénient ! Il aime me voir me faire défoncer le cul !! répond Chantal avec enthousiasme.

Très rapidement, la queue de Philippe sort de ma chatte et vient remplacer son pouce dans mon cul. Malgré sa bonne taille, il entre très rapidement en moi m’arrachant des gémissements de bonheur. Du coin de l’il, je vois Sarah se faire prendre en double par les deux hommes qui nous avaient rejoints au début. Ses cris de plaisir ne me laissent aucun doute, elle est en train de prendre son pied. Philippe s’est agrippé à mes hanches et il me lime le cul en profondeur.

— Tu es une bonne petite chienne, Séverine ! Me dit Chantal dans un souffle alors que mon fils s’enfonce dans son cul.

— Co… comment m’avez-vous appelée ? Dis-je sans en croire mes oreilles.

— Tu es Séverine, je le sais !! Nous t’avons vu arriver alors que nous nous déshabillons dans le vestiaire. Tu n’as pas pu nous voir car nous étions derrière la glace sans tain qui sépare le hall d’entrée du vestiaire.

— Hummm… depuis le… début… vous savez… hummmm… qui je suis !! réponds-je alors que Philippe me laboure merveilleusement le cul.

— Oui et j’ai vite compris que ton maître n’était autre que ton fils… hummmm… il sait vraiment se servir de sa queue ce petit salaud !!!

— Hummm, oui il est un bon maître qui sait donner du plaisir !! J’aime trop sa grosse bite !! dis-je dans un accès de folie sans plus trop comprendre à qui je m’adresse.

— Je suis sûre que ta mère aimerait en profiter de cette belle queue pendant qu’elle te lèche la chatte !!

— Comment… quoi ? Mais que dites-vous ? Hummm, ouiii c’est bon cette queue dans mon cul… hummm !! Mais pourquoi me dites-vous de pareilles choses ? Hummmm, ouiiii !!! Prenez-moi fort !! Je suis prise entre plaisir et interrogation et mon esprit ne sait plus où aller.

— Imagine la queue de ton père dans ton cul et ta langue sur la chatte de ta mère !! Hummm… ce petit salaud va me faire jouir avec sa grosse bite !! Hummm, ouiiii !! Déchire-moi le cul, prends moi comme une grosse truie !!! Hummmm

o Non… non, ce n’est pas possible !! Ma mère en mourrait !! Hummmm, ouiiii !! Prenez-moi comme une chienne !! Videz vos couilles dans mon cul de salope !! dis-je en regardant Philippe.

Je ne veux plus entendre ce que Chantal a à me dire et je me déchaîne en remuant du bassin pour que mon amant de passage se vide en moi. Pour faire taire ma partenaire, je lui prends la bouche en fermant les yeux et des images me viennent à l’esprit. Mon père est derrière moi en train de me prendre le cul alors que mon fils farcit le cul de sa grand-mère. Je pars dans un violent orgasme qui me laisse pantelante alors que j’entends Chantal crier sa jouissance. Les couples se séparent et je me remets lentement de ma jouissance. Chantal et Philippe nous quittent après nous avoir copieusement embrassés. Je manifeste mon envie de quitter cet endroit auprès d’Antoine. Il voit que quelque chose me préoccupe et n’insiste pas, nous repassons au vestiaire et rejoignons la voiture en silence. Mon fils invite Sarah à monter à l’avant près de lui car il a dû sentir que j’ai besoin d’être seule. Il n’a pas pu entendre notre conversation avec Chantal car tout ce que nous nous sommes dit a été chuchoté à nos oreilles.

Cependant, il a bien vu que quelque chose me préoccupe et il me laisse paisiblement à l’arrière de la voiture. Tout le temps du voyage, je n’ai pas décroché un mot et je m’obstine à regarder vers l’extérieur de la voiture alors qu’il fait nuit noire. Plongée dans mes pensées, c’est tout juste si j’entends la discussion qui va grand train à l’avant de la voiture. Les mots de Chantal me reviennent sans cesse en tête et je me demande ce qu’elle a voulu me faire passer comme message. Non, ce n’est pas possible !! Mes parents ne pourraient faire de telles choses !! Ils sont bien trop vieux jeu et tellement accrochés à leurs valeurs religieuses. Je finis par m’assoupir et je ne me réveille que lorsqu’Antoine dépose Sarah devant chez elle. Il est 3h00 du matin et je ne rêve que d’une bonne douche avant de me mettre au lit. Antoine reste silencieux mais il concède tout de même à passer la nuit avec moi sur ma demande. Après ma douche, je le rejoins nue dans mon lit et je me cale contre lui avant de m’endormir très vite.

Je dors d’un sommeil agité peuplé de rêves où je vois mes parents en action avec Chantal et Philippe dans la pièce du sous-sol de notre demeure. Je me vois attachée nue à ces chaînes qui tombent du plafond et mon père et Philippe me prendre alors que leurs femmes sont en soixante-neuf sur l’immense lit. Je me réveille haletante et la main entre les cuisses, ma petite chatte est toute humide. Antoine n’est plus à côté de moi, je regarde l’heure, il est déjà 11h. Je me lève et enfile un déshabillé avant de descendre au rez-de-chaussée. Je retrouve Antoine dans la cuisine. Il a préparé un copieux petit-déjeuner et m’invite à prendre place après avoir posé un doux baiser sur ma joue. Je m’installe et commence à me nourrir sans dire un mot. Me sentant toujours préoccupée, mon fils rompt le silence.

— quelque chose ne va pas, maman ? Je te sens bizarre depuis la fin de soirée !!

— Non, tout va bien mon chéri ! Lis dis-je en mentant éhontément.

— Je sais que quelque chose ne va pas et j’aimerais que tu m’en parles !! Tu n’as pas aimé notre petite soirée ? Si c’est le cas, cela ne se reproduira pas !! Je ne veux pas te rendre malheureuse !! Me dit-il en me prenant dans ses bras.

— Non, la soirée était très bien mais…

— Mais quoi, maman ?

— Tu sais, ce couple qui est venu nous rejoindre…

— Oui, ils étaient très bien, j’ai beaucoup aimé baiser avec eux !! me répond-il avec enthousiasme.

— Et bien, je… je les connais et ils savent qui je suis !!

— Ce n’est pas possible, nous portions des masques !! me répond-il avec assurance.

— En fait… ils m’ont reconnu avant que je ne mette mon masque. Ce sont les anciens propriétaires de la maison et surtout de bons amis de mes parents. J’ai peur qu’ils ne parlent de notre soirée à mes parents.

— Je ne pense pas que cela arrive, ce club demande une absolue discrétion à ses membres. Ils ne diront rien, je peux te l’assurer !! Me répond mon fils, confiant.

— Seulement, il faut que je te dise que… que Chantal m’a dit des choses étranges !!

— Comme quoi ?

— Et bien… en fait… elle… elle…

— Elle, quoi ?? me demande-t-il, un peu agacé.

— Elle m’a parlé de mes parents pendant que vous nous baisiez, toi et son mari. Elle sait aussi que tu es mon fils et que je suis ta soumise. Elle m’a demandé de m’imaginer la queue de mon père dans mon cul alors que je lèche la chatte de ma mère. Comment a-t-elle pu me raconter des choses pareilles ?

— Je comprends ce qu’elle a voulu te faire passer comme message et je pense qu’il est temps que je te montre certaines choses, maman ! Me dit Antoine en me prenant par la main pour m’entraîner dans le salon.

— Installe-toi, je reviens !! me dit-il avant de disparaître dans l’escalier.

Je ne comprends pas ce qu’il se passe mais, comme Antoine me l’a demandé, je m’installe confortablement dans le canapé. Il ne tarde pas à réapparaître muni de son ordinateur portable. Il le connecte au grand écran du salon avant de se poser près de moi dans le canapé. Il lance une vidéo avec sa souris sans fil. Je découvre des images en noir et blanc où je découvre des images de mes parents dans leur salon. Je découvre avec des yeux exorbités ma mère en train de se faire prendre par le père Louis, curé de la paroisse, alors qu’elle suce avec passion la queue de mon père sur le canapé de leur salon. La vidéo ne dur que quelques minutes mais je ne peux détacher mon regard de ces images. Lorsque les images s’arrêtent, je reste sans voix et Antoine prend la parole.

— Crois-tu encore que tes parents sont aussi pincés du cul que tu ne l’imagines, maman ?

— Mais… mais comment as-tu eu ces images ??

— C’est simple, il m’a suffi de pirater leur réseau se télésurveillance. Quand j’ai découvert ces images, je n’en croyais pas mes yeux et lorsque grand-mère m’a demandé de venir configurer leur nouvel ordinateur portable dernier cri, j’en ai profité pour placer quelques caméras et micros dans le salon. Veux-tu voir ce que j’ai encore à te montrer, maman ?

— Je… je ne suis pas sûre de vouloir en voir davantage ! Dis-je avec un tremblement dans la voix.

Sans prendre en compte ma remarque, Antoine lance la vidéo suivante. Cette fois, elle est en couleur et surtout, il y a du son. Je découvre mes parents assis sur le canapé avec ma sur cadette. Élodie a dix ans de moins que moi et vit encore chez mes parents. Elle a repris les affaires de mon père et n’ayant aucune attache sentimentale elle n’a pas jugé utile de quitter le cocon familial. Je suis l’aînée de la famille et entre ma sur et moi, il y a un frère qui s’est exilé vers les USA où il est directeur commercial dans une grande entreprise. Je regarde la vidéo et je vois que ma sur a la main entre les cuisses largement écartées de ma mère. La jupe de ma mère est largement remontée sur son bassin laissant découvrir ses bas et son porte-jarretelles. Elle gémit doucement alors que les doigts de ma sur s’activent lentement sur son clitoris.

— Oh, ma chérie j’aime tes doigts sur ma chatte !! minaude ma mère.

— Avoue que tu aimerais mieux ceux de Séverine !!

— Hummm, Élodie !! Nous ne devons plus parler de ça !!

— pourquoi ? Il ne fallait pas me dire que vous aviez envie d’elle, tous les deux !!

— Tu as raison, nous aurions pu profiter de ses charmes mais comme nous te l’avons dit, nous n’avons jamais osé.

— Vous auriez dû ! Aujourd’hui je pourrais baiser avec mes parents et ma sur !!

— Notre envie était là mais nous n’avons jamais osé. C’est pour cette raison que nous avons tout fait pour t’attirer dans notre lit dès que tu as été en âge de comprendre les choses du sexe. Tu as été tellement réceptive que nous avons eu beaucoup de regrets de n’avoir pas su attirer Sève vers nos soirées de débauche. Mais nous t’avons et c’est du bonheur de baiser avec toi, ma chérie !! Annonce ma mère avant d’embrasser ma sur à pleine bouche.

— Ne parlons plus de ça ! Ta sur est une sainte nitouche qui ne sait pas ce qu’elle perd !! Nous allons te baiser, ma fille !! déclare mon père en caressant les seins d’Élodie.

Je vois alors ma sur glisser au bas du canapé et passer sa tête entre les jambes de ma mère. Elle commence à lui manger la chatte alors que mon père passe derrière elle, remonte sa petite jupe et plante son dard dans sa petite chatte accueillante. Subjuguée, je regarde ces images sans trop y croire mais ma main s’est glissée sous mon déshabillé et a rejoint la fourche de mes cuisses. Je regarde mes parents et ma sur baiser en me caressant le clitoris. Antoine glisse sa main entre mes cuisses et me plante un doigt dans la chatte. Je lâche un profond soupir, les yeux fixés sur la vidéo. Malgré le malaise que me procurent ces images, je me sens terriblement excitée et je me surprends à ressentir l’envie d’être à la place d’Élodie. Antoine me fait placer en levrette sur le canapé et m’enfile sa grosse queue dans la chatte sans ménagement. Je ne quitte pas la vidéo du regard et je me mets rapidement à gémir en regardant mes parents s’occuper de ma sur.

— Alors, Sève ? Elle te plait ma vidéo de cul ?

— Hummm, oui, maître !!!

— Tu la voudrais où, la queue de ton père ?

— Hummmm, dans mon cul, maître !!

— Tu aimerais que tes parents te baisent ??

— Hummm, j’aimerais redevenir leur petite fille et qu’ils me soumettent à leurs envies !! Je regarde encore la vidéo et je vois ma sur goder ma mère alors que mon père lui défonce le cul.

— Tu aimerais que je te soumette à eux, ma petite chienne ?

— Oui et j’aimerais vous voir aussi soumettre ma mère. Je veux qu’elle soit comme moi avec vous, maître !!

— Tu auras ce que tu veux, ma petite soumise, je te le promets !!

— Hummm, ouiii, maître !!! prenez-moi comme une chienne !! Je veux vous sentir dans mes trous de salope !!

Je continue à regarder la vidéo alors que mon fils s’est accroché à mes hanches et qu’il me pilonne la chatte comme jamais. J’ai envie de sa queue dans mon cul et je glisse mon majeur dans mon petit trou alors qu’il me défonce la chatte avec ardeur. Je gémis de plus en plus fort et, soudain, la vidéo s’arrête. Je ferme alors les yeux et j’imagine mon père derrière moi en train de me labourer la chatte.

— j’ai envie de votre queue dans mon cul, maître !! dis-je à mon fils en gardant les yeux fermés tout en pensant que mon père est juste derrière moi.

— Je vais te la mettre bien profond, ma petite salope !! Me répond Antoine avant de sortir de ma chatte.

Il pose son gland sur ma petite rondelle que j’ai préparée avec mon doigt et d’une simple poussée, il me pénètre, me faisant pousser un cri de surprise. Je ne m’attendais pas à ce qu’il entre d’un coup en moi mais la sensation n’en est que plus jouissive. Je suis sa soumise, son objet sexuel et je ressens un profond bien-être à le sentir me prendre de la sorte. Sa queue se met à coulisser dans mon cul et mes soupirs ne s’arrêtent plus.

— Ouiii, maître !! Encore, défoncez-moi le cul !! Je suis à vous… hummmm !!

— Tu l’aimes ma queue, espèce de petite salope !!

— Hummm… ouiiii !!! Je suis votre chienne !! Jadore votre bite dans mon cul, hummmm !!!

— Je vais te faire jouir et après tu vas me sucer la queue, ma salope de mère !!!

— Ouiii… oui… encore !!! Défoncez-moi !! Oui, j’aime votre grosse bite… Hummmm… ouiiii… !! Et je pars dans une profonde jouissance en pensant que mon père me prend le cul.

Antoine se retire de mon cul et vient me présenter sa queue devant la bouche. Je le gobe comme une morte de faim et le suce avec vigueur alors que le feu brûle encore dans mon ventre, toute étourdie par ma jouissance. Mes lèvres vont et viennent sur sa queue alors qu’il me tient par les cheveux pour imprimer le rythme de la fellation. Il ne tarde pas à jouir tout au fond de ma gorge et je me délecte du sperme abondant qui coule par jet dans ma gorge. J’avale tout avant de lui présenter mes lèvres pour un profond baiser.

Après cette belle séance avec mon fils, je suis allé prendre une douche et je me suis préparée pour le reste de la journée. Sachant qu’Antoine avait demandé à Sarah de venir, je me suis contentée d’un porte-jarretelles et de bas recouverts d’un fin déshabillé transparent. J’ai enfilé mes plus hauts escarpins et je me suis présentée ainsi à mon maître et à notre bonne. Nous avons fait l’amour tout le reste de la journée. A plusieurs reprises, ils m’ont prise à deux et à chaque fois que je fermais les yeux, je me voyais avec mes parents en train de baiser. Toutefois, lors de nos ébats, une image fugace m’est venue. Alors que je fermais les yeux, je me suis imaginé sucer la queue de mon beau-père et ma chatte s’est immédiatement inondée.

A suivre

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