Je connaissais cette fille depuis longtemps, nous avons fait des études ensemble, puis nos routes se sont un peu séparées. Elle s’est mariée, a quitté ma région et a eu deux fils. Puis elle a divorcé, est revenue dans ma ville et vit aujourd’hui avec Mathieu. Ils ont eu ensemble une petite Tania. Mathieu a eu une fille d’un premier mariage.
Je me suis toujours bien entendu avec Sonia, nous pouvions parler de tout et même de nos petits secrets. Sonia n’hésitait pas à me parler de sexe même si je suis un mec.
Son premier fils vit avec son père et le cadet, Grégory, avec elle. Mathieu a la garde alternée de sa fille Léa qui a le même âge que Grégory.
Sonia m’a raconté qu’elle redoutait l’adolescence de son fils. Grégory n’était pas pudique, il pouvait se promener nu dans l’appartement sans aucune gêne. Sonia était un peu embarrassée, elle avait pu remarquer que son fils n’était plus un petit garçon et que la taille de son pénis avait bien changé. Son pyjama ne pouvait souvent pas dissimulé des érections matinales, ce qui le faisait d’ailleurs bien rire.
Léa était au contraire très pudique, s’enfermait dans la salle de bain. Une fois où elle avait oublié de fermer la porte à clé, Sonia l’avait surprise nue au sortir de la douche. Apeurée, elle avait voulu cacher son sexe en mettant les mains devant. Sonia l’avait calmée, lui faisant comprendre qu’elle n’avait pas à avoir honte de son corps qui avait déjà de jolies formes.
Quelques années plus tard, un soir que Mathieu travaillait, Sonia me demanda d’aller boire un verre avec elle puis de se faire un resto. Elle voulait faire un peu de shopping avant. Je l’attendais au bar lorsqu’elle arriva. Elle avait l’air un peu inquiète. Elle avait en effet oublié d’envoyer une lettre urgente. Elle me demanda si cela ne me dérangeait pas de la ramener en voiture chez elle pour récupérer la lettre.
Arrivée chez elle, Sonia ouvrit la porte. La musique était très forte. Elle voulut crier sur son fils et sa belle-fille pour qu’il ou elle baisse le son. Mais pressée, elle prit le courrier qui se trouvait dans le hall et m’invita à me servir un verre en l’attendant. J’étais déjà venu plusieurs fois mangé chez elle en présence de Mathieu et des enfants. Je connaissais donc bien les lieux. Je me dirigeais vers la chambre que Grégory partageait avec Léa. L’autre chambre était réservée à Tania qui était chez la nounou. J’avançais doucement pour les surprendre et leur faire un peu peur. Mais c’est moi qui fut surpris. Grégory et Léa était tous les deux en sous-vêtements, debout l’un en face de l’autre. Ils ne m’avait pas vu et je ne bougeais pas. Je ne comprenais pas ce qui se passait dans cette chambre. Sans dire un mot, Grégory, enleva son slip. Léa le regardait, examina son corps et surtout les parties génitales de son demi-frère. Elle dégrafa lentement son soutien-gorge puis mit ses deux mains devant ses jolis petits seins. De longues minutes passèrent sans un mot ni un mouvement. Puis elle enleva sa petite culotte en coton blanc.
Je n’entendais même plus la musique, j’étais totalement pris par ce petit jeu qui m’amusait. J’étais le voyeur de deux adolescents nus qui se faisaient face et commençaient à explorer le corps de l’autre simultanément, comme un jeu de miroir. Les mains de Grégory caressaient le visage de Léa et elle en faisait autant sur le visage de son demi-frère.
Je reculais un peu pour ne pas être vu et c’est à cet instant que Sonia arriva. J’allais la rejoindre dans le hall d’entrée. Je lui posais un doigt sur sa bouche et lui dit que j’avais quelque chose de surprenant à lui montrer, mais qu’elle ne devait pas dire un mot. Nous nous approchâmes de la chambre des adolescents. Les mains de Grégory étaient posées sur les seins de Léa qu’il caressait doucement. Ils les soupesaient, les entouraient avec précaution. Sonia était bouche bée. Elle découvrait son fils et sa belle-fille nus, se caressant mutuellement. Une fraction de seconde, je crus qu’elle allait hurlé mais aucun son ne sortit de sa bouche. Dans ses yeux, je voyais de la stupéfaction mélangée à la colère. Les jeux de mains des ados continuaient. Grégory était plus entreprenant. Il allait à la découverte du sexe féminin. Ses doigts se perdaient dans la petite toison blonde de Léa puis descendirent un peu plus bas. Il toucha tout doucement les lèvres. Léa se raidit brusquement et eu un léger mouvement de recul. Grégory était déjà en érection. Son sexe avait effectivement une taille appréciable pour son âge mais il était très fin.
Ce spectacle m’excitait de plus en plus. L’attitude de Sonia avait aussi changé. Elle semblait moins tendue et je crus même voir un petit rictus au coin de sa bouche.
Grégory caressait maintenant les lèvres de Léa. Son index montait et descendait tout en la regardant dans les yeux pour voir sa réaction. Comme s’il avait obtenu son consentement, il écarta un peu les lèvres et continua son exploration. Son doigt entra légèrement dans le vagin de Léa puis ressortit immédiatement. Il recommença plusieurs fois et de plus en plus profondément.
Je me retournais vers Sonia et lui demandai au creux de l’oreille si elle était excitée. Elle ne répondit pas mais son sourire me le confirma. Mon sexe réagissait et commençait à être à l’étroit dans mon boxer.
C’était maintenant Léa qui découvrait le sexe de son demi-frère. Ses gestes étaient très maladroits. Elle tenait sa queue timidement par deux doigts et resta ainsi sans bouger. Puis elle continua et saisit cette fois à pleine main ses boules. Grégory lui prit sa main qu’il posa sur son sexe. Il lui montra des mouvements de va-et-vient qu’il avait apparemment l’habitude de faire en se masturbant.
Quel charmant spectacle pour moi ! Sonia aurait dû réagir depuis un moment. En tant que mère, elle aurait dû faire stopper ces jeux dangereux en leur expliquant qu’ils devaient découvrir leur sexualité chacun de leur côté. Mais elle ne disait rien et au contraire je sentais que ça lui plaisait aussi. Elle était devant moi. Je n’avais jamais eu aucun geste équivoque avec elle mais l’excitation me poussa à poser mes mains sur seins, sans aucune réaction de sa part. A travers son pull, je me mis à les malaxer fermement. Elle recula légèrement et vint se frotter à moi.
Léa masturbait toujours Grégory. Elle s’amusait à décalotter le gland avec des mouvements de plus en plus rapides et assurés. Il lui demanda de le sucer. Elle se mit à genoux. Elle passa sa langue sur le gland. Une petite goutte apparut. Elle prit le sexe en bouche sans hésiter. Elle semblait se dévergonder de plus en plus.
J’avais une belle érection et Sonia ondulait ses fesses pour faire encore plus pression. Je déboutonnais son jeans. Ma main descendit vers son pubis. Je frottais ses lèvres par dessus sa culotte. Sonia était vraiment excitée, sa chatte était déjà toute humide. Mon doigt pouvait presque la pénétrer à travers son sous-vêtement.
Grégory tenait la tête de Léa des deux mains, accentuant ainsi la fellation qu’elle était en train de lui prodiguer. Je me fis la réflexion qu’il avait déjà certainement regardé des films X. Il avait tous les muscles du corps contractés. J’avais remarqué qu’il allait rapidement éjaculer. Effectivement, il sortit sa queue de la bouche de Léa et une première giclée de sperme arriva sur la joue de sa demi-soeur, puis une deuxième et une troisième tombèrent sur le parquet. Léa était totalement hébétée. Elle tourna la tête et nous vit.
A suivre…
