Je ne sais pas ce qui m’a pris. Non, non je ne sais pas ! Mais j’ai fini par la publier cette petite annonce sur Internet : « homme prêt à tout, adorant être traité comme une petite pute, cherche partenaires capables de l’humilier et de le prendre par tous les trous ». Dès le premier jour, j’ai obtenu plus de quarante réponses. Une seule a retenu mon attention : « nous habitons à (…) et espérons te donner du bonheur ; viens vers vingt-deux heures à pied entièrement nu sous un unique vêtement et nous te donnerons tout ce que tu souhaites ». Leur domicile est à moins de deux kilomètres du mien. Même nu sous une chemise, je n’aurai pas plus d’une vingtaine de minutes à pied pour les rejoindre. Je suis tenté.

À neuf heures et demie, j’enfile une chemise longue sur mon corps dénudé agréablement parfumé et je prends la route. Le temps est frais mais ce que j’espère au bout du chemin me réchauffe et me mets les sens en éveil. Dès le premier kilomètre mes zones érogènes se réveillent. Je bande à demi, mon cul s’échauffe et ma bouche salive. Mon état d’excitation est visible par ceux que je rencontre. J’ai honte mais, en même temps, je suis ravi de m’exhiber ainsi. Le parcours n’est pas évident. De nombreux bars ouverts jalonnent ma route. J’essaie de me faire le plus discret possible, mais plusieurs consommateurs ne suivent du regard. Le vent soulève par moments ma vêture et dévoile en partie mon intimité. Ma honte et mon plaisir en sont stimulés.

Lorsque j’arrive au port, deux personnes sont occupées à deviser sous un réverbère. Je sonne à l’interphone de la maisonnette de destination. Une voix masculine me répond : « enlève ta chemise et attends qu’on vienne te chercher ». Je m’exécute sous le regard amusé des deux comparses. Ils s’approchent et contemplent mon corps replet. Ils le touchent du bout des doigts et l’émotion me gagne. Mon sexe se redresse et je deviens pivoine. Personne ne vient et mes deux compagnons s’amusent de mon attitude. L’un viole ma bouche d’un doigt habile tandis que l’autre me caresse les fesses et glisse un doigt entre elles. Je me demande si mon hôte ne contemple pas la scène par la caméra de l’interphone. Une main saisit mon sexe et le branle. Je suis mort de honte et d’inquiétude quand soudain la porte s’ouvre et me permet d’accéder à la maison en compagnie de mes deux acolytes.

Le visage hilare de mon hôte me confirme qu’il a suivi la scène. Ils seront donc trois à s’intéresser à mon corps dénudé. Au salon, il m’accompagne du geste pour que je m’installe à quatre pattes sur le canapé. L’un envahit ma bouche de son sexe subrepticement sorti de sa braguette, pendant qu’un autre écarte mes fesses et me lèche avec application la rondelle. Le troisième continue la branlette initiée devant la porte. Ma gorge s’habitue au contact du gland qui ne cesse de la heurter. Mon cul est envahi par un long pénis assez fin qui me surprend alors qu’il entre en moi sans résistance. Le « branleur » s’est agenouillé et entoure mon sexe de sa bouche. Tout mon corps vibre au rythme de mes agresseurs. Je crache ma semence au visage d’un de mes amants alors que je hurle de plaisir d’être ainsi défoncé. Merveilleux, je me sens déjà dans le rôle de la petite pute prête à tous les outrages, ravie et comblée !

Mes abuseurs échangent les rôles et je suis là, cul et bouche béants, le sexe à demi ramolli et les couilles vides. Je connais deux orgasmes de moindre importance et sens mes muscles de plus en plus relâchés. Mes amants se laissent aller dans mes entrailles en comprimant fortement mes hanches. Je sens leur foutre se répandre en moi en jets puissants et rapides. A chaque fois ils me gratifient de noms d’oiseaux dans lesquels « pute » et « salope » font figure de gentillesses. Je les sens tendus, prêts à profiter de mon corps et à soumettre mon esprit.

A peine sortis de moi, ils se vengent de s’être laissés aller à m’aimer physiquement. L’un d’eux se saisit d’un martinet pour punir la « grosse vache lascive ». Un autre s’échine à pincer douloureusement les endroits les plus tendres de mon anatomie. Mes tétons et mon bas-ventre sont ses cibles de prédilection, et il se réjouit de mes petits cris de douleur. Le troisième s’échine à me dilater douloureusement le cul de sa main et réussit à y glisser quatre doigts. Je me tords de douleur, hurle par instants, mais ne peux me retenir de bander à nouveau. Ils le vivent comme une provocation et redoublent d’insultes et de violence. Gagnés par la fatigue, ils finissent par me jeter dans la nuit d’encre du jardin et ferment la porte derrière eux. Je reste ainsi, couché sur le gazon, vaincu, au milieu des fleurs odorantes.

Je m’endors, fourbu, et le temps passe. Une curieuse sensation me réveille faite de fraîcheur et de caresse. J’ouvre l’il et découvre que celui qui m’a ouvert la porte est couché nu auprès de moi dans l’herbe. C’est un grand quinquagénaire au poil brun mâtiné de gris et aux étonnants yeux globuleux d’un bleu délavé. Il me caresse avec une douceur peu commune et me regarde d’un regard protecteur et souriant. Il excite mes tétons, déflore ma bouche de ses doigts, caresse mon cul et mon sexe. Je sens monter une douce tension lorsque ses lèvres prennent possession des miennes. Par instants, sa langue me pénètre et lutte contre la mienne. Je pousse de petits soupirs, me tortille et sens mon sexe se dresser, dur. Je suis prêt à me soumettre à tous ses désirs.

Il glisse son long phallus entre mes lèvres et m’oblige à le sucer en gorge profonde, tandis que ses deux mains pelotent mes fesses et les écartèlent au point que mon cul s’entrouvre. Puis il m’oblige à me coucher sur le dos et plie mes jambes sur la poitrine. Il se régale de me prendre ainsi, « comme une fille », en me susurrant des compliments qui s’adressent généralement à l’autre sexe. Il m’embrasse tendrement et déclenche un doux plaisir par de larges va-et-vient de son sexe dans mon cul. Au sommet du plaisir, je l’entends me susurrer : « je t’aime, chère petite pute !»

Ce moment à été le début d’une longue aventure faite d’instants inoubliables. Il a été pour moi un extraordinaire amant d’une grande tendresse. Seule son habitude de me prêter parfois à ses complices du premier jour m’a amené a subir de nouveaux outrages et de nouvelles humiliations. Mais, juste après, il était là pour me consoler, calmer mes blessures de mille onguents. Par contre, il aime à m’exhiber à tous ses amis de passage. Je pense qu’il est fier de sa conquête et qu’il fait cela pour assouvir mes fantasmes. Lorsque je me donne à l’un d’eux, je sens de la tristesse dans son comportement. Chez lui, je suis interdit de tout vêtement et de toute intimité, même lorsque je sors dans le jardin. Parfois il m’oblige à répondre ainsi à un livreur ou au facteur et se régale de mon malaise mâtiné de plaisir.

Parfois, lorsqu’il passe me prendre au travail, il se fait un plaisir de caresser mes fesses ou mon sexe devant mes collègues, comme dans un rituel de possession. Cela me vaut rapidement une réputation de gay. Plusieurs employés de ma firme se sont risqués à des gestes assez directs. J’ai parfois été dénudé dans la réserve et enculé sans préavis. J’en ai sucé d’autres pour le plaisir de conforter ma réputation. De retour chez mon ami, j’ai eu droit a mille caresses bienveillantes et à de nombreuses attentions. Ma bouche et mon cul se sont épuisés en remerciements émus.

Plusieurs étés nous sommes partis vers les plages coquines les plus connues. Il a aimé me regarder me faire prendre dans mille positions. En hiver, nous fréquentons ensemble des saunas judicieusement choisis ou je peux rencontrer de nombreux partenaires. Grâce à lui, j’ai diversifié mes plaisirs des amours hétéro aux aventures homo. Il me protège et veille qu ’aucune imprudence ne nous expose aux MST. Il a donné de l’élan à ma sexualité en m’incitant à être imaginatif. Il a été pour moi un mentor doublé d’un amoureux.

Conscient de mon exhibitionnisme, il m’a fêté dignement le troisième anniversaire de notre rencontre. Il a invité cinq de mes amants de passage et leur a demandé de réaliser mes fantasmes les plus secrets. Du 69 au missionnaire invert, de la fleur éclatée à l’arc en ciel, des jambes à son cou à la culbute, des variations tête bêche au cavalier à la barre, de la levrette à l’équerre, de la grenouille à la belle endormie…, aucune des positions du Kâma Sûtra ne m’a été épargnée. Toute la soirée, il nous a filmés ; il a enregistré l’image de mon corps nu dégradé par mes amants. J’ai aimé ce moment, joui de mon exhibition et m’y suis épuisé. J’ai aimé le voir garder trace de ces instants étonnants de bonheur. Mais quel n’a pas été mon étonnement lorsque j’ai découvert le film sur Internet dés le lendemain, mon intimité exhibée et mon visage reconnaissable. Merci mon amant, je suis enfin célèbre et cerné d’obsédés qui ne rêvent que de me mettre ! Beau début de carrière pour une petite pute.

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