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Escapade en Ecosse – Chapitre 1




Lavion atterrit en Ecosse, une sourde appréhension menvahit. Une fois encore jai hésité à aller plus loin, et puis quoi, tout ce chemin pour renoncer si facilement ? Et mon sexe qui se raidit dans sa cage trop étroite. Je nai pas trop le choix, jai refermé ce matin le cadenas qui la maintient bien en place. Jai essayé denlever la cage de chasteté de toutes les façons, cest vraiment impossible et en plus douloureux, car elle est garnie de picot qui irrite ma peau sensible.

Jai bien entendu suivi les instructions à la lettre. Je suis toujours parfaitement obéissant. Cela fait maintenant deux jours que je nai plus rien mangé, je nai droit quà boire un litre deau et la moitié de mon urine à chaque fois que je vais me soulager. Hier et ce matin jai pratiqué de longs lavement profonds pour que mes reins soient totalement propres. Jai dû mettre avant dembarquer le plug qui ma été adressé avec la cage de chasteté. Il est vraiment gros, envahissant, mais rond il ne me blesse pas. Cependant je ne pense quà cela en permanence. Depuis ces deux jours de jeune javale également des pilules qui mont été envoyées. Cest une folie car je ne sais pas ce que cest mais je le fais. Jaime obéir. Mais depuis je plane, je suis incroyablement bien, même si je ne dors plus. Je supporte sans doute bien le plug grâce à ces pilules, parce quen temps normal, au bout de quelques minutes je naurais pas pu tenir plus.

Je suis monté dans lavion sans aucun bagage, jai sur moi mes chaussures sans chaussettes, mon jean sans rien en dessous, une chemise, mon passeport et mon billet. Bien sur ma cage de chasteté, mon plug bien vissé, et mon envie démentielle.

Jai croisé ce couple sur un chat bdsm, et la relation a pris en quelques messages. Ils cherchaient à réaliser des folies et ne pouvaient mieux tomber que sur moi. Et jai eu la chance de leur plaire, malgré le fait de ne plus être tout jeune. Ils ont aimé mon corps, mes muscles, ma carrure, mon côté très virile à anéantir. Surtout ils ont aimé que je sois totalement obéissant, ne mette aucune limite, et que je sois déjà très bien éduqué. Je nai rien demandé deux, je sais simplement quElle a 36 ans, et lui 45 ans, et quils semblent très aisés compte tenu dune photo du lieu où je vais, que jai pu voir. Mais pour le reste, je ne me suis pas permis de poser de questions, et comprenant rapidement à qui Ils avaient à faire, Ils ne mont pas permis den poser. Jai simplement reçu un billet davion par email, et les instructions allant avec. Jai dû poser des jours en catastrophes, Ils ne sétaient même pas interrogés sur mes disponibilités. Mais quimporte, je suis un esclave, je suis là pour obéir, et Leur façon de faire ma totalement emballé, cest pour cela que je suis ici maintenant en train de faire la queue à la douane.

Je reçois un sms avec un numéro de parking, cest là que la voiture mattend. Je connais les instructions, et cela mexcite. Je peine un peu à trouver le parking. La voiture est dans un endroit retiré, il y a très peu de monde. Le coffre est ouvert, il est vide ou presque. Je me déshabille sans même prendre garde si je suis seul, cest rapide. Puis je cherche à tâtons dans le coffre, jen retire une cagoule en latex que jenfile difficilement, je ne vois plus rien, je panique un peu avant de trouver les trous pour la respiration. Le bâillon boule trouve rapidement sa place, je le sers très fort comme demandé. Les menottes sont là, cest ma dernière possibilité de reculer. Pourtant je nhésite pas, mon premier poignet est cadenassé, mes mains dans le dos, je galère un peu pour fermer la seconde partie des menottes, me voici sans défense, métant moi-même jeté dans la gueule du loup. Jaime cette folie, cette perte totale de contrôle. Je rentre en aveugle dans le coffre, je ne vois rien. Je sens la ficelle mise à mon intention, je claque le coffre, menfermant dans un silence noir. Je ne sais où je vais, ni avec qui. Et pendant un long moment je me demande même si je vais aller quelque part. Le demi-sommeil qui maccompagne depuis deux jours et ces cachets que je prends de façon très scrupuleuse me rejoint. Jai limpression quil sest écoulé des heures lorsque jentends des talons de femme sapprocher, des voix échanger, deux portes claquer. Un instant de doute, puis le moteur qui démarre, je suis en route vers une semaine denfer.

***

Je navais aucune idée de lheure, je ne voyais de toute façon rien du tout. La douleur dans les bras était très forte, tout comme celle de mon anus distendu. Je me demandais sil resterait ainsi toujours béant, en ignorant que mes tortionnaires iraient beaucoup plus loin encore dans la béance de ma chatte comme ils lappelaient.

La voiture sarrêta après des bruits de graviers, les portes souvrirent, le silence menvahit à nouveau, le temps recommença sa course folle. Puis jentendis le coffre souvrir, deux bras forts maidèrent à mextirper, je flageolais sur mes jambes, les pieds cisaillés par le gravier coupant. Un large collier que je devinais en métal fut serré à mon cou. Il était ajusté, je comprenais les dimensions qui mavaient été demandées : il était fortement serré en pressant un peu mes carotides, mais pas assez pour métrangler. Mais la sensation était paniquante, je respirais pour garder le contrôle. Un clic et lengin fut verrouillé. Une chaine y était accrochée, et la traction quune main que je ne connaissais pas créa, me fit partir vers lavant. Je suivais tant bien que mal le chemin qui métait montré, aucun mot navait été prononcé (moi je ne pouvais pas avec mon bâillon dans lequel je bavais très fortement), je ne voyais rien, ma tête tournait, javais envie de pleurer, de me lover dans ces bras réconfortants. Ce nétait pourtant pas le programme.

Après avoir monté des escaliers en pierre, être entré dans la demeure, nous étions montés à létage, avec des tapis qui recouvrait les dalles froides qui apaisaient les brûlures de mes pieds. Jentendis une lourde porte souvrir et toujours suivant aveuglément la tension de la chaîne que ma Maitresse tenait (javais repéré quil sagissait dElle au martèlement de Ses talons), nous entrâmes dans ce quil me semble une grande pièce. Sans ménagement je fus courbé sur une sorte de cheval darçon, me forçant à me plier, me mettant sur la pointe des pieds. Mes chevilles furent attachées solidement à la base, puis ce fut le tour de mes poignets, très écartés, et la chaine de mon collier fut également fortement tirée, minterdisant de relever ma tête dun seul centimètre. De toute façon je ne voyais rien. Jétais ainsi le cul exposé, sans doute ridicule avec la base rouge du plug émergeant de mes fesses, et mon pauvre sexe encagé pendant inutilement. Ma tête tournait, jentendais des glissements, je ne pouvais absolument plus rien faire.

Jentendis la voix de ma Maitresse pour la première fois, complimentant Maitre sur Son choix, et se délectant de me faire souffrir ainsi sans fin. Puis leurs échanges me glaça le dos. Jentendis Maitre expliquer à Maitresse quil disposait de toutes mes coordonnées, et que Lundi Elle appèlerait son employeur, en se faisant passer pour ma mère, indiquant que jétais décédé dans un accident de moto. A mes parents ils avaient envoyé un texto de ma part indiquant que je partais quelques semaines en maison de repos suite à un surmenage et que les visites métaient interdites. Dans quelques jours Maitre irait à mon domicile pour tout fermer, et envoyer une résiliation de mon loyer à mon bâilleur, il cita le nom, le montant de mon loyer, ainsi que nombre de détails que je navais jamais fourni. Jétais pétrifié de terreur. Elle conclut avec une voix pleine de perversion et de joie contenue que personne ne savait que jétais ici, personne ne mavait vu monter dans leur voiture, et que ma disparition resterait un mystère comme bien dautres. Se tournant clairement vers moi Elle me parla :

« Nous allons te dresser à être Mon parfait esclave. Tant que tu te comporteras comme nous lattendons tout ira bien. Sinon il ten coutera gravement, sachant que nous avons le droit de vie et de mort maintenant sur toi. Souviens-toi de ce que tu nous as écrit sur tes désirs. Nous toffrons daller bien au-delà, ceci étant tu nes plus en position de donner ton avis. Tu as cru que cétait un jeu, cela lest mais pour nous seulement, pour toi Cest bien autre chose. Tu vas découvrir progressivement ce que nous avons envie de faire de toi, et je suis sûre quà larrivée cela va te plaire. »

Et Elle se mit à rire, tandis que je gémissais dans mon bâillon. Je les entendis se caresser et commencer à faire lamour, lorsquElle linterrompit, lui demandant de corser un peu lenvironnement sonore. Evidemment je ne compris pas que ce serait à mon détriment. Maitre ôta mon plug délicatement me faisant pousser un soupir de soulagement. Je Le sentis me nettoyer lanus très sensible dune serviette, avant de me le tartiner dun gel épais. Mon repos ne serait que très court. Lorsque je sentis le contact de lobjet, je me mis à paniquer, il était dur, très épais, jamais il ne passerait. Il s’agissait dun cylindre en bois ou autre, très dur, et dune épaisseur que je navais jamais avalée ou presque. Maitresse me rappela que je Lui avait dit un jour dans nos échanges avoir pris un god de 8 centimètres mais que je ne lavais supporté que quelques instants. Cétait cette taille que Maitre enfonçait maintenant inexorablement dans mon cul déjà maltraité. Je hurlais dans mon bâillon, sans pouvoir bouger ni me défendre. Maitre retira un instant lengin, me permettant de respirer un peu. Jaurais voulu les supplier, mais je ne pouvais rien faire, rien dire, tandis que lengin revenait déjà me fendre en deux. La douleur était intolérable, jattendais le renflement du plug pour être un peu soulagé, mais celui-ci ne vint pas : il sagissait dun cylindre qui était maintenu par une ceinture qui me fut fixée très serrée à la taille, le maintenant en place sans aucun soulagement. Je mimaginais dans ma position indécente, avec un pieu en bois de 8 centimètre sortant du fondement, hurlant comme un dément. Ils reprirent leurs ébats, Maitresse terriblement excitée par mes cris et mes hurlements, je lentendis jouir plusieurs fois. Je navais plus de voix. Jétais à peine arrivé que jétais déjà détruit, et terrorisé de ce qui mattendait. Cette fois-ci jétais allé trop loin dans la prise de risque.

Je nentendis plus de bruit, Ils semblaient sêtre endormis, oubliant leur chose horriblement dilatée. Jaurais voulu comme Eux dormir, mais cela métait impossible, je pleurais dans ma cagoule de latex.

***

Combien de temps sétait-il passé ? Impossible de le savoir. Jaurais cru que la douleur sapaiserait, mais elle était au contraire de plus en plus présente, délirante. Jentendis des mouvements derrière moi, les lanières de mes poignets et de mes chevilles furent retirer sans un mot, ma chaine détachée. Jétais courbaturé. Une tension sur la chaîne me fit comprendre que je devais me mettre à 4 pattes. Maitresse menleva mon bâillon, ma bouche resta ouverte, incapable de la refermer. Je lentendis me dire quà force de porter des bâillon de plus en plus larges, mes muscles sadapteront et que je resterais ainsi la bouche définitivement ouverte. Jappris quavec laide dun chirurgien, jaurais de petites cales au fond des dents pour bien bloquer cette mâchoire devenue ainsi inutile. Elle ne le vit pas, mais je pleurais sur mon sort, tandis que leffet des médicaments rendirt mon sexe terriblement dur dans sa cage dacier. Maitresse rit en sen apercevant et mappris que ma cage serait recouverte de pointes acérées à lavenir. Ma bouche était sèche, je sentis une chaleur sapprocher de mes lèvres, et je devinais rapidement de quoi il sagissait. Cela me fit leffet dune douceur incroyable tandis que le jet chaud se mit à me couler dans la gorge. Javalais à toute vitesse, me désaltérant avec joie. Maitresse mindiqua que je naurais plus jamais aucun autre liquide que leur champagne à Elle et à Maitre, sauf bien sur lurine dautres animaux. Je ne savais comment interpréter cette restriction. Lurine me réchauffa le cur, où en étais-je pour être dans cette abjection. Obéissant, je léchais doucement le sexe de Maitresse pour bien la sécher. Elle se retourna et je compris sans peine ce que je devais faire. Je sortis le plus possible ma langue et la léchais profondément. Etait-ce exprès, Elle était très sale, et le goût amer remplit rapidement ma bouche. Je me dis quil ne fallait surtout pas quElle saperçoive de mon dégout et je léchais avec application, rendant bientôt son cul tout propre. Puis ce fut au tour de son sexe qui débordait du sperme de Maitre. Je me sentis flatté de pouvoir ainsi la nettoyer et cest avec joie que javala le sperme de Maitre. Maitresse sen rendit compte et me traite de bonne chienne. Tout ce temps mavait détourné de ma souffrance, et alors que jallais supplier, je Lentendis me dire, sans doute avec prémonition, que je navais aucun droit à la parole. En aucune occasion. Quau premier mot Elle me couperait à vif une couille, et à récidive je serais eunuque. Je sus quElle était très sérieuse, et meffondra un peu plus. Je nétais plus rien, jétais perdu.

Sadiquement elle enfonça encore plus le pieu en moi, serrant la large ceinture au maximum, mon ventre était coupé en deux. Et pourtant mon sexe était si dur, malgré moi. Mais Elle rit de constater que cela me plaisait et que je nallais pas cesser davoir plein de plaisir ces mois qui venaient. Le dressage commencerait Lundi me promit Elle, en attendant je devais profiter de tous les plaisirs. Je ne voyais pas très bien de quels plaisirs Elle parlait, mais Elle se moquait de moi.

Maitre Lui demanda si Elle était satisfaite de moi, et je fus terrorisé dentendre quElle préférait le précédent qui pourtant navait pas convenu. Quétait-il donc devenu ? Prémonition encore, Maitresse semblait lire mes pensées, Elle mapprit quil navait pas été un très bon esclave, et quaprès avoir été opéré en lui remplaçant son sexe par un vagin, quil avait été envoyé dans un bordel pour routiers en Argentine. Je nen croyais pas un mot, mais toujours me devinant, Elle mindiqua que dans quelques jours quand jaurais droit de recouvrir la vue, Elle me montrerait les vidéos de lopération et des vidéos de sa situation actuelle. A Son ton, je savais quElle ne mentait pas, mais jétais surtout préoccupé de ne pas pouvoir voir avant quelques jours mavait-Elle dit.

Mes bras furent retournés dans le dos, par Maitre, qui me les tordit très fort jusquà ce que mes coudes se touchent. Je ne pensais pas cela possible, je criais de douleur tandis quune sangle les maintint dans cette position particulièrement inconfortable. Maitre me dit de me calmer, tandis quil enfonçait dans la bouche distendue un très large anneau la maintenant totalement béante, lanneau étant de fort diamètre, je retrouvais la douleur qui mavait quittée quelques instants plus tôt. Mis à genoux, je sentis le sexe de Maitre pénétrer ma gorge. Il nétait rien que je puisse faire, et jétais frustré de ne pouvoir le lécher comme jaurais aimé le faire. Maitre mutilisait comme une poupée, me coupant régulièrement lair, et me tenant par mes oreilles. Maitresse se moquait de la chienne que jétais et demandait à Maitre ce quIl pensait de son vagin artificiel. Maitre appréciait que je cherche à le lécher de toutes les façons, et je crois que cette fois-ci je marquais des points. Je sentis son sexe grossir encore un peu plus, mais lanneau était vraiment large et malgré la taille de Son engin, Maitre circulait facilement dans ma bouche. Il jouit doucement, assez peu, ayant déjà rempli le sexe de Maitresse de son jus épais. A peine fut Il reposé, quà Son tour Il mutilisait comme toilettes, je le bus à gorge déployée pour ne pas en perdre une goutte, jétais certain sinon dêtre puni. De toute façon je le serai mais je voulais leur faire plaisir au maximum, cétait devenu pour moi une clause de survie. Maitre fut satisfait, et jappris avec soulagement que dans le cas contraire jaurais reçu le god de taille supérieur. Mais ce nétait que partie remise. Peu importait, déjà je ne pouvais pas supporter cet engin au fond de moi. Maitre me fit avaler deux cachets, sans que je sache de quoi il sagissait, mais très vite la tête me tournait, je perdais le sens de la réalité. La chaine de mon collier fut attachée à un treuil, puis tirée vers le haut, jusquà ce que je ne touche le sol quavec la pointe des pieds en équilibre. La douleur dans la nuque était terrible, et le sang battait à mes tempes. Je grognais des mots incompréhensibles attisant le rire de Maitresse. Elle mindiqua que je ne pouvais le voir, mais quElle faisait des photos de moi, et que jaurais beaucoup de succès avec ma page slavebook. Bien sûr pour linstant avec ma cagoule je nétais pas reconnaissable, mais Elle avait mis les photos de moi que je lui avais envoyées. Ainsi je pourrais avoir de nombreux fan qui me suivront. Je savais quil sagissait dun site de présentation desclave, mais pour moi cela avait tout du fake, je ny avais jamais vraiment cru, même si cela avait nourri de nombreuses nuits de fantasmes. Et dun coup dun seul, jétais au centre. Javais bien sur rêvé de cela, mais de là à le vivre, jamais je naurais osé. Et là je navais plus le choix.

Je sentis le coup avant dentendre le bruit bien reconnaissable de la badine. Le cri que je poussais était pitoyable. Javais le ventre coupé en deux. Déjà un second, puis un troisième coup, Ils se mettaient à deux pour me marquer. Je ne pouvais pas bouger au risque de métrangler, et je cessais rapidement de lutter contre la souffrance, je ne pouvais rien y faire, aussi, porté par les opiacés qui mavaient été donnés, je me suis mis à accepter, à désirer cette souffrance. Javais une terrible envie de me caresser, mon sexe cadenassé bondissait en dehors de sa cage. Certains coups me faisaient plus bondir que dautres, mais cette féerie dura un temps infini. Seul mon dos, protégé par mes bras, fut épargné. Le constatant, Maitre me détacha les bras pour les passer devant, et Ils se mirent à marquer aussi mon dos. Je comptais 120 coups, en pleine euphorie sans doute mélange des endorphines du corps et des opiacés. Maitresse apprécia mon érection, en fit la remarque à Maitre. Ils discutèrent longuement sil fallait ou pas me couper le sexe, jécoutais hébété de douleur, de plaisir, de désir, sans plus réagir.

Maitresse me demanda si javais envie de continuer les coups. Je savais quil fallait répondre oui, et de toute façon jen avais profondément envie. Ma réponse la satisfit, et les coups retombèrent sur tout le corps. Avec une cravache, Elle visa mes couilles, frappant devant plus fort et riant de mes cris et de mes bonds inutiles. Elle mintima lordre de ne plus bouger, et jobéis malgré les terribles souffrances. A nouveau Elle me demande si javais envie de continuer, et sans cesse je dis oui. Je voulais tout Lui donner, je navais plus de limite. Je mévanouis, totalement ivre démotions.

***

Revenu à moi par quelques claques violentes sur le visage, je fus détaché pour être installé sur un meuble bas en bois : mon torse et ma tête reposaient sur le dessus, tandis que jétais à genoux par terre, maintenu dans une position en levrette. Mes bras furent attachés dans le dos, par une sangle réunissant mes deux coudes, tandis quune large ceinture serrée très fort, maintenait mon dos au meuble qui devait être fixé au sol car il ne bougeait pas du tout. Jétais forcé de creuser mes reins tant la ceinture rentrait dans mes chairs. Mes genoux furent attachés à la base du meuble, bien écartés, la position était très inconfortable. Mon esprit était totalement embrouillé, je flottais dans une sorte divresse.

Un léger clic mindiqua louverture du cadenas de ma cage, libérant ainsi mon sexe qi se mit à bander immédiatement. Maitresse me dit de bien en profiter et à son ton, je compris que jallais souffrir de là. Me terrifiant, Elle me dit navoir pas encore pris la décision de savoir ce quIls allaient en faire, même si je ne devais pas avoir trop despoir, car Elle adorait débiter un pénis en rondelles. Mais en attendant, il Leur permettait de bien me faire souffrir. Joignant le geste à la parole, je sentis une main gantée saisir mon sexe, le tirant sans ménagement. Il fut plongé dans une eau glacé, me faisant sursauter, et le faisant se recroqueviller. Une fois séché, je sentis un anneau coulisser et se positionner à la base du prépuce. Puis, une à une, 6 points furent visser pour le maintenir en place. La sensation nétait pas désagréable au début, mais une fois les 6 points bien en place, Maitresse refit un tour de vis supplémentaire pour chacune, les enfonçant profondément dans mes chairs délicates. Je pleurais mais sans lapitoyer. Elle discuta avec Maitre de lopportunité dun second tour, et ils décidèrent que oui. La souffrance fut atroce, les vis pénétraient profondément dans mon sexe et comme le fit remarquer Maitresse, se touchaient presque deux à deux au travers de ma chair maltraitée. Mais je navais encore rien vu : pour samuser Maitresse samusa à me caresser doucement les couilles et le sexe, et les cachets aidant, je sentis une érection monter inexorablement, faisant gonfler mon sexe et mon prépuce, provoquant une douleur insupportable. Je hurlais malgré mon bâillon que javais gardé, essayant maladroitement de calmer mon érection. Maitresse me dit se caresser en même temps quElle me faisait bander, jouissant de mes cris et de mes souffrances. Je la sentis jouir tandis quElle tirait fortement sur mon sexe, marrachant des cris dagonie. Je ne doutais plus quElle me découperait le sexe en morceau, rien que pour Se faire jouir.

Maitre pris sa place et mexpliqua quil allait soccuper de mes couilles et de mon cul. Pourtant celui-ci était monstrueusement distendu depuis des heures, je ne pensais pas quil était possible den faire plus. Il prit une fine cordelette, la nouant à la base des couilles puis la faisant passer entre les deux pour bien les séparer. Il disposait maintenant de deux grosses noisettes avec la peau très tendue. Il rit à mes sursauts tandis quIl les pressait mais ce nétait quun apéritif. Avec dextérité Il empaqueta chacune des couilles comme un rôti avec une cordelette coupant chacune des couilles en 4 morceaux, créant une tension intolérable dessus. La douleur me fit oublier toutes les autres, je cru quelles allaient éclater. Ils décidèrent du poids à appliquer, et je cru quIls bluffaient en mannonçant sêtre décidé sur 5 kg suspendus aux cordelettes pour chaque couilles. Soit jétais un bon sujet et je les supportais, soit ce nétait pas le cas et les couilles se détacheraient et cela naurait aucune importance, je serais jeté dans une décharge publique. Je pleurais doucement, je ne pouvais rien faire, Ils ne plaisantaient pas du tout, je le savais à leur férocité. Je retrouvais les scenarios que javais écrits et que je leur avais envoyés, mais cétait des rêveries. Mes rêves étaient des cauchemars.

La tension du poids sur la première couille me révulsa, je cru perdre connaissance mais hélas il nen fut rien. Je tremblais de tous mes membres, attendant la seconde tension qui fut encore plus douloureuse. Je rêvais à cet instant que mes couilles se détachent, nimporte quoi, mais que cela cesse. Evidemment cela ne cessa pas.

Je sentis à peine la ceinture maintenant le pieu monstrueux en moi se défaire, ni celui-ci sortir de mon trou définitivement béant. Je ne remarquais rien, perdu dans une fièvre de douleur. Maitre installa une fuck machine très puissante bien en face de mon trou, et y fixa le pieu après lavoir bien huilé. Il vérifia le bon alignement et lança le moteur pneumatique de la machine. Je sentis alors mon fondement se faire envahir profondément, jusquà ce que le pieu cogne au fond, puis déjà se vider, comme aspiré. Progressivement la vitesse augmenta, mais la profondeur resta la même, je me faisais défoncer alors que mon cul était déjà tout cassé et brisé par ces heures de dilatation. Je ne savais plus où javais le plus mal, dautant que mon sexe fut attaché à la machine, et étiré à chaque fois que le god sortait de mon cul, enfonçant sadiquement les pointes dans mon prépuce déchiré.

Maitre vint se poster devant moi, me forçant à relever la tête, il murina longuement, sans que je ne perde une seule goutte, bien conscient que je jouais là ma vie. Dautant que javais très soif à force de crier. Jétais faible, violenté de toutes les façons, et je ne pensais quà le satisfaire en buvant tout. La tête me tournait, sans doute du jeûne, mais aussi des drogues quIls mavaient données. Maitresse défit le bâillon anneau que je portais, me soulageant à peine puisque mes muscles étaient tétanisés. En prenant son temps, Elle menfonça un bâillon en forme de sexe, qui alla au-delà de ma glotte et senfonça dans ma gorge. Je devais me concentrer pour respirer correctement par le nez, la sensation était paniquante. Il fallut à nouveau serrer fort le bâillon autour ma nuque, je ne savais plus à quel tourment me consacrer. Maitresse me susurra dans loreille, sous ma cagoule dégoulinante de sueur quIls viendraient voir dans quel état jétais dans 12 heures, pour me libérer au plus tôt dans 24 heures. Je ne pouvais rien répondre à cela, juste menfoncer dans ma solitude masochiste.

***

Javais tenu les 24 heures, mais je ne savais pas comment et surtout ne men rappelait absolument pas. Je me réveillais dans une cave sans lumière, allongé sur un lit en pierre, et sans surprise, totalement entravé. Je sentais à peine mon corps, flottant dans les vapeurs opiacés, rempli de ce bonheur dêtre en vie. Certainement pas sauvé, mais en vie. Jétais ivre damour pour mes tortionnaires, rien quà Leur pensée je sentais mon sexe sériger. Hélas laffreux anneau était encore là et la souffrance procurée toujours aussi terrible. Mais cette fois-ci je la reçu pleinement, ne cherchant pas à calmer lérection, mais au contraire à la nourrir pour éprouver ma souffrance, Leur offrir cette souffrance.

Après un temps que je naurais pu évaluer, Maitresse apparu, sans un mot. Je baissais simplement les yeux pour La saluer, ne pouvant rien faire dautre. Elle me libéra les mains, les pieds, me fit me redresser, difficilement. Jétais assis sur ma couche dur, et Elle me fit boire un biberon remplit dun liquide que je naurais pu qualifier, dense, nourrissant. Jappris que jaurais dorénavant droit à un tel biberon par jour. Ce qui me permit de compter le nombre de jours où je resta dans cette cave totalement noire. Une fois rassasié, je ne pu résister et me jetais à Ses pieds pour les Lui embrasser longuement. Je restais ainsi longtemps plein de bonheur, malgré la souffrance terrible de mon sexe gonflé, percé par les pointes sadiques, mais je nen avais cure. Jamais je ne métais senti plus à ma place quà cet instant.

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