Linvitation
Cette histoire est née suite à la parution sur le forum dXstory dun appel au secours de notre amie et auteur Lesborder. Elle nous apprend quune des ces amies voudrait sexhiber, mais ne sait ni où, ni comment faire. Tu parles dune amie ! Je lui réponds : « Oh, cocotte, tu nous prends pour des lapins de six semaines ! Cest pour vous. » Elle finit par mavouer queffectivement cest pour elles.
Jai oublié de me présenter : je suis Pikatchu Pat, dans lintimité vous savez, le Pokémon jaune, le Zorro qui vole au secours de la belle Lesborder quand elle est en détresse ; il paraît même quil en serait amoureux. Enfin, plus maintenant car Miss_S sen charge. Je suis aussi R2PikatchuD2 qui tient la chandelle quand ces deux coquines se tapent la belle Erika alors que son bel Italien Antonio roupille comme ça dun coup Tu parles ! Elles lui ont foutu un somnifère dans son apéro pour être tranquilles, vous ne croyez pas ? Car je peux vous dire que si javais été à sa place avec trois belles donzelles, je naurai pas dormi.
Que dire sur moi ? Rien de plus que ce que jai dit dans lhistoire de Dame Erika. Je résume ; jai la trentaine, je joue au rugby (pilier), donc un peu baraqué : 120 kg, 1,80 m, et de Marseille.
Jai une copine : Julie, que jadore. Blonde aux yeux bleus, de taille moyenne, une belle paire de seins que jadore tripoter et malaxer ; ça leur donne du tonus (enfin, il paraît), et en plus elle aime ça. À lissue de la recopie de lhistoire de Dame Erika elle sest mise dans la peau de lhéroïne de ce texte et voudrait vivre ce qui sest passé dans ce récit. Si ça peut lui faire plaisir, pourquoi ne pas essayer de reproduire les scènes de cette histoire, du moment que personne nessaie de me la piquer (je suis un peu jaloux) ? Si elle veut faire ça avec des filles, ça ne me dérange, pas bien au contraire : jaimerais bien assister à ce genre de spectacle ; trois filles en train de se gouiner, ça doit être assez bandant
Pour en revenir à nos moutons, Lesborder (enfin, Élodie de son vrai nom) mavoue par mail (nous échangeons de temps en temps) quelle a fait une boulette, ce que confirme Miss_S (Tatiana, son amoureuse). Comme Julie aime lexhib et connaît bien le sujet, il me vient une idée : si on arrive à les faire venir pour les vacances, Julie pourrait les initier à lexhib et elles pourraient soccuper de Julie. Je mimagine rentrer du boulot, et dans le jardin trois nanas en train de se faire bronzer à poil Ce serait le top !
Jen parle à ma chérie. Sa réaction est immédiate : elle saute de joie et me saute dessus.
Après avoir fait lamour comme des fous, nous décidons de les contacter. Comme je bosse pas mal, cest Julie qui va se charger de linvitation et de nous raconter cette histoire ; je lui passe la plume.
JULIE
Je me présente : Julie, toujours de bonne humeur sauf quand on me cherche, rieuse, jolie blonde aux yeux bleus, de taille moyenne. Mes seins ? Bien ronds, et qui se tiennent bien avec mon 85C ; jai toujours les tétons qui pointent. Je ne sais pas pourquoi, mais cest ainsi. Après, je ne suis pas trop farouche : jaime bien ne rien mettre dessous une robe ou une jupe.
Pat ma laissé quartier libre pour attirer les filles chez nous. Après un innombrable échange de mails avec Élodie sur leur désir dexhibition et aussi sur mes envies de découverte, elle minforme devoir en parler avec Tatiana et aussi savoir comment faire. Moi, jai mon idée.
Un matin au réveil, à lheure du petit câlin traditionnel.
Alors, mon chéri, tu as bien dormi ?
Oui, et toi ? Je suppose que tu as fait de beaux rêves.
Oui, très beaux si te veux savoir, et même…
Oh, ma douce, pas besoin de me le dire ; je men doute. Au sujet dhier au soir ?
Je ne peux répondre quun petit « oui » tendre et amoureux.
Eh bien, appelle les filles et tu seras fixée.
Comme dit le dicton : « Il faut battre le fer tant quil est chaud ! » Je prends mon téléphone, cherche dans le répertoire : Élodie et Tatiana. OK – appel – il compose – sonnerie Cest long, très long
Allô !
Allô, Élodie, cest Julie. Ça va ?
Oui, ça va très bien. Que veux-tu à cette heure si matinale ? Rien de grave au moins ?
Non, non cest que je voudrais vous demander un truc.
Oh ! Vu le ton, cest important. Vas-y, explique.
Cest au sujet de nos mails. Tu te souviens, on avait dit que
Ah oui. Tu voulais quon fasse des trucs, cest ça ?
Oui mais si vous ne voulez pas, tant pis.
Écoute, jen parle sérieusement avec Tatiana et je te rappelle ou je tenvoie un texto. Daccord ?
Daccord, à tout à lheure.
Trop tard, Élodie a raccroché. Je suis fébrile ; vont-elles accepter ? Je suis jeune, pleine de vie, et de plus en plus gourmande de sexe. Je veux vivre plein dexpériences différentes.
Les heures passent, interminables, puis mon téléphone sonne enfin. Un message dÉlodie. Je louvre et je lis : « Coucou, Julie, lidée nous plaît beaucoup. Nous sommes daccord sur le principe, mais il y aura des conditions ; il faut que lon se voie. Rappelle-moi à midi. Gros bisous à vous deux. »
Ces quelques mots me remplissent de joie. Je saute comme une puce ! Elles sont daccord, oui, mais quand ? Maintenant je suis en congé, et Pat dans une semaine : je pourrai être seule avec elles, et après avec Pat nous pourrions les emmener au cap dAgde. Oh oui, je vais me lâcher ! La fameuse histoire toujours en tête, jimagine des scènes où je suis attachée nue, fessée, fouettée, et encore plein de trucs. Quelle limite atteindre ? Je ne sais pas non plus de quoi je suis capable. Je mimagine en esclave avec des bracelets aux poignets et aux chevilles, tenue en laisse, un collier de chien autour du cou. Je suis en train de mauto-exciter. On dit que les mecs on une bite à la place du cerveau ; mais en ce moment, cest moi qui ai un cul et une chatte dans la tête !
Midi pile. Impatiente, je prends mon téléphone. Le texto dÉlodie apparaît ; je le relis encore une fois puis jappuie sur « appel ». Le téléphone collé à loreille, jécoute, je trépigne.
— Il numérote : titi titi titi titi titi « Dépêche ! »
— Ça sonne : bip bip bip bip« Cest long ! »
Je tourne en rond.
— Ça sonne encore bip bip « Putain, décroche ! Élodie te plaît Décroche ! »
Allô, Julie ? Au moins, toi tu es à lheure ! Impatiente ? Hein, cest ça ?
Élodie, avec sa voix suave et sensuelle, me met dans tous mes états.
Allô, oui, cest moi. Bah oui, je voudrais savoir, je me languis dattendre.
Ah oui Mais dis-moi, tu es où ? Tu es seule ? Un petit jeu, ça te dit ?
Oui, oui ! Je suis à la maison, Pat est au boulot. Pourquoi ?
Très bien. Et tu as quoi comme vêtements ?
Un débardeur et un short, il fait chaud aujourdhui. Et pour ce que je tai demandé ?
Attends un peu, ma belle, je vais te répondre. Mais avant, tu vas faire ce que je te dis. Daccord ?
Daccord, mais fais vite. Tu veux que je fasse quoi ?
Tu vas mettre ton téléphone sur haut-parleur et le poser devant toi.
Oui, je suis dans la salle à manger, dis-je en posant mon téléphone sur la table après avoir activé le haut-parleur.
Bien. Maintenant, tu vas te mettre toute nue.
Ah bon ?
Surprise, mais de plus en plus excitée, je me déshabille entièrement. Deux vêtements seulement, cest rapide.
Ça y est.
Tu vas te caresser partout en me le racontant en même temps.
Oui, OK. Dac daccord.
Jécoute. Je veux tentendre glousser, gémir, et fais ça bien. Excite-moi.
Là, je me caresse les seins. Tu sais, ils sont beaux, doux et tout bronzés. Les fesses, jaime me toucher les fesses, le ventre
Noublie pas ta minette !
Oui, jy vais. Humm je suis toute mouillée ; cest bon ! Humm
Lèche tes doigts.
Oui. Slurp Humm Cest bon ! Javale mon jus, jadore ça.
Pince-toi les tétons, fort, très fort. Je veux tentendre crier.
Ouiii ! Hum Sliii Aïe ! Aïe ! Ouille ! Ouille, ouille, ouille !
Maintenant, fais-toi jouir avec les doigts ; titille ton bouton.
Oui, tout de suite. Je me caresse le clito, les lèvres, je me pé-pénètre Oh ouiii ! Je me branle Oh oui ! Mumm Oui ! Je me pince aussi les té les tétons. Élodie Humm Je crois que je vais jouir. Je jouiiis ! Oh ouiii
Moi aussiii !
Je viens de tomber sur les genoux, secouée par les spasmes de la jouissance, les doigts dégoulinants de mon liquide que je lèche avec délectation. Je viens de faire le constat que si en termes dexhibitionnisme elles ne sont pas expertes, limagination dÉlodie compense largement. Une fois remise de mes émotions, je reprends la conversation.
Eh bien dis donc, tu en as de limagination ; et pour la rép
Tu viens de lavoir ta réponse, non ?
Tu sais, vous pourriez venir passer quelque jours chez nous ; je suis en congé.
Oui, mais il y a Pat ; et se mettre nue devant ton mec, ça va être compliqué. Nous ne sommes pas vraiment prêtes, tu sais ; et vous êtes loin. Le trajet, la voiture
Prenez lavion, je viendrai vous chercher.
Cest une bonne idée, ça ! Je te rappelle.
Elle a raccroché. Ravie, je saute de joie telle une gamine qui vient de recevoir une récompense. Jadmire mes doigts mouillés de mon jus ; je les tourne et retourne, les suce. Une envie de faire lamour me tord les entrailles, mais je suis seule. Que faire ? Attendre que Pat rentre ? Oui, cest mieux : je vais avoir encore plus envie. Sans doute que lorsquil va rentrer je vais lui sauter dessus, le violer pour lui apprendre la nouvelle. Jaime faire cela, le prendre par surprise, nimporte où et nimporte quand. Jen veux toujours plus, plus dexpériences, plus de situations insolites, plus damour, et aussi repousser mes limites.
Un bruit dehors. Un coup dil à lextérieur : cest Pat qui est de retour. Vite, jattrape mes vêtements et file dans la salle de bain pour faire disparaître toute trace du jeu que je viens de faire par téléphone. Après une rapide toilette, je me dirige en tee-shirt ras du cul vers la cuisine afin de venir en aide à mon amoureux qui décharge la voiture. Je laccueille avec un énorme bisou, les yeux chargés de malice et un grand sourire coquin.
Déjà de retour ? Tu as été viré ou quoi ?
Non, jai mon après-midi de libre. Au fait, tu as appelé Élodie ?
À ces mots, je sens le rouge me monter au visage, jai chaud.
Que se passe-t-il ? Pourquoi tu es rouge tout dun coup ? Un problème ? Elles ne veulent pas, cest ça ? Je men doutais un peu.
Non. Elle Jai Enfin, si Elles viennent passer quelques jours.
Bah alors Pourquoi tu es rouge comme ça ?
Cest quÉlodie ma ma fait me caresser et me masturber pour me dire quelles sont daccord.
Cette parole me remet le feu au ventre. Je fais voler le tee-shirt de Pat au sol, suivi de près par son short et de mes maigres habits. Jembouche son sexe et le fais bander en peu de temps. Je massois sur le bord de la table de la cuisine et me couche, entraînant avec moi Pat qui mempale. Quelques mouvements rapides de va-et-vient memportent dans un orgasme puissant qui a pour effet de me rendre plus bavarde, et je raconte mes exploits tout en grignotant.
Eh bé Toi, tu commences à avoir de plus en plus le feu au cul !
Tu naimes pas, peut-être ? Elles viennent demain en avion pour passer quelques jours de vacances.
OK. Au moins avec toi, ça ne traîne pas. Alors au boulot ! Il faut préparer la chambre damis et le reste.
Ensemble et nus, nous nous occupons du ménage ; autant se salir soi-même plutôt que de salir des vêtements que je vais être obligée de laver, repasser. Oh ! On se calme ! Laver, repasser, cest bon ! Avec cette chaleur, nue pour faire le ménage et après une douche, cest beaucoup mieux.
Un coup dil sur mes mails, et japprends que les filles prenne lavion et arrivent demain matin par la navette Air France Paris-Marseille. Il faut se dépêcher, faire les courses et tout préparer : je veux les recevoir dignement. Je prépare la liste de courses puis enfile un débardeur moulant et à moitié transparent avec le mini-short sans rien dessous, premier test pour voir la réaction de Pat.
Tu sors comme ça ?
Oui. Tu naimes pas ?
Si, beaucoup. Mais pour aller en ville, cest lappel au viol, ma cocotte !
Oui, mais avec toi je ne risque rien. Hein, mon gros nounours ?
Comme tu veux, ma cocotte.
Il ma appelée « ma cocotte » : cest mignon, ou alors Bon. Maintenant je vais savoir si je suis capable de me balader comme cela dans un magasin ; je ne lai jamais encore fait. Jai le palpitant qui bat la chamade, mais maintenant que je me suis lancée, jassume ! Pat a mis un short et un marcel. Liste de courses en main, nous partons en direction de la grande surface la plus proche.
[ à suivre ]