Histoires de sexe lesbiennes Premières histoires de sexe

Chaude Anaïs – Chapitre 1




Comme chaque année, le petit village organise sa semaine festive. Certains couples en profite pour faire quelques écarts d’adultères.

Ce qui n’est pas le cas de Lucas et d’Anaïs, un jeune couple de vingt deux ans, marié depuis deux ans, d’une fidélité à toute épreuve.

Pour l’occasion, chaque année, Lucas invite son frère Enzo, beau brun de vingt huit ans,et son père Marc, âgé de soixante ans, veuf depuis un an.

Cette année, Lucas est obligé de s’absenter deux jours pour raison professionnelle.

Qu’a cela ne tienne, Anaïs est assez adulte pour s’occuper des deux invités.

Pour l’heure, Lucas propose à son frère et son père de faire une partie de pétanque. Il joue avec Anaïs.

-L’enjeu, c’est quoi, demande Enzo. Une nuit avec ta femme.

Qu’est-ce-que tu en dis papa.

-Ce serai trop beau, répond Marc. C’est ma belle fille.

Anaïs est rouge de honte de se voir considérer comme le gain de la partie.

-Il en n’est pas question, reprend Lucas. d’abord, vous n’avez pas encore gagné.

Les deux équipes se trouvent à égalité, une partie à une.

Si la belle commence à l’avantage d’Enzo et Anaïs, elle tourne vite en faveur de Marc et d’Enzo, qui gagne la partie.

-Je plaisantais quand je parlais de l’enjeu, sourit Enzo, je ferai jamais çà à mon frère.

Anaïs se sens soulager.

-Allez, dit-elle, on va prendre l’apéritif pendant que les grillades cuisent. Le repas s’éternise. Tout le monde se couche vers minuit.

Anaïs se blottit langoureusement contre l’épaule de son mari.

-On fait un petit câlin? demande Anaïs.

-Pas ce soir, mou amour, répond Lucas. Quand je rentrerai, tu veux bien?

-Comme tu veux, mon chéri. Bonne nuit.

Le lendemain, Lucas embrasse Anais encore au lit.

-Ou sont-ils? demande-t-elle.

-Mon frère est allé courir, et mon père se promène.

-Bien, je vais vitr prendre une douche avant leur retour.

-Allez ma chérie, et d’être sage.

-Tu peux partir tranquille. Tu sais bien que tu l’amour de ma vie. Tu m’appelle, bisous.

Anaïs sort de la salle de bains Vêtue d’un peignoir blanc.

Enzo se tient debout au milieu du salon, et Marc, assis sur le canapé, an train de lire le journal. Ils sont tout les deux en short.

Anaïs ne peut s’empêcher de fixer la bosse sur le short d’Enzo.

-Bonjour, dit celui-ci, on se fait la bise.

-Bien sur, répond Anaïs.

Elle s’approche confiante pour embrasser Enzo, et son beau père.

D’un geste vif, Enzo lui saisit les poignets et les bloque dans le dos d’Anaïs d’une seule main.

Leur visage se frôlent.

-Qu’est-ce-que tu fais, s’affole Anaïs, lâche moi, s’il te plait, déconne pas.

Calmement, Enzo dénoue le peignoir, et l’écarte.

-Putain, fait-il, papa, tu as vu ce qu’on avait gagné, oh la la.

-Arrête Enzo, je t’en prie, pense à ton frère. Beau papa, résonnez le, s’il vous plait.

-Dis moi, poursuit Enzo, il doit bien s’amuser mon frère avec toi, avoue. Allez, avoue.

-Oui, répond Anaîs terrorisée, il se régale. Mais, restons en là.

-Tu sens ma queue contre ta cuisse, dit Enzo. Tu voudrais pas la caresser un peu. Allez.

-Pas question, se rebiffe Anaïs. Je vais tout raconter à ton frère quand il rentrera.

Enzo caresse les seins de sa belle soeur. Anaïs commence à sangloter. Il insère un doigt entre ses cuisses.

-Assez, assez, supplie-t-elle. Laisse moi maintenant.

-Tu aimes pas mes caresses. Sens comme je fais rouler tes bouts entre mes doigts. S’il te plait, caresse moi la queue. Par dessus le short, d’accord?

Pour en finir, Anaïs accepte. Elle espère qu’il la laissera tranquille après.

Enzo libère une main, et la guide sur son sexe en érection.

"Mon dieu, se dit-elle, mais elle est énorme" Ils sont joue contre joue.

Enzo donne des petits coups de dents au lobe de l’oreille d’Anaïs. Les femmes aiment ce genre de truc.

-Tu peux rentrer ta main si tu veux. Il y a autre chose plus bas.

Par curiosité, Anaïs écarte l’élastique du short.

Son corps est parcouru d’agréable frissons. Son souffle s’accélère dans le cou de son beau frère, Et surtout, le bout de ses seins commencent à prendre de l’ampleur. En fait, son corps est en train de la trahir.

Enzo a tout remarqué. Il fait glisser le peignoir au sol.

Le doigt entre les cuisses d’Anaïs, jusque inactif, parcours les lèvres, titillant le clitoris.

Anaïs écarte légèrement les cuisses pour mieux recevoir la caresse.

-Alors, il est monté comme çà mon frère.

-Salaud, souffle-t-elle les yeux mi-clos, qu’est-ce-que tu va me faire faire. Devant vôtre père en plus.

-Tu as pas répondu à ma question, reprend Enzo.

-Non, il est moins monté que toi, répond-elle. Voilà, tu es content. Et toi tu sens comme je suis mouillée, et dans quel état tu as mis mon bouton.

-Excuse moi, regrette Enzo, on en reste là si tu veux.

-Trop tard, soupire Anaïs. Je suis trop chaude maintenant.

Par ta faute, je vais tromper mon mari. Tu veux quoi? Me baiser.

Enzo quitte son short. Le couple glisse sur la moquette, puis Enzo se couche sur le dos, prêt à recevoir son prix.

Anaïs lui prend la queue, et le branle doucement.

-Quel fifre, dit Anaïs. Tu vas me le mettre.N’est ce pas.

Elle s’empale sur la queue d’Enzo, en poussant un râle de plaisir, les fesses bien cambrées.

Marc assiste a la scène, son bas ventre commence à s’agiter.

-Quel coup de queue tu es en train de me mettre,gémit Anaïs.

Je vais pas tarder a jouir. Ha..ha..ha,çà y est je viens, salaud. Tu vas faire de moi ce que tu veux maintenant.

-Moi aussi je viens, crie Enzo, ha ha, tu sens comme je me vide dans ta chatte. Que c’est bon de baiser la femme de son frère.

-Tais toi, dis pas çà, le prie Anaïs, il mérite pas çà.

Anaïs se lève et va à la douche.

-Pourquoi tu lui a dis çà, demande Marc. Elle s’est offert à toi, tu as été méchant là. Tu devrais t’excuser

Related posts

Maman très chaude, enfants pervers. – Chapitre 27

historiesexe

Natalia – Une boîte de chocolats – Chapitre 5

historiesexe

L'Aurore d'une autre vie – Chapitre 7

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .