Depuis quelques jours la même jeune femme sassied près de moi dans le bus de la ligne 19. Je peux ainsi la regarder en détail: belle peau, peu fardée, une jupe à mi cuisses qui laisse voir un peu plus quand elle sassied. Dans mon bus, nous parlons facilement même à ceux que lon ne connaît pas. Dès le 3° jour, évidemment nous bavardons, passé la quinzaine nous commençons à nous dévoiler. Ainsi je sais quelle sappelle Iñes, quelle est séparée et travaille dans un bureau, une agence dassurance. Elle en sait autant sur moi. Puis au bout dun mois nous nous faisons la bise, nous nous tutoyions. Au fond cest simple de devenir amie. Cest comme ça que nous déjeunons aujourdhui samedi dans ce restaurant. Nous nous sommes faites belles: nous portons des jupes courtes, trop courtes sans doute. Nos chemisiers sont un peu transparents. Nous en rions, aucune de nous na jamais parlé de se vêtir sexy.

Nous faisons des folies en nous payant un repas gastronomique. Dans le Sud ouest quand on mange bien on peu dire que la suite sen ressent toujours un peu. Le vin de Fronton ajoute un peu de brouillard dans nos têtes. Nous restons longtemps assises pour digérer un peu. Nos langues se délient trop peut-être car nous en sommes à parler de sexualité. Nous donnons nos positions préférées.

Jaime bien mes aises, jaime en missionnaire, même pour me faire sodomiser, La seule autre position est quand je suis sur mon mari pour le sucer ou en 69. Jaime bien le sperme.

Pour elle, à part la première position quelle préfère en levrette, le reste est pareil.

Ce que nous partageons cest le goût pour la masturbation, elle commence dès le réveil, comme moi, poursuit sous la douche comme ce matin et si possible après déjeuner. Le soir elle le faisait avec son mari qui aimait la voir se donner du plaisir pendant que lui aussi sen donnait. Moi cest pareil, surtout après le déjeuner.

Nous en rions pas mal, nous sommes en retard dun orgasme aujourdhui. Je ne sais ce qui passe dans la tête dIñes, elle passe son pied nu entre mes cuisses: je vais te faire jouir. Elle me regarde bien dans les yeux en souriant. Elle est désarmante. Je sens son pied monter là haut vers mon sexe. Je suis mouillée depuis un moment, comment a-t-elle pu le deviner? Je la laisse faire. Je sens son gros orteil sur ma chatte, cest agréable, surtout quand elle commence à me caresser le haut de mon sexe. Je tends mon pubis vers elle. Jen suis à fermer les yeux pour me régaler de son audace.

Elle prend mes deux mains dans les siennes, les caresses aussi. Je suis totalement sous sa dépendance. Mon clitoris vit sa propre aventure de masturbation. Je ne peux plus retenir un grand soupir quand jai un orgasme. Iñes la senti, elle me demande si cétait bon.

Ma seule réponse est de lui demander de venir avec moi aux toilettes. Arrivées dans la cabine, je la prend contre moi, lembrasse comme si cétait mon époux. Nos langues font vite connaissances.

Je la serre contre moi, passe mes mains sur ses fesses, soulève sa jupe pour attraper ses fesses. Jarrive à la limite de son string, je le baisse à terre. Elle soulève ses pieds pour être débarrassé de cet obstacle. Je suis libre de lever la jupe pour placer ma bouche sur sa chatte. Elle écarte les jambes, je suis assise sur le siège, ma langue sur son bouton que je lèche comme une folle, comme si je savais faire cette chose depuis toujours.

Iñes me caresse la tête pour mencourager. Je pense lui donner un plaisir supérieur à celui quelle ma donné. Je ne me trompe pas, elle gémit de plus en plus fort. Je la sens se contracter juste avant quelle me dise quelle jouit.

Nous sortons du restaurant en nous tenant par la taille comme des amoureux, ce qui finalement est un peu le cas.

Je ne lui demande rien, je lemmène chez moi (mon mari est en déplacement avec les supporters de léquipe de Toulouse XV à Toulon) Dès lentrée nous nous embrassons, redevenues un peu sérieuses nous nous demandons pourquoi nous en sommes venues là. Les seules réponses ne sont que dautres baisers. Nos langues sagitent de telle façon que nous leur obéissons. Nous sommes vite nues, collées, les seins contre, les pubis avec nos poils mélangés. Nous devenons folles de désir du corps de lautre. Son corps est jeune, malgré ses 35 ans, svelte et souple. Sa bouche est pleine de promesses de baiser et de suçons. Jai envie de cette femme, moi qui ne connais que les hommes. Comme elle me confie.

Je la mène dans la chambre. Elle me suit sans pudeur, il lui tarde, comme à moi que nous jouissions pour de bon ensemble. Nous avons besoin du corps de lautre contre le notre. Au lit, cest elle qui joue la première. Elle membrasse longuement sur la bouche, ses mains commencent sur mes seins pour aller finir le trajet par dessus la fourrure sur ma chatte. Elle y pose la paume de sa main pour caresser lensemble de mon sexe. Cest excitant au possible surtout quand elle passe deux doigts sur le bouton quelle caresse de plus en plus vite, elle le fait exprès pour me faire jouir. Quelle différence avec son orteil. Je suis tendue, je tiens par la tête et les talons quand jai un orgasme énorme. Elle narrête pas un instant, elle me met directement trois doigts dans la vagin, elle est aussi grosse quune bite et comme une bite elle me fait encore jouir. Le final est quand elle entre deux doigts dans lanus. Jaime bien la sodomie, avec elle cest différent, moins fort, plus complet bizarrement.

Cest à mon tour. Je ne me posais pas de question tout à lheure aux toilettes, jai commencé par la sucer, je vais continuer puisqu’elle avait bien jouit. Je vais me coucher entre ses pieds, la tête entre ses cuisses en montant. Je sens maintenant son odeur de femme en chaleur, je dois sentir pareil. Ma langue se régale davance de la goûter. Je ne suis pas déçue, son goût est un peu poivré. Ma langue arrive sur son clitoris, je le lèche mieux que tout à lheure. Tellement mieux quelle jouit très vite. Je rentre ma langue dans sa chatte où je la tourne un bon moment jusquà sentir ses spasmes. Maintenant je me paye une envie brusque: je lui lèche le cul. Elle frémit, me tient la tête, jentends des: Oui, oui, entre là. Jarrive ainsi à lenculer.

Moi, une fille enculer une autre fille qui en jouit. Je deviens folle. Elle me demande de recommencer et je le fais à une condition quelle men fasse autant. Nous sommes deux foldingues. Mais cest tellement bon et doux.

Depuis notre première fois, après laquelle nous aurions du arrêter, nous nous voyons une fois par semaine. Je nai pas limpression de tromper mon mari. Pour elle ce nest pas pareil, elle est séparée. Elle ma bien dit quelle se masturbait davantage depuis notre liaison.

Après une baise, un jour elle ma dit quelle ne maimait pas, par contre elle aime mes étreintes et mon sexe. Cest bizarre pour moi: jaime mon mari, par contre jaime aussi le corps dIñes.

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