Je me souviens de ce jour comme si c était hier. Comment oublier la première fois où une fille vous offre sa nudité? Pour ma part c est impossible.

Elle s appelle Séverine et c est la sur de mon meilleur copain de l époque, et elle vit dans le même lotissement que moi. Nous ne sortons pas ensemble, mais il nous arrive de flirter un peu ensemble de temps à autres. Plus par jeu que par attirance amoureuse.

Un samedi de juin elle vient frapper chez moi à la recherche de son frère. Exceptionnellement celui ci n est pas avec moi.

"J’ai un devoir de math à faire absolument ce week-end et il devait m aider. Il est parti, j y arrive pas et il n y a personne à la maison pour m aider!.. Je te jure quand il rentre je l’égorge."

Son sens de la demi-mesure me fait rire.

Avant que je puisse lui dire quoique ce soit, ma mère qui se trouve avec nous dans le salon propose mon aide à Séverine. Bien que passer du temps avec elle ne me dérange jamais, passer ce beau samedi de juin enfermé dans ma chambre à faire des maths ne m enchante pas vraiment. Mais je finis par accepter et invite Séverine à aller chercher ses affaires à me rejoindre dans ma chambre, où j ai mon bureau.

Pendant près de deux heures nous ne nous concentrons uniquement sur son devoir. Et quand enfin le travail est fini, un ouf de soulagement s échappe de part et d autre.

"Sans toi j aurai passé mon week-end la dessus sans être certaine d y arriver! Vraiment là, je te remercie et tu peux me demander ce que tu veux…"

Je sais quelle a dit cela sans aucuns arrières pensés mais ce n nest pas le genre de chose à dire à un ado travaillé par des pensées lubriques dignes de son âge.

"Je peux vraiment te demander ce que je veux?"

Le sourire de reconnaissance, quelle affiche depuis la fin du devoir, disparait et je perçois un certain malaise en elle.

"Euh… Oui… Enfin si tu en demandes pas trop quand même…"

J approche ma bouche de sa bouche pour l embrasser, ce qui n est pas la première fois entre nous, puis, fixant mon regard dans le sien je lui dis:

" J aimerai te voir… toute nue"

Immédiatement le visage de Séverine passe au rouge. Elle ouvre la bouche comme pour dire quelque chose mais garde le silence. Quelques secondes de silence s installent. Je vois bien qu’en elle une réflexion intense s’est mise en marche. Puis elle me dit:

"Ta mère pourrais nous surprendre… "

"Non elle pense que nous travaillons, elle ne nous dérangera pas"

"Je… J ai peur! Je n ai jamais fait ça."

"Tu me connais, tu sais que je suis incapable de te faire du mal. La seule chose que je veux c est que tu sois nue devant moi. J en rêve depuis longtemps. Tu es belle et je t imagine souvent quand je me br… me fais du bien. Je te demande juste d ôter tous tes habits pour moi. Après il ne se passera que ce que tu auras envie qu’il se passe. Je te le promets que je ne ferai rien que tu ne veuilles pas. Et tu sais que tu peux avoir confiance en moi"

Je lui adresse mon sourire le plus amical. Je m efforce surtout de paraître calme et détendu alors qu’en réalité je sens une sorte de fièvre m envahir, mes mains tremblent, et dans mon caleçon mon sexe a déjà pris une taille inhabituelle.

Séverine se lève après un instant. Je me dis l espace d un instant quelle va partir et tout dire à ma mère, à ses parents… Je me vois déjà couvert de honte, victime des moqueries de tout le monde…

Mais en fin de compte elle ne fait que retirer son t-shirt. Une vague de désir et de soulagement m’envahit. En suite elle déboutonne son short et le fait glisser à terre.

Elle reste un moment ainsi en sous vêtements devant moi.

C est étrange la sensation d excitation qui me parcourt. Mon amie n a pourtant pas des dessous affriolants et la voir en sous vêtements n a rien de différent dans le fond que de la voir dans son maillot de bain deux pièces que j ai l habitude de lui voir porter à la piscine Mais pourtant là je suis au maximum de l excitation.

Elle me tourne le dos pour dégrafer son soutien gorge quelle laisse tomber sur mon lit. Elle me refait face, masquant ses seins de son bras gauche. Elle me regarde timidement. Je lui souris, lui dis quelle est belle. Elle laisse descendre son bras pour me dévoiler sa poitrine.

Sa poitrine nest surement pas encore à l’apogée de son développement mais pour moi, à cet instant elle a les plus beaux seins de la terre. Ils ont la taille d un demi-pamplemousse. Ses tétons ne sont pas très larges et ils sont clairs. Les pointes de ses seins sont dressées, ce qui pour moi à cette époque n a pas vraiment de signification… Elle ne bouge plus. Mais je suis tellement absorbé par la beauté de sa poitrine que je m en rends à peine compte. J aimerai m approcher pour les toucher, les caresser, les embrasser, les palper. J ai envie de connaître leur fermeté ou bien leur douceur. Mon sexe emprisonné dans mon caleçon devient douloureux. Oh mon dieu comme j ai envie de la prendre dans mes bras. Sa voix douce et tremblante me ramène à la réalité du moment.

"Toi aussi déshabille toi!"

Je suis surpris par sa demande, mais je m exécute immédiatement. Une poignée de seconde après je suis en caleçon devant elle (je vous précise que c était la mode à l époque). Ma queue gonflée de désir forme une bosse pour le moins visible et révélatrice. D’ailleurs le regard de Séverine s y attarde longuement.

Je fais descendre alors mon dernier sous vêtement et je me retrouve totalement nu devant elle, la queue fièrement dressée devant moi. J avais demandé à mon amie de se mettre nue devant moi et en fin de compte je suis le premier à me retrouver dans le plus simple appareil… Mais je trouve ça naturel de lui offrir ce que je désire quelle me fasse.

Elle est sur le point d enlever sa culotte quand je me propose de le faire à sa place.

Elle accepte. Je m agenouille devant elle. Je sens la chaleur qui irradie de son corps. Son parfum délicat. Tous mes sens sont en éveil.

Je mets mes mains sur ses hanches, glisse un doigt de chaque côté de sa petite culotte puis lentement je la fais glisser. Son pubis à la toison peu fournie (il y a 20 ans les filles s épilaient moins à cet endroit) apparait. Puis le reste de son intimité. Les grandes lèvres de son sexe sont visibles. À mon grand étonnement j’aperçois une certaine humidité provenant de son sexe.

Ça y est. Elle est nue face à moi. Son minou à quelque centimètre de moi. Je n ose pas la toucher mais mes yeux s immiscent partout. Mon cur bat à tout rompre.

J approche ma bouche pour déposer un bisou sur son pubis. Elle me laisse faire.

Je me relève et elle me sourit. Je lui redis quelle est belle. Elle passe ses bras autour de mon cou et approche son visage du mien. Nos lèvres entrent en contact. Nos langues se trouvent. Il s en suit de longs baisers. Je l attire sur le lit sans cesser de l embrasser. Lorsque mes mains s aventurent à la découverte de sa peau chaude et douce elle me laisse faire. Quand ma bouche quitte la sienne pour venir se perdre sur ses seins elle ne s y oppose nullement. Mais lorsque ma main glisse entre ses jambes elle refuse.

"Pas aujourd’hui s’il te plait. C est trop tôt. Tu peux m embrasser ou me caresser partout où t as envie mais pas la. Je ne me sens pas prête. Par contre tu peux la regarder ma chatte."

Bien qu’un peu frustré je me plie à sa volonté. J embrasse à nouveau ses seins. Je joue avec ses tétons que je titille du bout de ma langue. Mes mains caressent ses cuisses ses fesses son dos. Par moment elle vient chercher ma bouche avec la sienne et plaque son corps contre le mien. Mon sexe dressé frotte contre son ventre. J ai terriblement envie de me branler.

"Je savais pas que je pouvais te faire bander comme ça" me dit-elle. "

"En fait tu me fais mouiller autant que je te fais bander."

La faire mouiller moi? Cela ne m était même pas venu à l esprit. Je place mon visage à proximité de sa chatte. En écartant les cuisses elle m offre le spectacle le plus beau et excitant que j ai pu connaître à ce jour. Je découvre son corps par l angle le plus intime. Les lèvres de son minou luisent d une pellicule liquide qui les couvre. Une douce odeur de désir en émane. Sans m en rendre compte j ai pris mon sexe dans ma main et j ai commencé à me branler. En prenant conscience que c est peut être déplacé et choquant pour Séverine je stoppe mon geste et m excuse.

"Non continue! Branle-toi! J ai envie que tu le fasses devant moi…"

Sans rien dire de plus je recommence à m astiquer devant elle. Bientôt elle met une main entre ses cuisses et se doigte en même temps.

Pour moi j ai l impression que le temps s est arrêté. Je suis ensorcelé par ses doigts qui s activent sur son clitoris ou qui glissent dans sa fente. J ai l impression d avoir 40° de température. De son côté elle fixe ma bite du regard… Quand ses doigts accélèrent sur son clito je me branle avec plus de vigueur. Nos deux corps sont tout proche l un de l autre. Et quand mon sperme gicle il se répand sur son ventre. Séverine jouit presque aussitôt. Allongés l un à côté de l autre nous nous embrassons. Je lui prends la main avec laquelle elle s est doigtée et je suce ses doigts plein de mouille. Cela la fait rire et du coup elle prend un peu de mon sperme sur son ventre et le lèche.

"Bof c est pas terrible comme goût mais ça va".

Nous restons de longues minutes ainsi l un à côté de l autre à se détailler. Comme pour enregistrer dans notre mémoire nos corps en vue de futurs plaisirs en solitaire…

Plus tard nous retournons au salon. Ma mère demande si nous avions bien travaillé, ce à quoi Séverine répond:

"C est génial. Sans lui j y serai encore." puis s adressant à moi " On remet ça quand tu veux !"

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