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"Il venait d'avoir Dix-huit ans…" – Chapitre 14




Alerté par le bruit, et sentant une anomalie subliminale dans la classe de la femme du proviseur, l’agent d’entretien, accompagné de l’électricien, poussa le battant de porte, qui n’avait pas été correctement verrouillée par Maurice. Ce qu’il vit le laissa sans voix, mais avec une grosse bosse dans son pantalon !

La prof de latin, voisine de classe, était elle aussi entrée dans la classe pour assister à la petite partie…

Si vous êtes intéressés par le spectacle, venez à la petite soirée que nous donnons Maurice et moi… ce sera une soirée très décontractée, si vous voyez ce que je veux dire. Et si votre femme, ou votre mari n’a pas froid aux yeux, il ou elle sont naturellement invités aussi ! dit une Anne en plein accomplissement sexuel, mais qui savait toujours conserver les règles de politesse les plus formelles !

Les deux hommes et la femme ne purent qu’acquiescer bêtement, leur cerveau n’ayant pas encore intégré la scène fantastique de Madame V… r, la femme du proviseur, en train de pratiquer des exercices qui avaient plus trait à l’éducation sexuelle, version travaux pratiques, qu’à la physique. Mais quand ils s’aperçurent que le proviseur était là aussi, qui regardait benoîtement sa femme se faire ainsi entreprendre, leurs yeux faillirent sortir de leurs orbites, façon loup de Tex Avery !

Cinq minutes auparavant, Maurice était entré discrètement, comme il avait été prévu dans le scénario, et silencieusement s’était installé au fond de la classe, pas très loin de son fils et de son copain, d’ailleurs. Tout le monde s’était tu, et les coups d’il torves vers l’entrecuisse de la prof, s’étaient interrompus un moment. Mais, sur un sourire de leur prof, tous furent rassurés et comprirent que le mari était dans la combine, avec le rôle de voyeur en chef. Puis Anne désigna des volontaires, qui courageusement vinrent s’occuper de leur prof. 6 garçons plus débrouillards et audacieux que les autres entouraient Anne, qui s’était couchée sur le bureau et se laissait caresser, puis effeuiller par les 6 héros.

Avec application, les élèves commencèrent à repousser la jupe au-dessus des hanches de leur prof, dévoilant un peu plus les bas et le porte-jarretelles, ainsi que le pubis exposé aux yeux de tous avec sa touffe de poils blonds. D’autres défaisaient consciencieusement les boutons du chemisier d’Anne, pour enfin le lui retirer, révélant la poitrine superbe de la femme mature ! Alors les bouches s’égarèrent sur la peau douce et satinée de la jolie femme offerte, tandis que des mains plus audacieuses que les autres prenaient possession des seins aux pointes turgescentes et du sexe humide à disposition !

C’est à ce moment que les nouveaux protagonistes firent leur entrée…

Après un moment de stupeur, partageant leur regard entre la femme du proviseur quasi nue sur son bureau, cuisses écartées et sexe à la vue de tous et celui-ci, placide et vivement intéressé par le spectacle, et comprenant la nature de ce qui était en train de se passer, ils se dirent que l’occasion était trop belle. La prof de latin, Mme Boulard, qui ne cachait pas son attirance pour les deux sexes, s’approcha d’Anne, et se penchant sur elle, l’embrassa fougueusement. Les deux hommes eux, aidaient les jeunes à finir de déshabiller leur prof, qui se retrouva vite en bas et porte-jarretelles, pour toute protection devant leurs ardeurs juvéniles ! Jupe et chemisier se retrouvèrent par terre.

Alors Anne eut plusieurs bouches voraces qui se posèrent sur son pubis, ses cuisses, son ventre, tandis que des mains empoignaient ses seins et les caressaient voluptueusement.

Anne commençait à gémir sous les succions de ces bouches avides. Surtout que Corinne Boulard remplaça vite un des jeunes entre les cuisses de sa collègue, et elle, contrairement au jeune homme, savait faire jouir une femme par un cunnilingus. A chaque fois, elle redressait une mèche de cheveux qui venait la gêner dans son apostolat buccal. Anne ne mit pas longtemps à partir au Septième ciel, l’excitation contenue depuis le début était trop forte, et Corinne, sa collègue de latin, avait une langue très inquisitrice qui savait explorer les mystères féminins !

Fabrice et Raphaël, toujours au fond de la classe, étaient très satisfaits de la tournure des événements. Leur, respectivement, maîtresse et mère, se faisait partouzer avec délectation. Raphaël adressa un grand sourire de victoire à son père, que celui-ci, levant les yeux au ciel, préféra éviter. Pourquoi Dieu lui envoyait-il de telles épreuves… et pourquoi le diable l’avait-il fait aussi facilement tomber dans la tentation ? Car Maurice bandait une fois de plus. Le spectacle de ces jeunes, qui venaient prendre leur obole sexuelle auprès de la grande prêtresse des lieux, lui donnait une excitation phénoménale ! Il avait l’impression d’être revenu 2500 ans en arrière, et d’assister aux rites sacrés et aphrodisiaques du temple des Hétaïres à Corinthe !

A ce moment, Maurice put exercer pleinement sa nouvelle passion pour la candaulisme, en regardant tous ces hommes venir baiser sa femme, en toute impunité devant une classe entière, dans son propre lycée… même s’il se disait que cela faisait quand même beaucoup !

Devant lui, sa femme, nue, qui avait été placée le ventre sur le bureau, les jambes au sol bien écartées, était prise sexuellement par celui qui voulait bien. Évidemment, l’électricien et l’homme de service se réservèrent la place du roi, mais ensuite tout lycéen un peu audacieux, pouvait trouver sa place dans le chaud fourreau accueillant de sa prof de physique. Pour Anne, c’était orgasme sur orgasme, jouissance infinie à chaque nouveau partenaire, même si certains étaient trop rapides à son goût… néanmoins la quantité venait rectifier le manque de qualité. Et pourtant 3 ou 4 dans le lot, parmi les plus âgés, de 19 à 21 ans, savaient fort bien y faire, faisant résonner des râles de plaisir dans la bouche de leur prof, à présent préférée.

Telle une goulue, Anne suçait les sexes turgescents qui venaient se relayer dans sa bouche de salope assoiffée, tandis que les autres baisaient leur prof avec ardeur ! Sidéré, les yeux sortant presque de leurs orbites, le souffle court, des gouttes de transpiration lui tombant sur le col de chemise, Maurice regardait les bites venir pénétrer la fente de sa femme, qui hurlait de plaisir à chaque assaut ! Du sperme s’écoulait sur son menton et ses seins du fait des chibres qui venaient s’épancher dans sa gorge vorace ! Et Maurice mi-honteux, mi-excité ne pouvait quitter des yeux ce spectacle fascinant : sa femme se faire mettre comme la dernière des putains dans sa classe, sur son propre bureau… et lui en grand organisateur de la partouze !

Corinne Boulard, après avoir fait jouir Anne avec sa langue experte, avait préféré rester sur le côté, à regarder chaque mâle venir honorer la femme. Pour elle, faire l’amour avec sa collègue demandait un peu plus d’intimité. Après le dernier volontaire, elle embrassa de nouveau Anne de façon très érotique, et lui palpant un sein, elle lui glissa à l’oreille :

Je viendrai à ta partie fine. Je te ferai découvrir des plaisirs inconnus ! Puis elle s’esquiva, refermant soigneusement la porte derrière elle, suivie des deux artisans.

Maurice, prenant un rouleau de Sopalin, essuya consciencieusement l’entrecuisse de son épouse, du résultat des débordements juvéniles, qui avaient été très productifs. Puis, grand seigneur, il rhabilla son épouse, et celle-ci, se rasseyant derrière son bureau, les yeux brillants un peu dans le vide, reprit emprise sur son esprit et continua son cours comme si de rien n’était.

Maurice, ayant rectifié son air de mari cocu dépité, reprit sa position sacerdotale de grand proviseur intègre, ce qui fit sourire nombre de jeunes.

Il est vrai que le passage du rôle de mari cocu, essuyant le sperme s’écoulant d’entre les cuisses de sa femme, à celui de directeur, exerçant son autorité de fonctionnaire presque sacrée, avait été rapide !

Il tint un semblant de discours, ponctué de grands regards profonds et sévères sur la classe.:

Jeunes gens, il est évident que la séance de travaux pratiques un peu particuliers de Mme V… r, ne devra pas quitter ces murs. Je n’accepterai aucun manquement à ce respect de confidentialité. Souvenez-vous qu’il y a le Bac à la fin de l’année, que je suis très en vue au rectorat, et que certains ici le passent pour la troisième fois. Un lycéen averti vaut un étudiant méritant de fac de science ! Sinon case chômage ! Me suis-je bien fait comprendre ? Bien, je m’éclipse. Et merci Mme V… r, pour votre prestation… vous y avez mis beaucoup de vous même !"

Fabrice, se retenant de pouffer de rire, s’adressa à son copain Raphaël :

Dis donc, je ne savais pas que c’était un comique ton père… sous ses airs d’avoir un balai dans le cul, il est trop marrant, il nous fait presque du Coluche mâtiné de Raymond Devos dans le texte.

Malheureusement, je crois qu’il ne rigolait pas !

Et ta mère ! Pfouh, quelle tornade ! Tu crois qu’ils ne diront rien ?

J’en suis sûr. Ma mère n’a pas encore sorti l’argument massue !

Le cours se termina 20 minutes plus tard, sur la constante de Planck. Et pendant que les jeunes faisaient leur cartable :

Ah au fait, mes élèves préférés, ce que n’a pas dit mon mari tout à l’heure, c’est que s’il devait y avoir des indiscrétions, les séances de cours particuliers à mon domicile, seraient gravement compromises pour les récalcitrants. Certains n’ayant pas encore pu profiter de toutes mes capacités, en seraient grandement contrits et attristés, garçons ou filles. A bon entendeur …

Chacun avait compris qu’il pourrait profiter des charmes de leur prof, en même temps que des cours de rattrapage particulier, il lui suffisait de tenir sa langue. Certes, pensèrent-ils tous au même moment, il ne serait pas facile de se concentrer sur la physique, pendant leurs futurs cours particuliers, en ayant une prof dans le plus simple appareil, ou vêtue de lingerie fine…

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