Flo gâta si bien mon clitoris quil sérigea à lhorizontale. Elle fit remarquer à son époux que mon corps nétait plus que spasmes et frissons.

– Elle ne tiendra plus deux minutes, Sakis.

– Pitié, Flo ! Attend ! Pitié ! Arrête de le caresser car je ne veux pas jouir!

– Tu ne veux pas jouir ???

– Pardon! Je ne peux pas jouirAaaarrrrr ! Pitié!

– Petit break ! Je te détache et je te laisse souffler ! Je suis sympa, nest-ce pas !

– Oh que oui ! Merci, Flo ! Jai bien cru que jallais partir.

– En fait, je ne suis pas sympa. Jaime trop tes tresses blondes et jaurai sincèrement de la peine de te voir chauve pour un tout petit égarement. La prochaine fois, cela risque d’être pire.

  – Qu’est-ce qui peut être pire que ce que je viens de subir ?

Elle se dénuda et sétendit sur le sol à mes pieds.

Comme elle était désirable ! Je me suis couchée sur elle en incrustant bien ma cuisse entre ses cuisses disjointes.

J’ai senti tout de suite qu’elle allait partir au quart de tour.

J’empaumai ses tétines géantes et sautai de l’une à l’autre avec la bouche affamée d’un bébé qui vient de naître.

A peine ses mamelons durcis, elle orgasma sur ma cuisse en criant suffisamment fort pour effrayer tous les oiseaux de lîle.

Ma cuisse était trempée mais que dire de ma fente.

Je n’en revenais pas. A peine débarquée, j’avais déjà trouvé une vraie copine.

Sa jouissance avait duré plus de deux minutes mais ne l’avait pas épuisée.

Elle m’embrassa, me fit fondre au propre et au figuré et dit…

– Encore !!!

Plus de doute, ce serait ma copine pour la vie.

Elle est partie avant moi.

Pas de chance! Mais ce nétait que partie remise. Elle avait encore faim.

Je me sentais gagnée par le spasme du millénaire et jappuyais de toutes mes forces mon pubis contre le sien.

Plus rien n’existait en dehors de nos corps enlacés.

Tout ses mots étaient inintelligibles…tous sauf un…Adoooo!

Une décharge du tonnerre de Dieu me cueillit entre les omoplates et me fit rouler lamentablement à ses pieds.

Du haut de ses deux mètres, Ado me toisait, une matraque électrique à la main.

– Ca surprend, n’est-ce pas? Et encore, j’ai été gentil…à peine un dixième de la puissance et entre les épaules.

Quand je fus capable de me redresser, j’eus la nette impression que deux voyeurs mobservaient derrière une tenture.

– Mets-toi à quatre pattes sur le pouf et masturbe-toi!

C’est un ordre, me dit-il en me menaçant de son teaser.

– Comme ça, devant vous !!!

– Oui ! Comme ça ! Et consciencieusement,chaudasse  ! Je veux te voir frétiller du croupion.

A peine à genoux sur mon banc, une main entre les cuisses, prise par une conscience aiguë de ma détresse, je me mis à gémir en tremblant de partout.

– Cest bien ! Continue ainsi ! Donne-toi ! Branle-toi bien que je tentende râler mais ne tavise pas de juter, salope !

Mon ancienne nouvelle copine se rhabillait déjà quand deux hommes en uniformes surgirent, armés chacun dune matraque identique à celle dAdo. Lun des deux tenait dans sa main droite une tondeuse !!!

Il mapostropha sèchement.

– Un jour, un ami m’a dit que le bonheur d’une exhibitionniste est d’exciter les voyeurs.

Dis-moi si je me trompe!

Trop occupée à résister à lenvie qui me serrait le ventre, je nentendais quà peine mon interlocuteur.

Une décharge encore plus forte que la précédente me cueillit sur un sein.

– Sais-tu que cest très vilain dexciter les messieurs?

– Oui Monsieur ! Mais je suis obligée.

Ouch !!!! Re-décharge sur lautre sein.

– Réponds pas oui ou par non !

– Quel un cul d’enfer tu as ! Tu l’aimes, ton pétard ?

– Oui ! Monsieur

– Mets-y ton doigt !

– Où Monsieur ?

Le truand sanguinaire me déchargea son teaser sur lanus qui se contractura très violemment avant de souvrir pour ne plus se refermer comme si le sphincter était détruit.

– Là.Fais-toi plaisir ! Sale truie!

Jétais vraiment la truie quil décrivait. Je désirais ardemment la souffrance et l’humiliation, en fait le centre de mes désirs, afin d’atteindre le plaisir rapidement. Pas lorgasme humide, non ! Un orgasme plus subtil et plus terrifiant, né de langoisse et entretenu par la douleur.

Un orgasme inépuisable car avorté par une interruption violente du plaisir et la recherche, de l’orgasme suivant qui serait encore plus puissant. L’attente est pire que la réalité, Elle sera longue et pénible, un détour très coûteux, pour atteindre le plaisir total. Les épreuves qui mattendaient se devaient dêtre démesurées. En anticipant la punition redoutée, la voie souvrirait à la jouissance. Car, au fond de moi, je savais que la souffrance constituait le prix du plaisir et que l’augmentation de la souffrance produirait l’extase.

Sakis, revenu à la charge, senquit de ma docilité auprès de ses sbires.

– J’ai une bonne nouvelle pour toi, poupée. Une centaine de personnes sur cette île ont accepté de participer à ton dressage. Tu es une star maintenant. Il faudra assumer et ne rien leur refuser.

– Comment les reconnaîtrai-je ?

– A leur teaser. Ils tappelleront "poupée" et ils pourront de demander tout ce quils voudront et te faire tout ce qui leur passera par la tête. Je serai bon prince et te laisserai quelques heures par jour pour te permettre de travailler. Mais régulièrement, des personnes viendront tenlever pour modeler ton corps et ton esprit dans la louable intention de rendre tes pulsions masochistes encore plus pressantes.

– Ce sera un enlèvement, pas un viol jespère, dis-je en grelottant.

Pourquoi pas un viol, le viol n’est-il pas un besoin chez la femme qu’elle camoufle en désir secret et inavouable ? rétorqua le goujat Grec.

– Non, absolument pas ! En refusant la pénétration, je revendique ma fidélité à Eric.

– Je respecterai ton choix. Il existe mille façons de se divertir avec une jeune fille. Tu vas en baver car tu les essayera toutes.

Sakis fit quelques pas en arrière et échangea furtivement des enveloppes avec Eric.

Il venait d’empocher le salaire de ma peur. Mais ça, encore une fois, je ne le sus qu’après.

J’étais devenue la pièce dorée indispensable qu’il recherchait pour l’insérer dans la fente et s’attirer les bonnes grâces de ce ramassis de truands.

Puis, s’adressant au toubib…

  – Vivre avec une reine de beauté, c’est comme être le propriétaire d’une belle chienne.

Tout le monde l’admire, mais il faut une éternité pour la dresser. Je compte sur toi pour la dompter de sorte quelle vienne rapidement mendier sa souffrance.

C’est une belle chienne, effectivement ! ajouta Karl. Elle m’inspire énormément.

Vous n’avez encore rien vu, ajouta mon époux, elle ne devient vraiment chienne que lorsquelle est utilisée sauvagement.

  – Qu’entendez-vous par là ?

Eric, connaissant pourtant mon état d’excitation avancée, fit un descriptif exhaustif de mes performances en insistant sur mon masochisme effréné et les sévices que je lui demandais pour multiplier les orgasmes geyser qui accompagnaient mes jouissances.

Il vantait mon ardeur et ma résistance comme un jockey la pointe de vitesse de son étalon.

Sil avait voulu me conduire à la boucherie, il ne sy serait pas pris autrement.

  – Ce sont des qualités que nous apprécions par-dessus tout chez une femme !

Fortifiée par mon sentiment d’être coupable, comme animée par un désir obscur d’expier mes péchés, je menfonçais lentement mais sûrement dans un trouble abyssal.

En mexposant à ma propre ignominie, il voulait contribuer, à sa façon aussi, à lalimenter et même à lintensifier.

J’allais, malgré ma peur, me faire profaner durant des semaines par ces furieux mais avec la certitude denfin soulager le feu qui me dévorait. Et cela seul m’importait.

Si Eric voulait y ajouter la honte, c’est qu’il avait ses raisons.

Je souhaitais trop voir arriver la fin de ces grelottements qui les amusaient tellement

– Lorsque Shana est sur orbite, certaines zones de son corps deviennent des régions préférées pour ses sensations masochistes. Elle est très clitoridienne et est capable de jouir de façon exponentielle quand

Le Dr.Kirsh semblait très attentif à ses descriptions.

– Eric, Non !!! Ne parle pas de ça ! Tu sais que cest pire encore quand

Ce nétait pas tombé dans loreille dun médecin sourd.

– Quest-ce qui est pire ?

  – Oh ! Rien, je disais ça comme ça.

  – Ce n’est pas une réponse ! Dis-moi ce qu’il y a de pire!

Ses yeux pervenche crachaient des étincelles. Shana savait quelle était perdue si je leur confiais notre petit secret.

– Pour parler crûment, disons que quand Shana bande très fort et que sa conscience louvoie entre ciel et terre, elle bascule dans un état que jappellerai dorgasme continu.

— Tu nes quun s..

Les gardiens du temple mabreuvèrent à tour de rôle de leurs décharges pour me réduire au silence.

– Je disais donc que, quand cette traînée atteint létat dorgasme continu, son clitoris devient énorme et se met à palpiter. Elle est très demandeuse de sévices à cet endroit dans ces instants de folie furieuse.

– Continuez, Eric ! Cest très intéressant.

– Lusage ma appris que les pratiques expiatoires trop sévères sur son petit pénis aboutissent inéluctablement à une satisfaction sexuelle que je qualifierais dingérable pour elle car reproductible éternellement. Je me posais la question de savoir ce quil adviendrait de sa frustration si on parvenait à bloquer systématiquement chacun des orgasmes naissant. Je suis certain quil y aurait moyen de la rendre hystérique.

Sakis entrevit immédiatement la possibilité de rendre mon existence insupportable en me honorant mon sexe de supplices atroces.

– Ce serait un pas de géant dans son dressage et je nose imaginer la violence des sensations que cela lui procurera. La facilité qua cette fille à joui m’a d’ailleurs toujours intrigué, vous pourrez peut-être creuser le sujet, Docteur. Jai hâte de vous la livrer pour que vous puissiez élucider ce secret.

– Je prendrai tout mon temps pour étudier dans les moindres détails la plus belle fille de Xhios !

Je connais des besognes plus désagréables, précisa mon Eric.

– C’est effectivement un joli brin de fille mais est-elle consciente de ce qu’elle va endurer avant que je perce ses mystères ?

– Ne vous inquiétez pas pour elle! Shana appréciera votre zèle scientifique même si cela doit lui occasionner quelques désagréments ! Et puis, elle na plu son mot à dire à ce que je sache.

– Je ferai de votre épouse, mon cher Eric, une pasionaria de la souffrance, une martyre de la science.

Eric s’apprêtait à quitter la salle.

– Eric! Tu men veux encore ? Je sais que jai mérité ce qui marrive. Enfin, j’ai la santé et comme tu le dis si bien : « la vie n’est pas faite pour être vécue deux fois ». Les femmes aussi ont droit à l’héroïsme après tout.

– N’en rajoute plus, s’il te plait. A ce rythme là, tu risques de la perdre rapidement, la santé.

– Mais non ! Le docteur sera là pour me requinquer.

Eric me gratifia d’un baiser pour sceller notre réconciliation.

Près de nous, un couple alerté par mes cris, était venu aux nouvelles. Laura et le poète s’exprimaient suffisamment fort pour que je les entende.

– Il me semble que cette jolie créature ait absolument tout ce qu’il faut pour faire une délicieuse victime : fort belle, intéressante dans les pleurs, un joli son de voix, les plus beaux cheveux du monde, un cul sublime et d’une étonnante fraîcheur…

Tiens, Laura, vois comme je bande à l’idée de sa prochaine agonie.

Je ne voulus voir dans ses propos que vague forfanterie.

Car finalement, je ne suis pas différente des autres femmes. Jai besoin de très peu de choses pour être heureuse comme me sentir aimée et désirée.

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