Ma compagne, une jolie petite brune, bien faite, assez exhibitionniste, est toujours court vêtue, et révèle par de profonds décolletés une poitrine superbe, qui est sa fierté et mon plaisir. Assez bcbg, plutôt sexy et naturellement sensuelle, elle aime les regards des hommes sur ses formes, et sait à quel point j’apprécie les éclairs de désirs que je peux lire dans leurs yeux et sur leur visage. Se pliant de bonne grâce à mes fantasmes, elle ne porte que des bas, souvent rien d’autre, ou des dessous fins et clairs, des soutiens-gorge pigeonnant ou quart de sein pour mettre en valeur ses appâts.

En voiture, je lui ai appris à s’asseoir en remontant sa jupe haut sur ses cuisses, à la limite de son intimité. Très cérébral, j’aime entraîner Bénédicte dans des aventures insolites, et ayant maintes fois apprécié son plaisir à se laisser exhiber, je voulais partager avec elle une nouvelle aventure : La mettre en présence d’un jeune garçon, comme par hasard, et lui permettre éventuellement de réaliser ce fantasme dont elle m’avait parlé : être l’initiatrice d’un puceau

Alors bien sur j’ai un peu triché sur la partie hasard, bien que l’idée me soit venue en lisant sur un réseau de rencontre bien connu l’annonce d’un jeune garçon cherchant son initiatrice. J’ai fini par entrer en contact avec un garçon répondant au style qu’apprécie Bénédicte. Il avait à peine vingt ans, se prétendait puceau, et souhaitait assister aux ébats d’un couple en restant simple voyeur? Je le trouvais effectivement un peu timide, lors de notre première rencontre entre hommes, et très sympathique. Nous avons alors provoqué une rencontre ’fortuite’ un soir que j’emmenais Bénédicte boire un pot en sortant de mon bureau. Je lui présentais Laurent comme un tout jeune génie de l’informatique en stage de formation – ce qui était vrai – qui m’avait été envoyé par un copain auquel je demandais un conseil technique – ce qui était moins vrai - !

Nous avons discuté une vingtaine de minutes, alors que Laurent semblait assez fébrile et intimidé par ma compagne, et nous sommes promis de nous revoir. Bénédicte m’a avoué l’avoir trouvé charmant et assez mignon, bien qu’un peu trop timide et mal à l’aise. J’avais convenu avec Laurent que je l’appellerais au dernier moment, lorsque je déciderais de provoquer une prochaine rencontre tout aussi inopinée que la première, et l’occasion se présenta peu de temps après.

J’étais passé prendre chez elle un dîner froid dans une ambiance chaude, puisque je l’avais découverte aux trois quarts nue en arrivant et nous nous étions longuement caressés et excités, lorsque je lui proposais d’aller prendre un pot dans un club sympa. Elle fut à peine surprise lorsque je lui demandais de s’habiller ’très pute’ : Bas noirs résille et porte jarretelle, sans slip, les seins nus sous un tee-shirt de soie. Le tout dissimulé par un sage manteau. Le temps qu’elle se douche et se change, j’avais prévenu mon complice. Dans la voiture, manteau ouvert, jupe retroussée au ras de sa toison taillée court, elle était terriblement sexy. Nous sommes arrivés dans ce pub discret, lumières tamisées et box intimes, réputé être lieu de prédilection des couples illégitimes friands de tranquillité. Sitôt installés, elle a consenti à retirer son manteau, protégée par la pénombre, la banquette et les plantes vertes entourant notre espace.

Alors que nous délirions gentiment, nous excitant de caresses légères et de mots audacieux, notre jeune homme est arrivé, et semblant ne pas nous remarquer, s’est installé seul, assez loin de nous. Bénédicte l’a vu entrer, me l’a fait remarquer, un peu ennuyée d’être vue dans cette tenue aussi provocante, mais curieuse de voir la jeune personne avec laquelle le garçon devait forcement avoir un rendez-vous?

Comme il était toujours seul au bout de quelques minutes – et pour cause – j’ai proposé à Bénédicte de lui faire signe.

— Mais non ! Laisse-le ! Il attend sûrement une amie et il ne sera sans doute pas très heureux d’être avec des ’vieux’. Me dit-elle en souriant.

— Et bien je vais lui demander !

Et sans attendre sa réponse, je me levais et m’approchais de Laurent, heureux et surpris – le comédien- de nous voir. Il s’est installé à coté de ma compagne, et lui a aussitôt qu’il n’attendait personne, étant seul depuis quelques mois, ne connaissant pas grand monde en dehors de ses collègues de formation, et ayant bien du mal à trouver le sommeil? Cocktails aidant, Bénédicte semblait tout à fait détendue et lui dit sur le ton de la confidence :

— Vous ne devriez pas avoir de mal à rencontrer une petite amie? Mais cette boite n’est pas le meilleur endroit pour cela. Nous faisons déjà partie des plus jeunes?

— Mais je n’aime pas beaucoup les boites et je ne sais pas vraiment comment ’draguer’ une fille ! Dit timidement Laurent Mais je n’aime pas beaucoup les boites et je ne sais pas vraiment comment ’draguer’ une fille ! Dit timidement Laurent.

Ce à quoi Bénédicte lui répondit en riant, adoptant d’instinct cette attitude protectrice et tendre des femmes devant un garçon doux et un peu perdu :

— Il n’est pas besoin de draguer?Parlez avec vos yeux et soyez attentif, naturel et délicat?Aucune femme ne résiste à ça !

— Vous êtes ravissante ! Lui dit-il la voix tremblante. Très différente du jour de notre première rencontre, mais superbe !

Là je le trouvais un peu gonflé, mais comme tous les timides qui se lancent, audacieux et touchant. Ma présence n’avait pas l’air de le déranger, mais je me rappelais qu’il savait des choses que Bénédicte ignorait? Bénédicte sembla un peu intimidée par le compliment, et je sautais sur l’occasion :

— C’est vrai qu’elle est superbe, et je suis très fier qu’elle soit admirée? !

J’ajoutais à la stupeur de Bénédicte qui me saisit la main pour me faire taire :

— J’adore lui demander de s’habiller de temps en temps de façon très sexy?

J’ai crains un instant d’avoir été trop brutal, mais à mon grand soulagement, Laurent a admirablement tourné cet instant de flottement à son avantage en se penchant vers Bénédicte pour lui avouer sur le ton de la confidence :

— Les filles de mon âge me font un peu peur, mais je n’ose pas aborder une femme qui me plaît.

— Parlez avec vos yeux ! Lui répéta doucement Bénédicte.

— C’est très agréable de regarder une jolie femme qui n’est pas offusquée par un regard admiratif et polisson? Vous êtes très jolie? !

Les joues de Bénédicte avaient un peu rosi, mais elle soutenait son regard, presque tendrement, sans chercher à fuir. Je crois que Laurent était sincère, et Bénédicte le sentait. Il était en tous cas assez émouvant. Je me suis adressé à lui sur le ton de la confidence, le c?ur battant un peu vite :

— Il ne doit pas être compliqué de rencontrer une jolie femme un peu plus âgée que vous et qui sache vous aider à faire en douceur les premiers pas?

— Quelle femme voudrai s’encombrer d’un puceau sans expérience ?

Me tournant vers Bénédicte qui me fixait intensément, les yeux brillants, je lui demandais :

— Que répondre à ça ?

Elle ne dit rien, mais ce que je crus lire dans ses yeux me parut extraordinairement lubrique et humide. Laurent repris en s’adressant à ma compagne :

— Vous croyez que si j’osais dire à une femme que je suis encore puceau et qu’elle me plaît, elle ne se moquerait pas ?

— Je ne crois pas? Murmura ma compagne.

— Pour ça, il faudrai que je rencontre une femme aussi jolie que vous?Et qui en plus soit libre?

L’atmosphère semblait se densifier, et nous étions entourés d’un halo de sensualité, comme coupés du monde. Je sentais bien que la situation pouvait se prolonger ou se dégrader d’un coup. Le silence se faisait oppressant. C’est Bénédicte qui le rompit :

— Si vous ne tentez rien, vous n’aurez rien ! Un refus n’est pas une condamnation à mort?

J’eus l’impression qu’elle allait se pencher et l’embrasser, mais elle se contenta de le regarder en souriant comme pour l’encourager. J’intervins :

— Si je n’avais pas osé, j’aurai seulement croisé Bénédicte, et alors je n’aurai sans doute jamais rien vécu de ce que je vis avec elle.

— Et moi non plus?Murmura-t-elle sans cesser de regarder Laurent.

La conversation prenait véritablement un tour que je n’avais pas prévu au départ, mais je n’osais intervenir de façon trop brutale, et je me contentais de regarder mon jeune complice en espérant le voir se souvenir de notre entretien précédent. Devant mon regard il sembla effectivement se ressaisir, et s’adressa à Bénédicte assez directement :

— Vous accepteriez de me conseiller ?

— Que pourrais-je vous dire de plus ? Répondit Bénédicte d’une voix sourde, rougissant légèrement.

Laurent se rapprocha tout contre elle, lui demandant d’une toute petite voix :

— Vous m’avez dit que vous viviez tous les deux des tas de choses?Vous avez une expérience que je n’ai pas?

Je ne sais pas s’il était un remarquable comédien ou s’il était sincère, mais il adoptait exactement le ton fragile qui fait craquer une femme et réveille son coté protecteur et maternel. Je décidais alors de reprendre le contrôle qui m’avait quelque peu échappé :

— Bénédicte t’a dit qu’il fallait oser?J’ai osé avec elle, et j’ai eu la chance de découvrir que nous partagions les mêmes envies et les mêmes fantasmes?

— Moi aussi j’ai des tas de fantasmes?Mais jamais je n’oserai les avouer à une femme?Reprit-il.

C’est Bénédicte qui répondit :

— Ne rien dire, c’est être condamné à ne rien vivre?

Alors, je me jetais à l’eau :

— Imaginerais-tu, en la voyant, que lorsque, par exemple, je lui demande de sortir avec moi sans dessous, elle le fait avec plaisir??

Je la sentis tressaillir, mais ce que je lus dans ses yeux me confirma que nous venions de franchir une étape décisive et qu’elle était prête à jouer avec moi. Laurent pris, comme je l’espérais, la balle au bond, s’adressant à ma compagne :

— C’est vrai?? Vous êtes nue sous votre jupe ?

Je me sentis secoué par une décharge d’adrénaline. Bénédicte me regardait sans lui répondre, l’air chaviré et les narines palpitantes. Avantage de bien connaître sa partenaire, je lisais dans ses yeux et sur son visage cette acceptation de la situation, son excitation intense et sa soumission à la façon dont j’allais conduire la soirée. Se penchant contre elle, Laurent posa sa main sur sa cuisse, sans qu’elle le repousse. La voix tendue et sans doute un peu tremblante, je lui ordonnais :

— Montres- nous ! Relève ta jupe?!

Avec une extraordinaire docilité, soulevant légèrement les jambes, elle tira sa mini sur ses hanches, nous révélant le haut de ses bas, les attaches du porte jarretelles, s’arrêtant au ras de son buisson brun taillé court. Elle était terriblement bandante, tant sa posture contrastait avec son visage d’ange, de jeune femme sage, seulement trahi par l’éclat fébrile de ses yeux. J’étais pétrifié, le c?ur battant. Sans un mot, sortant de son ébahissement, Laurent a remonté sa main tremblante sur le bas, le long de la cuisse, jusqu’à effleurer la petite chatte nue. Bénédicte s’est laissé aller contre mon épaule, ouvrant légèrement ses jambes pour offrir son coquillage aux doigts qui la frôlaient. Le mouvement de la main de Laurent était presque imperceptible, mais il avait du débusquer son clitoris, car elle gémit en s’appuyant plus lourdement contre moi, posant sa main sur mon sexe.

Elle pouvait sentir une belle érection, et je faillis exploser sous la pression de ses doigts, tant m’excitait la vue de cette main étrangère posée sur la chatte de ma compagne troussée sans pudeur.

A cause de notre entourage, nous n’osions plus bouger. Malgré son excitation visible, Laurent se contentait de lui caresser le clito du bout des doigts, et ma petite salope y prenait beaucoup de plaisir, à en juger par la crispation de sa main sur ma queue. Le regard de notre compagnon était fixé sur les seins de Bénédicte dont les tétons crevaient le tee-shirt. Approchant à mon tour ma main de celle de Laurent, j’ai nettement senti le doigt du garçon qui masturbait le clito tendu, et ce contact de nos deux mains sur la cramouille de Béné était extraordinairement excitant et irréel.

Laurent m’a cédé la place, et j’ai à mon tour retiré mes doigts pour demander à ma compagne :

— Ecarte-toi bien qu’il te voie !

Elle a plié sa jambe sur la banquette. Malgré la pénombre, son coquillage s’est ouvert comme une fleur sur une fente rose et luisante. Laurent semblait aussi fasciné que j’étais ému. Cependant, malgré le rempart de verdure, j’ai vu que pas très loin, un homme nous observait et semblait avoir remarqué notre manège. J’ai décidé de lever le camp, m’adressant à Laurent :

— Je crois qu’il est temps que Bénédicte t’apprenne quelques petites choses?

Sitôt dehors, Bénédicte m’a murmuré :

— Il reste avec nous ? Tu veux que je couche avec lui ?

— Tu veux bien lui apprendre ?

— Si tu veux?Tu es vraiment un beau salaud?mais çà m’excite me murmura-t-elle à l’oreille en glissant sa main dans la mienne.

Laurent nous a aussitôt proposé de le suivre jusqu’à son studio pour nous y offrir un pot. Dans la voiture, Bénédicte n’a pas dit un mot, la tète posée sur mon épaule. C’est quand la voiture de Laurent s’est arrêtée qu’elle m’a demandé d’une voix rauque sous laquelle perçait une terrible excitation et un peu de crainte :

— Tu me protège hein ?

— Bien sur?Mais tu préfère partir ?

— Non? Je veux seulement que tu restes?J’ai envie?

Laurent était fébrile, sans doute autant que moi, et il nous a fait entrer dans son studio. Peu de meubles, mais un grand lit auprès duquel j’ai entraîné ma compagne. Je lui ai retiré son manteau, et j’ai fais passer son tee-shirt par-dessus sa tète. Debout, immobile, Laurent regardait. Je me suis agenouillé devant elle et ai fais glisser sa jupe le long de ses jambes. Elle nous est apparue vêtue de ses seuls escarpins, bas et porte-jarretelles noirs, superbe et provocante. Laurent était pétrifié et le sang battait à mes tempes. Bénédicte ne cherchait pas à cacher sa somptueuse nudité.

Je me suis déshabillé devant elle, ne gardant qu’un caleçon déformé par le désir et l’ai allongée sur le lit.Laurent a semblé se réveiller, s’est approché, assis à coté d’elle, lui caressant timidement les seins. Les yeux fermés, Bénédicte semblait ailleurs.

Je me suis agenouillé entre ses genoux que j’ai écartés, approchant ma bouche de sa chatte béante et juteuse. Elle mouillait comme une fontaine, m’inondant la langue de son jus d’amour. En tétant son clito dressé, je voyais le visage de notre complice penché sur elle, suçant tour à tour ses tétons tendus. Elle s’est animée, posant une main sur la tête de son nouvel amant, et l’autre sur la mienne, écartant encore ses cuisses, les pieds ramenés sous ses fesses, puis elle s’est mise à gémir, roulant les hanches. Elle semblait prendre un énorme plaisir à se faire sucer à la fois la chatte et les seins.

J’ai reçu son premier orgasme dans la bouche. Elle a jouit en criant, arque boutée et tremblante.

Je me suis précipité sur elle, repoussant Laurent, et l’ai enfilé d’un coup de rein.

Mais j’ai jouis trop vite, tellement excité. Je murmurais à son oreille :

— Je t’aime ! Tu es belle ! Tu es une vraie petite pute ! Maintenant apprends-lui?!

Et m’adressant au garçon :

— Déshabilles toi et viens ! Viens la baiser ! Elle va t’apprendre?!

Il bandait comme un Turc. Il s’est allongé à coté d’elle tandis que je me reculais, profitant du spectacle extraordinairement excitant que m’offrait mon amour de petite pute caressée par un autre. Leurs gestes étaient terriblement érotiques. S’embrassant à pleine bouche, ils ondulaient dans les bras l’un de l’autre. La main du garçon découvrait son corps, son dos, ses reins, ses fesses, puis s’est glissée entre ses cuisses. Elle a roulé sur le dos, ouvrant les jambes, et elle s’est mise à lui caresser les couilles.

Le spectacle était tellement bandant que j’avais retrouvé une érection maximum. J’avais l’impression de flotter sur un nuage et sentais mon c?ur cogner en la regardant s’abandonner dans les bras de cet homme qu’elle connaissait à peine, très excitante avec ses seuls bas et porte-jarretelles. Laurent s’est agenouillé pour lui téter les seins, lui lécher le ventre, les cuisses et le pubis. J’ai tressailli en entendant la voix de Bénédicte, rauque et chavirée :

— Viens ! Allonges toi sur moi !

Elle a guidé la queue de son amant à l’entrée de sa grotte, l’a enserré entre ses cuisses, le poussant tout au fond de son vagin, s’arqueboutant pour le recevoir au plus profond.

— Doucement ! Ne bouges plus ! Je te sens bien?

J’étais au bord de l’orgasme, pétrifié, profitant du spectacle qu’ils m’offraient. Laurent a un peu perdu les pédales :

— Oh oui?! Je suis bien dans ta chatte?Tu es chaude?Je vais jouir?!

— Doucement ! Ne bouges plus ! Lui répondit-elle. On a le temps?Laisses-moi faire !

Laurent s’est immobilisé, puis un peu détendu, murmurant :

— Je n’avais jamais baisé une fille comme toi ! Oh c’est bon?

— Pour moi aussi, c’est bon, et je te sens bien?!

Sa petite voix douce et essoufflée m’enfiévrait et me torturait à la fois. Elle prenait un véritable plaisir à être ouverte et pénétrée par ce presque inconnu. Le garçon a commencé à s’agiter et à pilonner Bénédicte qui s’est à son tour déchaînée :

— Oh oui ! Baises moi ! Baises moi fort !

— Tu aimes ça, hein, salope !

— Oui?oui? j’aime ça ! Prend moi fort ! Je vais jouir?!

Elle est devenue hystérique, et tandis que son cavalier s’acharnait sur elle, je me suis précipité à ses cotés, tétanisé, en l’entendant hurler :

— Oh oui, vas-y ! Défonces moi la chatte avec ta grosse bite ! Je vais jouir?! Pierre, Pierre? Je jouis?Il me baise comme une salope?Je jouis?Je jouis? Viens?Plus fort?Plus fort?Je jouis?!

Alors je craquais avec elle :

— Oh ma petite pute?! J’aime te voir te faire baiser ! Profites bien de sa grosse queue?! Après on va te prendre comme une salope, en sandwich, un devant, l’autre derrière?!

— Oui?Vous êtes des gros dégueulasses, des salauds, mais j’aime ça?! Je jouis?!

Elle a pris un pied formidable, enserrant frénétiquement son amant entre ses cuisses, tandis qu’il devait se vider en elle. Leur orgasme a duré une éternité, et ils sont restés anéantis, lui affalé sur elle, tremblant. Puis elle l’a fait rouler sur le coté, s’est tourné vers moi :

— Viens ! A toi? prends-moi maintenant !

Je l’ai enfilée doucement, lentement, jusqu’au fond de son vagin brûlant, distendu et gluant de foutre et de sperme mélangés. Elle me murmurait tendrement à l’oreille :

— Tu ne m’en veux pas d’avoir jouis avec lui ?

— Oh non ! Maintenant tu vas jouir avec moi?

— Tu as fait de moi une pute?Tu aimes ça ?

— Oui je t’aime?Tu as envie qu’on te prenne tous les deux??

Je bougeais le moins possible, soudé en elle. Elle m’a répondu, la voix rauque :

— Tu veux que ce soit lui qui m’encule ?

— Oui? Pendant que je te baise?

— J’aime faire tout ce que tu veux?Mais prépare-moi?!

Lorsque Laurent est revenu de la salle de bain, je m’étais retiré de Bénédicte, l’avais mise à quatre pattes pour préparer son petit trou que j’enduisais de salive et de mouille. Il nous regardait, immobile, et j’ai vu son érection renaître. Il faut dire que ma compagne, à quatre pattes, ses seins pendant, son joli cul levé et ouvert, offrait un spectacle de choix. Je me suis allongé, les fesses au bord du lit. Bénédicte est venue s’empaler sur ma queue, et lorsque je me suis senti au fond de sa vulve, j’ai demandé à notre ami :

— Si tu as envie de la prendre par derrière, viens !

Il s’est installé, et Bénédicte s’est crispé. J’ai senti le sexe de Laurent glisser dans le petit trou de Béné, le long de ma queue. Vautrée sur moi, la bouche contre mon cou, Bénédicte se détendait et haletait.

-Oui ! Doucement?Viens?Enfonces toi bien?Là ! Ne bouges plus?!

Tout doucement, le salaud l’avait prise jusqu’au fond. Je sentais ses couilles contre les miennes. Nous étions tous les trois totalement immobiles, et ce sont les contractions intimes de ma compagne qui m’ont tiré d’un presque comma de béatitude. Je lui ai demandé :

— C’est bon ? Tu aimes avoir nos deux bites??

— Oh oui?C’est bon?! Je vous sens bien? Ne bougez plus?

— Tu es une vraie petite salope? Ca te plaît d’être traitée comme une pute?

Elle s’est mise à délirer :

— Oh oui, je suis une pute?Je t’aime?Je vous sens bien? Vous êtes des salauds?

— Ca te plaît d’avoir Laurent dans ton cul??

— Oui?C’est dégueulasse, mais ça me plaît?J’aime être remplie partout?!

Et elle s’est déchaînée, s’agitant entre nous :

— Oh putain, je vais jouir?! Défonce-moi le cul?Oh oui? Bourres moi la chatte?Je jouis?!

Une telle trivialité de sa part me surprend toujours un peu, mais c’est le signe d’un orgasme intense et ravageur. Pourtant je l’avais rarement vue se donner aussi entièrement, et je la sentais prête à n’importe quoi. L’élève dépassait-elle le maître ? Je n’ai pu jouir, mais j’ai senti notre ami exploser dans ses reins alors qu’elle même haletais, les lèvres collées à mon cou, et ses muscles intimes se crispant sur mon pieu planté en elle. Lorsqu’elle est revenue de la salle de bain, elle s’est allongée entre nous, et longtemps nous l’avons caressée, jouant avec ses seins, son clitoris? Quand Laurent l’a soudain à nouveau chevauché, elle s’est ouverte en encourageant sa pénétration, et longuement, tendrement, elle a mené de concert son plaisir et celui de son cavalier, me caressant d’une main.

Le garçon pleurait presque de bonheur en déchargeant à nouveau dans le petit con si accueillant de son initiatrice. Après un long moment, Bénédicte a manifesté le désir de rentrer. Laurent nous a raccompagnés jusqu’à la porte, nous assurant qu’il avait passé une soirée exceptionnelle, que c’était pour lui une vraie première fois, et que nous pouvions considérer son studio comme le nôtre.

Nous nous sommes effectivement revus dans d’autres circonstances, mais ceci est une autre histoire.

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