Histoires de sexe travesti Histoires érotiques

Le retour d'Hélène et le garçon – Chapitre 2




Le retour d’Hélène et le garçon, 2

En me réveillant, je me sens de bonne humeur. Qu’importe si mon mari m’a plaquée pour rejoindre une petite blonde !

Eric voudrait bien une petite gâterie matinale, mais je dois me consacrer à ces papiers de divorce, à mener une enquête sur les conséquences, etc. Tout compte fait, je vais très bien m’en tirer, Pierre, mon futur ex-mari, se révèle généreux et il ne m’est pas nécessaire de chercher un travail pour vivre très correctement.

Vers midi, on sonne. Je pense que c’est mon amie Laure, mais nous avions convenu qu’elle vienne un peu plus tard.

J’ouvre la porte sur Le meilleur ami de Pierre. Par politesse, je le fais entrer, même si je me doute de ses arrière-pensées.

Il me regarde avec les yeux d’un mâle en rut et j’ai à peine fermé la porte qu’il me serre dans ses bras et cherche à me peloter et m’embrasser.

Je crie et, heureusement, Eric apparaît.

Même si mon fils n’est pas très viril, sa colère est telle que l’autre ne demande pas son reste et s’en va en bredouillant des excuses.

« Il est taré ce mec ! Merci mon chéri, tu es mon sauveur »

Mon fils me prend dans ses bras et me réconforte. Je suis troublée du comportement du ’meilleur ami’ de Pierre, mais aussi que notre séparation soit déjà sur la place publique. On n’a pas pris le temps de se parler correctement entre époux, que déjà tout le monde est au courant.

Je tremble encore dans les bras de mon garçon quand ce dernier pose ses lèvres sur les miennes. Je m’abandonne, j’ai tellement envie de réconfort.

Ce long baiser me fait énormément de bien, toutefois, je me ressaisis pour le repousser avant que ça ne chauffe trop.

« N’abuse pas de la situation petit coquin ! » je lui mets une petite claque sur les fesses et lui en fait autant sur moi. Il m’a frappé plus sèchement qu’il ne l’aurait voulu, car je sursaute de surprise et d’une douleur, très agréable au demeurant, qui me brûle les fesses. Il s’excuse, mais je lui fais comprendre, en souriant et en tortillant du fessier devant son nez que j’ai plutôt apprécié sa claque.  

Après le repas, le téléphone sonne. C’est mon mari !

Sans attendre, je me mets à le houspiller et m’emporte de colère, je devrais savoir que les hommes ont horreur des scènes, même si c’est au téléphone. On parle des papiers et il me fixe presque un ultimatum à ce propos, puis veut parler à notre fils.

Je lui passe Eric et ce dernier bafouille un peu en parlant à son père.

Je comprends que Pierre veut discuter avec son fils dans un endroit neutre et qu’ils se fixent un rendez-vous.

Lasse de les écouter, je vais me pomponner avant l’arrivée de mon amie Laure, qui ne doit plus tarder

Laure est ma meilleure amie depuis le lycée. Elle est lesbienne assumée, mais, lors d’une rare expérience avec un garçon, elle est tombée enceinte et a choisi de garder le bébé. Sa fille, Aurélie, a deux  ans de plus qu’Eric et c’est une jolie fille, une étudiante très épanouie qui vit toujours chez sa mère.

Quand j’ouvre la porte sur mon amie, nous nous faisons la bise chaleureuse des retrouvailles. Nous sommes heureuses de nous revoir. Elle fait la bise à Eric et tandis que nous nous asseyons pour papoter. Eric m’informe qu’il va rejoindre son père, il ne sait pas combien de temps ça va durer. Je lui dis :

« Fais attention à ce que tu lui dis, rappelle toi »

Seule avec Laure, je vais pouvoir discuter plus librement. Avant que je n’aie pu ouvrir la bouche, elle me caresse la joue et m’annonce :

« Tu as bonne mine Hélène, en plus de ton bronzage, tu sembles radieuse. Tu as rencontré quelqu’un ? »

Je suis très embarrassée pour lui répondre un non, pas vraiment’ évasivement.

« Ah ! C’est donc quelqu’un que tu connaissais ! » Me taquine-t-elle.

Je fais un signe de tête pour confirmer.

Elle arrête ses devinettes et me demande comment se sont passées mes vacances et avec son intuition, toute féminine, comprends mon attachement à Eric.

Même si c’est ma meilleure amie et que nous nous sommes confiées beaucoup de choses, j’ai un blocage pour lui avouer que j’ai couché avec mon fils.

« Tu sais, Hélène, tu peux tout me dire, j’ai bien vu comment vous vous regardiez Eric et toi ! »

Aïe ! Ca se voit que nous sommes amants, il faudra être plus prudents à l’avenir.

 « Aller raconte ! C’est arrivé comment ? »

Je lui raconte tout, dans les moindres détails, et je la vois jubiler, allant de surprise en surprise.

Tout le temps que je parle, ses doigts sont en contact avec ma peau. Tantôt le genou, tantôt l’épaule ou le bras. Même si c’est fréquent entre femmes, je sens un certain trouble me gagner, surtout qu’évoquer mes rapports sexuels à mon amie, ça rajoute un certain piment.

Ses doigts glissent sur ma nuque et la caresse avec douceur. Je ne suis plus capable de parler.

Elle me tient la main et me caresse l’arrière du crâne. Elle me fixe et nos regards s’accrochent.

Elle murmure en souriant :

« Bienvenue au club ma chérie »

« Que veux-tu dire ? »

Elle ne répond pas et approche son visage du mien et, même si je sais ce qu’il va arriver, je reste tétanisée.

Elle dépose une tendre bise sur mes lèvres, puis une autre, puis une autre plus appuyée.

J’ouvre la bouche et nos langues s’unissent. Comme c’est différent d’avec un homme.

C’est délicieux !

Je reste passive quand sa main effleure ma peau, je frissonne et fini par trembler de toute part.

Elle me laisse respirer et m’invite à me lever comme elle.  Je lui obéis, la conscience dans un brouillard voluptueux. Elle sait qu’elle a gagné, que je vais être à elle. Depuis le temps qu’elle m’attend. C’est en me couvrant de baisers qu’elle ôte mon chemisier et descend les bretelles de mon soutien gorge. Elle glisse ses bras derrière moi et me le défait. J’ai juste mon collier pour me couvrir le haut et ma jupe pour le bas.

Je veux cacher ma poitrine mais elle m’attrape les poignets et me fait poser les mains sur ses fesses. Elle est collée à moi et instinctivement, je la serre encore plus pour accentuer la pression de son corps sur le mien. Elle ne cherche pas à me peloter, ses mains sont sur mes épaules et les caressent.

J’ai envie qu’elle m’embrasse à nouveau et elle lit dans mes pensées. Elle m’enlace, et quand nos lèvres s’unissent à nouveau, je ressens un frisson me parcourir. Notre baiser est divin et c’est moi qui me colle à elle au point que nos pubis sont pressés l’un contre l’autre. Elle me glisse à l’oreille :

« Tu me montres ta chambre ? »

Je lui tiens la main et c’est la poitrine à l’air que je l’emmène.

Nous restons debout pour nous enlacer à nouveau, j’adore ses baisers. Nos poitrines sont écrasées l’une contre l’autre. Elle me prend la main et la pose sur son sein et me dit :

« Caresse moi »

 Je caresse, maladroitement, le sein d’une femme pour la première fois et la dureté que je sens sous ma main me trouble. Elle me laisse agir et me débarrasse de ma jupe qui glisse au sol. Elle me complimente pour mon bronzage et de la culotte que je porte que mon fils m’avait choisie. Elle ajoute :

« Tu as une chatte magnifique !  Déshabille moi maintenant »

C’est en tremblant que je défais, un à un les boutons, de son chemisier. Elle me tourne le dos et m’invite à continuer. Elle a vraiment des courbes parfaites et j’en suis émoustillée.

Je baisse sa culotte et elle se retourne vers moi :

« Je te plais ? »

J’acquiesce du regard étant dans l’incapacité de parler, tant je suis troublée par son triangle noir.

« Toi aussi Hélène tu me plais, viens sur le lit et allonge toi ».

J’obéis comme un robot et elle se couche près de moi et c’est du bout du doigt qu’elle effleure mes tétons. Je ferme les yeux et ne sens qu’une plume virevolter sur mon corps. Elle est d’une douceur infinie et j’en tremble de partout.

Ses lèvres remplacent ses doigts et me couvrent la peau de petits coups de langue. Quand elle s’attarde sur mes seins, je sens monter la fièvre et commence à gémir, puis à haleter quand elle descend vers mon pubis. Ma curiosité est au summum quand elle s’approche de mon sexe.

Enfin, elle se glisse entre mes jambes, que j’écarte, offerte à sa langue gourmande.

Elle fait durer, durer et enfin sa langue effleure, puis prend possession de mon clitoris.

Je reçois instantanément une décharge électrique de plaisir. Si sa langue s’active sur mon bouton, je sens ses doigts écarter mes lèvres et envahir mon vagin. Je n’en peux plus !

Ses doigts viennent se presser et tourner sur une zone particulièrement érogène de ma grotte car je me sens rapidement et totalement submergée de plaisir. Je me tortille, essaie de me délivrer de cette force qui me surpasse, mais non, l’orgasme ou plutôt des orgasmes à répétition me propulsent au nirvana.

Mes cris doivent s’entendre tellement je beugle, mais Laure attend que je sois vidée d’énergie pour arrêter son délicieux supplice.

Elle s’essuie le menton et vient à ma hauteur pour me prendre dans ses bras, je m’y sens bien pour retrouver ma respiration. Son sein est à ma portée mais je n’ose pas le sucer.

Pour me provoquer, elle frotte ma joue de son téton, ce contact est délicieux et me prend l’envie de céder, ce que je fais !

Elle m’offre son sein à téter et je prends un réel plaisir à le faire, mais après quelques minutes, elle préfère m’interrompre :

« Une autre fois ma chérie. Serais-tu d’accord pour d’autres fois ? »

« Bien sûr, Laure »

Et c’est moi qui vais à la recherche de son baiser.

Quand nos bouches se séparent, une question me turlupine, je lui demande :

« Pourquoi tu m’as dit bienvenue au club’, tout à l’heure ? »

« Ben voilà, il m’est arrivé quelque chose de semblable à ce que tu as vécu »

Je la regarde, interrogative, et elle ajoute :

« Tu connais mon terrain de chasse, c’est plutôt des femmes de mon âge et délaissée par leur mari. Un peu comme toi actuellement. Mes aventures ne durent pas et j’ai eu beaucoup de femmes dans mon lit.

Aurélie a grandi dans cet univers et a souvent entendu, et peut-être vu, deux femmes se donner du plaisir.

Un jour, une de mes amantes, Brigitte, avait des regards sur ma fille. Je l’avais remarqué et comme je trouvais cela suspect, j’ai pris garde de ne pas les laisser ensemble. Toutefois, j’ai dû m’absenter quelques dizaines de minutes et quand je suis revenue, Brigitte était en train de sucer les tétons de ma fille, encore si jeune à mes yeux, même si elle n’était plus vierge. J’ai chassé l’intruse et ne l’ai jamais revue depuis, mais Aurélie était chagrinée de cette interruption et certainement encore bien échauffée. Toujours est-il qu’elle m’a quasiment sauté dessus en m’implorant de continuer ce que faisait cette femme. Mon instinct maternel m’obligeait à refuser, mais est-ce la jalousie, ou le souhait de lui faire oublier cette femme qui m’a fait obtempérer à sa demande. Et nous nous sommes retrouvées au lit. »

« Ouah ! Aurélie est lesbienne aussi ? »

« Pas vraiment, elle aime les garçons et je ne sais pas si elle couche avec d’autres femmes que moi »

« Vous Vous avez encore des relations ? »

« Quand elle le souhaite. Moi je préfère les femmes comme toi »

En disant cela, elle m’attire à elle et nos langues s’unissent longuement.

J’entends un raclement de gorge et me retournant je découvre qu’Eric est entré dans la chambre en silence. Il tient mon soutien-gorge et mon chemisier laissés au salon, qu’il dépose sur une chaise.

Il nous regarde avec l’air pincé de quelqu’un de contrarié, mais je remarque que ses yeux parcourent nos corps et celui de Laure en particulier et qu’une belle bosse déforme son short.

Quand mon amie nous quitte en nous regardant d’un air complice, Eric boude toujours. J’essaie de le charmer, mais rien n’y fait.

Alors qu’il est assis dans un fauteuil à faire semblant de lire, je m’agenouille entre ses jambes.

Je lui caresse l’intérieur des cuisses en lui demandant pardon. Il m’adresse enfin la parole pour me dire :

« Quand je suis rentré, tout à l’heure, que j’ai vu tes affaires et que je suis venu écouter à la porte de ta chambre tes gémissements avec Laure, j’étais fâché, mais je vous ai écoutées faire l’amour et discuter »

« Tu Tu as tout entendu ? »

« Oui ! Et j’ai compris que tu avais parlé et tout dis pour nous deux ! Moi, je n’ai rien dit à personne ! »

Il a raison et je suis un peu honteuse. Pour me faire pardonner, je reste tête baissée en approchant mes mains pour enserrer ses testicules. Je frotte ma joue sur son sexe tendu à travers le short. Mes pouces sont sur son périnée que je flatte par de petites pressions.

Il apprécie beaucoup et je me décide à m’attarder sur cette zone d’une main, alors que de l’autre, je dégage son gland pour le sucer.  

Humm ! Comme j’aime l’avoir en bouche !

Il ne parle plus, mais se tortille pour que ma main glisse plus bas, vers son anus !

Je glisse mes doigts pour le masser à cet endroit et je l’entends gémir. Ma cousine m’avait dit que les mecs aimaient ça, mais je ne l’avais jamais pratiqué avec mon mari.

Ses habits sont gênants, aussi j’entreprends de les lui ôter. Je veux reprendre ma manuvre, mais il se positionne sur le dos, genoux sur le torse, et j’ai une vue imprenable sur son fessier.

Je sais ce qu’il veut, mais je trouve ça dégoûtant, j’hésite.

Il me tire les cheveux et me colle à lui en disant :

« Lèche ! Salope ! »

Ouah ! Comme il a changé mon fiston. Il traite sa mère de salope, mais c’est moi qui le lui avais demandé de le faire il y a quelques jours. Là, c’est de sa propre initiative, il doit vraiment m’en vouloir ! Mais tout compte fait, ça ne me déplait pas d’être dominée.

Je me décide à franchir le pas et de glisser ma langue sur son petit trou. Sa réaction est sans équivoque. Il aime.

Je m’applique donc à faire de mon mieux, puis d’y trouver du plaisir. J’oublie le goût musqué et darde son orifice pour y entrer. Il s’écarte lui-même les fesses pour m’encourager à aller  plus profondément. C’est alors que je décide d’essayer autre chose, en mouillant un doigt pour le lui enfoncer.

Il est surpris, mais me laisse faire. Je m’y reprends à quatre fois pour que mon majeur soit enfoncé totalement. Il apprécie quand je tourne en lui, mais quand je commence un va et vient il me repousse la main.

Il se lève, me positionne à quatre pattes se place derrière moi et m’embroche d’un coup ! Sauvagement !

Je ne m’attendais pas à ça.  Il butte sur mon utérus et je crie de douleur, mais il n’en à cure.

Il y va fort à chaque coup, j’essaie de le repousser mais il me claque la fesse plusieurs fois.

Même si je pleure de douleur, j’avoue apprécier son débordement de virilité.

Mon vagin est en feu et lui est prêt à éclater, je le sens.

Il se dégage brusquement, me tire par les cheveux pour me mettre accroupie et en se branlant avec frénésie, il m’asperge le visage de sa semence. J’en reçois partout. Dans les cheveux, les yeux, le nez et, quant à la bouche, je m’empresse de l’avaler.

Je reste ainsi prostrée, tête basse, pendant de longues minutes en me disant  que, décidément, nous sommes métamorphosés l’un et l’autre.

Le timide est devenu presque macho et la bourgeoise presque maso.

Related posts

Une princesse dépravée – Chapitre 1

historiesexe

Le dîner de fin d'année – Chapitre 3

historiesexe

Natalie – Chapitre 7

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .