Je trouvais une porte qui était entrouverte, je n’avais pas eu besoin de frapper, je l’avais poussée timidement, mais je savais qu’il m’attendait. La faible lumière des lampadaires et de la télévision de son salon creusait la forme de ses muscles saillants. Il me regardait dans les yeux avec un air féroce et vicieux à la fois. Son regard et son torse m’excitent déjà, je sens ma bite durcir dans mon pantalon, je suis face à lui, il me regarde aussi et je sens son regard se balader sur chaque centimètre carré de mon torse. A travers mon haut se dessinent mes pectoraux et mes abdominaux qui l’attendent avec impatience.
Je m’approche de lui et il commence à me détacher un à un les boutons noirs de mon haut d’uniforme pour enfin faire glisser le textile vers le haut, je sens qu’il en profite pour caresser mon torse au passage. Je relève mes bras musclés pour qu’il puisse achever de le retirer totalement, il marque avec ses doigts une pause sur mon visage. Et je les lui suce avidement en même temps que j’entreprends d’achever moi-même le retrait du haut de mon uniforme. On se regarde toujours dans les yeux pendant que ma langue joue tendrement avec ses doigts quand il décide d’appuyer sur mes épaules pour me mettre à genoux.
Dans ma lente descente où il ne cesse de faire pression sur mes épaules, je lui lèche son cou, je caresse ses bras musclés, je lui mordille ses tétons, et fais glisser ma langue le long de ses abdos dessinés ; il frissonne et s’existe, j’ai l’impression qu’il a envie de me soumettre à sa grosse verge. Car oui, vu la bosse qui commence à se former plus bas, j’ai bien l’impression qu’il en a été très gâté par la nature. Une fois ma descente achevée, il plaque ma tête contre son short afin que je sente sa grosse bite durcir à l’intérieur de son caleçon et il me souffle un :
Tu la veux ?
Ma tête toujours plaquée contre son pénis, seuls ses vêtements séparent ma langue de son jouet favori et je lui réponds sans réfléchir et essoufflé comme un petit chien.
Oui !
D’un coup, il attrape ma mâchoire avec force entre son pouce et son index afin de me redresser la tête pour que je le regarde dans les yeux, ma bouche se déforme sous la pression de ses doigts. Je le regarde, je ne peux plus bouger la tête, il se penche en avant et me dit :
On dit Oui, Maître !
Et il dépose un baiser sur mes lèvres toujours déformées par la force de ses doigts. Il relâche son étreinte et me donne une petite claque sur la joue pour me faire comprendre que je devrais dorénavant lui obéir comme un petit chien à son maître. Je ne sais pas pourquoi, mais son manège m’excite et me fait sourire. J’ai hâte de voir jusqu’où peut aller Florian que je considérais encore comme un petit garçon timide et puceau… Apparemment, il avait énormément changé! Je décide alors de jouer le jeu, et baisse les yeux en glissant doucement un :
Oui Maître. Merci Maître.
Il a l’air satisfait et descend son short en m’ordonnant de lécher sa bite qui durcit lentement à travers son caleçon moulant qui laisse déjà entrevoir les formes démesurées d’un membre long et épais. Il glisse sa main à l’intérieur de son caleçon, empoigne son membre de près de 18 centimètres et ses testicules bien pleins pour sortir le tout d’un seul geste et déposer ce joli paquet sur mon visage. Il caresse lentement sa verge et je sens ses couilles bien remplies qui frottent contre mon visage au gré de ses mouvements de plus en plus rapides et de plus en plus secs. Je sors le bout de ma langue, espérant atteindre ses beaux testicules qui me font tant saliver, je n’ai qu’un seul désir : lui faire plaisir ! Sans avertir, il glisse et entre avec vigueur sa bite dans ma bouche que j’ouvre en grand afin qu’il puisse s’y engager facilement. Sans attendre, il commence à donner de violents et profonds coups de reins et s’exclame :
Avale ma grosse queue pétasse ! T’aimes que je te parle comme ça hein !
Sans même que je m’en rende compte ou que je m’y prépare, le voilà déjà en train de baiser ma bouche. Ses mouvements laissent apparaître de l’extérieur de ma gorge les reliefs de sa bite à présent dure comme de l’acier… Il a l’air d’aimer ça puisque je sens qu’en caressant ma gorge remplie de sa verge, il s’exclame :
Tu la sens passer celle-là ! Pas vrai ? Je la vois se dessiner à travers ta gorge !
J’acquiesce, car j’adore ça ! Je m’étouffe face à la densité de sa verge et sens la chaleur de son membre se répandre partout dans ma bouche à présent violée. J’ai l’impression qu’il s’y glisse de plus en plus profondément et j’aimerais que ça ne s’arrête jamais. D’en haut, il regarde toujours d’un il vicieux la scène et paraît être très fier qu’une petite pute prenne autant de plaisir en suçant sa grosse bite. Il glisse sa main dans mes cheveux qu’il empoigne et tire afin d’incliner ma tête vers l’arrière, ma bouche est toujours remplie de sa bite, il me sourit. Soucieux de pousser sa domination à son maximum, il laisse des filets de sa salive chaude descendre de sa bouche jusque sur mon visage qu’il veut voir mouillé et surtout humilié.
Il continue les va-et-vient de plus en plus forts, il maintient la pression sur mes cheveux pour admirer le spectacle qu’offre sa bite à travers ma gorge et il continue de me cracher au visage pour éliminer toute volonté en moi qui me ferait lui désobéir.
Il retire sa queue et me demande si j’aime ça, j’ai mal à la gorge, mais je lui réponds quand même un :
Oui Maître, j’ai adoré.
Il reprend ma mâchoire entre ses doigts, à la différence que cette fois-ci, il sent sa douce salive couler doucement pendant qu’il me force à le regarder dans ses superbes yeux. Il regarde mes lèvres se déformer sous la pression de ses doigts et il semble pleinement satisfait du bonheur que sa bite a procuré à ma bouche. Il me met des petites claques sur les joues et sa salive accentue le bruit de « splach ». Ce bruit l’amuse, et ensuite, c’est avec sa bite qu’il fait claquer mes joues qui en redemandent. Cette vision de petit chien à quatre pattes qui obéit à tous ses souhaits l’excite. Il achève de retirer son short et son caleçon qu’il plaque contre mon visage, pour essuyer sa salive, il sent fort la bite, mais j’adore ça !