La première fois que j’ai introduit ma bite dans le con et dans le trou du cul d’une jeune fille vierge des deux trous .
J’habite dans une ville méditerranéenne très belle par la diversité de sa culture et par ses magnifiques monuments. Pendant le voyage je pensais à ce que je pourrais faire en cette fin d’après midi, car depuis 17h30, j’étais libre et je pouvais faire ce que je voulais. J’ai 24 ans et je suis un très beau garçon d’après toutes les jeunes que j’ai connues.
J’arrivais à la maison vers 5 heures de l’après midi et j’allumais mon ordinateur pour chatter en ligne avec un copain,mais personne n’était connecté, ce que je trouvais normal car tout le monde était dehors vacant à leur occupation .Mais soudain je vis le nom d’une personne avec qui j’avais déjà discuté il y a quelque temps. Elle s’appelle Isabella, et je l’imaginais comme étant une femme d’origine latine, exubérante, possédant une jolie paire de nichons et de belles jambes. Elle était assez grande. Je lui parlais et comme elle n’avait rien à faire, je lui proposais qu’on se rencontre.
Elle me dit qu’elle venait d’arriver de son pays et qu’elle était très fatiguée, mais si je voulais vraiment la voir, je pourrais lui rendre visite. Elle me demanda de lui laisser le temps de se refaire une beauté.
J’étais très content de pouvoir connaître ma première expérience sexuelle.
Je me rendais à son domicile en voiture. Je me perdais pour m’y rendre, mais finalement j’y suis parvenu. Je pris l’ascenseur qui se bloqua à son étage. Elle me donna deux baisers de bienvenue. Je lui demandais comment elle allait et je fus impressionné par sa beauté, elle était très sexy et elle portait un pantalon taille basse, bien ajusté et un corsage très décolleté qui mettait en valeur deux merveilleux nichons. Elle ne portait pas de soutien gorge, étant dans sa maison. Nous allâmes directement dans sa chambre, nous nous allongeâmes sur le lit et je lui demandais comment le voyage s’était passé, elle me dit qu’elle était très fatiguée, soudain je m’approchais de ses lèvres et nous nous embrassâmes, elle m’embrassa comme une chienne en chaleur, pendant que je me demandais ce qu’il m’arrivait, ma bite se dressa comme une flèche, elle était très longue, très grosse, très raide et elle était prête à s’introduire dans un de ses orifices, dans sa bouche, dans son con, dans son trou du cul, oui dans ce trou aussi , dans ce trou à merde, si agréable à dilater et à défoncer !! Elle commença à passer ses mains sur tout mon corps, elle caressa ma poitrine, puis elle descendit pour caresser ma bite en érection et bien juteuse et enleva mon pantalon comme une furie. Elle se mit à sucer ma bite lentement, la faisant entrer et ressortir de sa bouche brûlante, elle la ressortit de nouveau pour la passer sur son visage, c’était très excitant. Cela faisait une demi heure qu’elle suçait ma pine, pendant que j’introduisais mes doigts dans son trou du cul et que j’excitais son cul, elle serra davantage ma bite avec ses lèvres.
Elle enleva mon pantalon et me lécha le trou de mon cul, elle passait sa suave langue dans la fente parfumée de mon trou à merde, c’était délicieux pour moi, comme pour elle. Je me suis levé et je me suis assis sur son visage et elle commença à lécher mes couilles et mon cul, elle était folle. Son rouge à lèvres imprégnait mes couilles, j’étais enchanté jusqu’au moment où je lui proposais d’enfoncer ma bite dans le petit trou de son cul. Elle me répondit que nous n’avions pas de capote et pas de lubrifiant non plus. Elle était enchantée aussi et me dit que finalement je pourrais lui mettre la bite au cul, elle me suça encore pendant cinq minutes et me fit signe pour que je fourre brutalement ma longue bite dans son trou à merde. je mis de la salive sur ma bite et sur son trou du cul , puis j’introduisis ma bite dans son trou du cul chaud et très élastique. J’ai pompé dans son trou du cul un bon moment , puis j’ai sorti cette bite qu’elle aimait tant pour la fourrer dans sa bouche. Je déchargeais dans sa gorge, ça bouillonnait bien et elle avala une quantité impressionnable de mon foutre. Nous nous sommes rhabillés et je me suis retiré pour rentrer chez moi.
Je pense qu’elle a beaucoup aimé sucer ma bite jusqu’ à ma jouissance, oui sucer cette bite, que je venais de sortir de son beau cul amoureux.